Matsuyama Makoto

HRP:



Prénom: Mystère de son prénom et Bouledegomme comme nom de famille xD

Age: presque 15 *.*

Comment avez vous connu NU ? Il y a très, très longtemps, dans un petit village, hem, enfin, vous comprenez…




RP:



Nom: Matsuyama

Prénom: Makoto

Affinité: Raïton

Grade souhaité: Raïgeki

Description mentale: Taciturne, sombre, posé, et surtout pas très bavard, ce sont les premiers traits distinctifs que l’on trouve à Makoto après un premier contact. Souvent, ce seul contact permet à beaucoup de gens de ne pas le recroiser. Enfin, c’est ce que je dis, mais dans certains cas, certaines personnes peuvent s’essayer à continuer d’en apprendre sur le jeune shinobi de la foudre. Dans ces rares cas, on peut en savoir un peu plus. Ce jeune homme est, dans son ensemble, plutôt réservé, et aime cacher son jeu, il doute de tous, reste de manière permanente dans l’ombre, et préfère ne pas être remarqué. En effet, le ninja de Kumogakure souffre de la peur des foules, et n’aime pas être en public. Le plus souvent, il se déplace au moins avec une capuche s’il le fait. Le fait d’être observé le dérange, et souvent, il préfère disparaître quand quelqu’un le remarque. De sorte qu’il est quelqu’un de difficilement abordable. Ce jeune homme est également du genre à prendre son temps, à profiter de la vie, à sa manière. Observer un ciel étoilé, sentir une brise passer, s’allonger dans l’herbe pendant des heures, bref, vous voyez bien que Makoto est du genre simple. Peu de gens comprennent sa manière de penser, car il voit toutes les propositions comme si elles étaient de mauvaises idées. Car la vie, de toutes les leçons qu’elle lui aura donnée, la plus importante aura été : Plus tu rêvera haut, plus la chute te fera mal. C’est pour cette raison que Makoto est terre-à-terre. Ce qu’il aime ? Les montagnes et l’air frais qui s’y trouve, les chats (< - - - surtout), le Go (Où il est d’ailleurs Shodan), prendre son temps, apprendre de nouvelles choses sur la vie ou sur le monde qui nous entoure et également voir le temps passer. Le ninja possède une forme de détachement envers la société, et bien souvent, il vit en retrait du centre-ville. Si on apprend par contre à le connaître, on remarque qu'il est sage, et prend souvent des déscisions qui semblent les meilleures, il réfléchit beaucoup en effet. D'ailleurs, Makoto peut se distinguer par son aptitude arbitraire et à toujours peser le pour et le contre. De plus, on peut croire qu'il est capable d'être sympathique à sa manière. En bref, quelqu'un qu'il faut apprendre à connaître, mais, si on réussi à s'en faire un aillié, il devient un ami charitable et un camarade hors pair.

Description physique: Nous allons partir du haut, et descendre vers le bas, vous voulez bien ? Parfait, commeçons. Premièrement, cette coupe de cheveux étrange, noir et blanc, poussant d'une manière presque incompréhensible, est pourtant naturelle (Si, si, je vous assure que si je ne le mentionne pas, personne ne me crois ô_Ô). Ceux-ci d'ailleurs semblent complètement désordonnés, au point où L'on pourrais croire qu'ils n'ont pas été coupés depuis longtemps. Ceux-ci descendent le long de son visage, et en cache une bonne partie. Vient ensuite des yeux profonds, reflétant une forme de mélancolie violente, sans aucune raison apparente. À la suite, un nez légèrement retroussé vers le haut, une fine bouche, le tout complètement rapidement le portrait de Makoto. Du côté vestimentaire, là, ça devient plus compliqué. En premier lieu, on remarque l'usure des vêtements gris en pardessus, prouvant que le ninja n'a pas une garde-robe bien garnie et que ceux-ci ont soufferts de divers combats. Des coutures faibles par endroits peuvent en témoigner. Il y a également beaucoup de petites breloques penddant un peu partout, qui l'ont pas vraiment d'utilité en soi. Également, dans le dos, le Kanji du chat est inscrit. Sous cette sorte de manteau gris, un chandail noir bien simple, rayé de haut en bas, couronne le tout. Plus bas, une ceinture retient un pantalon noir, sans rien de particulier, ample et confortable. Nous observons ensuite des protèges-avants-bras rouges sur les deux mains, servant à bloquer les coups, ou encore à d'autres utilisations du même registre. Finalement, il n'est pas rare de voir le ninja porter une lance sur son épaule, son arme principale. Celle-ci peut se séparer en une sorte de Nunchaku à trois manches, avec une lame au bout. En bref, un gars à son image mentale. Ceci peut sembler conclure la description du Matsuyama.

