Hôpital de Konoha

Sujet: Re: Hôpital de Konoha Ven 30 Nov 2007 - 17:59

En début d'après-midi, Kim Itchido se revailla difficilement. Elle se souvint qu'elle a eut affaire a une bagarre violente, avec sa soeur.

*Loel... qu'as tu fais? Qui c'est qui m'a emmenée ici?*

Elle entendit deux infirmières vers la porte, qui parlaient de la jeune kunoichi.

"Tu as entendu? C'est quelqu'un de clan Kurokage qui a emmené cette jeune fille..."

"Oui, j'ai vu cela, elle a été serieusement blessée... il parait qu'elle s'est battue avec sa soeur, qui a manqué de respect envers elle, et aussi envers le clan Kurokage...Elle va être séverement punie"

"Impossible... Elle est morte à présent."

En entendant cette phrase plus que choquante, Kim resta tétanisée dans son lit. Des larmes coulèrent de ses yeux, et un hurlement déchirant retentit dans l'hopital.

*C'est vrai, c'était une garce, je la detestais... mais c'était ma soeur, on a le même sang...pourquoi?*

Le cri ne s'arrêta pas... il durait... encore et toujours...

Mao avait enfin put se libérer pour aller voir Kim à l'hospital, il était désormais l'élève de gamakichi le maitre de Tahlin le loup qui avait tuer la jeune soeur de Kim. comment réagirait celle-ci en le voyant voudrait-elle encore lui parler ou le detesterait-elle pour la fin de ses jours? Il entrat dans le batiment médical et demandat son chemin pour aller jusqu'à la chambre de son aimée. Il ouvrit la porte en saluant celle qui faisait tant battre son coeur.

-Kim, je suis venu te voir enfin, je suis désolé de n'avoir pas put venir plus tôt. Alors comment vas-tu?

Il attendit que Kim s'exprime, même si cela était pour lui dire du mal.

Kim avait remarqué la présence de Mao, mais sans plus. Elle le regarda, avec un air inexpressif. Elle crispa ses mains et soupira, tout en refermant les yeux. La jeune fille se sentait trahie par le jeune homme, mais elle l'aimait surement encore. Elle adressa la parole au jeune homme, sur un ton désagréable:

"Alors, vous avez bien discuté? La prochaine fois au lieu de me prendre pour la reine des imbéciles, dites le moi en face, à moins que vous préfériez briser le coeur des gens, ou encore en tuant ses proches."

Le coeur de Kim battait très vite, tellement qu'elle fut stressée. Elle en voulait à Mao, c'était sur. Elle repensait au moment avant la mort de Lucy, quand celle-ci lui dit qu'ils étaient dégeulasses avec elle. Cette attention avec profondément blessée Kim.

Mao fermat les yeux, il s'attendait à ce genre de reproches, mais en fut quand même blessé. Il prit la parole en s'adressant à la jeune fille, le membre de la racine ne voulait pas perdre celle qu'il aimait tant.

-Kim, je t,en prit écoute moi, je n'ai jamais voulut la mort de ta soeur et ce n'est pas non plus ta faute si elle est morte, chacun tien son destin entre ses mains et il peut en faire ce qu'il en veux.

C'était sur un ton peiné que le racine avait prononcé ces mots et il continuat après une breve pause pour laisser le temps à la kunoichi de bien tout comprend.

-Je ne dis pas n,avoir aucune responsabilité dans cette affaire, mais... ...mais je t,aime toujours et je ne veux pas te perdre même pour cela. Cependant je comprendrais que tu ne veuille pas faire ta vie avec moi je te laisse donc faire ton choix.

La kunoichi s'était retourné et remarquat la bague que Mao lui présentait, c'était une demande en mariage qu'il lui faisait alors et d,un coup la jeune fille recommençat à pleurer.

Kim pleurait tellement qu'elle était perdue dans ses pensées. Elle ne s'attendait pas du tout à la demande en mariage venant de Mao.

"Ne sais-tu pas ce que je ressent? Tu as... puis non laisse tomber... Pourquoi choisis-tu ce moment pour me demander cela?"

La jeune fille sanglotait toujours, en regardant la bague que lui montrait le jeune shinobi.

*Pourquoi je me pose autant de questions... Si seulement Road ou Izumi étaient là pour me donner conseil, cela faciliterait beaucoup les choses. Personnellement, j'ai envie de foncer mais j'hésite...*

Un silence dominait la chambre, ce qui angoissa encore plus Kim. Elle soupira, puis tendit sa main, aussi tremblante comme une feuille par la fatigue et le stress.

"Je veux t'épouser..."

Mao prit alors la main de la jeune fille et lui passat au doigth la bague de fiancaille qu'il avait emporter tout en embrassant celle-ci. La main de la jeune fille tremblait et le jeune racine regardat Kim dans les yeux en souriant d'un regard tendre. Puis il lui parlat de nouveau.

-Kim, je suis heureux que nous puissions faire notre vie ensemble mais aussi triste que des malheurs te soient arriver par ma faute, je ferais tout pour te rendre heureuse à l'avenir sois en sur.

Le jeune homme regardait maintenant celle qu'il aimait tant d'un regard déterminé. Peu lui importait comment sa vie se déroulerait et même si l,ermite lui avait dit que ses sentiments envers la jeune fille pouraient être une gêne il ne voulait pas y renoncer.

Un sentiment de bonheur se faisait ressentir en la jeune fille: Elle allait se marrier avec l'homme qu'elle aimait. Elle avait envie de fêter ca avec Road et Hisae. Difficilement, elle se leva et s'habilla correctement.

