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| 5 ans, le tuer... ou pas? (finie) | |
| | Auteur | Message |
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Kaori Soeya Raïgeki
Nombre de messages : 570 Age : 33 Nindô : Servir mon village du mieux possible Date d'inscription : 24/06/2008
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| Sujet: 5 ans, le tuer... ou pas? (finie) Mer 12 Nov 2008 - 21:05 | |
| Soeya: Nous sommes alliés à un village voisin dont le nouveau chef est totalement corrompu. La diplomatie étant ce qu'elle est nous devons cependant l'appuyer afin de le maintenir en place et ainsi nous assurer un contrôle totale de la mine d'argent se trouvant sur ses terres. Je souhaite que tu fasses disparaitre l'enfant de 5 ans de l'ancien chef du village qui pourrait devenir une menace dans le futur.
Début au prochain post, avec un essai de rédaction, pour innover et parce que cela parait adapté à la mission ^^. Début dès demain, au prochain post.
Dernière édition par Kaori Soeya le Mer 19 Nov 2008 - 20:12, édité 1 fois | |
| | | Kaori Soeya Raïgeki
Nombre de messages : 570 Age : 33 Nindô : Servir mon village du mieux possible Date d'inscription : 24/06/2008
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| Sujet: Re: 5 ans, le tuer... ou pas? (finie) Jeu 13 Nov 2008 - 23:02 | |
| Mission: Phase 1 en flash back!
Ce matin, le soleil s'était levé avec une belle couleur jaune. Signe annonciateur d'une veille calme et d'une journée agréable. Pour tout le monde, pas forcément. Car ce soir le sang coulerait, en grande quantité, ou pas. Et par la suite, le soleil qui s'élèvera demain matin dans le ciel, aura prit une teinte rouge prononcée. Car j'avais une mission, et pas des plus faciles, bien au contraire. Éliminer un gamin de cinq ans juste parce qu'il pourrait devenir une menace. Remarque non, aucun conditionnel n'avait été utilisé dans l'ordre de mission. Ce gamin, inoffensif à cause de son faible âge, paierait pour la corruption de son père. Car tout acte est toujours suivit de près ou de loin par sa conséquence. Ce que j'allais faire aujourd'hui aurait évidemment aussi une suite. Quand à savoir à quel moment elle arriverait, je m'en contrefoutais. Vivre au jour le jour est une bonne façon d'envisager sa vie. Seulement quand cela m'arrangeait, je faisais cette philosophie mienne. Enfin, je m'égares, je vais bientôt devoir passer à l'action. La parade va passer sur mon point d'embuscade. Une attaque éclaire, puis je disparais. Le plan est parfaitement huilé. Je ne peux pas échouer... je ne dois pas échouer.FLASH BACK
Cette mission me semble bien dure. Je sais bien que je fais partie de l'unité spéciale, mais tout de même. Tuer un enfant! Il faudrait que je prennes sur moi pour mener à bien cette mission. Cela ne va pas être facile, mais qui sait ce qu'il se passera si j'échoue et que je mets en péril mon village. Cela ne pouvait pas être. Je réussirais, quoiqu'il m'en coûte. Il en allait de mon but, et il ne se réaliserait jamais si je n'accomplissais pas cette mission. Je ne connais pas vraiment ce petit village. Je vais d'ailleurs bientôt le découvrir, vu qu'il n'est plus qu'à quelques minutes de ma position actuelle. Le voyage avait été d'un ennui mortel. Pas le moindre incidents! Rendez-vous compte, pas un seul bandit de grand chemin pour se mettre sur celui du ninja que je suis. Ce n'est plus ce qu'il était. Tient, mon langage me vieillis plus qu'autre chose. Enfin bref, comme je le disais, strictement rien à signaler. Si, seul le temps m'avait ennuyé. Un coup il pleuvait, puis la seconde d'après il ne pleuvait plus. Le temps se dérègle, et ce n'est pas bon du tout. Enfin maintenant, un beau petit soleil tout rond. Pour en revenir à ma mission, elle ne pouvait pas se dérouler dans un meilleur moment que celui-ci. En effet, le village organisait une fête sur plusieurs jours, avec défilés et tout le tintouin. Dans quel objectif? Ramasser de l'argent bien sûr, avec le venue de nombreux touristes crédules, mais aussi montrer sa puissance et son influence au pays voisin. C'était bon pour les affaires. Donc voilà, j'allais me faire passer pour un de ces touristes avant de passer à l'action demain midi. A cette heure là, le défilé, comportant en figure de prou le Roi-chef