[Rang B] - Pas ça, non, pas l'usine de raviolis!

Objectif: Tu es chargé de protéger le grand PDG d'une usine de raviolis. Il sera présent durant l'exposition d'art, c'est à dire 5 jours. Cet homme ne sait absolument pas se battre mais cherche des embrouilles. Mais ceci ne semble pas être la pire chose. Car oui, une menace de d'enlèvement semble trotter dans l'air...

« Non! Pas les raviolis! Je ne me nourri que de ça en ce moment! » Dit-il en tappant du poing sur le bureau du Kazekage.
« Hum.. Oui Jonas. Tu es chargé de protéger le grand PDG d'une usine de raviolis. Il sera présent durant l'exposition d'art, c'est à dire 5 jours. Cet homme ne sait absolument pas se battre mais cherche des embrouilles. Il est aussi question d'un enlèvement... » Souffla-t-il à son vieil ami.

Le haut gradé du village de Suna no Kuni ferma les yeux, l'air embarassé, puis quelques instants plus tard, il décida de prendre le parchemin qui se trouvait sur le vieux bureau du leader du clan Shiranui, et qui portait tout les objectifs de la mission. Le Hyûga tourna ainsi les talons, et commença à plonger son nez dans la feuille qu'il avait empoché. Une rang B seulement? Le Sous-kazekage tappa tu pied, avant de descendre les escaliers qui le mèneraient à la sortie du luxueux palais du dirigeant du village caché du sable, située en plein milieu d'un désert aride et brûlant. Plongeant sa main droite dans sa poche, pour en ressortir une cigarette, ainsi qu'un briquet, Jonas commença à consummer sa cigarette, seulement quelques instants plus tard, tout en avançant tranquillement dans les rues de son village. Sa destination? La gallerie d'art de Suna no Kuni, où était donné une sorte de banquet pour le commencement de ces cinq jours d'exposition de diverses toiles d'un artiste assez populaire. Emboitant le pas d'une manière vive, l'ancien shinobi de la brume arriva seulement dix minutes plus tard devant la gallerie, mélé dans toute cette foule qui s'amassait devant la porte d'entrée. Puis il écrasa ce qu'il avait dans sa bouche. Il se dirigea alors vers la porte d'entrée, et montra la fiche qui lui avait été transmise par son ami de toujours Shiranui Genma.

« Je suis chargé de la protection de Monsieur Zoli. Excusez-moi... » Lança-t-il au garde du corps posté devant l'entrée, avant de passer et entrer dans la gallerie.

Quand il rentra, un sentiment de honte naquit en lui. Tout les regards était braqués sur lui. A vrai dire, au début, il ne les comprit pas trop, puis, après avoir épié d'un regard noir tout ce beau monde, Jonas vit qu'il n'était pas dans son monde. Tout le grattin des soirées mondaines étaient-là, une coupe de champagne à la main. Le jeune et noble Hyûga toussota, avant de couler un regard vers la fiche et contempler la photo de l'homme qu'il devait protéger. Un homme chauve, petit, et gros. Autant dire qu'il n'allait pas être très facile à trouver étant donné le bon nombre de monde qui lui ressemblait. En effet, tant de personnes riches, tellement riches qu'elles ne travaillaient plus, et restaient chez elles, et prenaient donc tout naturellement du poids, sans en subir les conséquence au niveau du porte-monnaie. Ces gens-là, il ne les supportait pas. Mais bon, après tout, il devait faire son travail, et ne pas porter de préjugés. C'était dur, mais il fallait se forcer à rester neutre dans son jugement.

Soudain, une voix rauque l'interpella, seulement quelques mètres plus loin. Cette voix provenait de la foule amassée devant la large porte qui permettait une entrée plus facile.

