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 Demeure d'Inoue et Tatsuki

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Orihime Rokusho Inoue
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Orihime Rokusho Inoue


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MessageSujet: Demeure d'Inoue et Tatsuki   Demeure d'Inoue et Tatsuki Icon_minitimeMer 19 Déc 2007 - 15:35

Le soleil était levé. Bien sûr, il n’y a pas de désert sans soleil, pas vrai ? Comme il n’y a pas de fumée sans feu ou d’amour sans papillons ! Vous ne comprenez pas ? Moi je me comprends, c’est l’essentiel. J’adore la sensation du soleil sur ma peau de pêche, qui la réchauffe de cette froide nuit. Ouais, mes draps se sont encore barrés quand je dormais… Faudrait que je me calme quand je dors, c’est à croire que je me débats contre les pires démons qui soient. J’ai une fois retrouvé ma couette à l’autre bout de la pièce ! Bon, okay, je l’avoue, ma chambre n’est pas grande, elle est même petite… Mais quand même ! Faut le faire, non ?

Revenons en au fait… Salut, j’m’appelle Oni, j’suis pas une fille normale ! Quoi, vous vous en doutiez déjà ? Rofl ! Vous n’êtes décidément pas drôles ! Non, je suis pas en train de vous lire une page de mon journal intime, qu’est-ce que vous croyez ? Hm, en fait, vous croyez ce que vous voulez, j’suis pas là pour vous dicter votre façon de penser ! J’aime bien les gens moi, j’suis pas une chiante qui s’impose, j’suis plutôt une chieuse qui s’immisce ! Si si, y a une différence.

Je vis à Suna, dans un coin un peu… trop normal et trop banal pour être décrit. Les maisons, c’est pas drôle à décrire, c’est qu’une boite dans laquelle on dort de temps en temps, on mange et on étudie ses parchemins. Ah ça, oui, je lis beaucoup. J’adore me tenir au courant de ce qui se passe, même si ces derniers temps, je suis un peu à la masse côtés nouvelles du village. Mais bon, j’irais faire un tour en ville et je me mettrai au courant de tout ça ! Pour le moment, c’est mon instant fétiche dans mon lieu préféré : Le toit de ma p’tite maison.

Idéal pour réfléchir, se réveiller ou tout simplement se reposer un peu en rêvant dans les éventuels nuages présents dans le ciel de Suna, cet endroit, c’est mon paradis à moi. Je ne supporte même pas qu’il y ait un oiseau sur mon toi. J’suis possessive ? Mouais ! Peut-être ouais, et alors ? Qu’est-ce que ça peut vous faire ? Vous ne comptiez quand même pas venir vous percher sur MON toit ?!

Bon, aujourd’hui, je ne sais pas quoi faire encore… Peut-être aller chercher du boulot, mais j’ai bien envie de commencer mes aventures par une journée de délire. Coupler boulot et délire, c’est pas top. En même temps, me faut des sous ! J’n’ai plus de sous… Enfin si, un peu. Mais pas assez. Okay, le but d’un ninja, ce n’est pas les sous >< ! C’est de protéger son village et tout et tout, mais faut bien que je mange ! Et quand on travaille, c’est pour protéger le village, généralement…

Quoi j’ai une vision des choses bizarres ? Mais non ! Je suis protectrice de la veuve et de l’orphelin, ne vous inquiétez pas ! Je punis les méchants et tout et tout. D’ailleurs, j’ai l’impression parfois d’être différente des autres. Je ne connais pas la vie des gens, mais la mienne… Je ne sais pas, elle est différente ? Peut-être, qui sait… Si j’ai une destinée, elle se présentera bien assez tôt, croyez-moi.

Ma phrase fétiche, c’est « On verra bien ».

Bah oui, parce que personne ne peut exactement préciser ce qui se passera demain ou dans un mois, j’vous parle même pas des prévisions portées sur six mois !

Fiou… Faudrait quand même que j’aille voir si on n’a pas b’soin de moi dans un coin du village, genre… A la tour ou dans le centre. Mais à la tour d’abord.

Bon allez, miss ! On se lève. On époussette sa jooolie tenue noire. J’adore ce genre de vêtements. C’est ample pour faciliter les mouvements, et en même temps, c’est bien serré au niveau de la taille et du haut. Bon, c’est parfois un peu trop moulant… Bah oui, j’deviens femme, ma poitrine a grossi… Et ça attire parfois le regard des mecs. J’suis assez bronzée en plus donc voilà… Les mecs ont souvent un regard sur mon intimité ronde à peine voilée. Et je fais pas grand-chose pour les en dissuader en fait. J’ai jamais eu de petit ami (et non, ce sont tous des lâches !) mais je sais même pas si j’en veux un. J’ai pas le temps. Enfin bref.

