Présentation d'Arano Yuhei

Sujet: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 2:37

Hors RPG:

Prénom: Denis

Age: 18 ans

Lieu où vous habitez: Evreux City (27)

Profession: Actionnaire chez Kinder et Lipton

RPG:

Nom: Arano

Prénom: Yuhei

Age: 21 ans

Village Natal: Une oasis perdue dans le désert de Suna

Village que vous souhaiteriez rejoindre: Suna no Kuni

Contexte Historique

Bien que la majeure partie des habitants du désert de Suna soient des nomades ou résident au village caché, il existe parsemés dans l’étendue aride quelques oasis, seules terres cultivables permettant la sédentarisation de petites communautés d’une centaine d’habitants. Ces hameaux isolés du reste du monde vivent de la culture des rares espèces végétales qui poussent dans ce milieu difficile, et existent en autarcie presque totale, à l’exception des caravanes de marchands qui viennent occasionnellement échanger les biens manufacturés de la ville contre des matières premières agricoles.

Faire le voyage depuis l’un de ces oasis jusqu’au village caché de Suna représente un calvaire de plusieurs jours ou semaines sous le soleil brûlant, et c’est généralement un groupe des jeunes les plus robustes du village qui prends ce risque une fois l’an pour rapporter certaines fournitures nécessaires à la vie de la communauté. Il est notoire que survivre dans un lieu à ce point oublié du monde n’est pas de tout repos : en conséquence les enfants dès leur plus jeune âge doivent travailler dans les champs, sans quoi la famine guette leur famille. Dans ce contexte, une école est impensable et la culture est donc inexistante : ces gens ont à peine conscience que la vie existe en dehors de leur village et considèrent souvent le monde extérieur comme un Eldorado utopique, ne songeant même pas à quitter leur lieu de naissance tant l’extérieur semble inconnu et terrifiant.

Les guerres ayant fait rage par le passé ont eu des conséquences gravissimes sur ces bourgs perdus en plein désert. Non pas que les ninjas ennemis s’en soient pris à eux, puisqu’ils ne représentent aucun enjeu économique ou stratégique. Mais les pertes dans les rangs des shinobi de Suna devaient être remplacées, et une fois le vivier des jeunes recrues du village caché épuisé, il fallut puiser dans la réserve des habitants du désert. L’arrivée d’un émissaire du Kazekage chargé du recrutement de nouveaux genins dans un hameau provoquait souvent à moyen terme la disparition de la communauté : de nombreux hommes et femmes dans la fleur de l’âge n’hésitaient pas à tout abandonner dans l’espoir d’une vie ailleurs, fut-ce à la guerre, et ce même si cela signifiait laisser le champ familial à la charge des anciens ou des jeunes enfants, bien incapables de l’exploiter. Dépossédé de sa jeunesse, le village tombait peu à peu en poussière, voyant ses derniers habitants mourir de faim ou en tentant la traversée du désert. Ce mode de vie disparaissait peu à peu, écrasé par l’urbanisation croissante, et était en passe d’être complètement oublié de l’histoire.

Histoire du Personnage

J’avais la sensation de marcher au fond d’un lac. Le sable instable sous mes pieds, la transpiration dans laquelle je nageais littéralement, l’air surchauffé qui semblait presque tangible et qui luttait contre chacun de mes mouvements… Sans parler de mon état physique et mental déplorable qui me donnait l’impression de marcher au ralenti. Quoiqu’une comparaison à une bouilloire eût été plus appropriée qu’un lac.

Aussi loin que je me souvienne, le désert avait toujours été pour moi une frontière, un océan infini et inaccessible qui commençait là ou le village se terminait. Y pénétrer était non seulement suicidaire, mais aussi complètement absurde : que pouvait il y avoir au delà, sinon une étendue infinie et une mort certaine ? Les rares marchands ou voyageurs qui faisaient escale dans notre village était seulement des inconscients qui ne vivraient pas vieux. Les quelques habitants du village qui avaient effectué la traversée et en étaient revenus étaient vus comme des marginaux rendus fous par leur épopée, décrivant des villes impensables ou vivaient des milliers de personnes, des forêts luxuriantes et des constructions majestueuses. Bien sûr, personne ne croyaient leurs histoires et on éloignait les enfants à leur approche. Ils finissait généralement par devenir vraiment fous, et terminaient leurs jours seuls en continuant à rêver de la vie d’abondance qu’ils avaient entrevus pendant le bref instant qu’avait représenté leur voyage. Ces personnages renforçaient la crainte des habitants pour tout ce qui touchaient à l’ « Extérieur ». Voir quelqu’un s’éloigner dans l’étendue dorée signifiait qu’on ne le reverrait sans doute jamais.