Histoire: Prochain post'

Tout a commencé il n'y a pas trop longtemps...

Je naquis dans les montagnes, dans un temple. Nous étions dans les environs de la ruralité du village des nuages, le village de Tao. Loin, perdu dans les montagnes, je vis le jour sous un accouchement difficile, qui causa la mort de ma mère. Mon père, dans sa folie de voir celle qu'il aimait, tenta de m'immoler par la suite, mais après avoir perdu la raison, préféra se suicider quelques minutes après ma naissance. Deux âmes pour le prix d'une seule, trouvez-vous que c'est joyeux ? Personnellement, je crois qu'une part de moi a honte d'avoir vu le jour. Enfin, c'est un détail. Le prêtre, réalisant que je venais de devenir un sans-famille, m'aurais pris sous sa tutelle et m'aurais élevé comme un père. Ce qui m'avais le plus frappé chez lui, c'était ses chats. Il y avait des chats partout dans le temple. Certains lui appartenaient, d'autres étaient simplement des félins sauvages cherchant refuge à la chaleur du lieu de prière. C'est un peu de cette manière que je développa une certaine relation avec ces animaux, pouvant les comprendre simplement d'un regard. Certains appellent ce phénomène "Empathie sauvage", je préfère dire : relation profonde.

Je vécus alors les premières années de la vie comme un simple suivant de prêtre, vivant au rythme du monastère, pendant les six premières années de ma vie. J'ai vu les printemps, les étés, les automnes, et les hivers. Je dois dire que, de ces quatres-là, ma favorite, c'est l'automne. Je ne sais même pas pourquoi je vous raconte ça, mais bon, je dois être fatigué. Enfin, comme tout bon enfant de six ans, j'aimais jouer, mais comme je venais du temple, les enfants des champs alentours ne m'approchaient pas trop. De sorte que je jouais surtout avec les chats, et à me surpasser moi-même. J'essayais de marcher sur le palier de bois de cerisier au chant de rossignol sans faire de bruit, j'escaladais les bâtiments le plus vite possible, bref, jusqu'à mes dix ans, je tentais toujours de repousser mes limites physiques.

À mes huit ans, j'appris à connaître le vénérable. Cet homme était un ancien shinobi de la nation de Kumogakure no Sato ayant activement participé aux dernières batailles, mais une blessure de guerre l'avait obligé à se retirer du monde des ninjas. Ayant touché sa prime, il avait préféré vivre en paix avec tout ce qui l'entourait et avait bâti ce temple. Jusqu'à maintenant, je n'avais jamais remarqué, mais le vénérable, aussi mon père adoptif, ne faisait jamais de bruit lorsqu'il marhcait, et même, il ne faisait jamais de bruit ! C'était d'ailleurs également le cas pour la grande majorité des autres bonzes, moines et prêtres vivant ici. Cela m'avait amené à apprendre que tous les gens ici, ou presque, étaient des ninjas confirmés, ayant renoncés à leurs fonctions soit par envie, ou par obligation. C'est un peu de cette manière que ma voie me fut tracée. Naturellement, le vénérable lui-même ne m'avais jamais révélé son passé, je l'avais réalisé moi-même. Plusieurs fois, j'avais tenté de lui poser des questions, bien qu'indirectes, sur son passé. Souvent, il répliquait que ce n'était pas de mes affaires, mais quelques fois, il se contentait de soupirer et de regarder vers le ciel.