J’ai attaché mes cheveux sombres en une queue de cheval.Mais plusieurs mèches volent encore le long de mon visage, certaines cachant un p’tit peu mes trop jolis yeux. Ouais, je sais que je suis belle, et alors, c’est mal ? Meuh non ! Ca veut juste dire que je sais me regarder dans une glace ! Et que les garçons n’ont pas leur regard dans leurs poches quand je passe dans les rues… C’est pas ma fauteuh !

Bon je vais cesser de hurler ça un peu partout et je vais me mettre en route, hein ? Où qu’il est, mon katana ? Ah, dans mon dos… Ouais, parfois je suis une vraie tête de linotte. Mais c’est rare… ‘fin… voilà quoi… Allez ! En routeuh ! On est sur ses p’tits pieds, on saute dans la rue et on se dirige vers le centre ville, histoire de… faire une promenade avant de passer aux choses sérieuses ? Allons donc ! Mais non ! On va tout droit chercher un truc à faire ! Et p’tet à manger, l’estomac gargouille !


Orihime regarda Tatsuki dans les yeux,le journal intime de la dernière propriétaire dans les mains qu'elle avait retrouvés dans le frigo pour y mettre sa pâte d'haricot rouge...

-Orihime-Kun que se passe t'il,tu n'as l'air pas dans ton assiette aujourd'hui veux tu te reposé et manger de la pâte d'haricot rouge sucré,je suis sur et certain que cela te ferait du bien...

La tête rouge sanguine, la jeune fille rangea le jardin secret de l'ancien propriétaire dans sa poche de blouson et elle se dit qu'elle lirait encore une petite histoire de cette jeune fille...


Je veux 5 vrais lignes de rp sinon je vous demanderais de retirez votre post...
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Orihime Rokusho Inoue
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MessageSujet: Re: Demeure d'Inoue et Tatsuki   Demeure d'Inoue et Tatsuki Icon_minitimeMer 19 Déc 2007 - 21:32

Oni revenait tranquillement de son entraînement quotidien à frapper des pierres. Personne n’a jamais dit qu’Oni était une lumière… Somme toute, elle n’était pas stupide, avait une bonne capacité de réflexion – quand elle voulait bien s’y mettre – et savait analyser les situations mieux que personne – de nouveau, quand elle voulait bien s’y mettre – mais elle savait aussi en profiter à son avantage… Et son avantage, elle le trouvait souvent dans des actes assez farfelus. Frapper une pierre ? Quel intérêt ? User de technique était bien plus efficace ! Mais Oni aimait bien frapper, alors elle développait ce qu’elle aimait… Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas non plus un boulet incapable de se protéger ou de se battre. Elle ne serait pas Jounin si c’était le cas ! Certes, il y avait peut-être un peu de chance dans le fait qu’elle avait réussi l’examen chuunin mais… cela c’est une autre histoire !

Ne dites jamais à cette charmante demoiselle qu’elle est inférieure à vous, elle pourrait vous le faire regretter, et pas spécialement par la force. Sa fierté n’a d’égale que son amour pour la liberté et le voyage. Oni aime se promener, visiter et découvrir de nouvelles contrées. Lors de son exil dans les montagnes auprès de son sensei – Paix à son âme – elle avait passé des journées entières à découvrir cette contrée étrange, à visiter chaque grotte, chaque crevasse. Cela parfois au dépend de son corps car une chute pouvait être périlleuse. Elle était plusieurs fois revenue à la maison du vieillard avec quelque chose de cassé, ou encore des bleus et des égratignures. Mais elle était solide, c’est ce qui avait forgé son caractère et son propre corps également.

Au retour, donc, de sa matinée éprouvante, Oni passa par les rues calmes de Suna. Les habitants vaquaient à leurs occupations habituelles et semblaient tout à fait sereins. Du moins, c’est ce qu’il sembla à la petite damoiselle. Elle dut traverser le quartier commerçant pour rentrer chez elle. Elle aimait l’ambiance de ce quartier car il était toujours l’un des plus animé. Dans les rues ensoleillées, malgré la chaleur, les marchands étaient toujours bruyants et joyeux, souriant tout en proposant leur marchandises à des clients potentiels, qui étudiaient les produits, parfois avec attention, souvent sans. La plupart étaient habitués à trouver exactement ce qu’ils recherchaient, et ne s’en retournaient chez eux que plus heureux, une fois leur poches remplies de babioles ou de vivres.

