En l'hommage d'un souvenir ( PV avec Mizu-chan -^^-)

Le soleil était haut dans un ciel bleu sans imperfection. Pendant quelques minutes des nuages venait se formé dans le ciel mais il ne restait jamais bien longtemps. La chaleur de l'été était presque accablante alors qu'un coin d'ombre était rare...mais heureusement une légère brise soufflait. Le vent n'était pas froid à en donner des frissons, juste rafraichissant et assez fort pour faire danser les herbes au alentour sans pour autant vraiment les perturbées. C'était une journée parfaite...une journée qu'on mettrait dans un décor enchanteresse, digne d'un tableau. Une plaine verte avec de nombreuses fleurs tandis qu'un petite ruisseau se situait en arrière plan. Dans cette vaste plaine, il y avait quelques arbres où les oiseaux chantait et faisaient leur nids. Oui, le genre de journée et d'image qu'on se faisait d'une parfaite journée d'été !

Si le temps y était, le decor ne s'y prêtait pas du tout. Où le regard vert de la jeune femme se posait, il n'y avait qu'un champ de ruine, bien entendu le vent jouait avec des herbes mais celle-ci était disgracieuse...poussant où et comment elles le voulaient. Certaines fleurs survivaient dans les décombres de se qui avait été jadis la ville d'Oto.
L'endroit était à l'abandon et personne n'avait jamais voulu le reconstruire. Tel les châteaux des anciens temps, la jeune femme contemplait les vestiges d'un passé qui était peu à peu en train d'être oublié.

La demoiselle avançait prudemment afin qu'aucun de ses pas...ne mène à un faux pas et entrainerait sur son corps plusieurs lésions. Le pas dans les débris cessait alors que les orbes vertes se posait quelques secondes vers la sortie du village. Même les arbres de la forêt qui avait été un remparts de protection naturelle semblait ternis.

La jeune femme secouait la tête pour que ses pensées sombres reste où elles devaient l'être. Dans les méandres de sa mémoire...Elle savait que si elle permettait que ceux-ci sorte...ils apparaitraient sous forme de larme.
Plus d'une fois, la dame s'arrêtait pour contemplée un amas de débris.
Un sourire triste lui venait aux lèvres alors qu'elle se rappelait le bâtiment qui avait figuré à tel emplacement ainsi les souvenirs qui la reliait à se lieux. Elle fixait avec émotion depuis plusieurs minutes une plaque de marbre où en lettre majuscule et énorme...apparaissait un '' BEA'' , seul vestige du petit café qui s'était trouvé là.

Elle secouait la tête et s'éloignait à grands pas, son pieds avait manqué de déraper plus d'une fois mais elle refusait les souvenirs....elle ne voulait pas que ceux-ci l'envahis aussi brutalement...cela ne pouvait que causer un torrent de larme.

Pourtant un liquide s'écoulait bien de son être mais il était carmin. Les épines des roses noires, qu'elle avait mis des mois à faire poussé, gouttait de sa faiblesse face aux événements du passé. Les fleurs étaient un peu mal menée, elle qui en prenait toujours tellement soin. Une bourrasque plus forte que les autres, lui remettait les idées en place alors que ses longs cheveux noir au reflet violet s'élevaient avec l'élément.
Une deuxième rafale lui faisait tournée la tête pour protégé ses yeux alors que le vent transportait de la poussières et des gravats.

La brune prenait son courage à deux mains alors qu'elle s'avançait. Elle savait qu'elle n'avait cessé de trainer en chemin mais elle ne pouvait plus faire marche arrière. Devant elle, se trouvait une maison plus ou moins intact. Le toît était tombé depuis longtemps et s'appuyait contre la façade à moitié détruite mais se tenait droite tout de même. La porte était au sol et menait vers un trou béant. Quelques lieres avaient pris possessions du bas de la maison et se contentait de grandir tous les jours un peu plus.