"Nous allons voir ma cousine, depuis le temps que je souhaite lui rendre visite."

Le jeune shinobi suivit Kim dans les locaux de l'hopital, puis partirent en direction de la maison de Road.

Sujet: Re: Hôpital de Konoha Sam 5 Jan 2008 - 17:27

En début d'après-midi, Road arriva à l'hopital, accompagnée de Mao. La jeune kunoichi avait l'air souffrante. Les deux individus arrivèrent à l'accueil, en s'adressant à la secrétaire médicale.

"Bonjour... J'ai des contractions depuis ce matin, et qui deviennent de plus en plus forte. J'ai également perdu les eaux depuis peu... Je suis pourtant enceinte de 8 mois, l'accouchement n'est pas prévu pour tout de suite..."

La secrétaire médicale prit en charge la situation, et emmena Road dans une chambre.

"Attendez calmement ici, je vais chercher le docteur"

Après quelques minutes, la secrétaire revint avec un médecin. Il examina la femme enceinte et un air d'inquiétude s'installa sur son visage.

"Hum... apparement, nous n'avons pas le choix. Nous allons devoir faire un accouchement prématuré... Et tout de suite, car ils ont commencé à sortir..."

Road commencait à s'essoufler, elle transpirait de partout. La douleur qu'elle supportait était atroce. Elle prit un air paniqué:

"Comment ca, ils?"

"Vous allez avoir des jumeaux... il éleva la voix en s'adressant à l'infirmière à coté, allez chercher une sage-femme"

Kurayahime, l'esprit du Zampakuto s'adressa à la jeune fille:

*Chouette Road... deux pour le prix d'un*

*Fermes-la, j'ai trop mal*

La souffrance devenait de plus en plus insupportable, Road se mit à pleurer. Mais le travail ne fesait que de commencer. Le médecin lui demanda de pousser, la kunoichi s'éxécuta. Elle bougeait dans tous les sens, trempée par la transpiration. Et c'est au bout d'un quart d'heure, qu'un petit cri se fit entendre.

"ouiiiiiiiiiin"

Le médecin donna le nouveau-né à son assistante, qui le nettoya. Il se retourna vers Road, afin de terminer au plus vite l'accouchement qui faisait hurler la maman.

"Vous avez un petit garcon, félicitations. Allez, le calvert est bientot terminé. Plus qu'un petit effort, et tout sera fini."

Road cria de plus belle en poussant de toutes ses forces, éspérant que ce sera suffisant pour que son deuxième enfant vint au monde. Un autre cri plus aigu retentit dans la salle. Le docteur sourit en tenant un autre bébé.

"Voila, je tiens une petite fille..."

Un grand sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme, qui se laissa retomber brusquement sur l'oreiller, essouflée. Elle fermit les yeux, et c'est en les rouvrant quelques minutes plus tard, qu'elle vit deux petits nourissons à ses cotés.

Sujet: Re: Hôpital de Konoha Sam 5 Jan 2008 - 19:01

Mao avait tenu la main de la maman tout au long de l'accouchement et maintenant qu'il voyait le visage des deux poupons il rayonnait de bonheur comme jamais au paravent, au diable son habituel inexpressivité il souriait à pleine dent. Le médecin et la sage femme quittèrent le jeune couple histoire de les laisser se remettre un peu de leur émotion non sans au paravent leur demander de choisir un nom pour les deux enfant car ils devoir être mis dans des incubateur le temps qu'ils finissent leur développement. Road regardât Mao en lui faisant signe qu'elle voulait qu'il choisissent les nom.

-Bon leur nom seront donc pour notre fille ce seras Koyuki et notre fils s'appellera Alviss, si tu es d'accord sur les nom mon amour évidement.

Road hochât la tête en signe d'approbation. le jeune homme remplit donc les papier pour authentifier les noms de leur enfants et Road signât le papier même si elle n'était pas encore remise de son accouchement. Les médecin emportèrent par la suite les deux jumeaux pour les mettre sous une couveuse en attendant qu'il ai prient du poil de la bête comme on dit.

Alviss avais les yeux de sa mère ainsi que son doux visage et Koyuki avait les yeux et les cheveux de son père. Les deux amoureux discutèrent un peu et puis Road s'endormit et Mao restat à la contempler endormit un petit moment avant de partir car les mission ne manqueraient pas même si il était devenu père de deux magnifique enfants. Reshin lui parlât au moment ou il sortait de l'hopital.

"Mao, félicitation, vous avez vraiment fait de beau enfants tout les deux."

"Reshin, je suis content que tu ne sois plus fâcher et je te remercie pour le compliment."

"Oui, eu bon, rentrons maintenant nous avons encore plein de chose à faire."

Reshin avait raison Mao devait aller réaménager un espace dans sa demeure pour leurs enfants, mais il ne s'inquiétait pas il trouverait bien quoi faire. Le jeune père marchait vers sa demeure d'un pas tranquille le coeur remplit de sentiment positif.

Sujet: Re: Hôpital de Konoha Dim 27 Jan 2008 - 11:39

" Faites place! On a une urgence!" Cria un medecin tout en colère en voyant la foule dans le couloir.

