Suikkei
Civil
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Date d'inscription : 06/05/2007
 |  Sujet: Domaine de Taihaku  Mar 25 Mar 2008 - 0:16 | |
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♦ Vraiement ?! Tu te crois capable de telle prouesse ?! Je te trouve bien prétencieux, tu est rien d'autre qu'un simple morveux. Je me demande comment tu à pu faire pour entrer dans les forc.... ♦
♦ Avec tout le respect que je vous doit, je fais tout de même partie des forces spéciales du village caché des feuilles. Je pourrai donc aisément effectuer se travail, avec ou sans votre bénédicton. ♦
Le vieu sénile, prit de colère tenta d'assener un violent coup de poing cumulant sa haine et sa force dans le visage de Suikkei. Celui ci effectua un bond en arrière pour éviter le coup et ne pas avoir à contre attaquer. Il ne voulait pas que cette disscussion pour le moins violente de la part du vieu se finisse en violence et en larme.....
Le vent soufflait dans les ruelles du domaine résidentiel. Ce domaine se trouvait juste à côté du domaine des Hyûga. Suikkei, dont le nom d'Anbu est Taihaku n'avait aps encore trouvé de maison dans laquelle vivre. Depuis son combat contre Hyûga Seitrigo, son ancien maître, Ryuuku s'était totalement renouvellé. Dans ce combat il aurait put mourrir mais à la place il avait tout perdu, son fameux byakugan, sa force, mais le plus important, son devoir d'esclave envers un maître tyrranique. Aujourd'hui, Taihaku s'était remit sur pieds, il avait passé trois jours et deux nuits complètes dans les ruines d' Oto no Sato à se remettre de son combat. Taihaku, Jeune Anbu indépandant, devait se trouver un endroit ou vivre, un endroit pour se refaire une nouvelle vie. Malheureusement, la seule maison se trouvant encore libre dans le quartier résidentiel se trouvait être habité par une "chose". Si Taihaku voulait vivre dans cette humble demeure, il se devait de trouver et de chatier cette chose....
Un doux bruit se faisant entendre quand Taihaku poussa la porte d'entrée de la maison. Une maison comme on en trouvant que rarement, grande, lumineuse, acceuillante. Si la "chose" n'était pas venu hantée cette maison elle aurait été vendue bien avant même l'arrivé de Taihaku. L'Anbu de Konaha passa toute la journée dans cette maison. Le soleil était entrain de se coucher, Taihaku se trouvait devant une porte fenêtre entrain d'obeserver se radieu soectacle quand soudain la porte d'entré s'ouvra et se referma aussitôt. Attiré par le bruit, il se retourna et un puissant souffle de vent vint le percuter. Il se fit ejecté par la fenêtre la brisant dans un bruit de vers. Taihaku finit sa course ventre à terre, sur la terace de la maison, le corps ensanglanté par les nombreux bout de verre ayant pénetré sa peau.
♦ Mort......... Mort......... Mort..... ♦
Une voix grave digne d'une terreur terrible repétait ce mot sans cesse, malgré le fait que la voix était audible, rien n'était visible. Aucune trace de personne, d'ou venait cette voix alors ?. Allucination ? Cela ne pouvait l'être, une allusination ne fait pas en sorte que l'on traverse une fenêtre. Cette voix se rapprochait dangeureusement de Taihaku jusqu'a ce qu'une sorte ectoplasmique soit visible. Un être se forma jusqu'a prendre une consistance réelle.
♦ Toi là ! Qui est tu donc ?! Pourquoi hante tu cette maison depuis plus de quatres ans. Que'est ce qui fait que tu ne sot pas partit au ciel, tu ets un esprit non ?! ♦
♦ En effet, je suis un esprit rongé par le remord qui n'a pas réussi à rendre l'âme. En hantant cette maison, je voulais que quelqu'un me tue quand je prendrais ma véritable apparence qui ne dure que quelques minutes, mais tout le monde fuis. Toi qui n'a pas fuis, tue mon âme. S'il te plaît. ♦
L'Anbu du village caché de la feuille se leva, pour le bien de cette homme et pour le sien également car il hériterait de la maison, il devait de réaliser les derniers souhaient d'un esprit comdamné. Il composa une série de sceaux et le log de son bras droit se forma des flammes. Des flammes vernit de mauvre par le chacra avec lequel il était composé. Il s'approcha de l'homme et lui rentra sa main dans la gorge.
◘ Eikyuu ◘
Aucune trace de sang, aucun bruit. L'esprit disparut lentement en prononçant faiblement: " Merci "
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