« Hey, ma p’tite dame ! Oui, vous ! Que dites-vous de mes beaux fruits ? Je peux vous faire un bon prix ! »

« Venez voir mes bijoux ! Cuivre, or, argent ! Les plus belles affaires du Subaku ! »

Cela la faisait sourire, mais elle ne s’arrêtait pas pour regarder. Oni avait déjà tout ce dont elle avait besoin chez elle et n’aimait guère le superflu. Elle s’était toujours dit que, si jamais elle devait partir un jours, elle n’aurait pas besoin de babioles. La jounin n’aimait guère se faire sédentaire. Elle était née nomade, et le resterait à tout jamais au fond d’elle-même. Même séparée de sa famille, elle restait liée à elle par le sang et l’âme du désert. Si le clan UmaKaze n’était pas un clan ninja, il n’en gardait pas moins une consonance particulière pour ses membres.

Oni avait été la première a déserté le destin familial et à rejoindre les forces armées de Suna. Et elle savait qu’elle serait la seule à le faire.

Elle finit enfin par rejoindre ses appartements. Situé au deuxième étage d’un immeuble à seulement deux rues du quartier marchand, l’endroit avait quelque chose de simple et de sobre. Elle fit un effort et entra par la porte cette fois-ci. Il fallait bien de temps en temps l’utiliser, se disait-elle, histoire de préciser le pourquoi de son emplacement et son utilité. Et puis, Oni avait mal aux pieds et n’avait qu’une idée en tête : Douche, dodo, et… Elle irait peut-être ensuite prendre des nouvelles des assignations aux missions à la tour du KazeKage.

Lorsqu’elle entra chez elle, tout était calme. Les rayons du soleil entraient par la fenêtre, traversant les pâles rideaux de couleur sable, éclairant un lit aux draps immaculés. Les dits draps avaient, bien sûr, souffert d’une véritable tornade qui était passée par là dans les alentours des cinq heures ce matin, heure à laquelle Oni pouvait assurer qu’elle dormait encore bien qu’elle se dirigeait, tel un zombie mal réveillé, vers les toilettes, la salle de bain, et – étant donné que c’était sur son chemin – la machine à café.

Bref, Oni, c’est une bordélique qui ne fait pas son lit le matin.

Cinq heures, c’était probablement à cette heure-là qu’avait sonné le glas pour le pauvre réveil. Cause de la mort ? Les indices sont fiables : l’objet a sans doute quitté sa position initiale ce matin, que nous devinons comme la petite table posée à côté de la tête de lit, et a probablement volé à travers la pièce pendant une à deux secondes avant de se fracasser contre le mur opposé. Si ce coup n’a pas été fatal, la chute qui le suivit fut certainement mortelle pour le pauvre petit tas de ferraille qui décore désormais le plancher de la pièce. Attention où vous marchez !

Croc ! Ca c’est le bruit que font toujours les épaules de la jeune fille lorsqu’elle s’étire paresseusement. Elle a fermé la porte et a posé les petites choses qui peuplaient ses poches sur la table de la minuscule cuisine. Et la voilà qui se dirige vers le frigo pour prendre une grande gorgée d’eau bien fraîche ! Ouah, ça, ça fait du bien ! Puis elle regarda le contenu de son frigo et attrapa une banane avant de le refermer. Si quelqu’un vient me dire que les chevaux ne mangent pas les bananes, moi je vous amène mon poney… Je vous jure qu’il en mange…

Soit ! Ce n’était pas non plus parce qu’elle était née sous le signe du cheval qu’elle devait se limiter aux carottes, à l’herbe, au foin et à l’avoine. En plus, pour trouver ce genre de chose à Suna, merci mais vous repasserez, hein. Bon, qu’est-ce qu’elle voulait faire encore ? Ah oui, oui… Donc, notre cher petite mangea calmement sa banane, terminée en deux minutes. Ensuite, elle se dirigea vers la salle de bain. Aussi petite que le reste de l’appartement, la pièce toute blanche ne comportait qu’une douche, un lavabo, des toilettes évidemment et un miroir.

Elle ôta ses vêtements sales et les mit dans le panier à linge un peu trop rempli. Oni, faut aller faire ta lessive, t’aura bientôt plus rien à te mettre ! Bon soit… Voilà qu’elle joue aux exhibitionnistes ? Non, vous devez confondre. La p’tite demoiselle prend juste une douche… Vous savez, l’espèce de boite avec un jet d’eau – chaude en général, mais elle préférait de loin les douches froides – où l’on entre tout nu et dont on en ressort tout mouillé ? Oui ça !

Nous ne décrirons pas plus la scène de la douche pour des raisons totalement éthique. Un peu de pudeur en ce monde ne ferait pas de mal, surtout que … Non, préservons le mystère des futurs RP, vous verrez bien. Oni sortira de la douche et passera une serviette de bain autour de son petit corps fin tout mouillé. Cela lui avait fait le plus grand bien, et avait soulagé ses muscles endoloris. Elle rassembla ses cheveux trempés dans sa nuque et les essora avant de s’essuyer et de se changer.

