Une tueuse dans le brouillard

Sujet: Une tueuse dans le brouillard Sam 12 Jan 2008 - 21:48

Besoin d’air, besoin de liberté, besoin de désert, besoin de calme… Oni tournait en rond chez elle, trop occupée qu’elle était à réfléchir sur ce satané rêve qu’elle venait de faire. Toujours à moitié à poil, elle venait de sortir de la salle de bain, portant une chemise imbibée d’eau tiède, voir chaude, et inondait son appartement sans s’en rendre compte. La main droite tremblante, elle se répétait inlassablement cette phrase :

« Une fois… Une fois encore, levons nous… L’aube se dessine au loin mais il n’y aura pas de crépuscule… Seuls les douze assureront le coucher du soleil… »

Elle se souvenait de chaque détail de se rêve, comme si elle y était encore. Elle pouvait revoir certains visages, elle revoyait le décor, avec au milieu, ce symbole qu’elle se rappelait être celui de l’équilibre, et la musique semblait toujours résonner dans ses oreilles, comme une espèce de compte à rebours inquiétant. Il fallait qu’elle respire, qu’elle sorte de cet appartement et qu’elle trouve un endroit où elle pourrait se défouler, se détendre, n’importe quoi !

Nerveuse, elle continuait de faire les cent pas lorsque l’idée lui vint de retourner sur son terrain d’entraînement préféré et de s’entraîner un peu. Après tout, cela la détendrait et lui permettrait d’éclaircir ses pensées. Un sourire éclaira ses lèvres à sa merveilleuse, splendide, magnifique idée ! Elle était prête à toucher le plafond, toute contente de son projet… Et s’étala lamentablement au sol, sur les fesses. A trop mouiller son appartement, elle avait fini par glisser !

Rhaa ! Elle avait l’air maligne là, la p’tite kunoichi de seize ans, à poil, en chemise blanche trempée, les cheveux noirs dégoulinants d’eau, affalée au milieu de sa cuisine. Allez debout miss ! Va donc t’habiller avant que la moitié des voisins ne rappliquent à ta porte.

Se débarrassant du tissu blanc, elle fonça vers la penderie et mis rapidement son kimono noir, avec la ceinture blanche qui le lui maintenait au niveau de la taille. Une fois toute belle, les cheveux rattachés en une vague queue, et son équipement de ninja sur le haut de sa cuisse droite. Elle remit vaguement un bandage par dessus son tatouage, se disant qu’elle n’arrêtait jamais d’ôter et de remettre ce truc. A quoi cela servait désormais ? Mais comme disait son sensei – Paix à son âme – La prudence est mère de sûreté.

Elle repartit donc en direction de son terrain d’entraînement tant aimé. Sur Suna, le soleil se couchait lentement, donnant au désert une teinte plus sombre. Bientôt, les dernières chaleurs de la journée quitteront les grains de sables et il fera plus frais. Mais pour l’instant, l’atmosphère était encore lourde. Dans les rues, toujours aussi bondées, les restaurants et bars laissaient leurs lumières éclairer la rue bien qu’il ne fasse pas encore nuit.

Oni accéléra le pas.

Une fois arrivée, elle contempla l’endroit, qui n’avait nullement changé depuis se matin. La découpe de l’horizon, quant à elle, si. Les dunes se faisaient plus creuses par endroit, moins à d’autre. Le vent modèle le désert à sa guise dans ce pays hostile…

Elle ressentit quelque chose d’étrange en ce moment, alors que son regard était toujours perdu sur la ligne d’horizon. Depuis son réveil, elle se sentait étrange. Elle voulait courir, elle voulait être libre, loin de tout, loin des liens qui la maintenaient à Suna. Mais sa raison la retenait là, malgré que l’appel se fasse plus fort de seconde en seconde.

Elle hésita. Elle recula d’un pas… Et sentit alors quelque chose sur son pied. Un réflexe inopiné lui induit l’écartement rapide et totale de cette chose douce, chaude et recouverte d’écailles avant que le serpent ne la morde. Une peur sourde l’emplit soudain. Sentiment étrange…

Crac.