et son fils, serait idéalement bien placé pour subir mon attaque.Les lieux ayant déjà été repérés pour me mission, je savais où me placer pour frapper vite et bien. Lorsque le convoi du corrompu passera en dessous du clocher, je leur tomberais dessus, et supprimerais le gamin. Le père avait encore un sursit, avant que je revienne m'occuper de cette racaille dans une prochaine mission. Dès que cela sera fait, je m'enfuirais par les toits au sud. Le moyen le plus cour et le moins sécurisé. Ni vu ni connu, comme disait le proverbe. Aujourd'hui constituait donc une mission de repérage. Il fallait que j'observe ma victime, savoir s'il serait dur de l'attendre, à quoi il fallait que je m'attende. Le palais étant fermé au public, il fallait que je m'y faufile discrètement. Car bien entendu, entre temps, j'étais arrivé sur le côté ouest du palais, au niveau d'une porte utilisée principalement des gardes pour sortir fumer durant leur pose. D'ailleurs, je ferais mieux d'écraser ma clope. Je me positionnais donc dans l'ombre, et attendais le moment où fondre sur ma proie. Il me fallut, comme prévu, attendre la relève. Les ninjas de gardes convergeaient tous vers ce point, devant cette porte en acier. Ou en fer, enfin on s'en moque. Il n'était que quatre. Je ne pouvais pas tous les neutraliser. Un seul suffirait. Le premier finit rapidement son objet à cancer, et rentra dans le palais. Il était suivi de près par un second homme. Plus que deux. Lequel aurait le plaisir de m'affronter. Et bien on le saurait d'ici peu. Le troisième homme rentrait. Seul hic, le quatrième et dernier homme le suivait aussi. Il me fallait agir très vite. Je saisis une pierre et la lança en pleine tête du dernier garde. Rapidement, j'imitais un rire infantile. Le garde se retourna et se précipita vers ma position.
-Si jamais je t'attrape, tu vas passer un sale quart d'heure, hurla-t-il, de rage.
Raté, c'est moi qui allait t'attraper. Les ruelles dans lesquels je l'attirais étaient étroite, parfaite pour une embuscade. Je n'avais pris que quelques mètres d'avance, suffisamment pour qu'il ne puisse pas distinguer mes formes d'adulte, mais pas énormément pour ne pas que je le sème. Je tournais alors à un énième coins. Le garde, qui avait accéléré son pas, surgit quelques secondes après. A sa plus grande surprise, je n'étais pas dans cette ruelle.
- Qu'est ce que? se demanda-t-il. Où est-il passé? - Juste là, lui répondis-je.
J'étais dissimulé à sa droite, et il n'avait pas vu. Rapidement, je lui explosa la tête contre le mur. Ce dernier, beige auparavant, avait pris une jolie teinte rosée, avec le sang qui coulait dessus. Le garde probablement mort ne me gênerais plus. J'avais fait en sorte que son visage ne puisse être reconnu, après avoir pris soin de l'analyser pour en prendre possession. Après me brève transformation, je déshabillas le corps et le cacha dans un conteneur qui se trouvait-là. Ce qui, à vrai dire, était assez bizarre. Je m'arrangeais pour que quelqu'un ne puisse pas l'ouvrir, et retournais au palais. La phase une de mon plan était maintenant finie, et la deuxième ne faisait que commencer. | |
| | | Kaori Soeya Raïgeki
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| Sujet: Re: 5 ans, le tuer... ou pas? (finie) Sam 15 Nov 2008 - 0:18 | |
| Phase 2 en Flash Back: Infiltration! Je débouchais sur un couloir plutôt bien éclairé. Il n'était pas très long, et donnait quant à lui sur un autre couloir, à la perpendiculaire avec lui. J'ouvrais la porte, et observais les alentours. Aucun signe de vie, pour le moment. Tant mieux, même si j'étais dissimulé, ne rencontrer personne ne pouvait qu'être un plus. Je suivis alors le couloir vers la gauche. Il m'entraina dans la cours du palais. Pas mal de gardes y faisaient leur ronde. Au centre de ce dernier se trouvait le char de la parade qui aurait le soit disant privilège d'emmener ses deux escrocs dans la ville. Je ne bougeais pas et observais toutes les entrées et sorties, les positions de différents gardes et leur trajet. Cela me servirait quand je reviendrais supprimer le père. Deux gardes passèrent près de moi et me saluèrent. Probablement des connaissances au gars que j'avais mis hors service. Il me fallait trouver une excuse pour m'approcher du Chef et de son fils. Et justement en voilà une qui arrivait. Un homme plutôt suspect rodait autour du char, le plus subrepticement qu'il pouvait. Autant il pouvait leurrer des gardes, autant moi je les repérais avec facilité. Ce drôle de personnage s'approcha alors du char et y fixa quelque chose. Je m'approchais de lui pour l'interpellais.