Elle enfila ensuite une vieille et large chemise qui traînait sur le sol et retourna dans la chambre/salle à manger, à moitié nue donc. Elle avait envie de rattraper un peu de sommeil avant de partir en mission, s’il y en avait de disponible. Elle sauta sur son lit, semblant ne même pas remarquer l’horrible craquement que le matelas hurla, protestant contre les mauvais traitements que son propriétaire lui infligeait. Le pauvre n’a toujours pas reçu de réponse de l’Association des Matelas Martyrisés…

Elle n’eut guère du mal à trouver le sommeil. La douche avait fini de la détendre et son entraînement l’avait fatiguée. Mais c’est en sentant une sensation étrange à sa paume droite qu’elle fut accueillie dans les bras de Morphée, n’ayant guère le temps de trouver quelle était la cause de ce qui chatouillait ses nerfs sensitifs au niveau de son tatouage.


~ * ~ * ~



Au début, tout était flou. Elle marchait dans un océan de couleurs et d’odeurs forestières. Puis, au fur et à mesure que ses pas se rapprochaient du bruit léger d’une cascade, le paysage se dessinait, se détaillait. Une chose était sûre, elle n’était pas à Suna. Il faisait trop frais et trop humide. De plus, les arbres, les plantes, le paysage, les bruits… Rien ne lui évoquait son tant aimé pays du vent. Où se trouvait-elle donc ?

Elle suivait un petit chemin de pierre à travers une forêt peu dense et, à quelques mètres à sa droite courrait une rivière calme à l’eau aussi claire et transparente que le verre, tellement pure qu’elle pouvait, de là où elle était, distinguer les formes des poissons qui suivaient le sens du courant. Mais elle ne s’attarda pas sur les fish-ticks. Elle continua son chemin, espérant trouver le pourquoi du comment au prochain détour.

Elle y trouva effectivement quelque chose, mais de là à dire que ça expliquait son rêve… C’était beaucoup dire.

Elle arriva au pied de la rivière. Face à elle, une immense cascade dégringolait depuis le sommets de rochers abruptes dans un bruit presque assourdissant désormais. L’endroit était humide, tellement humide que l’habitante du désert en frissonna de malaise. La rivière formait un petit bassin sous la cascade avant de suivre son cours normal, celui qu’elle avait longé, et sur le côté gauche de ce bassin, le petit chemin continuait, pour contourner l’étendue aqueuse et disparaître au pied de la cascade.

Elle s’entoura de ses bras, essayant de calmer l’impression de froid et d’humidité à laquelle elle n’était guère habituée. Elle remarqua alors qu’elle portait des vêtements différents de ceux qu’elle portait ce matin. Il s’agissait en effet d’une tenue plus dénudée, plus moulante et beaucoup plus sexy. Ses mains ne portaient plus ses bandages noirs qu’elle portait toujours pour camoufler la présente de son étrange tatouage, désormais bien visible sur sa main droite. Ses longs cheveux étaient rattachés à l’aide de son bandeau de jounin dans une coiffure un peu plus compliquée que celles qu’elle arborait en temps normal. Mais s’il s’agissait d’un rêve, … et bien, il ne fallait pas vraiment chercher d’explication.

Elle s’avança encore un peu dans l’endroit, suivant le tracé du petit chemin. Et puis… Elle les remarqua.

Il lui sembla les sentir avant de les voir réellement. Elle n’était pas seule en ce lieu. Ils semblaient tous arriver de positions différentes, tous en même temps. Son premier réflexe fut la prudence, avant de se souvenir qu’elle rêvait… Mais en même temps, ce rêve lui semblait bien trop réel, bien trop précis pour être un simple rêve. De plus, elle avait comme une étrange impression et les fourmillements au niveau de son tatouage n’avaient pas cessé.

Quelque chose l’attirait dans cette cascade. Elle ne savait quoi précisément, mais la curiosité et l’envie d’avancer était si forte qu’elle n’y résista pas longtemps. Elle suivit le chemin, et fut la première à pénétrer sous le passage, par un étroit chemin entre l’eau et la roche, engloutie par l’obscurité envoûtante du lieu.

Ensuite, elle ne bougea plus.

Elle ne savait pas si les autres l’avaient suivie mais quelque chose lui disait encore qu’elle n’était pas seule. Petit à petit, une très faible lumière empli l’espace. Ses yeux, peu habitués à une pareille obscurité, ne purent déceler grand chose au début. Elle ne voyait que des ombres, des formes floues et indistinctes. Elle n’entendait aucun bruit, elle qui se vantait pourtant souvent d’avoir une ouïe exemplaire, si ce n’était quelques froissements de tissu qui ne concernait que ses propres mouvements.