Veboss Inuzuka venait de finir sa mission de type A avec succé mais il avait un une hémoragie externe, au niveau de la hanche droite, il gémissait. On fit entrer le brancard dans la chambre 103 au deuxième étage. Les infirmiers et les medecins commençèrent à penser sa plait, puis de mettre sur la bouche de Veboss un masque pour l'emdormir. Quelque temps après, Veboss se reveilla, sa famille d'acceuil à ses côté, tout d'un coup, il pensa à son père défunt qu'il avait vu il y a guère longtemps. Il pensait qu'il apprendrait la nouvelle puis il pensait le voir venir. Mais rien, toujours sa famille d'acceuil et quelque ami viennent le voir. Le jeune Inuzuka commençait à désesperer. Le lendemain, une infirimière arriva en trombe dans la chambre de Veboss.

"Il y a un homme qui ve vous voir, il n'a que dix minutes, préparé vous, il arrive!" Lui cria la dame.

"Salut Veboss!! Je suis enfin venu, je n'avait pas le temps, désolé. J'ai apris que Taki No Kuni avait arrêté sa rébellion, mais... que se sois toi et ton ami qui avait réussi cet exploit! Je te tire mon chapeau. Mais, venons en à toi, comment pas tu?" S'exclama l'homme en entrant dans la chambre, il venait de faire un signe de tête à l'infirmière pour la faire patir, celle-ci partit sur le champ.

Master Inuzuka venais d'arriver, comme sa, comme si il n'avait pas vu son fils depuis deux jours. Veboss, qui ne l'avait pas vu depuis sa naissance lui répondit:

"Salut papa, et oui, je suis devenu plus fort qu'avant...enfin, tu ne pouvait pas le savoir, tu était PAS LA! Mais oui, je vais très bien et toi??"

"Ho, tu sais moi... se n'est pas de ma faute si je suis très timide, je ne t'avait pas vu de depuis douze ans et tu crois que je vais apparaître devant toit? Comme sa??" Lui demanda Master.

L'atmosphère était tendu, mais Veboss était content de voir son père!

"C'est ce que tu à fait, tu me dit "Salut Veboss, tout gaz??" Tu crois que je vais te répondre en te disant que tu m'avait manqué?? Tu crois que je ne t'en ve pas??" Lui cria Veboss.

La, Veboss c'était trop emporté, les médecins venant le calmer, firent sortit Master de la pièce, celui-ci fit un petit geste de la main à son fils. Quelques temps après cete dispute, Veboss put sortir de l'hopital et se dirigea vers sa maison.

Des loups venaient de surgir dans le grand hopital de Konoha no Gakure . La panique provoquée par ceux ci était colossale mais les médecins restaient à distance rapprochée car sur le dos gisait Hiei , Hokage le 15ème mais aucun d'entre eux ne voulaient s'approcher des canidés ou plutot ne pouvaient s'approcher plus précisément . Le bras gauche du Hokage était plus noir que du charbon comme carbonisé et inutilisable . Les loups pénétrèrent alors dans une chambre vide et ceux qui portaient le Hokage se couchèrent se relevèrent . Le corps de Hiei vola en l'air et tomba sur le lit d'hopital , ce fut à ce moment que les loups sortirent de la chambre sauf Croc Blanc qui resta près de son maître bientot rejoint par Ice le loup blessé de Hiei qui lui aussi s'était déplacé makgré son état .

Les médecins pénétrèrent alors dans la chambre mais les deux loups se levèrent et cela les calma aussitot , le bras de Hiei commencait a redevenir plus clair .

*** Hiei nous nous chargeons d'éloigner ces charognards , contente toi de te reposer et de vite nous revenir ... ***

*** Ouep , il passerons pas cette porte sinon je les gèlerai , mais sache que tu as encore déconné en usant de cette technique interdite .... ***

Les médecins laissèrent finalement les deux loups et l'Hokage restait a voir qui rendrait visite a Hiei car les loups attaqueront ceux qu'ils ne connaissaient pas eux même même si ceux ci s'avéraient êtres les élèves du Hokage et comme Hiei ne les emmenait plus très souvent en missions il ne connaissaient pas grand monde par contre un déserteur venait désormais de mourir , son nom : Shiranui Genma ex Hokage qui avait connu une défaite mortelle cette fois ci ......

Le crétin avait tout intérêt à venir à l’heure, non il avait intérêt de venir tout court ! Après tout c’était lui qui l’avait voulu ce gosse, alors autant qu’il soit à l’accouchement ! Neuf longs mois et une semaine qu’elle se le trimballait, et en plus ce bébé ne voulait pas sortir ! Et ce n’était pas faute de vouloir chasser ce corps d’elle, dés le huitième mois Yume n’avait qu’une seule et unique envie que sa fille naisse prématurée, plutôt affreux comme réaction pour une future mère, tout aussi affreux que ce ventre énorme qui déformait sa silhouette gracile et le mal de dos qui l’accompagnait. Non vraiment la grossesse n’avait rien de bon, et ses sautes d’humeurs dus aux dérèglements hormonaux réussissaient à convaincre son entourage qu’il ne valait mieux jamais tomber enceinte ni côtoyer de femme dans cette état…En tout cas l’enfant bien installé dans le ventre rond de Yume, semblait drôlement si plaire, tellement que l’envie d’en sortir n’était pas même envisageable, aussi les médecins avait donc décidé après de longues explications dans un jargons médicale, qu’il fallait déclencher l’accouchement, c’est donc ainsi que Yume eu une date précise de l’heureux jour où elle pourrait enfin ôter de son corps cet être encombrant, et qu’elle pu faire parvenir le jour exacte de l’accouchement via une lettre, au sombre crétin qui l’avait engrossé.