-Eh vous, qu'est-ce que vous faites ici?Dès que l'homme m'entendit, il se mit à courir. Je regardais alors ce qu'il avait traficoté. -Bombe! hurlais-je alors.En effet, la chose fixée était un engin explosif artisanal. D'un geste rapide je l'arrachais du char, et le balançais en l'air. L'explosion fut assez importante, mais heureusement sans dégât pour le char. S'il l'avait détruit, ma mission n'aurait pas pu se dérouler suivant mon plan, et je n'aurais plus eut aucune chance d'approcher le gamin, car la sécurité aurait très probablement renforcé. Je me retournais vers le fuyard, et me lança à sa poursuite. Je ne mis pas beaucoup de temps à le rattraper, et je le plaquais au mur à l'aide d'une clef de bras. Jouant mon rôle d'infiltré jusqu'au bout, je l'insultais de terroriste, et l'emmenais voir sa "majesté" l'ordure. Je débarquais dans la salle, précédait de garde qui m'avait gentiment ouvert la voie. Sinon cela m'aurais été impossible de trouver la salle du trône. Je jetais alors le gars par terre, juste devant le corrompu en chef. Il était assis sur sa chaise, et apparemment il était seul.-Votre majesté, j'ai déjoué les plans criminels de cet homme. Je vous l'apporte pour qu'il soit jugé par votre vous même. Bien sûr, j'omettais volontairement ses actes pour éviter le renforcement de la sécurité auquel je songeais. -Jugé! Tu dois être nouveau toi pour dire de telles inepties.Une voix venait de s'élever de l'ombre derrière le siège. Un gamin en sortit, avec un sourire le dévisageant. Sa vue me fit froid dans le dos. Il dégageait quelque chose de malsain. Son regard était rempli de haine, de cruauté, d'une soif de mort. Autant d'expressions aussi effrayantes à observer sur le visage de ce gamin que celle ci.-Père, je m'ennuies, dit-il alors. Est-ce que je peux m'amuser?Alors c'était lui ma cible! Effectivement, il était jeune. Seul son visage, tel que je l'ai décris, montrait une certaine maturité dans la cruauté. Le père sourit alors, et regarda sa progéniture. -Mais je t'en pris mon enfant, fait. Cela nous fera un peu d'occupation dans ce début de journée assez peu distrayant.-Merci père.Le gamin s'approcha alors du révolutionnaire, son sourire s'élargissant de plus en plus. Je ne savais pas ce qu'il mijotait, mais ce n'était pas bon pour celui que j'avais arrêté. Le gamin s'arrêta devant lui. Il fit alors plusieurs signes différents et lança une technique. Le prisonnier hurla alors de douleur. Ses membres se tordaient, à première vue contre sa volonté. Ses os se pliaient dans tous les sens. Le spectacle était affreux, et seul le père et le fils, surtout lui, s'en délectaient. Les autres gars étaient effrayés de ce qu'il se passait. Moi même, je n'étais pas bien rassuré. Le gosse éclata alors de rire. Un rire profond, noir. -Tu m'as bien distrait!Il s'adressait à le victime. Le gamin tendit alors le bras en avant. Il fit alors un geste de la main, et bien qu'il ne touchait pas l'homme, ce dernier se retrouva avec la tête regardant dans son dos. Cruelle fin, et j'en étais un peu responsable. Enfin je ne m'apitoyais pas sur le sort de ce pauvre bougre, qui sait qui il était vraiment. -Sortez le corps d'ici, ordonna la Roi, et faites ce que vous savez à sa famille. Emmenez le nouveau avec vous, pour l'initier un tant soit peu.Ce qui m'attendais par la suite ne me ravit pas du tout, bien au contraire. On arriva devant la maison de la famille du défunt, avec le corps du gars. Le corps, justement, était accroché à un poteau, qui fut quant à lui, planté devant la maison. Il était écrit qu'il serait un martyr, enfin c'est ce que certain diront. Les gardes pénétrèrent alors dans la maison, et en ressortirent avec une femme et deux enfants, un gars et une fille. -Ne touchez pas à ma mère, hurlait le gamin, en donnant des coups de pieds dans les genoux des garde.-Pousses toi minus, répondit un des soldats en lui collant une mandale. Le jeune fut projeté à plusieurs mètres. Je m'en vais te tuer!
