mes rps de sortie

ENTRAINEMENT CHEZ MON SENSEI GAMAKICHI HYUGA A KONOHA


Un petit vent frais soufflait sur le pays de la foudre. Comme l'automne approchait, les feuilles des arbres rougissaient à vue d'oeil et une ou deux commençaient déjà à tomber. Un petit oiseau voleta quelques secondes à contre courant avant de devoir finalement se poser sur une branche proche car il n'était pas assez fort pour lutter contre les rafales qui le repoussaient sans cesse en arrière. Il se posa donc sur une grosse branche, faisant par la même occasion chuter une belle grosse feuille déjà toute jaune. Il tourna la tête à gauche, puis à doite et tenta à nouveau de prendre son envole mais ses ailes furent une fois de plus plaquées sur son petit corps duveteux. Ces petits yeux noirs et brillant regardèrent à nouveau la feuille qui continuait sa chute vers le sol. elle finit par atteindre la terre ou elle se fit écrabouiller. Effrayé, le petit oiseau repris du courage et s'élança finalement depuis sa branche. Il tomba tout d'abords comme une pierre mais se redressa à moins de deux mètres du sol, frolant au passage la tête de "l'assassin des feuilles".

Lin poussa un petit cri. Quelques chose venait presque de lui atterrir sur le sommet du crâne. D'un mouvemant souple, elle se retourna et vit un petit oiseau s'enfuire à tire d'aile, peinant à avancer dans le vent. Il était brun et la kunoichi parvient à l'identifier. Il devait s'agire d'un moineau. Soulagée et ayant un peu honte d'elle même à avoir peur pour un rien, elle continua sa route, marchant sur les feuilles mortes déjà au sol. Ses cheveux voltigeaient autours de sa tête, lui obscursissant parfois la vue. Elle essayait tant bien que mal de se les mettre derrière les oreilles mais rien n'y fesait, ils revenaient imanquablement se placer devant ses yeux. Abandonnant l'idée de les faire tenir en place, elle continua sa route. Elle commençait à avoir vraiment chaud à marcher autemps vite. Dire qu'elle pensait au dépard de chez elle qu'elle aurait froid... Heureusement qu'elle n'avait pas pris un pull plus chaud car elle aurait encore du le porter! Tout en continuant sa route, elle essaya de s'imaginer comment serait son sensei. Elle ne l'avait jamais vu encore mais elle savait qu'il était très haut placé dans son village. C'était le chef des Anbus et, en plus de cela, le sous-hokage. Le seul désavantage d'avoir son maître dans le village caché des feuilles, cétait qu'elle devait faire au moins quatre à cinq heures de marche pour y arriver. Mais bon, il faut toujours voir le bon côté des choses, donc au lieu de s'en plaindre, la jeune fille se dit que cela l'échaufferait pour son prmier entrainement.

D'ailleur, à se propos, elle était légérement anxieuse... Si elle se ridiculisait devant son sensei ou alors il la trouverait tellement nulle qu'il ne voudrait même plus d'elle comme élève... Chassant ses idées de sa tête, elle continua de marcher. Normalement, elle devrait atteindre Konoha dans très peu de temps. Elle devait même déjà être dans le pays de feu.

Une dizaine de minutes plus tarde, Lin arriva enfin en vue de la porte du villge caché des feuilles. Elle s'avança et vit deux jounins qui gardaient l'entrée. Ne sachant plus quoi faire, elle finit quand même par s'avancer. Le plus grand des deux ce plaça devant elle, lui barrant la route. Il devait bien faire deux mêtres de haute et la kunoichi devait lever la tête pour puovoir voir son visage et, il n'avait vraiment pas l'air commode. D'une voix grave, il lui demanda de s'arréter et de décliner son identité. Peu rassurée, la jeune fille s'executa.

-Je... je m'appelle Lin et je suis gennin. Je viens du village de kumo et je viens pour m'entrainer avec mon sensei qui habite dans ce village. Heu... puis-je passer?

Les deux hommes se regardèrent avant de faire un signe négatif de la tête.

-Non, je n'ai jamais entendu parler de toi et tu n'est jamais venu à Konoha jusqu'à aujourd'hui. C'est qui ton sensei d'abord?

Jamais venue à Konoha? Quelle bonne blague...

-Mon sensei est Gamakichi Hyuga et je suis sa nouvelle élève. Il est donc normal que... vous... ne m'ayez jamais vue par ici.