Crac ? Elle cligna des yeux…

Sa vision du monde avant changé. Elle tenta de faire un pas en arrière… Mais il y avait un problème… Elle se regarda… Elle ne vit alors qu’une informe tache blanche, étrange…

Mais le sifflement du serpent rappela sa peur à l’ordre. Par elle ne savait quel miracle, elle réussit à bouger, son instinct lui disant de s’écarter le plus loin possible ou alors d’assommer l’animal. La peur prenant le dessus, elle s’écarta et courut comme cela une bonne centaine de mètres avant de s’arrêter dans un nuage de sable. La respiration profonde, la tête haute… Elle avait une masse de « cheveux » noirs qui lui masquaient le visage, qui voguaient sous le vent frais de cette fin de soirée.

Elle ne put de nouveau plus bouger. Elle tourna la tête, d’un côté, puis de l’autre. Du blanc, toujours du blanc… Mais elle lui semblait reconnaître cette forme. Ce n’était pas son corps… Elle regarda ses pieds.

Non, ce n’était plus des pieds.

De fins sabots noirs, aux extrémités de fines jambes blanches, se perdaient dans le sable brun du désert...

Oni paniqua, elle se cabra de toute la hauteur de son nouveau et étrange corps… et se cassa la gueule lamentablement, retombant sur le flanc. Bravo ! Elle tenta de se relever, déployant toute sa bonne volonté pour essayer de contrôler ses muscles. Mais une fois que la nouvelle fut acceptée, elle n’eut pas vraiment de mal à se remettre sur ses jambes.

Et bientôt, toute cette nouvelle aventure l’amusa beaucoup… Elle partit au galop vers l’horizon, caracolant d’un côté à l’autre comme un cheval fou sous le couché du soleil. Un galop souple, une silhouette fine… Elle était de ces chevaux du désert de pure lignée, flamboyante sous le soleil couchant. Son corps était tout de blanc recouvert, tandis que ses crins – la crinière et la queue -, son museau et ses sabots étaient noirs.

Au départ, elle marcha, calmement, lentement, pour trouver le rythme propre aux chevaux. Jambes avant gauche, jambe arrière droite, jambe avant droite, jambe arrière gauche… L’arrière chassait l’avant. Ce n’était pas le même rythme que les chameaux, qui eux, avançaient leurs jambes deux par deux, parallèlement et simultanément. C’est peut-être cela qui fait le cheval beaucoup plus rapide ?

A vrai dire, elle n’avait cure de penser à cela, passant au trot puis au galop. Ce vent, ces bruits, ces odeurs… C’était grisant ! Mais elle ne devait pas trop s’éloigner, restant près des rochers dans l’enceinte du terrain d’entraînement…

Oreilles et tête dressées, elle s’arrêta soudainement, vivement dans un panache de sable. Quelque chose l’avait mentalement frappée : elle avait le pouvoir de se transformer en cheval… Mais elle ignorait totalement comment elle avait réussi un tel miracle, et donc… comment reprendre forme humaine ! Elle paniqua à nouveau, revenant au petit trot près de ses vêtements déchirés. Elle s'ébroua de mécontentement. Le serpent n'était plus là mais elle avait ruiné ses habits... Comment allait-elle rentrer à Suna ? A poil au milieu de la nuit ?

Elle n'avait soudainement pas très envie de retrouver forme humaine. Peut-être pouvait-elle rentrer chez elle comme ça ? M'enfin, réfléchit Oni ! Un Cheval blanc et noir qui traverse les rues tout seul en pleine nuit, c'est très courant voyons ! Idiote ! Et comment tu ferais pour passer la porte ??? Pas sur qu'elle ait été conçue pour qu'un animal de cette taille entre dans tes deux pièces tout pourries !

Non le mieux était de retrouver sa forme, de se couvrir avec les lambeaux qui restaient et de courir jusqu'à l'appartement pour se changer... Ou dormir, vu l'heure qu'il est... Alors elle réfléchit, et se concentra, fermant les yeux. L'encolure cambrée, elle avait tout bonnement du style dans ce corps animal. Mais il était loin d'être vraiment très pratique...

Elle se concentra de différentes manières. Tout d'abord, elle essaya de se malaxer son chakra comme pour influencer sur sa morphologie. Elle ouvrit un oeil mais rien ne se passa.