Le chevalier s'approchait du jeune, épée dégainée, prêt à frapper. C'en était trop, il fallait que j'agisse et que je réponde à la détresse de le mère qui pleurait. Je me jetais devant le gamin.-Bah le nouveau, qu'est-ce que tu fais? dit l'homme en riant. Ceux qui se mettent sur mon chemin ne mérite que la mort. Tu vas donc subir le même sort que cet enfant! Il courait maintenant en ma direction.-Ça m'étonnerais franchement. A peine j'eus finis de prononcer ma phrase que je me débarrassais du masque et de la tenue. L'assaillant donna un grand coup latéral, que j'esquivais sans problème rien quand me baissant. J'en profitais alors pour me saisir d'un kunaï et je remontais en ouvrant le ventre de mon adversaire de bas en haut. Les trois autres, plus que surpris par cette révélation se jetèrent sur moi. Je stoppais l'épée du premier, l'obligea à se rapprocher de moi. C'est alors que j'enroulais ma jambe autour de son coup. Son visage était maintenant dans le creux de mon genou, et d'un coup sec je lui brisais le coup, en le lançant dans un mur un peu plus loin. Ma vitesse d'exécution laissa perplexe les deux autres. J'en profitais et gratifia celui qui était le plus près de mon poignard en plein dans le crâne. Le dernier s'enfuit en voyant ça. Je réapparus alors devant lui et lui brisa aussi la nuque, après avoir prit sa tête entre mes mains. Maintenant que j'étais découvert, il me fallait m'enfuir me cacher jusqu'au moment fatidique. Je regardais alors la femme qui serrait alors ses enfants dans es bras, et je pus distinguer un merci sur ses lèvres.
FIN DU FLASH BACK
La parade était donc juste en dessous de moi. Les premiers chars passaient, il n'en restait plus qu'un et celui qui m'intéressait arriverait à ma "hauteur". Je ne dus attendre quelques instants. Le père et le fils se trouvaient pile en dessous de ma position. D'un bon, je sautais de sur la char. Les deux furent surpris de me voir apparaître. Alors que je sortais mon Kunaï, je pus distinguer un sourire sur le visage du gamin. Le masque que je portais permettait à mes émotions de ne pas être remarqué, car là elles s'exprimaient sur mon visage. Un mauvais pressentiment me parcourut le dos. Des dizaines de ninjas débarquèrent alors sur le char, sortant de nul part. Rapidement, il se retrouvait sur moi, et me plaquèrent au sol. Je ne pus même pas réagir, quelque chose m'en empêchant. Alors que je me faisais battre par les premiers arrivaient sur moi, je regardais ma cible. C'était lui. A l'aide de sa technique, il m'avait empêché de faire quoique ce soit. J'étais maintenant submergé par le nombre d'adversaire, et comme je ne pouvais pas me défendre, ils me neutralisèrent sans mal. J'étais humilié. J'avais échoué, et en plus je m'étais fait capturer. Ma mission se présentait bien mal.