Et voilà que je marchais depuis ce qui me semblait une éternité dans cet océan lumineux. Une éternité à se traîner pas après pas vers une ligne d’horizon désespérément immobile, subissant en permanence la chaleur épuisante renforcée par les couches de vêtements dont je m’étais emmitouflé pour protéger ma peau de la brûlure ardente du soleil. Une éternité qui n’avait pourtant duré que quelques jours en réalité. Les premiers jours, la fatigue musculaire largement accentuée par la température et le manque d’eau était insupportable, puis peu à peu mon corps s’était mécanisé et désormais je me rendais à peine compte que j’avançais, presque inconscient. Mes pieds se soulevaient l’un après l’autre puis se laissaient tomber sur le sol machinalement, tandis que ma main serrait continuellement celle de Maoi. Les seuls évènements notables qui ponctuait ce quotidien cauchemardesque étaient les moments où Maoi s’arrêtait, oubliant de continuer à marcher. Je devais alors fournir un effort supplémentaire pour la tirer vers l’avant et ainsi l’obliger à reprendre la marche. Cela faisait des heures que je n’avais plus la force de me retourner vers elle, mais je me doutais que son état était pire que le mien. Elle ne disait plus rien depuis plusieurs jours, peut être parce qu’elle n’en avait plus la motivation, ou tout simplement parce que c’était dans sa nature : elle ne se plaignait jamais et pleurait toujours en silence.

Lors de sa naissance, alors que j’avais neuf ans, notre mère subit un accouchement difficile et succomba finalement quelques mois plus tard. Etant moi-même très jeune et ne pouvant prendre en charge qu’une petite partie du travail du champ familial, je vis mon père travailler d’arrache pied pendant plusieurs années pour nourrir les trois membres de la famille à lui tout seul, tout en s’occupant de ma sœur. A cette époque tous les habitants du village le voyaient comme un héros qui malgré la perte de sa femme ne se laissait pas abattre et accomplissait le travail d’un titan. Cependant quelques années plus tard, mon père et moi vieillissants, je reçu une part de plus en plus importante des responsabilités de la ferme, tandis que mon père s’aigrissait, reprochant à Maoi la mort de notre mère et nous accablant en permanence de la vie abominable qu’il devait subir pour nous nourrir. Les habitants du village qui fuyait de plus en plus nombreux vers la ville lointaine dans l’espoir d’une vie passée à servir le Kazekage n’arrangeaient rien, augmentant la charge de travail pour les villageois restants.

Dès que ma sœur fut en âge de contester, elle s’opposa à notre père, contrairement à moi qui ai toujours été d’une nature plus malléable. Il en vint rapidement à nous frapper et nous insulter tous les jours, et finalement Maoi devint peu à peu la jeune fille déprimée et réservée qu’elle est aujourd’hui. Bien que finalement je la connaisse très peu, j’ai toujours étrangement tenu à elle, comme pour la remercier de s’être élevée contre mon père, me protégeant ainsi alors que j’étais l’aîné.

Ces dernières années furent de loin les pires. Alors que mon père devenait de plus en plus agressif, il travaillait de moins en moins et nous laissait toutes les responsabilités, passant le plus clair de son temps à maugréer contre le mauvais sort qui l’avait affublé d’enfants aussi inutiles. Il s’avérait que contrairement à lui nous étions effectivement incapables de maintenir nos cultures en l’état par nous mêmes, et le manque de nourriture commençait à devenir quotidien. Fuir le village devenait presque tentant, malgré la dimension suicidaire que cela comportait. A ce moment le village tout entier était presque mort, les derniers habitants vivants étant des gens trop craintifs ou trop attachés à leur lieu de vie pour oser partir.