« Laissez-moi passer espèce de grosse brute! Regardez mon pass', je peux rentrer! Allez, dégag... »
« Du calme! C'est vous, Monsieur Zoli? »
« Oui jeune homme mal fagoté. C'est pour un autographe? »
« Non pas trop. C'est moi le shinobi qui sera chargé de votre protection. Hyûga Jonas, Sous-Kazekage, enchanté... »
« Humpf... Sous-Kazekage? On dirait pas, vu comme t'es habillé. Bref, moi c'est Zoli, Sasakio Zoli. Maintenant que les présentations sont faites, pousses-toi, je vais prendre un verre, et voir si je connais quelques personnes dans ce tas d'individus... Tiens, ma veste! Evites de m'approcher, je n'ai pas tellement envie qu'on me voit avec toi. »

Puis il rentra, balançant sa veste dans les bras du noble Hyûga, se dirigeant ainsi vers le buffet, pour prendre un verre de champagne accompagné de petits fours. Cet homme était d'une impolitesse sans précédent, et ce soir, Jonas comptait bien lui faire savoir. Essayant d'effacer le comportement de cet homme-ci, le jeune homme alla s'asseoir sur une chaise, en gardant un oeil sur l'homme qu'il devait protéger. Il s'ennuyait terriblement. A vrai dire, c'était sa première mission depuis un bon bout de temps, et, c'était pour cela qu'il avait choisit d'en faire une. L'action d'une mission, la rapidité de discernement, et ainsi que tout les facteurs importants dans une missions lui manquaient, mais c'était comme ça : le poste de Sous-Kazekage n'était pas très lucratif, car en effet, il passait la plus grande partie de son temps à remplir des papiers, et à superviser un bon nombre de personnes, sur divers chantiers qui s'étaient établis par rapport aux projets du village. Il souffla un coup, avant de sortir une cigarette de son paquet. Soudain, à peine avait-il eût le temps d'allumer l'objet qui lui permettait de se détendre, du moins, de refaire descendre la pression, que la voix du PDG de l'entreprise de raviolis interpella le possesseur de la pupille blanchâtre. Et d'après le ton de sa voix, c'était loin d'être une discussion tranquille...

« Vous ne pouvez pas vous empêcher de provoquer les personnes qui se trouve autour de vous! Cet homme avait juste énoncé seulement une critique sur votre usine. Je trouve ça affligeant, votre manière de vous comporter avec autrui... » Lança-t-il à Zoli, tandis qu'il sortaient de la gallerie, à une heure assez tardive.
« La ferme! Tu n'as pas à me dire ce que je dois faire. » Rétorqua-t-il.

L'envie de lui coller son poing dans la figure lui démangait, mais il ne pouvait pas le faire, pour la seule et simple raison que c'était cet homme qui allait le payer. L'envie de lui répondre violemment lui faisait un poids au niveau du ventre, mais cela aussi, il ne pouvait, et ne se devait de ne pas le faire. Pourquoi? Car tout ça pourrais enmener quelques plaintes qui seraient émises par cet homme, et donc, fourniraient des problèmes au noble Hyûga. Bref, il avançaient à travers une petite ruelle, alors plongée dans la pénombre, et qui mènerait tout droit à l'hotel où dormirait le dirigeant de cette multinationale qu'était l'entreprise de raviolis leader du marché de la nourriture. Puis soudain, c'est au moment où le Sous-kazekage s'apprêtait à prononcer des paroles, que un groupe d'au moins une demi-douzaine de personnes surgirent de la nuit, pour ainsi encercler les deux individus sortit de la gallerie d'art de Suna no Kuni. Des rires mesquins emplirent et résonnèrent dans la tête de Jonas, qui venait de se retourner, afin d'évaluer ce groupe d'homme au niveau de leur nombre et de leur corpulence. Ce second détail n'était pas vraiment visible à cause de l'obscrutité de cette si petite ruelle, et des vêtements noirs de ces hommes cagoulés. Décidant de ne pas céder à la panique dans laquelle Zoli était plongé, le Hyûga esquissa un léger sourire, comme pour leur expliquer qu'il n'avait pas peur d'eux. Mais c'était faux. Ce n'était pas vraiment qu'il avait peur à cause du cadre de cette rencontre, c'était le fait qu'ils soient nombreux, et ça, il n'était pas sûr de pouvoir s'en sortir...