Dernière édition par Kaori Soeya le Mer 19 Nov 2008 - 20:11, édité 1 fois | |
| | | Kaori Soeya Raïgeki
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| Sujet: Re: 5 ans, le tuer... ou pas? (finie) Mer 19 Nov 2008 - 20:05 | |
| Je ne sais ce qu'il se passe. Il fait noir autour de moi. Personne n'a l'air d'être là mais je ne peux pas le vérifier, j'ai beau hurlé, aucun son ne sort de ma bouche. Et puis soudain, de l'eau froide. Mon corps devient mouillé, mes vêtements aussi. Froide est un euphémisme, l'eau est en réalité complètement gelée. Je ressens alors une douleur au ventre, ainsi qu'une au visage. Je regarde mon ventre et il ne me dit rien. Je me touche le visage et il ne me dit rien. Pourtant du sang coule le long de mon menton. Mon nez saigne et ma bouche laisse couler un léger filet de sang. Quelque chose résonne dans le décors. Je dirais que c'est une voix. Je ne comprend pas ce qu'elle essaye de me dire. Elle est de plus en plus forte, et en parallèle une lumière perce l'obscurité dans laquelle je berce. Le voix est maintenant audible. Elle me dit de me réveiller et rapidement.
Mes yeux s'ouvrent alors. Je suis dans une salle fortement éclairée. Trois hommes se tiennent devant moi. L'un d'entre eux se bande le poignée. Mes mains sont attachées. Je suis torse nu. Je regarde mon ventre et y voit des marques de coup. Ces hommes me torturent, et je me souviens: l'assaut raté, l'arrestation plus que facile. Mais pourquoi suis-je là?
-Parles! Dis nous pour qui tu travailles! hurlait un des hommes. -Mais de quoi parlez vous? leur demandais-je. -Ne fais pas l'innocent, hurlait le second. Tu as tenté d'assassiner le Roi et son fils! -Mais pas du tout! J'ai prêté allégeance au Roi et son fils lorsque.... Argh!!!
Un couteau m'avait été enfoncé dans le cœur. Après toutes ces années à servir mon Roi, c'est comme ça qu'on me remerciait.
-Mais qu'est-ce que tu as fait! Criait le premier tortionnaire. -T'es pas bien, il aurait pu nous donner de précieuse informations, reprenait le second. -Je crois qu'il ne sait pas grand chose, dit alors celui qui venait de le tuer. -Mais qu'est ce que tu en sais? -Je le sais car vous ne détenez pas la bonne personne.
Le visage du pauvre tué semblait fondre. Ses cheveux gris tombaient et laissaient paraître une tignasse brune. Son visage s'arrondissait, ses yeux changeaient de couleur. Un autre homme venait de se découvrir à la place du Kaori.
-Mais c'est! s'exclama un des tortionnaires. -Celui auquel tu penses, lui dis-je avant de lui trancher la gorge. -Mais comment? demanda l'autre, apeuré. -Simplement, répondis-je avant de le foudroyer.
Simplement en effet. Vu la capacité du gamin, je m'attendais à être pris. J'avais donc enlever un garde qui faisait une ronde à ma recherche. A l'aide d'une technique de transformation, je l'avais fait devenir moi. Le reste fut un jeu d'enfant. J'avais envoyé un clone sur le char, ce dernier portant ma victime sur le dos et caché dans un grand sac. Lorsque les soldats s'étaient jetés sur ma copie, elle avait disparu avec le sac et avait laissé le soldat sur place. Faisant moi-même partie des soldats, je pus contrôler toute la scène pour ne laisser aucun facteur aléatoire. J'avais donc plu rentrer dans le temple en me portant volontaire pour l'interrogatoire. Et nous y voilà.
Je laissais les corps à vif, et sortis de la cellule. Deux gardes veillaient sur la porte.
-Ne rentrez pas la dedans c'est une vraie boucherie, leur expliquais-je. Moi j'ai besoin de prendre une pause.
Les soldats acquiescèrent d'un signe de tête, et moi je partais en direction de la salle du trône. Il n'y avait personne dedans. J'en profitais alors pour redevenir moi-même, et j'enfilais mon masque. Le plus dur m'attendait, c'est à dire l'élimination du gamin. Lorsque j'étais venu dans l'après midi, je les avait vu repartir par l'escalier derrière le siège. Je montais alors en toute discrétion. Il n'y avait que deux portes, et elles devaient donner sur le chambres royales. Je pris celle de droite. Je me faufilais à l'intérieur. J'atteins le lit en deux enjambés, et j'y trouva le Chef. Il dormait à poing fermé. Ma mission n'étant pas de l'éliminer, je lui avait pensé un tout autre sort. Je l'assommais afin qu'il ne se réveille pas, et le bâillonné. J'ouvrais alors la fenêtre, la nuit noire me couvrant. Je me rendis au point du palais le plus haut, une sorte de clocher. Je l'y attachais nu, suspendu dans le vide et lui gravait "Demos" sur le corps. Il fallait qu'il se souvienne de mon passage et que je l'humilie publiquement. Car quand le jour viendrait, tout le monde verrait son corps dans cet état, et il ne pourrait logiquement plus gouverner. Je retournais à la chambre, la fermais et me rendis dans la seconde. Pour l'instant, tout se déroulait sans accroc. Je poussais discrètement la porte. Une faible lumière émanait du fond de la pièce. Cette dernière était posée sur un bureau. Le gamin était assis devant, il trafiquait je ne sais quoi. Je m'approchais discrètement. Je n'étais maintenant plus qu'à quelques centimètres. Je retenais mon souffle, leva mon kunaï. Un coup sec dans la nuque et tout serait fini.