C’est alors qu’un groupe de voyageurs revenant d’une province éloignée vers le village caché de Suna fit une halte d’une journée dans un village perdu et déserté dont tout le monde avait oublié le nom, et qui se trouvait être le nôtre. Ils étaient escortés par des ninjas, qui de toute évidence connaissaient la route et servaient de guides. C’étaient la première fois que nous voyions des shinobi : pour nous ils appartenaient à la légende de Suna, ce lieu lointain et refuge des forces militaires du pays, qui ressemblait aux villes qu’on trouve dans les contes pour enfants. Cette légende devenait soudainement réelle, à travers les hommes et femmes armés à l’apparence belliqueuse qui traversait notre triste milieu de vie quotidien. Leur existence impliquait celle de l’espoir d’une vie dans cette ville merveilleuse, l’espoir d’une vie autre que ce calvaire. Alors que je prenait conscience de l’isolement de notre vie passée, le groupe s’apprêtait déjà à repartir. Dans un panique frénétique, j’empaquetais alors deux outres d’eau, quelques vivres et le vieux sabre court rouillé qui trônait depuis des lustres « au cas où » dans la pièce principale de notre maison, puis je pris Maoi par la main et rattrapait les voyageurs en courant, abandonnant notre père à son triste sort.

C’était il y a une semaine et demi maintenant.

Brusquement, Maoi s’effondra. Je sentit tout son poids porter sur mon bras qu’elle n’avait pas lâché. Je sorti de mes souvenirs et de ma quasi inconscience pour me précipiter vers elle et l’aider à se relever, mais elle avait perdu conscience. Je m’aperçus alors que le groupe venait de s’arrêter pour la nuit. Le soleil ne s’étant pas encore couché, je montais en hâte la tente que nous avait généreusement prêté un marchand qui faisait route avec nous, puis y allongeait ma sœur pour la protéger du soleil. Elle s’était sans doute évanouie par déshydratation, puisque nous avions oublié de boire depuis des heures. Je la fis boire un peu de ce qu’il nous restait d’eau, puis m’assit à côté d’elle, tremblant craintivement. Elle respirait paisiblement, j’en conclu donc qu’un peu de repos suffirait probablement à la remettre d’aplomb.

Enram vint alors m’aborder. Il aperçut Maoi étendue, puis fit la moue.

- Je te l’avais bien dit gamin, la traversée du désert, c’est pas pour une fillette de cet âge là. T’aurais mieux fait de rester bien tranquille dans ton trou paumé, plutôt que de venir chercher la merde à Suna ! Tu trouveras rien pour toi dans cette ville pourrie, c’est moi qui te le dis…

Malgré la déférence quasi religieuse que je vouais à cet homme, la nature mystique et merveilleuse de Suna restait pour moi inaltérable. Elle représentait tout ce que mon ancienne vie n’avait jamais pu m’offrir : l’opulence, la nourriture abondante, la vie en communauté… Pour cela j’étais prêt à servir religieusement n’importe qui, et pourquoi pas le Kazekage.

- En tout cas vu la distance qu’on a franchie depuis les ruines d’hier, on devrait plus être loin de ce tas de cailloux mal empilés qu’ils appellent une ville. On arrivera sans doute demain dans l’après midi.

Sujet: Re: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 2:37

J’avais rencontré Enram dès le premier jour de notre voyage. Après que nous ayons rejoint le groupe de voyageurs, la plupart d’entre eux nous avait à peine adressé un regard. Seul l’un des ninja, un homme d’une dizaine d’années mon aîné, était venu nous demander ce que nous faisions là. Tremblant devant cet être presque surnaturel à mes yeux, je n’avais rien pu répondre. Heureux d’avoir trouvé moins cultivé que lui, il commença alors à nous décrire ce qui nous attendait. Il se vantait d’être un Chûnin, ce qui ne signifiait rien pour moi. En revanche je comprenais ce qu’était un ninja : pour moi un soldat comme lui était un héros d’une force légendaire qui risquait sa vie tous les jours pour protéger les autres. Le fait que Suna puisse ne pas être en guerre ne me vint absolument pas à l’esprit : dans les contes, les héros font toujours la guerre aux mauvais et combattent le mal. Il s’était vite rendu compte que nous étions naïfs et totalement incultes, et s’était mis en tête de nous éduquer à sa manière : il savait que nous étions en admiration devant les merveilles qui nous attendaient à Suna, et s’était donné pour but de dénigrer tout cela pour nous montrer combien Suna était banal à côté de sa vie passionnante. Je ne le réalisais absolument pas, mais c’était un personnage égocentrique, hypocrite et profiteur, et qui était évité ostensiblement par les autres ninjas du groupe qui nous escortait. De toute évidence il avait besoin de reconnaissance, et notre candeur nous rendait idéaux dans ce rôle.

- Au fait gamin, qu’est-ce que tu comptes faire à Suna ?