La lumière s’intensifia lentement. Elle put alors déceler quelques détails. Elle n’était effectivement pas seule : Ils étaient douze. Pas un de moins, pas un de plus. Douze hommes et femmes se tenaient debout autour d’une forme géométrique bien connue : Un cercle. Non seulement un cercle mais qui contenait en son centre le symbole de l’équilibre, le Yin et le Yang, un symbole qu’Oni ne se souvenait pas avoir déjà vu. Toutefois, cela lui inspira quelque chose qu’elle ne sut définir exactement à ce moment-là.


Inoue regarda le plafond de sa chambre redécorez aux couleurs de sa nouriture préférée,la pâte d'haricot rouges sucrées...Elle entendit le bruit d'une porte claquer contre le pan de mur puis trois coups secs et ferment sortit vraiment la jeune Kunoichi de son rêve avec en personnage principal,l'ancienne propriétaire,la sublime Oni...
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Sakuragami
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MessageSujet: Re: Demeure d'Inoue et Tatsuki   Demeure d'Inoue et Tatsuki Icon_minitimeMer 19 Déc 2007 - 22:53

La nuit dernière, Sakuragami était allée prendre l'air dans les environs de Kumo no gakure. Elle ne se doutait pas, à ce moment-là, qu'elle allait rencontrer Kenda Hyûga le mizukage de kiri. Elle avait grandement aimé sa présence et se promit de retourner le voir un de ces quatre dans son village caché de la brume.

La nuit avait été calme et fraiche. Les heures qu'elle avait passée en compagnie de sheeba sa panthère l'avait quelque peu rassereinée. Au petit matin, en quittant Kenda, elle avait voulu retourner voir l'homme qu'elle aimait. Il était tellement beau lorsqu'il dormait. Le soleil qui se levait aurait illuminé la pièce et son doux visage. Saku était pressée de retourner chez elle car elle se sentait un peu coupable d'avoir laissé Aoi,seul, une bonne partie de la nuit après la soirée romantique qu'ils avaient passé tout les deux. La jeune femme courut alors très vite, suivit de près par sheeba.

Lorsqu'elle franchirent le portail de sa maison, le calme ambiant inquiéta quelque peu la kunoishi mais il était encore très tôt le matin donc elle chassa cette inquiétude et se dirigea vers sa maison.

A l'intérieur, il faisait toujours aussi chaud et bon. Ses mains gelées mirent très peu de temps à se réchauffer. Sheeba resta dans le jardin, son pelage ne supportait pas le thermostat de la pièce. Elle s'allongea alors sur le seuil de la porte et ferma les yeux, un tantinet fatiguée par la longue nuit qui s'était déroulée.

Saku monta dans sa chambre d'un pas léger. Son visage rayonnait de bonheur à l'dée de se blottir dans les bras d'Aoi. Elle pénétra à pas feutrés dans la chambre et s'approcha du lit. Soudain, son sourire s'effaça. Aoi n'était plus là...Elle redescendit d'un pas lourd, les bras balant et alla se chercher un jus de tomate, sa boisson préférée, dans le frigo. Dépitée, elle se dirigea vers la porte fenètre, l'ouvrit et s'assit par terre. Elle regarda son jardin, vide, froid. La rosée était tombée et comme la nuit avait été fraiche, les gouttes d'eau avaient gelé les plantes. Sheeba rejoignit sakuragami et s'assit à côté d'elle.

Ne sois pas déçu...Il reviendra...Mais je crois que je vais lui dire deux mots la prochaine fois que je le verrai...Il n'aurai pas du partir comme un voleur, sans te dire au revoir...

Je n'aurais pas dû partir cette nuit sheeba...Arrète de voir le mauvais côté des choses...

Je ne l'aime pas, c'est pas de ma faute...

Saku soupira. Heureusement que sheeba était là pour lui remonter le moral. Son avertion pourAoi était drôle quelque fois. Mais elle n'avait pas tout a fait tord...pourquoi était-il partit comme ça? surtout qu'ils ne s'étaient pas vu depuis plusieus mois...Bref! Saku se leva lorsqu'elle eut fini de siroter son jus de tomate.

Bon! je vais à Suna. Cela fait longtemps que je ne suis pas allée dans ce village. Je passerai voir Aoi s'il est là et j'en profiterai pour aller rendre visite à mes amis. Je ne te propose pas de venir...?

La panthère regarda saku d'un air blasé puis en grognant, s'allongea et tournant le dos à la kunoishi. Saku sourit. Elle ne prit aucune affaire et se mit en marche pour Suna.

~*~*~*~




Au bout de quelques heures de marche, elle arriva enfin au village caché du sable. Elle y avait pleins de souvenirs. Après avoir observé un petit moment les environs, saku prit instinctivement le chemin de la villa rokusho. Etant une rokusho elle-même, cela ne lui posait aucun soucis de rencontrer une personne de son clan, pas comme les hyûgas.