La jeune femme s'agenouillait dans la poussière, elle se moquait bien que son kimono parfaitement blanc soit sale quand elle aurait quitté les lieux.
Elle déposait avec délicatesse le petite bouquet de rose noir quelques centimètres avant la porte, là où c'était trouvé il y a longtemps le bandeau à l'insigne d'Oto qu'elle gardait encore précieusement dans ses affaires.

- Je sais que cela fait longtemps murmurait-elle. Deux ans...L'année passé, je n'ai pas eu la force de venir et j'espère que tu me pardonneras.
Tu sais...même si j'ai désapprouvé certain de tes choix....J'aurai aimé croire que cela t'a rendu heureux. Je ne t'ai jamais remercier pour se que tu as fait...normalement on ne récompense pas un acte criminelle mais...si j'ai une petite fille...si je suis aussi heureuse que je le suis aujourd'hui...C'est grâce à toi. Alors....Merci Karas.

La jeune femme souriait, un sourire emplie de fierté qui était tout de même un peu ternis par les larmes qui glissait le long de ses joues blanches. Elle portait deux doigts à ses lèvres puis les transportaient à l'endroit où était les fleurs. Comme si elle avait donné un '' baiser '' au jeune homme.

- Je ne t'oublie pas. croyait-elle bon de murmurer alors qu'elle se relevait.

Les ruines d’Oto, non ce n’était pas une mission donner par la chef de l’organisation… Juste une promenade, quelque chose qui pouvait lui changer d’air que rester planter à Sadame.
Seul l’épée de Keitsuke était brulante du soleil, il transpirait de mètres en mètres. Son but ? Arriver à s’identifier dans ses ruines.
Les ruines, un endroit très sympa à y visiter. En tout cas pour l'homme aux cheveux long cela représentait la grande partie de son bonheur. Marchant vers une maison plutôt vieille, et assez sali par les ruines... Sans savoir à qui elle était, le Ryu Kyokai ouvrit alors sa porte. Se retournant pour la fermer aussi tôt, l’exploration avait alors commencer !
Particulièrement, cette maison était vide, les murs était déchirés par le papier peint. S’approchant vers le mur, la main de Keitsuke se heurta par terre. Un bout de bois qui avait arracher le sol, était bel et bien en train de le déchirer . Du bruit, ça on l'en avait entendu et penser qu’il y en avait eu.
Cependant des pas l’avait intriguer, des pas qui s’était arrêter tout juste au près de la porte. Se pourrait-il que quelqu’un l’avait entendu ? Quelques minutes à rester planter par terre, le membre ne disait rien, se lever ne rimerai à rien surtout si c’est pour se battre. Hum, même les pensées n’était même pas dans la tête du membre. Quelque chose d’étrange était en train de se passer, des larmes apparaissaient sous la porte de cette maison. Des larmes ? Oui mais pourquoi tant de tristesse dans des ruines perdu, peut être qu’un ancien ninja d’Oto est venu se réfugier dans ce qui reste…
Mais, les pensées se mit en charge, toute la tête du Ryu Kyokai était chambouler…

*Pourquoi tant de tristesse dans ce monde insensé ? Moi un jeune homme qui n’ai plus de sentiment, que pourrais-je faire pour reprendre tout sa ? Je dois faire quelque chose au plus vite, si on m’attaque je répondrai par mes propres mots… La violence ne résoudra rien, surtout sur des ruines*

Sans hésitation, Keitsuke pris sa route en ouvrant la porte… Il trouva devant lui, une femme, un bouquet rien d’autres. Sauf des larmes, qui s’étaient arrêter, la femme semblait gêner. Restant debout, le membre lui tendit la main, un signe d’amitié. Faire des connaissances pouvait faire régner la paix sur la terre pour l'homme aux cheveux long.
La kunoichi ne disait rien, de ses cheveux noirs et longs comme le shinobi. Ne fessais même pas un geste, juste un regard qui d’ailleurs Keitsuke l’admirait. L’admiration une grande chose, le seul sentiment qui restait dans la tête du membre, un seul sentiment qui pouvait éprouver.