Un homme s'avança d'un pas fier. A travers ses mouvements, le noble et shinobi du sable pouvait distinguer que la fierté et son égo était surdimensionné. Gardant son rictus aux coins de ses lèvres inférieures, il restait immobile, épiant les détails du périmètre qui l'environnait. Il n'y avait pas vraimetn d'endroit pour fuir. Il allait devoir se battre... Une irritable voix parvint alors aux oreilles du Hyûga:

« Ne joues pas au héros! Je te conseille vivement de nous laisser ce gros lard si tu ne veux pas mourir. »
« Entendu, tenez... Mais faites attention. C'est une vraie plaie ce type, toujours à vous prendre de haut. » Avait-il répondu, tout en prenant Zoli, et le dirigeant vers le malfaiteurs.
« Mais qu'est ce que vous fai... »

Un grand son stoppa le petit homme dans ses paroles. Jonas avait frappé l'individu qui lui avait parlé, quelques instants plus tôt. D'ailleurs, ce dernier s'était retrouvé quelques mètres plus loin, étalé sur le sol. Soudain, les cinq ou six autres personnes qui accompagnaient celui qui venait de se faire botter les fesses se ruèrent sur Jonas. Ce dernier poussa l'homme dont-il avait à assurer la protection, afin d'avoir plus de place pour se battre. Il soupira alors un coup, puis joignit ses mains. Un tremblement court mais sec parcourut alors toute l'étendue de son corps. Chez un simple Hyûga, le Byakugan aurait été activé, mais chez un des élus du clan, le niveau ultime de cette pupille venait de faire son apparition...

« Hattatsu Byakugan. »

Une scintillante aura pourpre tournoyait autour de lui, pour finir de rentrer dans son corps, le faisant rayonner ainsi de mille feu. Il se mit alors dans la position ancestrale de son clan avec une fulgurante rapidité, et puis, sans attendre ne serait-ce qu'un instant de plus, le Sous-Kazekage s'élança sur l'individu masqué se trouvant le plus près de lui, et commença à le frapper, avec la paume de ses mains. On appelle ça le Jûken, une manière de se battre conomplètement différente de se battre. Seul les possesseurs de la pupille blanche pouvaient l'utiliser. Cette manière de combattre, en fait, consistait à bloquer les flux de chakra de l'adversaire, en frappant les cavités de chakra de ce dernier. Du moins, c'est ce que les membre du clan pensaient, car depuis quelques temps, les individus appartenant au clan Hyûga mélaient le Gôken et le Jûken, ce qui provoquait de plus gros dégâts. Et c'est précisément ce qu'allait faire Jonas... Celui d'abord recula, tandis que ses cinq ennemis l'attaquaient. jetant un kunai dans son dos pour pas que celui qu'il avait frappé en premier ré-approche de Zoli, le jeune homme joignit ses paumes, avant de les coller toutes les deux au sol, tel des ventouses.

« Jûken: les milles serpents »

Le ciel trembla un bref coup, avant qu'un nombre incommeusrable de serpents fait d'électricité et de chakra surgissent du sol. Ces derniers enrolèrent les malfaiteurs, qui s'arrêtèrent dans leur mouvement, étonné et désarçonné à la fois. Dorénavant, ils étaient au sol, paralysés par des serpents électriques. Jonas, l'air fier de lui, se retourna et vît que le « chef » des renégats commençait à mettre la main sur le directeur de l'usine de raviolis. Le Sous-Kazekage se rua sur son ennemi avec une vitesse affolante, et refrappa l'homme, avant de prendre Zoli au passage, afin de prendre la fuite. Pourquoi ne les avait-il pas achevé? Simplement parce qu'il savait pertinemment que d'autres individus reviendrait, et en masse cette fois-ci. Là, il retrouveraient leur employeur, et essayeraient de frapper à nouveau à un moment innatendu, mais toujours avec la même équipe, désirante de se venger.