Alors elle essaya tout simplement de se concentrer sur sa forme originelle, se détaillant mentalement comme si elle s'examinait face à un miroir. Un étrange chatouillement la parcourut entièrement et le sable vint à nouveau chatouiller sa peau couleur pêche. Elle soupira de soulagement. Son regard sombre se posa ensuite sur le sceau... il était blanc, reprenant doucement, lentement, sa couleur noire. Elle ne pouvait pas le voir mais dans son dos, le tatouage d'un cheval blanc cabré disparaissait lentement, au même rythme que le sceau reprenait sa couleur originale.

Elle se releva et reprit lentement ses vêtements. Elle enroula les restes du kimono autour de son corps. Elle allait renouer la ceinture pour que le tout reste en place lorsque...

« Oni UmaKaze ? »

« Waaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!! »

Elle sursauta violemment, lâchant le tissu qui retomba dans le sable tel le chiffon ingrat qu’il était désormais. Devant elle, debout sur un rocher, apparut dans un pas instantané parfaitement exécuté, un jounin de Suna se tenait devant elle.

Elle rattrapa ses vêtements à temps, reprenant consistance face à l’homme un peu surpris.

« Oui. »

« Vous êtes immédiatement demandée à la tour du Kazekage, un ordre de mission vous y attend. »

« Bien, j’y vais de ce pas… »

Décidément… La soirée était riche en évènements !

Le soleil réchauffait le sable fin qui devenait au contacte de l'eau, une sorte de terre glaise...Une barque s'était échoué sur la rive de la plage de sable fin...La barque se souleva quelque peu et une forme en sortis tirant un corps inerte...Une fourrure épaisse, des pattes robustes et brunes comme tout son pelage, le canidé tira une jeune kunoichi au visage fin évanoui...L'animal se décida à lécher le visage fin de la jeune femme de 19 ans...

-Koff,Koff,Koff... Elle cracha des gerbes d'eau... Kaleb sais-tu où nous sommes tombés...Je ne me souviens de rien,juste avoir pris la mer avec toi...Attends mais j'y pense,si nous sommes entourés d'eau,cela veut dire que nous sommes dans l'archipel de Kirigakure no Sato....Depuis notre départ de la patrie de la Terre,nous avions visiter Taki,Oto et Kumo pour s’éloigner et nous sommes arrivés ici...Essayons de trouver un village dans ce pays du brouillard sanglant...Et puis quelle était ce drôle de réve...

Il s'avancèrent dans une forêt de lémuriens qui souriaient aux deux compères d'évasion...Ces petits animaux au pelage blanc et noir était très mignon sans oublier malicieux...Le bout du bois fit enfin apparition mais un homme le surveillait...Elle se jeta derrière un buisson,elle tenait son Zampakuto, Tengen juste à coté d'elle...

Sujet: Re: Une tueuse dans le brouillard Dim 13 Jan 2008 - 14:11

Tandis qu'il survolait les vastes forêts de la contrée qu'il traversait, l'oiseau encré d'Aoi plongea légèrement en direction d'une des nombreuses étendues boisées afin de reprendre ensuite de l'altitude.

Ces petits animaux sculptés dans le creux de la main de la Légende de Suna avait une durée de vie assez impressionante et le jutsu qui les maintenait ne se dissipait qu'après quelques longues heures, leur permettant de s'éloigner de leur maître à volonté.

C'est donc avec un message destiné à Orihime Inoue que le petit volatile noir se dirigeait vers le Pays du Vent. Le patriarche du clan tenait à ce que sa jeune protégée soit présente à la réunion secrète du clan, et c'est pour celà qu'il avait envoyé un message par l'intermédiaire du petit volatile, tandis que lui même se rendait à la réunion secrète des Rokusho.

L'oiseau piqua une nouvelle fois du bec en direction de la forêt, pour reprendre de l'altitude et sortir enfin de la province qu'il survolait...