Mais voilà ce triple idiot n’était toujours pas là ! Et elle, elle attendait comme une greluche avec sa petite valise devant ce stupide hôpital que le cafard blond du désert se ramène enfin et assume son envie de bébé ! Humeur massacrante ? Humpf voui, et le stress qui commençait à l’assaillir n’arrangeait rien. Tout ça était plutôt paradoxale, elle voulait que sa grossesse touche vite à sa fin, mais en même temps elle redoutait la venue de ce bébé, et aspirait secrètement à ce qu’il reste encore un peu en elle. C’est vrai après tout qui ne serait pas terrorisé à sa place ? Yume était jeune, voir très jeune, peut être un peu trop pour avoir un enfant, et puis elle n’était pas vraiment stable psychologiquement, bien que suffisamment lucide pour s’en rendre compte. Et puis ce qui semblait avoir été pour elle une évidence il y a neuf mois en acceptant la requête de Ryo, paraissait maintenant tout à faire abstrait, et ses doutes ne faisaient qu’obscurcir un peu plus la toile…c’est vraie si l’avait accepté d’avoir un enfant avec lui, c’était juste parce qu’elle était convaincue que les enfants aimaient toujours plus leurs parents que ces derniers ne les aiment…et pourtant maintenant qu’elle était au pied du mur cette théorie lui semblait plus que non fondée, c’est vraie après tout rien ne lui assurait que l’enfant l’aimerait…c’est vraie et si elle n’était pas une bonne mère…et pire encore si sa fille ressemblait à son crétin de père. Tsss en parlant de lui il n’était toujours là, et Yume ne pouvait même pas l’apercevoir au loin ! Il était bientôt de l’heure de rencontrer les médecins, et la jeune femme commençait à penser que l’idiot blond ne viendrait jamais…

C'était un beau jour dans le magnifique village de Konoha Gakure no Sato, le temps était beau et tout le monde semblait heureux.

"Les portes de Konoha ?..."

Un Jeune homme se tenait prêt des gigantesques portes de Konoha Gakure no Sato, en les fixant droit devant, l'air songeur, après quelques minutes de silence il marcha enjambant les gigantesque portes qui se trouvaient devant lui, certains garde fatigué par la chaleur ne le virent même pas entré mais un jeune garde qui devait avoir a peu prés l'age du jeune homme lui fit signe de d'arrêté sa marche, il s'approcha et lui demanda de s'identifier le jeune homme d'un air hautain continua sa trajectoire et lorsqu'il fût prés du garde il lui lança un regard haineux et lui dit

"Ô Moi ?! ohoh vous m'connaissez pô ?! Han lala la Honte j'te plain vieux ! >.> tes vraiment qu'un gentil crétin mais c'est pas d'ta faute tout les petits esprit ne connaissent pas RYO LE FOURBE ! Je suis le plus grand farceur ninja au monde ! sans me vanté bien sur ! moi me vanté ? naaan ça serait plus qu'impropable je suis si ... comment qu'ont dit déjà ? mince j'ai oublié l'mot mais t'auras compris quand même Baka hein sinan pourquoi tes payé hein ? Bon allez j'te laisse a tes activité futile sur ceux au revoir "

Lorsque le jeune finit sa phrase il décida qu'il était temps de se rendre la ou lui avait indiquer cette lettre qu'il avait reçu de la part de la jeune Yume, en effet celle-ci devait accoucher, de sont enfant.
Ces plans machiavélique allé enfin se réalisé, le Jeune homme n'était pas très patient complètement pas.
La Lettre lui disait qu'il devait se rendra a l'hôpital.
Il se précipita vers l'hôpital en espérant qu'il sera la pour l'arrivée au monde de sont enfant, il interpela un groupe de personne pour leurs demandé ou se trouvé l'hôpital, puis en suivant les indication des personnes, il arriva enfin a l'endroit où il vit Yume et il criat

"HEEEEEEEEY !!! YUME OUHOU J'SUiS LAAAA !!! YOUHOU !!! "

Et comme un sombre crétin, il se prit un arbre qu'il n'avait pas vu de loin, le voilà maintenant a terre mais qu'elle crétin -_-'

Sujet: Re: Hôpital de Konoha Lun 3 Mar 2008 - 0:07

Ah nan mais quel idiot ! Oui mais quel idiot ! c’était pas humain d’être aussi sot que lui ! Non mais vraiment ce pauvre type avait dû être bzercé bien trop près du mur quand il était petit ! Ou alors pire c’était héréditaire ! O.O Mais pourquoi ne l’avait-on pas euthanasié à la naissance, ou même alors qu’il était encore dans le ventre de sa mère ! Et surtout pourquoi avait on laissé en vie un crétin susceptible de l’engrosser ! Le pire restait à venir, et si la petite héritait du mental de son père et se révélait être aussi stupide que lui. Damned ! Ça la jeune femme ne pourrait l’endurer, ça serait bien trop…trop…trop affreux ! Mais peut être que sa fille n’était pas perdue, après tout Yume pourrait toujours faire ce qui est en son pouvoir pour la cultiver et la rendre moins pathétique que cette chose qui venait de s’affaler après s’être mangé un arbre en pleine face tout en beuglant son nom. Maintenant elle n’avait pas d’autre choix que d’allé le chercher, franchissant la cinquantaine de pas qui les séparait. Dans un geste de bonté extrême, je dis bien extrême car le lecteur se doute bien que ce genre de gentillesses sont des plus rare avec Yume, elle tendit la mains au jeune homme blond pour mieux l’aider à se remettre sur ses pied tout en demandant :

Tu as fait bon voyage ?