« Nous n'allons pas aller dans votre hôtel. Ce serait de la folie. Allons dans mon palais. Deux Jûnins sont postés à l'entrée, et, de surplus, je pourrai être près de vous, au cas où si il y aurait un problème. Je passerai chercher vos affaires après vous savoir en sécurité au sein de ma demeure. Allons-y, nous devons nous dépêcher... »
« ... »

Le petit homme semblait toujours être sous le choc de cette attaque. Le visage crispé, et ses jambes toujours en train de trembler, il avançait dans une rue large et grande aux côtés de Jonas, qui semblait vraiment être pressé. Cette mission ne s'annonçait pas de tout repos... Pourquoi ces hommes masqués cherchaient-ils à enlever un PDG? Quand allaient-ils frapper? Toutes ces questions résonnaient dans son crâne, comme un inssassiable mélodie. Et les réponses à tout ces questionnements, le noble Hyûga devait les trouver, afin de ne pas risquer sa vie et celle de l'homme qu'il devait protéger coute que coute.

« Disposes 200 000 ryos sur cette action, je la sent fortement prometteuse! »

L'aube venait de s'escarper, laissant la chaleur et le peu d'animaux vivant dans le village du sable apparaître à la vue des hommes. Le jeune membre de la branche secondaire du clan au dôjutsu blanc venait de se lever, quand il entendit non loin de lui Zoli en pleine conversation avec son téléphone portable. Malgré que cela le mettait en rogne, il n'allait pas le montrer. Pourquoi? Car leur relations étaient plutôt fragiles, même si elles s'étaient améliorées au cours de ces derniers jours. Cela faisait une demi-heure que Le PDG de la plus importante usine de raviolis était au téléphone avec son adjoint, afin de faire tourner même en son absence son entreprise. Quatre jours étaient passé depuis les petits problèmes qui étaiet subvenus au Sous-Kazekage et à l'homme a qui il devait une protection sans faille. Ces jours-ci, malgré l'attention qu'avait porté Jonas à sa tâche, aucun homme cagoulé était revenu pour poser des problèmes au duo. Mais ce que redoutait le Hyûga semblait se confirmer: une attaque le dernier jour de cette exposition de cinq jours était fort probable. Il le sentait. C'était comme si il avait pût se mettre à la place de ces hommes, et deviner l'instant où il lanceraient une attaque. S'efforçant de garder son calme, Jonas se mit en tête de refaire son lit. Oui, le petit homme chauve, bourru et riche dormait chez son « garde du corps » en raison des risques qu'il pourrait encourir dans un vulgaire hotel de Suna no Kuni. Ici au moins, il serait en sécurité.

Comme les jours précédents, les deux compagnons sortirent du palais du jeune Sous-Kazekage, avant de prendre le chemin de la gallerie d'art. Rien n'avait changé depuis le premier jour. Toujours le même type de personne: riches, hautaines, et mesquines. Soufflant une fois de plus, le noble Hyûga s'asseya comme à son habitude sur une chaise, et y passa la journée, une coupe de champagne se trouvant régulièrement dans le creu de sa main. Cette journée-là passa à une vitesse fulgurante. Rien d'intéressant à part quelques embrouilles provoquées par le PDG, et, facilement contenues par Jonas, qui semblait assez détendu, malgré la pression qui pourrait le trôner, à cause de ce qui pouvait bien se passer cette nuit-là. Il essayait de se résoudre à l'idée que rien ne se passerait, mais il n'en parvenait pas...

« Venez tous dehors, pour finir la soirée, ils ont préparés un feu d'artifice! »

Tout la foule sortit de l'immense salle d'exposition, et alla s'amasser devant l'entrée dans ce si grand bâtiment. Le feu d'artifice était tiré du toit. Une lumière rouge très vive vrilla dans les airs, ce qui provoqua du remuement dans le tas d'individu rassemblé. Le bras droit du Kazekage, lui, restait aux aguets. Puis, après avoir activé son Hattatsu Byakugan de couleur pourpre, le Hyûga débuta sa recherche d'homme sur qui il pourrait porter son attention.

