Le matin le pire moment d'une journée, surtout quand vous vous avez couché tard et lever très tôt. C'est qu'es qu'il arrive à Makie, la jeune Kunoichi qui fut il n'y a pas longtemps nommer Chuunin de Suna Gakure no Sato. Le réveil se fit brusque comme chaque matin, le cadran résonnant dans tout l'appartement. Elle devait se lever pour éteindre ce vacarme, mais elle a aussi le goût de resté couché dans son lit confortablement doux et chaud. La belle dut prendre son courage à deux mains et se leva pour éteindre le son strident et retourna dans son lit pour dormir un petit cinq minutes. Même pas le temps de se rendormir dans son lit que quelqu'un cogna à la porte. Sûrement encore la voisine du bas qui va lui gueuler dessus pour avoir mis une boite aux lettres à coter de sa porte. Mais à ça plus grande surprisse ce ne l'était pas. Elle reconnue assez vite qui est qui était en face d'elle. C'était un des distributeurs de mission à Suna. Elle allait avoir du boulot à faire aujourd'hui. Il lui donna un parchemin avec une grande lettre écrit B. Sa première mission de rang B allait être aujourd'hui. Elle referma sa porte et lut le contenu du parchemin :
Makie Suzuky ta mission est assez simple. Le mussé ses fait dérober pendant la nuit une de ses peintures. Comme les portes son fermer la nuit le voleur se trouve encore à Suna Gakure no Sato. Trouve le, capture le et rapporte nous la peinture. D'après nous il s'agirait d'un shinobi ou bien d'une Kunoichi.
Génial un crime à régler on se croirait à CSY New York (émission d'enquête policière), mais à Suna Gakure no Sato. Makie déposa le rouleau de parchemin sur sa petite table d'entrer et alla s'habiller en tenue de ninja. Un débardeur blanc avec quelques motifs un pantalon trois-quarts noir et ses sandales de ninja noir aussi. Elle avait aussi attaché ses cheveux en queue-de-cheval. Elle prit aussi ses deux sais, dont elle ne se séparait pas lors d'une sortit. La belle les attacha dans son dos et était prête à partir. Elle sortit de son appartement sans oublier de verrouiller la porte. Même avant que sa fatigante de voisine l’intercepte dans l’escalier elle avait déjà fait un bond pour se rendre sur le toit d’en face. Elle sautait un toit à la fois à chaque fois elle fessait bien attention qu’on ne l’entend pas. Cela prit un petit trois minutes pour qu’elle arrive enfin sur les lieux du crime. Elle regarda autour d’elle, Il y avait à chaque un mètre une camera de surveillance. Le voleur devait être pas plus petit qu’un rat pour rentrer ici sans se faire voir par les cameras. Mais c’était impossible que quelqu’un soit aussi petit. La Kunoichi avança juste qu’à la scène du crime. Il y avait le gardien et sûrement le directeur du musé. Le gardien était assez grand, mince, mais bien bâtis. Il avait un cicatrise le long de son cou et une autre sur son bras gauche, C’était des marques d’ancien combat. Fait par des lames très tranchante et lancer à une grande vitesse. Makie avança juste qu’à être à porter de savoir de quoi il parlait. Le gardien disait au directeur :
- Ils nous envoient une simple genin pour un vole de haute importance ! Juste avec sa grandeur elle doit être fraîche de l’académie !
Les deux hommes se mirent à rire. La jeune femme leur sourit et dit au gardien d’un ton strique et clair :
- Chuunin ! Je crois que vous vous êtes tromper sur la prononciation de se mot. Aussi ne te fit pas trop apparence car mon apparence est parfois trompeuse ! Alors si je serais toi je commencerais a tous suite me conduir au centre de la sécurité pour que je visionne la scène du crime…car en voir le nombre de caméra que vous avez on doit sûrement voir le voleur n’est-ce pas très cher ?
Elle eu un sourire. Le directeur se retenait de ne pas rire face au garde, qui ce dernier était en train de bouillir de colère. Le directeur se présenta à Makie et présenta le gardien. Il lui expliqua se qu’il avait remarquer tous les indices que les inspecteur du musé avait trouver le seul indice : des traces de pas. C’était un très belle indice, mais enfaîte il valait rien au yeux de la kunoichi. La kunoichi sourit au directeur avant qu’il part pour son bureau et lui dit :
- Serait-il possible d’avoir une photographie de l’œuvre ? Cela m’aiderait pour avoir au moins une piste…
Elle eu pas le temps de finir sa phrasse que le directeur l'intérrompit pour lui dire:
- Personne ne prend des photos des œuvres ! cela tue leur âme… cela est une des choses les plus cruel qu’un être peux faire que de voler l’âme d’un œuvre comme celle qui a été voler. Celle de la peinture expressionniste de Keivare…l’un des plus grand peintre de ce monde…
Il était fou. Il parlait, parlait et reparlait sans arrêt des œuvres
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