La réponse en soit elle s’en contrefichait, c’était de la simple politesse, juste une petite question polie, avant d’attaquer une longue listes de remarques acerbes. Maintenant qu’il était debout, ils n’avaient plus qu’à retourner à l’hôpital.

Bon dépêchons nous ! A cause de toi on va être en retard ! J’avais pourtant préciser l’heure ! Et la prochaine fois que tu viens à Konoha me rendre visite pas la peine d’être aussi exubérant, je me passerais bien de tes hurlements ! Je t’avais bien vu mon pauvre idiot !

Sur ces dernière douces paroles, la jeune femme franchit les quelques vingt-cinq mètres qui la séparaient de l’hôpital, avant de mieux rentrer dans ce dernier et se diriger vers l’accueil.

Bonjour je suis Yume Amasa, j’ai rendez-vous avec le docteur Shigure.

Ah voui, Amasa Yume, pour un déclenchement d’accouchement avec le docteur Shigure ! Je suppose que le jeune qui vous accompagne est votre mari ? Fusillant la standardiste du regard Yume lui fit signe qu’elle se trompait. Ah alors c’est votre fiancé ? A nouveau Yume lança un regard assassin pour toute réponse Votre petit ami ? Hasarda encore une mois la secrètaire avant de faire à nouveau face aux regard sombre de la femme enceinte. Euh le père de l’enfant ? Yume acquiesça gentiment d’un signe de la tête pour confirmer l’hypothèse. Bien le docteur Shigure va vous recevoir patienté encore deux minutes.

Deux minutes cette pauvre dinde avait certainement voulue dire par là une demi-heure…pfff une demi-heure a attendre seule aurait déjà été irritant, mais passé ce lapse de temps avec le sombre crétin qui l’avait engrossé avait fini de faire souffrir ses pauvres nerfs sensibles. Mais voilà enfin le vieux schnock faisait sa théâtrale apparition en baragouinant quelques excuses, tsss qu’est ce qu’elle en avait affaire elle des urgences obstétriques ? Bon quoiqu’il en soit maintenant il les faisait passé dans son « cabinet » soit un coin à peu prêt tranquille délimité par un rideau qui en faisait le tour : bonjour l’intimité ! Voilà maintenant que les deux jeunes gens avait le droit au jargon médicinale sur le déroulement de l’accouchement, comme si on ne lui avait pas rappelé déjà un bon milliard de fois ! Et ce sombre crétin de blond qui posait des tonnes de questions ! Aux dernières nouvelles ce n’était pas lui qui accouchait et c’était ni son corps, alors pourquoi se sentait il obligé de l’exaspérer encore plus ? -__-‘ Ba enfin les choses sérieuses allaient commencer, attention il s’armer de son super stéthoscope tout en lui demandant de relever légèrement sa tunique pour afficher à l’air libre son énorme ventre rond ! « Rapide Check up de routine » qu’il disait ! Baaa qu’on en finisse ! Et vite !

Vite, vite, vite…pourquoi ce banal examen prenait il autant de temps ? Le médecin n’avait il pas pourtant dit que ce n’était qu’un « rapide » examen ! Et pourquoi est ce que cet incapable affichait un air presque contrit ? Voilà qui avait suffit à refroidir la jeune Yume, qui passait du stade de futur mère exaspérée à celui de mère inquiète…Inquiétude que jusqu’alors elle n’avait pas témoigné au petit habitant de son corps…jusqu’alors elle voulait seulement l’expulsé ce locataire et ceux sans préavis. Et maintenant voilà qu’elle ne pouvait réprimer cette boule qui se coinçait dans sa gorge ! Sur le coup elle ne pouvait faire part que tacitement de son inquiétude à Ryo en échangeant seulement quelques regards. Voilà que maintenant le médecin s’en allait en esquissant de brefs excuses pour mieux revenir 5 minutes plus tard avec un de ses confrères qui à son tour se mit à ausculter le ventre de la jeune femme, avec le même air de gravité que son collègue. Le silence qui régnait dans la salle était relativement pesant, le rendant de ce fait plus difficile à briser…Il aurait fallu être aveugle pour ne pas comprendre ce qu’il se passait et pourtant les deux futurs parents n’osaient pas rompre ce silence. Le briser c’était se reconnecté à la réalité et accepté ce qu’il passait. Pendant ses précieuses minutes de silence où l’angoisse de Yume ne faisait que croître, la jeune femme pouvait tenter de se bercer de douce illusion, tenter d’y croire encore, se rattacher juste à l’incertitude. Cependant il n’était pas vraiment possible de rejeter la réalité indéfiniment, elle finit toujours pas rattraper les illusions, et ce Yume ne pu que le constater que trop bien quand le médecin trancha ce silence, en lâchant simplement avec air désolé :

Je suis navré…mais il semblerait, ou plutôt nous sommes à peu prêt certain que le cœur de l’enfant à cessé de battre…

Et voilà victoire écrasante…écrasante…écrasantes tout…les illusions d’une seconde envolées…non écrasées…écrasées sans vie sur le sol. La réalité reprenait ses droits accablant de sa masse de certitudes l’équilibre à nouveau brisé de Yume. Entrée dans un mutisme profond les paroles réconfortantes des médecins, et l’explication des nouvelles démarches à suivre n’atteignait plus la jeune femme, comme plongée dans un état second, une transe aux allures de cocon qui la protégeait des traits meurtriers de la réalité.