La question me paraissait absurde. Je n’imaginais même pas que Suna abrite des gens autres que des ninjas. Je pensais tout simplement arriver en ville et me porter volontaire pour devenir soldat, en espérant que j’aurais l’occasion de confier ma jeune sœur à quelqu’un de confiance.

- Si tu pense devenir ninja, tu devrais passer par le centre d’entraînement accéléré. Vu le manque de troupes de la ville, le Kazekage a instauré une voie plus rapide pour accéder au grade de Genin. Mais même comme ça il te faudra un bon mois pour devenir Genin et gagner un salaire…

Une formation ! Il ne m’était même pas venu à l’esprit que je ne pourrais pas immédiatement gagner ma vie. Devant mon visage ahuri, Enram éclata de rire.

- Si tu veux je peux me débrouiller pour te loger le temps que tu sois engagé, j’habite dans un petit bâtiment avec quelques collègues, on aura bien assez de place pour te trouver un coin où dormir avec ta frangine.

Epoustouflé par la générosité de mon sauveur, je n’imaginais pas que les « quelques collègues » étaient en réalité un petit groupe de ninjas douteux qui se souciaient plus d’imposer leur loi dans les bas quartiers de Suna pour leur petit profit que de protéger l’ordre. Enram espérait simplement récupérer un homme de main de plus pour imposer son influence. Très loin de toutes ces considérations, je remerciais chaleureusement mon héros pour son aide et ses conseils et je rejoignais Maoi dans la tente pour m’effondrer après cette nouvelle journée pour le moins éprouvante. Au moins étions nous vivants, avec un but à atteindre le lendemain…

Conformément aux prédictions d’Enram, nous atteignirent Suna le lendemain peu après midi. Tout d’abord je ne réalisais pas que cette immense enceinte de murs couleur de sable fut autre chose qu’une dune ou une petite montagne. Puis à mesure que nous nous approchions, je commençait à apercevoir des signes d’activité humaine, ainsi qu’une large route qui traversait le désert pour rallier les murailles. Alors que le groupe continuait à marcher, Maoi et moi nous étions arrêtés, debout au sommet d’une dune, effarés par l’ampleur de ce qui était pour nous une véritable métropole. Alors que les deux immenses portes de bois s’ouvraient, j’apercevais enfin le début de ma nouvelle vie…

Description Physique

Etant données les conditions de vie difficiles des habitants des régions isolées du désert de Suna, on retrouve souvent chez eux un physique assez ingrat : une taille relativement petite accompagnée d’un allure assez trapue et large d’épaules. Yuhei ne fait as exception à la règle, et sa chevelure blonde contraste avec son teint basané par le soleil de Suna. Son regard gris semble assez froid, mais cela ne reflète pas vraiment sa personnalité : tout au plus cela lui permet-il de se faire passer pour plus menaçant qu’il ne l’est. Il porte généralement des vêtements de cuir épais, peu pratiques mais solides.

Sa musculature endurante forgée par le travail dans les champs le rend assez peu habile bien que d’une force non négligeable, et son absence totale d’expérience au combat le laisse presque désarmé en cas de menace. Bien sûr, son village d’origine était une petite communauté dans laquelle chacun était trop occupé pour s’intéresser à son voisin, et les bagarres n’éclataient jamais, l’absence ou la grande rareté de l’alcool aidant. Son seul avantage d’un point de vue physique est donc son apparence relativement inquiétante qui le prémunit contre la plupart des dangers quotidiens.

Bien que son corps soit habitué à des températures chaudes, le climat en plein désert n’a cependant rien à voir avec celui du village rafraîchi par l’oasis à proximité, et comme tout le monde il supporte très mal la brûlure du soleil dans ces conditions. La météo de Suna no Kuni en revanche ressemble en tous points à celle de son hameau de naissance, il y sera donc parfaitement à l’aise.

Pour finir son estomac est habitué à se contenter frugalement de quelques légumes quotidiens, et cette habitude alimentaire lui sera d’un grand secours puisque lui et sa sœur consommeront très peu de nourriture une fois à Suna.

Description Mentale

Contrairement à ce que son apparence suggère, il n’a rien de belliqueux, même s’il n’est pas non plus facile à effrayer. Ses origines pour le moins modestes et son éducation presque inexistante lui confèrent une nature très impressionnable, et il est capable de tomber en extase devant n’importe quelle nouveauté. Cela le rend également très crédule et naïf, même si il apprendra vite à combler ces défauts : il ne conçoit aucune raison à la manipulation et au mensonge.