La villa n'avait pas changé, toujours aussi imposante et magnifique. Elle parcoura toutes les pièces sans voir prsonne. Aoi n'était pas là non plus. Mais où était-il passé? Saku commençait à s'inquiéter un peu. Toutefois, c'était un grand garçon qui avait déjà vécu beaucoup de choses. Son inquiétude se dissipa. Il reviendrait bien un jour!



Elle décida alors de se promener dans le village. Elle adorait cette petite rue marchande où tous les commerçants vendaient des objets inutiles à première vue mais qui, à la longue, étaient oubliés dans les placards ou sur les vieilles tables de nuit. La kunoishi connaissait à peu près chaque boutique. Elle avait l'habitude de trainer dans le coin lorsqu'elle restait seule à la villa quand Aoi était partit. Soudain, elle remarqua un jeune et jolie fille qui marchait au loin d'un air absent et débonnaire, l'air fatigué. Elle ne l'avait jamais vu par ici. Serait-ce une nouvelle venue? La jeune kunoishi se décida de la suivre pour voir où elle allait...



Le jeune fille entra dans un petit immeuble à deux étages. Elle la vit monter tout en haut et franchir une petite porte un peu vétuste. Sakuragami hésita avant de monter. Elle se dit qu'aller faire un tour avant de déranger cette jeune fille étai peut etre plus judicieux; elle avait peut etre des choses à faire. Saku marcha n peu mais son intéret pour cette jeune fille l'empêcha d'aller trop loin. Elle retourna alors à l'immeuble, ouvrit la porte menant aux appartements. Elle était moins lourde qu'elle n'en paraissait. La porte claqua contre le mur et saku sursauta. Elle souffla un grand coup et frappa trois coups secs à une porte plutôt sobre.
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Orihime Rokusho Inoue
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MessageSujet: Re: Demeure d'Inoue et Tatsuki   Demeure d'Inoue et Tatsuki Icon_minitimeJeu 20 Déc 2007 - 20:17

Quand Inoue ouvrit la porte,c'était pour voir le laitier braillant pour dire qu'ils n'avaient pas remboursé la bouteille de lait cassé quand il fut tombé dans les escaliers du petit immeuble...La jeune kunoichi après avoir rembourser les dégats,elle retourna sur son lit repensant à une personne qu'elle ne connaissait que dans son subconscient...


Certaines silhouettes lui étaient encore invisibles, plongées dans les ombres qui peuplaient la pièce. Mais, face à elle, elle pouvait remarquer un homme, grand et bien bâti, qui semblait avoir une allure particulière et facilement remarquable. Il se détachait non seulement de par sa taille mais surtout par la couleur bleu-acier de sa chevelure. Son regard se détacha ensuite de lui, après avoir remarqué le bandeau de Kiri no Kuni que le ninja portait, pour parcourir le reste du cercle, qui se dévoilait petit à petit tandis qu’une musique étrange commençait à emplir l’endroit.

Cela devenait de plus en plus étrange… Des ninjas de Konoha, Kumo, Kiri… Son regard s’attardait sur certains, passaient au dessus des autres sans qu’elle ne sache pourquoi. Elle vit une jeune kunoichi de Kiri aux airs étranges, aux cheveux noirs, petite et toute pâle… Un homme de Kumo aux cheveux rouges… Un gamin blond qui ressemblait plus à un gosse qu’à un homme, l’air innocent présent sur son visage… A côté d’elle se tenait un mystérieux ninja de Kumo, d’une bonne dizaine de centimètres plus grand qu’elle, et dégageant une aura étrangement mystérieuse. Il avait de longs cheveux noirs qui descendaient le long de son dos... Et à côté de lui, la dernière personne sur laquelle son regard pu s’arrêter, il y avait une jeune fille rousse, qui, bien qu’elle n’avait pas les allures d’une kunoichi, portait le bandeau de Konoha, le village caché du pays de la feuille.

Et si le regard d’Oni ne put pas détailler plus de personne, c’est à cause de la sensation étrange qui l’emplit à ce moment-là. Une sensation puissante qui semblait lui comprimer les entrailles, faisant brûler une chaleur à l’intérieur de son propre corps. Tous semblaient ressentir cela. La sueur perlait sur leurs fronts, reflétant la lueur des bougies. Son sceau la brûla lui aussi. La musique et la lumière avaient gagné en intensité et donnait à la scène une ambiance pesante, oppressante. Si elle avait écouté son instinct, elle aurait fui. Mais ils ne pouvaient pas bouger de leur position, comme si leurs pieds étaient tout bonnement encastrés dans le sol.

Les bouffées de chaleur ne cessaient pas. Au contraire ! Elle s’intensifiaient à mesure que le rythme musical devenait plus lourd et plus sombre. Quelque chose allait se passer dans cette pièce, et cela les concernerait tous les douze. Mais quoi ? Quand ? Le temps semblait s’être totalement arrêté. La tête lui tournait et elle avait désormais du mal à se concentrer sur le décor et les personnes présentes.