Sujet: Re: Une tueuse dans le brouillard Dim 13 Jan 2008 - 15:25

Quel avait été ce bruit ?? Le shinobi qui se tenait à l'entrée de ce bois tendit l'oreille avec plus d'attention...un bruissement de feuille avait attriré son attention mais lorsqu'il avait observé le coin rien d'anormal ne lui avait sauté aux yeux, seul un oiseau s'était élevé dans le ciel bleu azur afin de rejoindre sans aucun doute ses compagnons. Le shinobi en question, un homme de haute taille et d'une musculature plutôt impressionante, poussa un petit soupir et tourna son regard sur sa droite, cette journée paisible lui plaisait et il souhaitait que tout se passe bien.

Un sourire apparut sur ses lèvres lorsqu'il apperçut deux silhouettes qui s'approchaient de lui : un homme aux cheveux blancs et portant un kimono également blanc s'approchait de lui, accompagné d'un loup puissant, imposant. L'homme qui arrivait vers lui semblait tenir entre ses bras un petit être qui remuait activement les bras, essayant d'attraper les quelques feuilles qui s'envolaient tout autour d'eux. Le jeune homme, car en y regardant de plus près la personne qui venait d'apparaître semblait bien jeune, s'arrêta alors à quelques mètres à peine du premier shinobi, puis d'une voix parfaitement clair mais où perçait une pointe d'ironie il prit la parole.

- Et bien Musha !! Tu semblais si sérieux en regardant à l'intérieur de ce bois, j'ai cru que tu avais vu un fantôme...que t'arrives t'il ?

Le jeune homme s'était mis à rire doucement alors qu'il posait sur l'herbe fraîche et verte la petite fille qu'il portait dans les bras : cette dernière n'était agé que de huit mois mais était déjà des plus active. Elle s'était mise à marcher à quatre patte en direction du loup toujours près de son maître, essayant d'atteinde la queue de ce dernier pour tirer dessus. Musha quitta des yeux un instant cette scène afin de répondre au jeune homme :

- Non Kenda-sama, il ne semble pas y avoir de soucis. J'avais simplement eu l'impression de voir une ombre à travers les arbres et d'avoir entendu un bruit. Ma mission est de veiller sur votre fille et vous même, je ne peux me permettre de laisser s'approcher un quelconque danger vers vous. Mais je pense qu'il s'aissait d'une fausse alerte : lorsque nous sommes sur le qui-vive, les ombres ont souvent tendance à nous jouer des tours.

Un nouveau rire s'était échappé de la gorge de Kenda : le Kyûdaime Mizukage se moquait quelque peu de son homme de confiance, après tout la journée était idyllique avec un temps merveilleux et voir sa fille jouer comme elle le faisait avec Hakurou était un spectacle des plus attendrissant pour lui. Un vent s'était levé en provenance de la forêt, amenant avec lui des feuilles et herbes fraîchement coupés. Alors qu'il allait reprendre la petite Mizu dans ses bras, le puissant Hakurou se leva et renifla l'air qui provenait du sous-bois : un petit grognement sortit de sa gorge, un avertissement pour son maitre. Kenda perdit immédiatement le sourire tandis que Musha se plaçait devant la fille de son kage. Le jeune Mizukage s'approcha alors de l'orée du bois, scruptant avec minutie le moindre arbre, puis il amena sa main au niveau de son visage et murmura quelques mots : "Byakugan"

Son regard se changea alors immédiatement, laissant place au dojûtsu de son clan : inspectant alors les lieux, il découvrit une présence derrière l'un des buissons se trouvant non loin d'eux. Une personne, à première vue une jeune femme, se tenait caché là...une arme...Kenda repéra la présence d'un katana tout près d'elle !! Elle était encore trop loin pour représenter une menace pour lui ou sa fille, mais par réflexe il porta sa main doucement en direction du pommeau de son propre katana et avança de quelques pas dans la direction de la présence qu'il avait repéré. Le vent s'était calmé, un silence glaciale s'était ainsi installé.

- Qui que vous soyiez je vous demande de sortir de ces buissons immédiatement et de vous présenter à moi. Je ne me répéterais pas...je vous ai repéré et vous ne pourrez vous échapper !