Psychologiquement, sa seule attache est sa sœur : tout le reste est pour lui négligeable, comme il l’a prouvé en fuyant avec elle sans rien emporter. Lui d’une nature effacée et réservée, elle déprimée et morose : le duo qu’ils forment, si il ne respire pas la joie de vivre, a pour mérite de passer relativement inaperçu. Son mode de vie et son enfance dénuée de loisirs et d’avenir lui ont donné l’habitude de survivre au jour le jour en ne faisant que rarement des plans pour le lendemain. Son but actuel est donc uniquement de devenir Genin pour nourrir sa sœur, toute autre ambition étant exclue pour le moment. Son arrivée à Suna dans le monde des ninjas, tourné vers l’extérieur, va constituer pour lui une véritable ouverture au monde, permettant à une toute nouvelle personnalité de voir le jour…

Voilà, désolé d'avoir mis l'historique avant les descriptions, mais ca me paraissait plus naturel vu que j'ai tiré les descri de l'histoire et non le contraire.
Désolé aussi pour les descriptions physiques et mentales qui semblent un peu baclées je l'avoue, j'ai un peu de mal à écrire ce genre de trucs, je crois que je préfère rp ^^. Je préfère ne pas en dire plus dans le mental parce que j'ai l'impression que ca doit plus se dégager naturellement du récit, et de toute façon j'ai pas vraiment d'inspiration pour ça... :/

Apparemment aucune présentation Irl n'est demandée, mais bon j'en fais quand même une petite parce que, euh, bah parce que c'est plus sympa! >.<
Alors bonjour tout le monde, je m'appelle Denis et j'habite à Evreux à une heure au nord ouest de Paris. Accessoirement je suis un pote de la créature relativement vivante que vous appellez Kira, et je connais aussi un certain Gaara. xD
Je suis admin du forum Fate/ Radiant Wars (je sais vous connaissez pas, c'est normal on a pas de membres ^^ d'ailleurs tant que j'y suis: Kira => Ton QG, et Musa-chan => ta présent'). Au passage j'en profite pour remercier vos admins qui qui acceptent de polluer leur page d'accueil avec notre ban depuis 2 semaines ^^.
Mon alimentation est principalement constituée de Kinder Bueno (White, s'il vous plaît) et de Ice Tea, et mon mode de vie consiste à dormir, aller en cours, revenir, m'étaler comme une loque devant l'écran, redormir au cas où, revenir devant le pc, et dormir.
Je n'ai quasiment aucune expérience en rp (à part trois pauvres posts sur FRW). Apparemment j'ai assez d'inspiration pour écrire un truc long, après je sais pas trop ce que ca vaut :/
Voilà, merci de m'accueillir chez vous! (enfin j'espère xD)

Sujet: Re: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 3:24

Bienvenue, Super Présentation ! !

Attends le venue d'un administrateur et se sera tout bon

Sujet: Re: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 13:43

Salut il manque quelque ligne à ton histoire merci de prendre exemple sur ce modèle

Sujet: Re: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 14:06

Mdr Yamaneko, t'est vraiment un boulet toi... Bon quoiqu'il en soit, tu ne suis pas le modéle, mais etant donné que tu as fait, trop de ligne pour que je les lises ca doit etre bon. Patiente la venue d'un admin.

Sujet: Re: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 14:38

Citation :: Salut il manque quelque ligne à ton histoire merci de prendre exemple sur ce modèle

voila jen ai rajouter c bon m1tenan? ( <= je le fais bien? >.<)

Sujet: Re: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 16:02

Bienvenue et bon RP

Sujet: Re: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 18:23

Bien venu sur se super forum^^.

Sujet: Re: Présentation d'Arano Yuhei Mar 22 Jan 2008 - 19:56

Bienvenue à Suna, pas envie de m'étaler sur ton inscritpion { manque de temps et d'envie surtout } donc fait ton labo et ta maison, suit les règles et si tu à besoin, et tu en aura besoin, vient nous voir, nous autres Admin, dans nos bureaux, après tous on est la pour sa !

Bref, me suis déjà trop étalé, bienvenue sur Nu

» Laboratoire de Rokusho Yuhei
» Dossier d'Arano Yuhei
» Maison de Arano Yuhei
» Mission de rang C de Arano Yuhei
» [Rang A] Yuhei et Kimimaro: A la recherche d'autonomie...