-Trop lent, dit-il alors.
Il m'avait entendu, il savait depuis le début que j'étais là! Il se retourna brusquement et me regarda dans les yeux. De la sueur froide sortit alors par tout les pores de ma peau. Son regard était rouge sang, il était dur. Il fit un signe et apposa sa main sur mon torse.
-Katon: Explosion, lança-t-il calmement.
Une énorme pression se fit ressentir sur mon ventre. Je fus alors violemment projeté en arrière à cause de l'explosion de flamme qui se produisit au niveau de sa main. Je heurtais le mur avec force, le brisant à moitié. Le toit n'était plus, comme les meubles qui brûlaient. Ils étaient les témoins de la force de se démon. Ce dernier disparut lorsque je me relevais pour ré-apparaître devant moi. Il me prit à la gorge et me souleva sans peine. Il me jeta alors vers le bureau. Ma gorge venait d'être elle aussi à moitié broyée. Mon ventre me faisait souffrir. Je me relevais avec mal. Il fallait que j'agisse vite.
-Katon: Souffle de feu, dit alors le gamin.
Une énorme spirale incendiaire sortit de sa bouche et vint à ma rencontre. Je dus me servir de mon bouclier électromagnétique pour en sortir indem. Le contact entre les deux matières provoqua un dégagement de puissance phénoménale. Les murs explosèrent littéralement sous le choc. Le sol s'effondrait sous nos pieds. Je me servis des plus gros gravas pour m'en sortir et attérir dans la cour. Le gamin semblait flotter au dessus du nuage de poussière qui s'élevait. Il se posa en face de moi.
-Je vais maintenant te tuer, car j'en ai marre de jouer avec toi, m'expliqua-t-il toujours aussi calmement. Katon: La Boule de feu Suprême.
Il tendit ses mains devant lui. Du feu s'accumula alors et se transforma rapidement en une gigantesque boule. Je n'avais qu'une chance de le tuer, et c'était maintenant.
-Raïton: Electricité concentrée.
Je me mis aussi à créer une boule d'électricité, bien que moins imposante que celle de mon rival. Les deux attaques furent lancées en même temps. De nouveau, le contact entre les deux techniques fut d'une violence inouïe. Une énorme explosion en ressortit avec une lumière blanche et aveuglante. Maintenant.
Le nuage soulevé retombait. La lumière avait rapidement disparu. Le décors du combat était en ruine. Il ne restait plus rien en bon état. Je me dressais devant le jeune garçon. Une nouvelle fumée s'élevait de son dos et de ma main. J'avais en fait profité du souffle de l'explosion pour l'attaquer au corps à corps avec mon attaque préférée. Ma main droite, dans laquelle le chakra accumulé ressortait sous forme d'éclairs, avait transperçait son corps. Elle était ressortit dans son dos, tenant entre mes doigts le coeur crabonisé de ma victime. Il ne pouvait pas avoir survécut à mon attaque. Il était finalement mort. Je retirais ma main, et il s'écroula à mes pieds, dans un dernier soupir ensanglanté.
Le jour se levait, et les rayons du soleil illuminait la "cité". Le palais était en ruine, et une épaisse fumée s'en élevait. Le Chef était accroché au clocher. Toute la population s'était rendu devant pour le voir. Il le huait, l'insultait. Deux tyrans étaient morts, et le village n'en serait pas en deuil. Je me tournais alors vers un soleil rouge, et parti faire mon rapport et me soigner, une cigarette à la bouche.
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