C’est alors qu’une voix étrange surgit de nulle part, une voix qui était à la fois calme, sombre et caverneuse.

« Une fois… Une fois encore, levons-nous ! L’Aube se dessine au loin… Mais il n’y aura pas de… »

Elle semblait provenir de la nuit des temps, et résonnait à l’intérieur de leurs corps bouillonnant, laissant une profonde marque. Oni sut alors qu’elle ne pourrait jamais oublier ces mots… Car les suivants s’incrustèrent profondément dans sa mémoire alors qu’elle se sentait partir et que les ombres reprenaient violemment leur emprise sur la pièce, engloutissant en même temps chaque individu présent. Elle les vit disparaître comme elle se sentit progressivement disparaître, comme elle sentit que ce n’était pas la dernière fois qu’elle les voyait… Leurs chemins allaient devoir se croiser…

« … de Crépuscule. Seul les douze assureront le Coucher du Soleil. »

Inévitablement.

~ * ~ * ~


Elle se réveilla en un bond fantastique dans son lit. Elle se débattait encore furieusement dans ses couvertures emmêlées. Elle avait chaud, trop chaud, et la sueur couvrait sa peau et avait humidifié ses draps. Sa main lui faisait mal, son sceau la brûlait. Les cheveux en bataille, la chemise de travers, elle se dépêtra le plus rapidement possible de ses couvertures, c’est-à-dire en les déchirant littéralement. Et, tout ceci sans se calmer une seconde, elle bondit sous la douche, faisant couler le jet d’eau glacé sur elle.

Elle laissa échapper un soupir étonnement long. Elle avait retenu sa respiration un long moment et se calmait enfin, tandis que la chaleur et la douleur s’estompait peu à peu à leur tour sous le divin jet d’eau froide, denrée rare dans le désert.

Elle tremblait toutefois encore lorsqu’elle quitta la douche, trempée. Le regard fixe droit devant elle, elle se remémorait son… rêve ? Son regard glissa sur sa main, aussi mobile qu’une feuille ballottée par le vent. Son tatouage, le sceau qu’elle avait depuis sa naissance… Qu’est-ce que cela voulait dire ? Et ces mots…

Elle répéta la phrase à voix haute, une voix faible toute fois. Elle se surprit même à sursauter à ses propres mots. Ce n’était pas un rêve. Du moins, pas selon la définition exacte du mot « rêve ». Une prémonition, une vision, quelque chose dans ce genre, oui… Mais pas un simple rêve…

« Une fois encore, levons-nous. L’aube se dessine au loin… mais il n’y aura pas de crépuscule. Seuls les douze assureront le coucher du soleil… »





~ Note pour les 12 : Seul le Cheval - Signe qui vous rassemblera - Donc moi - entend la fin de la phrase " ... crépuscule. Seuls les douze assureront le coucher du soleil. " Les autres n'entendent que le début. ~



Une autre fois,la jeune kunoichi fut réveillé par le fracas que causait la porte et surtout la personne qui faisait ce tapage,cela allait être encore le laitier ou une autre personne donc la kunoichi dit à la personne d'entrer...
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Sakuragami
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MessageSujet: Re: Demeure d'Inoue et Tatsuki   Demeure d'Inoue et Tatsuki Icon_minitimeJeu 20 Déc 2007 - 22:38

La voix qui lui dit d'entrer était douce et posée, mais elle était surtout très lasse...La jeune fille qui avait répondu devait etre fatigue. Saku n'aurait pas dû venir la déranger comme ça. Elle se sentit soudain coupable et un peu génée de cette intrusion. Mais tant pis, elle avait déjà frappé à la porte, c'était trop tard...

Elle poussa la porte (elle était plus lourde qu'il ne lui avait semblé) et entra doucement dans la pièce. Elle regarda autour d'elle pour voir d'où la voix venait.

Heu...bonjour...Excusez-moi de vous déranger mais...

Oh! bonjour! Je croyai que c'était le laitier qui revenait brailler à ma porte...

La jeune fille adressa un large sourire à sakuragami, visiblement mal à l'aise. Elle resta plantée devant l'entrée, n'osant s'imisser un peu plus dans l'intimité de la jeune fille. Un silence s'installa entre les deux filles, un peu pesant. Saku se décida enfin à l'interrompre.

Je suis désolée de venir chez vous comme ça, à l'improviste, surtout qu'on ne se connait pas du tout. Je vous ai vu marcher dans la rue et vous sembliez un peu mal en point, donc je vous ai suivi mais j'ai hésité avant d'entrer. Je n'étais pas sûre de vous déranger ou pas. Et visiblement vous n'avez pas l'air dans votre assiette...