Ce n'est que vers neuf qu'enfin, mes efforts portèrent fruits. En fait, c'est lui-même qui m'offrit de savoir la vérité. Naturellement, j'accepta sans hésitation, et me raconta qu'il était un ancien Jônin, retraîté pour blessures de guerres, sous la forme d'un puissant poison détériorant les os. Contraint de prendre une retraite tôt dans sa vie, le vénérable s'orienta vers la méditation, en ouvrant ce monastère. Beaucoup de ninjas ayant subis un sort semblable également allèrent vers cette voie, donna tune véritable vie au temple. Mes parents eux-mêmes étaient des shinobis, à la différence qu'eux travaillaient encore activement, et venaient au temple à titre personnel. Eh bien, que de coïncidences, ma foi !

À partir de là, le vénérable et tous mes membres du temple firent de moi un des leurs à part entière, car bien qu'auparavant j'y étais déjà à moitié par la prêtrise, il manquait l'art du ninja à mes capacités. Pendant près de trois ans, chaque jour, je m'entraînais à la maîtrise de l'art des gens de l'ombre. Enfin, vint le temps où j'avais l'âge légal pour entrer à l'académie des ninjas, où le vénérable m'inscrit grâce aux fonds monétaires du temple. Naturellement, comme j'avais déjà une base solide et complète, je pu sauter deux années de cours théoriques, et grimpa rapidement vers les meilleurs élèves. Vint ensuite la période où je fus Genin, ce temps où nous n'étions que des enfants joyeux et innocents. De mon équipe, j'étais le plus doué, tant par mes aptitudes générales, que par ma technique de la "marche éthérale", technique de mon invention dont j'étais plutôt fier. Le Senseï de l'équipe était le petit-fils du plus vieux des moines du temple, et je le connaissait déjà, ce qui ne faisait que renforcer nos liens. Par après, vint le temps des examens de niveau Chûnin, qui, en cette année, se déroulait à Kirigakure no Sato. Dans l'ensemble, je dois dire que c'est à cette période de ma vie que j'eu le plus peur pour ma survie. En effet, la compétition était féroce, et le permis de tuer était présent. Heureusement pour moi, j'eu l'ccasion de survivre et de passer au niveau de chûnin, ainsi que toute mon équipe. À partir du nouveau grade, les équipes n'était plus aussi importantes, je pris à ce moment une année de repos de retour à Tao, au monastère. Naturellement, ce n'était pas un repos officiel, je continuais de m'entraîner, mais je ne faisais simplement plus de missions.

Durant cette année, j'en profita pour me spécialiser selon les enseignements des vétérants. Naturellement, tout cela dans le but de gagner tout de suite des enseignements que je pourrais sans doute plus reprendre par après, puisque je savais qu'une fois prisa dans un cycle de missions, on s'en sortait difficilement. C'était pour moi une manière de revenir au foyer, avant de repartir.

L'année passa rapidement. Après une sucession de missions, l'examen de Jônin arriva. C'était un examen interne propre à chaque village. Je passa l'examen, cependant, les choix n'allaient tomber qu'un mois plus tard. Je retourna alors dans le village qui m'avait vu naître, dans le temple, et, lors de mon chemin, j'appris que, à ce qu'on disait, le Raïkage se servait également de cet examen afin d'évaluer les plus puissants, afin d'en faire une sorte d'élite, mais je n'en savais pas plus. Les neiges commencèrent alors à fondre alors que j'arriva finalement à Tao. Que pouvait-il m'arriver, maintenant ?

Je te valide rang de Jônin, donc niveau 3 (220 d'exp, 2 points de comp en plus et 200 de stats totale à répartir entre vitalité en chakra).

Bon RP sur NU et Bienvenue.