De simples mots mais qui résonnèrent dans tout le sous-bois !! Kenda attendit alors que la personne sorte enfin de sa cachette...qui pouvait-être cette personne ?? Et surtout quelles pouvaient être ses motivations...peut-être n'était-elle pas dangereuse mais sa fille n'était pas loin de lui et son instinct de père lui ordonnait d'être le plus prudent possible. Hakurou et Musha encadraient la petite fille qui s'était étrangement calmé.

Sujet: Re: Une tueuse dans le brouillard Dim 13 Jan 2008 - 15:47

Un bruit sourd sortit des buissons,une masse volumineuse apparu et sauta sur le loup qui était présent a coté de son maître et s'attaqua au canidé...Une fille,non deux fille sortirent du buisson...Un kunai fut projeté dans les airs atteignant l'oiseau...Le kunai s'enfonça puis ressortit de l'autre coté tandis qu'un message tombait lorsque le volatile disparu...La feuille de papier attira dans la main de la jeune kunoichi puis sourie aux personnes la fixant d'un air méfiant...Elle ouvrit le papier scellé à l'encre...Le papier était signé par un *Aoi Rokusho*

''Orihime Kun, je t'invite à rejoindre la montagne Houkou dans les hauteurs de Cha no Kuni...Ton rituel d'appartenance à notre vénérable clan sera là bas...Tu passeras devant tout le monde...J'ai une grande confiance en toi ma protégée...

Aoi Rokusho''

Le clone s'approcha de l'homme le plus jeune tandis que la vrai Tsukiyomi partit vers la montagne Houkou dans le village de Cha no Kuni...Le clone sourie puis regarda le beau jeune homme aux cheveux blancs qui portaient un Zampakuto à la main...

Les deux loups arrêtèrent de se battre dès que la jeune kunoichi siffla avec un son strident...Kaleb saute en arrière pour se placer à coté de sa maîtresse...Elle tapota le dos du jeune loup fougueux...

-Hé toi le jeune ignorant aux cheveux rebelle qui porte un joli Zampakuto comme le mien, connais tu un certain Aoi Rokusho et aussi pourrais-tu me donner la direction du village de Kirigakure no Sato...Je vois que tu as un joli loup mais je ne suis pas là pour faire de sentiment avec toi...¨Prépare toi donc au combat

Montrant Tengen, elle sourie puis s'approcha de l'homme cité mais un homme la contra une chaîne à la main...La jeune kunoichi sourie à l'homme qui lui opposait une bonne résistance...Des coups volaient devant la petite fille et sûrement son père...La jeune kunoichi s'arrêta de combattre pendant un moment, observa son adversaire et montra la lame de son Zampakuto devant son visage confiant...

La capacité spéciale de Tengen sous le Shikai permet à Tsukiyomi de décupler sa taille, son poids, sa force ainsi que son énergie spirituelle, lui octroyant une puissance herculéenne, d'ailleurs le sol fend sous ses pas une fois Tengen activé. De plus, lorsque un ennemi est trop loin d'elle, celle-ci ne le considère plus comme un problème grâce a Tengen: en effet, un coup donné dans le vide est retranscris en dis fois plus grand grâce a la force mystique du Zampakuto de la kunoichi...

Cette fois-ci elle ne voulut pas grandir ou encore moins grossir juste que son Zampakuto puisse attaquer plus rapidement et puissamment...Elle s'approcha de Musha puis l'attaqua avec son Zampakuto...Elle rigola d'un coup puis elle se prépara à sa technique...

| Bakuhatsu Sei no Geijutsu, Geijutsu Ka no Chi | (L'Art Explosif, le sang de l'artiste)

La jeune kunoichi lécha un peu du sang du guerrier qui se tenait face à elle...Elle fit des signes en regardant ses adversaires mais quelque chose la stoppa dans son élan...Elle ne pouvait plus...Tué, non depuis son départ de Konoha sa folie meurtrière s'était stoppé...Elle s'écroula par terre pleurant de toute ses forces...

-Excusez-moi vous trois,je vous pris d'excuser mon attitude puéril de Nukenin cherchant un but dans sa vie...Je n'arrive plus à tuer...Je vous demander d'acceptez mes excuse et aussi celle de Kaleb....Je me nomme Tsukiyomi Hideyoshi,ancienne Anbu de Konoha...

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