Inutile de décrire ce qui fut une épreuve pénible et douloureuse dont Yume n’était alors pas vraiment consciente, passons simplement à la fin de l’accouchement…a nouveau un long silence, pas réconfortant et propre aux illusions, non. Juste froid et empreint de cette cruelle réalité, anéantissant tout mutisme et dernier espoir…c’est vrai après tout les médecins auraient pu se tromper non ? Il pouvait rester une dernière chance ? Non ? Triste silence…juste de yeux qui se ferment et écoute…écoute le silence poignant d’une réalité confuse. L’enfant ne pleurait pas. L’enfant ne pleure pas. L’enfant ne pleurerait pas. Alors ils avaient finalement tous raisons ! Tous.L’espoir n’était pas fait sur ce monde, et l’humanité qu’on plaçait dedans à vouloir croire aux beaux jours étaient vaines. La vie n’était pas juste, ni justifiée, et encore moins justifiable ! C’était donc ça l’absurdité de la condition humaine que peignaient les auteurs, tout juste un jeu aléatoires à l’issue certaine ! Une roulette russe permanente qu’on appliquait à tout et tous !

Finalement, le silence fut rompu dans la salle d’accouchement, on pouvait y entendre de traditionnels pleurs…enfin traditionnels pleurs, il est rarement commun que ces sanglots appartiennent à la mère.

Quelques heures plus tard

Inconsolable…juste imperméable à toute forme de réconfort, en même temps face à une telle situation que pouvait on faire que dire ? Surtout quand on a affaire à une inconnue, soyons réaliste seuls ceux qui auraient pu un temps soit peu la consoler, ne souhaitaient plus jamais la voir meurtrissant encore davantage le cœur de Yume. A quoi pensaient ses sages femmes en lui apportant le corps parfait de ce petit être. Ce corps parfaitement inerte, dénué de toute vie. Combien de fois avait elle souhaité que cette merveilleuse petite fille de 3.2kg disparaisse de son corps, combien de fois hein ? Et maintenant…quelle ironie morbide auquel s’ajoutait le poids d’une culpabilité en somme grotesque. Au moins les médecins avaient eu le tact de la placer dans une chambre seule, où la jeune femme ne verrait pas toutes ces mères avec leurs nourrissons…Quant à Ryo il était tout simplement introuvable.

Alors voilà au fond à quoi elle était vraiment destinée, être seule…les lois de la grammaire étaient donc incontournables, elle ne pouvait pas être seule avec eux, ni avec elle…

Etrange...
C'était le qualificatif le plus approprié pour définir sa présence dans l'enceinte de l'Hôpital de Konoha. Cela faisait plusieurs jours qu'il n'avait pas dormis, il n'avait pas pu s'accorder un moment de repos depuis son arrivée dans le village caché de la feuille et tout c'était enchainé trés vite, trop vite peut-être... La rebellion de Konoha avait touché à sa fin, il savait que son rôle dans ce coup d'état serait probablement minimisé par l'histoire mais pour l'heure la plupart des habitants du village le saluait respectueusement tandis que lui continuait de déambuler le village fermé.
Son adversaire avait réussis à s'enfuir et alors ? Tout cela importait peu par rapport à ce qu'il avait appris récemment.

Tout se mélangeait dans sa tête, la fatigue le diminuait de plus en plus à chaque minute mais quelque chose le forçait de continuer à avancer. Quelque chose qu'il pensait avoir enfoui au plus profond de lui mais qui avait pourtant dominé totalement son corps et son esprit dés qu'il eut vent de la nouvelle: Son père allait avoir un enfant, ici à Konoha...
Ne me demandez pas comment il le savait, ce serait soit trop long à vous expliquer, soit vous ne comprendriez pas totalement. Il y a des choses dans la vie qui doivent restés mystérieuses et les moyens mis en oeuvre ainsi que l'informateur serait de ceux-la. Tout ce qui comptait à présent c'était pour lui de voir cet enfant et peut-être aussi son père... Mais il ne sentait pas le chakkra de cet homme qui pourtant était de ceux que l'on reconnait vivement.
Cela amusait le Kaguya de savoir qu'il était revenu à Konoha, savoir qu'en plus il allait avoir un enfant lui donna une étrange sensation à travers le corps. Comme si il comprenait qu'aujourd'hui enfin son existence allait changer, etait-ce le point d'orgue de la métamorphose qui s'était opèré depuis son réveil à Suna ? Probablement si on considère que la boucle allait être boucler.

L'enfant d'Orochimaru était quelque part dans cet hôpital. Il le savait et il devait le retrouver. Pourquoi ? A vrai dire en tant que narrateur je n'en sais pas grand chose mais on peut penser que considèrant le Sanin comme son père Kimimaro voit en l'enfant un frère ou une soeur, mais peut-être plus que ça c'est probablement la perspective de se découvrir une famille qui fit pressé le pas au primogène du clan Kaguya. Cela peut sembler stupide pour beaucoup mais pour un homme ayant tout perdu et commençant à peine à reprendre gout à la vie il est difficile d'avancer sans être entouré. Il n'attendait rien en retour, il souhaitait juste voir l'enfant et s'émerveiller devant le miracle de la vie comme tant d'autre l'ont fait avant lui.
Il demanda son chemin à une infirmière qui errait dans les couloirs aux couleurs neutres. Elle lui répondit qu'un seul accouchement avait eu lieu ces derniers jours et lui indiqua dans quel chambre. Elle voulut ajouter quelque chose mais Kimimaro avait déjà pressé son pas et le son de sa voix se perdit dans l'édifice.