« Comme on se retrouve, Hyûga Jonas... Tu devais te douter qu'on reviendrai n'est-ce pas? Pour tout te dire, j'ai une certaine appréhension. Depuis la dernière fois où tu m'as trompé, je ne sais pas si tu bluffe ou pas. Je ne sais pas si tu as fait intentionnellement exprès de me le laisser l'enlever si facilement. Humpf... Un Hyûga, possesseur du fameux Byakugan. J'ai fais mes recherches sur toi, et je peux te dire que ton passé est vraiment élogieux, et forge un certain respect que je te devrai te porter, mais maintenant, je n'en ai pas envie. Je cherche juste une chose: te tuer! AHAHAHAHA! » Dit une voix loin d'être inconnue. C'était l'homme de l'autre nuit...

L'ancien shonbi de la brume traversa la foule, sans vraiment se précoupper des personnes complètement plongées dans le feu d'artifice. Il avait tellement était concentré par sa recherche du renégat, qu'il avait du coup, oublié la surveillance qu'il devait porter sur le PDG. Pas étonnant qu'il se fasse fait prendre. Grâce à sa pupille, l'expérimenté Hyûga ne tarda pas à trouver l'enleveur. Zoli était là, tenu par la puissante poigne de son malfaiteur. Son visage cripsé par la peur semblait paralyser toute corps si flasque. Un regard ébahi, mais toujours terrifiant de par ses yeux, le jeune Sous-Kazekage avança d'un pas: maintenant, il se retrouvait sur un toit, le toit de la gallerie, d'où était tiré toutes ces explosions de couleurs.

« T'en as prit du temps! »
« Tes copines ne t'accompagnent pas cette fois-ci? »
« Non. La technique que tu as utilisé pour les paralyser n'était pas brisable. Je les ai donc laissé au même endroit. Je suis revenu le lendemain matin, et ils avaient disparus. Je suppose que t'y es pour quelque chose... »
« AHAHA! Comment t'as deviné? Bref, assez parlé, qu'est-ce tu attends de moi précisément? »
« Enfin, nous y arrivons... Voilà mon deal: on combat, si je gagnes, tu me le laisse, et si tu gagnes, je te le laisses. Equitable? Tu as de la chance que je suis rancunier, car sinon, je serai déjà à quelques bornes d'ici à présent... »
« Pfff... Si sa peut te soulager... Alors tu mourras! »

Il se mit aussi tôt dans une position prénommée celle du « Jûken », position ancestrale du clan Hyûga. Cette dernière consistait à avancer sa jambe gauche, de baisser son buste, de lever les bras, comme si il était prêt à frapper. Puis il s'élança. Il arriva rapidement à proximité de son adversaire. Il essaya de commencer à tapper le renégats, mais ce fût presque impossible au moment même où son énorme sabre fût sortit. Un grand coup fît virvolter dans les airs Jonas, qui se releva un instant plus tard, l'épaule droite ensanglantée. Essayant d'éponger la fine quantité de liquide qui coulait du haut de son bras, ce dernier sortit de l'autre main sa dague, avant de refoncer dans le « tas ». Puis un effet de surprise intervint. Alors que le Sous-Kazekage s'apprêtait à assaillir son ennemi, de l'électricité provenant de l'affinitée Raïton appartenant à celui-ci...

« Raïton, la dague électrique! »

Le sabre se brisa sous l'impulsion du chakra à dose électrifiante insérée par Jonas. Le renégats relança le combat, et fît à nouveau virvolter le Hyûga, ou plutôt la dague de son clan. Cela était encourageant, car maintenant, un duel au corps à corps allait débuter, au plus grand bonheur du jeune Hyûga, qui maintenant allait s'éxercer dans son propre terrain de jeu. Les coups fusaient les uns comme les autres, et personne ne semblait prendre l'avantage, malgré que l'ancien shinobi de la brume semblait être plus à son aise dans cet affrontement plus qu'impréssionant. Puis tout à coup, le malfaiteur dégarnit sa garde. Ce dernier se rendit compte que son adversaire l'avait remaqué, et, il en avait profité. Une impulsion de chakra aux niveau des abdominaux suffit pour éjecter l'homme cagoulé. D'ailleurs, il se releva, le regard encore plus en colère. Il joignit les mains, puis enchaîna de multiples mudras, à une vitesse impréssionante. Un dragon d'eau surgit alors dans le périmètre du Hyûga, qui fût très étonné par la puissance de cette technique, à la vue de l'endroit où elle avait été effectuée: dans un village situé en plein milieu d'un aride et sec désert, où l'eau était difficilement trouvable. Seul un shinobi maniant très bien le Suiton en était capable. Puis soudainement, la bête aquatique fonça sur Jonas, qui s'était remis dans la position du Jûken.