Hésitant encore un peu, les deux hommes finirent par avoir une idée. Le grand baraqué resta à garder la porte alors que l'autre accompagna la kunoichi à l'interieur. Les termes entre Kumo et Konoha n'étant pas au beau fixe, il faisait avancer Lin tout en tenant un kunai dans sa main pour éviter une éventuelle surprise de la kunoichi. Celle-ci se laissa enmener sans réactions et ils parvinrent finalement au devant d'une belle maison et le Jounin frappa à la porte...




suite chez Gamakichi Hyuga...

DEPART POUR KIRI


Le cafard courrait de toute la vitesse de ses petites pattes Il tentait désespérément d'éviter l'énorme semelle qui essayait depuis maintenant une demi heure de l'écraser. Il était arrivé dans cette demeure depuis même pas une journée et il avait eu la malheureuse idée de sortire en plein jour. D'accord, c'était pas très malin de sa part car tout ceux de son espèce se baladaient la nuit mais il était téméraire et, malgré les conseil et les mises en garde de ses proches, il s'était quand même aventurer hors de son trou pour visiter le monde en plein jour. Tout d'abord, il avait été vivement éblouit par la lumière du jour. Il avait eu beaucoup de mal à s'y habituer et encore maintenant, il cherchait à se réfugier dans des coins ombrageux. Il était donc sortit de son "nid" et avait commencer à visiter les alentours. Il avait parcouru une centaine d'antennes (unité de mesure utilisée par les cafard (une antenne = environ 1 de nos centimètres se qui donne environ un mètre pour 100 antennes) quand il était arrivé devant une grand plaine rouge sang. « L’herbe était très haute et… poilue. Très intrigué, il s’y était aventuré et avait faillit y rester emmêler. C’est là que le drame était arrivé. Notre petit cafard avait soudain entendu un immense hurlement. Effrayé par le bruit, il s’était dégagé du tapis (et oui c’était un magnifique tapis à long poils) et avait commencer sa course alors qu’une grande ombre le surplombait. Avec une bruit sourd, il y eu comme un petit tremblement de terre et quand elle se retourna, notre bestiole vit qu’une chaussure venait de s’abattre à peine à quelques antennes (1 ou 2 centimètres) de son arrière train. Dérapant sur le parquet, il pris ses pattes à son cou et couru de plus belle pour tenter de se mettre à l’abri. Mais après cette demi-heure de course, il commençais à fatiguer et il se loupa dans un virage. Moins d’un quart de secondes plus tard, il ne restait de notre ami plus qu’un grosse tache rouge sur le sol. Ainsi finit la vie du petit cafard téméraire.

Lin poussa un soupir de soulagement. Elle avait enfin réussit à exterminer cet horrible insecte qui se trouvait chez elle. Elle essuya la sueur qui coulait de son front. Elle était en nage et ses cheveux se plaquaient sur son front. Repoussant les quelques mèches collées sur son visage, elle se releva et pris le cadavre du cafard entre son pouce et son index et le jeta par la fenêtre ouverte. Ces bestioles étaient vraiment dégoûtantes. La kunoichi se dirigea ensuit vers sa salle de bain et pris une douche. Elle ne pouvait quand même pas se rendre au pays des vagues dégoulinante de transpiration ! Une fois toute propre, elle ferma sa maison et se mit en route. Il fallait qu’elle se dépêche si elle voulais atteindre le village caché de la brume avant la nuit. Après avoir concentrer du chakra dans ses pieds, elle commença à courir, passant de branches en branches pour aller plus vite. Elle espérait bien que les informations qu’elle détenaient étaient juste et qu’elle ne faisait pas tout ce chemin pour rien car Kiri était tout de même à plus de quatre heures de marches de Kumo.

Quelques heures plus tard, la jeune fille arriva enfin devant les portes du village qu’elle cherchait. Deux Anbus gardaient la porte mais la laissèrent passer bien qu’elle ait droit à un regard plus que suspicieux. S’avançant dans les rues presque vides vu l’heure, elle trouva quand même quelqu'un pour la renseigner sur la direction à prendre pour arriver au palais du mizukage. Suivant les indication, elle parvint enfin enfin en vue du bâtiment qu’elle recherchait. Plus qu’intimidée, elle s’avança vers la porte et toqua trois petit coups…




suite au palais du mizukage...