__« N’ai pas peur, j’suis un humain comme toi… Mais pourquoi tant de tristesse ? Moi c’est Keitsuke, je ne peux pas te dire d’où je vient. Cependant je ne veux pas la guerre, d’facon sa sert à rien ici.
Mais que fais une si jolie femme dans un endroit si spacieux ? »

Des questions qui n’effrayait pas du tout. Tout au moins, elle expliquait le comportement de Keitsuke envers la jeune femme…
Ce que le membre avait oublié, le chakra. Oui le chakra de la jeune femme était sur-développer, une chose de plus qui concernait la femme. Le nombre d’informations pouvait décrire toute un humain, enfin sa dépendrai des informations donné. Hum, la femme n’avait aucune réaction, pourtant tendre la main était un signe de respect & d’amitié…

__« Pour…pourquoi ? »

Humilier, Keitsuke partit se réfugier sous un rocher, l’arme à terre les yeux aux sols. Plus rien ne comptait pour lui...

L'étonnement venait de saisir la jeune femme, même si elle n'en montrait rien sur son visage, elle ressentait tout même pleinement ce sentiment.
La Kunoichi avait envie de se mordre la lèvre devant son manque de prudence. Elle était venue à Oto comme d'autre se recueillait sur une tombe ainsi elle ne s'attendait pas à voir surgir subitement quelqu'un.

« N’ai pas peur, j’suis un humain comme toi… Mais pourquoi tant de tristesse ? Moi c’est Keitsuke, je ne peux pas te dire d’où je vient. Cependant je ne veux pas la guerre, d’facon sa sert à rien ici.
Mais que fais une si jolie femme dans un endroit si spacieux ? »

Habituellement, la demoiselle aurait sourit ou se serai réjouie des paroles un peu maladroite du jeune homme devant elle. Cependant aucun sentiment de chaleur ne lui atteignait le coeur. Cette froideur apparente ne venait pas de l'homme lui même mais de l'endroit où il se trouvait.

Cette maison, au du moins de qu'il en restait, était comme un sanctuaire. Un endroit qui ne devait être foulé par d'autre pieds que leur propriétaire.
Futae ne disait rien, mais son coeur venait d'être piétiner en même temps que la terre sous les pas de cet étranger.

La brune ne distinguait la main tendu au moment où celle-ci disparaissait contre le corps de son possesseur. En quelques seconde, il s'était détourné d'elle avec une seule question '' Pourquoi ?''

Une question qu'elle posait elle même souvent en tant que Raikage mais qu'elle n'aimait pas se voir retourné. Il y avait trop de pourquoi et de parce ce que inachevé dans sa vie pour qu'elle ne puisse supporter cette question sans tiquer et ainsi contemplé le responsable de son trouble.

Le lieu ne s'y prêtait pas, combien de fantôme en soif de vengeance ou de paix tournaient-ils autour d'eux ? Oto n'était vraiment pas l'endroit propice au rencontre...c'était même un endroit qu'on évitait généralement...
Futae s'en voulait un peu, elle n'avait pas imposé sa souffrance sous forme de rejet total au jeune homme qui avait voulu uniquement se montrer courtois. Pour lui aussi, cet endroit été peut-être emplie de souvenir...Sa réaction et son comportement était excessif, égoïste ainsi que puéril.

Elle mettait un terme à son débat intérieur alors quelle déposait son pieds droit sur le sol puis ensuite le gauche, pour commencé à se dirigeait vers l'être visiblement blessé. Elle venait se placé prêt de l'homme. Pas trop près mais également pas trop loin. Un sourire sur les lèvres, elle déclarait d'une voix douce et apaisante.

- Je me nomme Tatsumaki Futae . Seriez-vous perdu ?

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