Le Sous-Kazekage esquissa un sourire avant de donner quelques coups de paumes dans le vent. Vent, oui, c'était bien le mot, vu que des impulsions de fuuton venaient d'être envoyées. Ces dernières passèrent à travers le dragon d'eau, qui ne ressentit pas grande chose, puis continuèrent leur cheminement vers l'ennemi du shinobi du sable. L'adversaire de celui-ci d'ailleurs, évita la technique du membre de la Bunke, sans se soucier des effets secondaires: les deux impulsions de chakra se rejoignèrent, et formèrent un clone entièrement constituée d'air et de vent. Celui-ci, furtivement, se jeta sur le renégats, et lui tint les bras, déjoignant ainsi ses mains, et d'une pierre de coupn anhilant le dragon aquatique qui menaçait le Sous-Kazekage. Il se rua alors sur l'ennemi qui se débattait, mais en vain. Quelques instants plus tard, Jonas posa ses mais au sol, et enfermait le malfaiteur dans une bulle de chakra, afin d'avoir le temps d'appeler les services de Suna no Kuni, qui viendraient prendre l'homme caché sous un voile noire.

« Tu sauras, dorénavant, que défier un Hyûga au corps et corps est du vrai suicide... »

Mission terminée.

+20 000, mission accomplie ! Bravo XD !

Bonus :

Synthaxe
00/10 -> +0
01/10 -> +200
02/10 -> +400
03/10 -> +600
04/10 -> +800
05/10 -> +1 000
06/10 -> +2 000
07/10 -> +4 000
08/10 -> +8 000
09/10 -> +16 000
10/10 -> +32 000

Bof bof niveau syntaxe. Certains phrases sont pas clair... Mais je pense que tu manquais de concentration lors de la rédaction de celles-ci. Donc essaie de mieux te concentrer =p ! Ex : Celui d'abord recula, tandis que ses cinq ennemis l'attaquaient
Voici un exemple...

Orthographe
00/10 -> +0
01/10 -> +100
02/10 -> +200
03/10 -> +300
04/10 -> +400
05/10 -> +500
06/10 -> +1 000
07/10 -> +2 000
08/10 -> +4 000
09/10 -> +8 000
10/10 -> +16 000

Que de fautes d'innatention. Je prends par exemple les fautes masculin/féminin. J'ai calé quelque part où tu avais mit un "ée" pour "un village", et un "é" pour "une feuille". Je ne trouve plus l'endroit hélas, mais j'ai vu certains erreurs du genre.

Interêt de l'histoire
00/10 -> +0
01/10 -> +100
02/10 -> +200
03/10 -> +300
04/10 -> +400
05/10 -> +1 000
06/10 -> +2 000
07/10 -> +4 000
08/10 -> +6 000
09/10 -> +12 000
10/10 -> +24 000

J'aurais plus adhéré au combat si sa aurait été un peu plus "gore" ^^ ! M'enfin, c'est bien dans l'ensemble mais les combats manquent un peu d'action... On dirait qu'il y a pas de sang dans tes ennemis =p !

Mise en page
00/10 -> +0
01/10 -> +100
02/10 -> +200
03/10 -> +300
04/10 -> +400
05/10 -> +500
06/10 -> +600
07/10 -> +700
08/10 -> +800
09/10 -> +900
10/10 -> +1 000

Ce n'est pas ce que je préfére, mais c'est impeccable et agréable lors de la lecture.

TOTAL : +25 000 de stats

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