La porte de la chambre était en vue, il s'arrêta net devant elle et inspira profondémment. Ses mains tremblaient et il se demanda une dernière fois si il avait eu raison de venir. Vous savez ces moments ou l'on semble flotter hors de son corps lorsque l'on s'aprête à prendre une décision importante. Et bien c'était cela que vivait le Kaguya, il savait que ouvrir cette porte et entré allait probablement le changer à tout jamais. On peut dire qu'on est un homme bon à qui veut bien l'entendre, on peut aussi accomplir des choses que l'on qualifie de noble et pourtant... Rien n'est plus révélateur que votre attidude face à un enfant.
Il tendit l'oreille mais encore son ne sortit de la pièce, probablement la mère et l'enfant devait se reposer. Ce n'était pas trés grave il essaierait de ne pas faire de bruit afin de ne déranger personne il devait juste... Le voir...

Il passa sa main sur son visage et dans ses cheveux afin de tenter de se rendre présentable et il l'a posa sur la poignée. C'était l'instant de vérité...
La poignée s'afaissa sous la pression et la porte s'ouvra.
Allongé dans son lit, une femme au visage magnifique scrutait le ciel d'un oeil vide. La vie semblait avoir abandonné son corps et ce n'est que grace à sa respiration qu'elle se trahissait. Ses deux yeux émeraudes avait un fort contour rougeoyant et la paleur de son visage se reflétait dans le vide de son regard.
Elle ne tourna même pas la tête vers Kimimaro qui leva un sourcil l'air perplexe. Il avait probablement du se tromper de chambre aussi regarda t'il à nouveau la porte. Non il n'y avait pas d'erreur comme le confirma ce qui se trouvait juste à sa droite...

Dans un berceau il y avait un enfant, son corps était blancs, plus blanc encore que les cheveux du primogène. Aucun signe de vie ne semblait le trahir et c'est alors qu'il comprit...
L'enfant était probablement mort pendant l'accouchement et les infirmières avaient jugés bon de le laisser auprès de sa mère afin qu'elle fasse son deuil. Aucun signe d'Orochimaru, rien... Et tandis qu'il réflèchissait son monde s'écroula...

Il avait tant cru au pouvoir rédempteur de cette enfant qu'il en perdit littérallement pied. Le vertige passa rapidement et c'était la tétanie qui prenait place. Il ne pouvait détacher son regard de l'enfant qui gisait à coté.

- Je suis... Je...
Je suis désolé...

Il s'adossa contre le mur et s'écroula. Depuis combien de temps n'avait il pas pleuré ? Il ne s'en souvenait même pas, on lui avait toujours enseigné à enfouir ses sentiments et aujourd'hui il comprenait pourquoi. La souffrance qui déchirait son coeur était bien plus terrible que tout ce qu'il avait pu vivre auparavant...
Il leva la tête vers la mère de l'enfant qui le regardait à présent. Leurs regards se croisèrent et eux qui étaient de parfait inconnus partageaient une souffrance qui allait être leur lien dans ce monde...

Yume n’avait même pas entendu la lourde porte de sa chambre, les yeux rivés vers la fenêtre elle ne l’avait pas non plus vu. Mais il était fort probable que même en face de cette porte elle ait loupé l’arrivée de l’inconnu aux cheveux blancs, la jeune femme n’était pour lors juste plus vraiment connectée au monde réel, mais plutôt dans un de ces grands tourbillons où se brassent souvenirs, réflexions, peines dans un méandre infini en dehors de tout espace temps. S’isoler dans cette sorte d’univers parallèle semblait pour l’heure à l’ancienne la chose la moins dangereuse pour son fragile équilibre, mais surtout la seule issue valable.
Plongée dans cette suprême léthargie aux allures de pauses réflexives, Yume dans un rêve infinie voyait se profiler un futur idyllique qui n’arriverait jamais sans se soucier de l’intense mélancolie que provoquerait un nouveau retour à la vie. La chaleur des couvertures dans lesquelles elle était emmitouflée ne faisait que la conforter dans cette douce torpeur, au fond elle cherchait le sommeil, mais ses yeux désormais rougis ne semblaient pas vouloir se voiler, comme un refus catégorique pour grève indéterminé de larmes ! Une sécheresse lacrymale datée d’une heure, qui ne s’expliquait que par l’état semi comateux de l’ancienne future mère.

La jeune femme due cependant sortir sa léthargie quand l’inconnu se manifesta réellement, en s’adressant vraiment à elle, sans ça elle ne l’aurait certainement pas remarqué du tout. Désolé ?...ça y est un simple petit mot avait réussie à mettre fin à la sécheresse lacrymale et ses grands yeux verts s’embuaient à nouveaux, laissant mieux rouler sur ses joues pâles ses perles chaudes amères, pour mieux les laisser choir sur l’oreiller contre lequel reposait sa joue gauche. Qui était cet importun ? Qui était il pour venir la troubler encore davantage ? Yume n’avait qu’a tourner légèrement la tête pour le voir, enfin le voir, la chose se réveillait assez difficile les yeux emplies de larmes. De ce fait elle ne pouvait discerner réellement que la blancheur de ses cheveux…un vieil homme certainement, même si sa voix n’était pas celle d’une personne âgée, de toute façon la jeune femme n’avait le cœur aux analyses. Et pourtant c’était plutôt intriguant de voir quelqu’un dont ignore tout jusqu’au nom se mettre à pleurer pour une cause à première vue qu’il lui est inconnue, d’une certaine façon on aurait pu interpréter ça comme une forme de voyeurisme. Mais là encore Yume se sentait bien trop lasse et bien trop faible pour pouvoir se faire ce genre de remarque. Nan elle ne s’en trouvait qu’un peu plus déroutée. Aussi sur le coup elle n’arriva qu’à articuler que quelques paroles plus proches du bégaiement qu’autre chose :

Que ? Qui…qu’est-ce que ?...Pourquoi ?