Saku avait enchainé toutes ces excuses sans s'en rendre compte. La jeune fille la regardait un peu ébété par tant d'empressement. Un rire léger s'échappa progressivement de sa gorge puis elle se laissa aller et rigola pleinement.

Vous ètes bien étrange quand meme...mais vous me faites bien rire en tout cas! Arrêtez donc de vous excusez, ça me fait plaisir que quelqu'un me rende visite...A vrai dire, un peu de compagnie ne me ferait pas de mal...

Rassuée par les mots de la jeune fille, sakuragami se détendit un peu.

...Merci...

Elle s'inclina légèrement et rapidemment. Puis, releva la tête et tandis que la jeune fille fit de la place sur un siège, saku jeta un oeil à l'appartement. Il était plutot petit, très mignon pour etre franche mais véritablement en bazar. Des vêtements jonchaient le sol à côté du lit et les couvertures étaient dans un état épouvantable: déchirées et sans dessus dessous. Cette jeune fille était vraiment bordélique, la kunoishi alla meme jusqu'à penser un peu désorganisée mais elle changea vite de position lorsque son hôte apporta deux tasses et une théière et les posa sur un coin de table. Saku courrut à l'aide de la demoiselle chargée et poussa plusieurs bouquins ou magasines qui envahissaient la petite table.

Vous pouvez vous assoire...

Merci...
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MessageSujet: Re: Demeure d'Inoue et Tatsuki   Demeure d'Inoue et Tatsuki Icon_minitimeLun 31 Déc 2007 - 11:00

-Je suis désolée de voir que Tatsuki n'as point rangé ses vêtements avant d'aller s'entraîner mais je vais le faire attendez en attendant donnez moi votre joli petit prénom...

La jeune kunoichi avança dans l'endroit où un tourbillon avait passée pour ravager la maison mais cella fut vite ranger...La jeune kunoichi se replaça et le kunoichi de Kumo lui lâcha enfin son nom...

-Je me nomme Sakuragmi des clans Rokusho et Hyûga de plus mon grade a Kumo no Gakure est Heishi Den’Kou, une sorte de force spéciale...Et vous ?

-Moi je me nomme Inoue Orihime, tout juste promue genin de Suna mais élèves de Hiei Hyûga, jûnin de Konoha et un de vos ninjas Kyûbi, chunin de Kumo...

La jeune ninja but une petite gorgée de son thé brûlant et fit un grand sourire à la Heishi Den'Kou...
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MessageSujet: Re: Demeure d'Inoue et Tatsuki   Demeure d'Inoue et Tatsuki Icon_minitimeVen 4 Jan 2008 - 23:37

Sakuragami était rassurée que la kunoishi réagisse ainsi à sa visite plutot inattenue. Le thé qu'elle avait servit était délicieux, saku se lécha les babines rien qu'en humant son odeur. C'était surement sa boisson préférée juste après le jus de tomate.

Alors comme ça, cette jeune fille était genin. C'est donc pour ça qu'elle avait l'air un peu fatigué lorsqu'elle l'avait aperçu dans la rue marchande; elle avait dû s'entrainer dur...

Quoi qu'il en soit, elle avait l'air un peu moins épuisé même si son regard restait nostalgique et un peu évasif. Ses mouvements étaient lents, pesés et précis. Elle avait l'âme d'une ninja douée pour le combat. Elève de hiei et kyubi...Bien, elle avait entendu parler de ces deux ninjas et ils étaient parfaitement compétents.

Inoue but une petite gorgée de son thé et sourit à la jeune kunoishi. Puis elle se leva et rangea encore un peu la pièce Lorsqu'elle vint s'assoire en face de sakuragami, elle lacha un profond soupire et passa une main sur son front perlé de sueure.

Encore désolée de vous acceuillir dans ce bazard surtout... J'espère que le thé est bon?

Saku acquieça. Et fronça les sourcil Une question lui trottait dans la tête.

Mais...qui est tatsuki au fait? Vous m'avez parlé de lui tout a l'heure...Vous vivez avec quelqu'un? Vous êtes mariée??

Bien sur, c'étaient des questions plutot indiscrètes mais elles étaient sorties de la bouche de la kunoishi très rapidement et sans trop de réflexion. Saku se mordit la lèvre inférieure, mais tant pis, elle l'avait dis.

Inoue lui explica qui était tatsuki et ce qu'il représentait pour elle. L'après-midi passa très vite. Les deux kunoishi parlèrent de tout et de rien et apprirent peu à peu à se connaitre. Soudain, sakuragami s'aperçut qu'il était un peu tard et décida qu'il était temps de rentrer chez elle. Les deux amie se dirent au revoir et se quittèrent joyeusement.

Sur le chemin du retour, Saku hésita pour retourner à la villa rokusho. Elle passa devant mais les lumières étaient éteintes, pas de signe de vie. Elle soupira et rentra vite chez elle.
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