Sa voix brisée et sa respiration plutôt saccadée ne s’harmonisait que trop bien avec cette toile de drame.

Deux solutions... Fuir et oublier ce qu'il venait de voir, n'en parler à personne et s'efforcer de garder bonne contenance face aux autres. Ou bien rester et accepter cette peine et les changements qu'elle allait probablement amener en lui. Dilemne plutôt cornélien qui trouvait sa solution dans les yeux de la jeune femme. Même si cela pouvait sembler maladroit vu les circonstances il ne pouvait pas abandonner le seul lien qu'il avait ici. Elle n'en était absolument pas consciente et elle aurait probablement du mal à l'accepter dans un moment pareil mais l'idée lui semblait être juste sur le moment. De plus il avait lui même besoin d'une bouée de sauvetage, la fatigue et les peines qui l'avaient agités ces derniers temps donnaient à toutes ses sentiments une impression d'irréalité.

- Je m'appel Kimimaro... Kaguya Kimimaro et euh... On pourrait dire que je suis lié à vous par votre mari. Il se trouve que cet homme était mon père adoptif et je l'ai perdu de vu voila plusieurs années... Je venais ici... Enfin... Je ne sais pas trop en fait...
Je crois que... Je voulais tout simplement vous connaître vous et cet enfant que je considèrais comme ma soeur... Je... Enfin, je devrais pas être ici je sais bien que vous avez envie de ne voir personne mais... J'aimerais rester à vos côtés, vous ne pouvez pas surmonter cet épreuve seule et je ne pourrais jamais me pardonner de vous laisser et de faire comme si rien n'avait eu lieu...
Moi aussi j'ai tout perdu par le passé et on m'a aidé à surmonter tout ça. Notre monde est injuste et... Enfin voila, je suis pas trés doué pour trouver mes mots mais je pense que vous me comprenez. En tout cas je l'espère... Et si vous souhaitez je peux vous laisser mais...

Il ne pleurait plus, ses yeux rougis indiquaient cependant qu'il avait toutes les peines du monde à se maîtriser afin de ne pas à nouveau fondre en larme. Mais il devait être fort pour cette jeune femme qui n'avait pas besoin d'une pleureuse à ses côtés mais bel et bien d'un soutien...

Ce type qu’elle ne connaissait absolument pas et qui pourtant pleurait jusqu’alors à ses côtés, se mettait presque à se livrer devant elle, pauvre petite Yume, à la vue encore une nouvelle fois brouillée par les larmes. C’était vraiment curieux comme situation. Oui curieux c’était bien le mot. Curieux. Cet inconnu répondant au prénom de Kimimaro, lui parlait d’une histoire qui était vraiment, mais alors vraiment inconnu à la jeune femme, et surtout qui semblait des plus irréalistes ! Selon lui Ryo, le père de la fillette, avait été son père propre père adoptif. Vraiment curieux, surtout que Ryo n’était pas vraiment plus âgée que Yume, on pouvait donc difficilement croire qu’il ait recueillie une personne paraissant clairement plus vielle que les deux parents. Le pauvre devait faire erreur, il avait simplement dû se tromper de chambre, ça le soulagerait certainement beaucoup d’entendre la vérité sortir de la bouche de Yume, et pourtant celle-ci resta close, la jeune femme refusait simplement de lui dire.

Pourquoi ? Par égoïsme, désespoir, ce genre de chose, comprenez bien que cet homme lui proposait de rester près d’elle, de l’aider à surmonter cette épreuve, ce jeune homme aux cheveux blancs étaient simplement la mains qu’aucune des sages femmes n’avaient réussi à lui tendre. Ce Kimimaro ne lui promettait rien, ne la berçait pas de paroles réconfortante il lui proposait juste d’être là. Alors ouis il fallait être un sacré monstre d’égoisme pour maintenir quelqu’un dans ce cruel mensonge, mais Yume refusait simplement d’être à nouveau seule. Le jeune homme avait réussi à tempérer ses larmes, Yume tentait d’en faire de même en tamponnant doucement ses yeux pour faire disparaître toute trace d’eau, ne laissant derrière elle qu’un sillon rouge bordant l’émeraude de ses yeux. Il fallait qu’elle lui réponde maintenant…sa voix tremblerait, elle le savait pertinemment, aussi il valait mieux choisir l’économie de mots :

Non…je veux que vous restiez encore prêt de moi…s’il vous plait…je ne veux plus être toute seule...s'il vous plait...

Les grandes portes de l'Hôpital de Konoha s'ouvrirent, laissant entrer deux ombres de plus a ajouter a la liste des patients dans la nuit tombante. A l'extérieur, il faisait un noir si sombre que même un chien ninja de pourrait s'y repérer. A l'intérieur, il faisait si clair que Genma fermait les yeux pour ne pas se bruler la rétine. A peine fut-il entré, son élève Alfakyn dans les bras qu'un médecin le pris en charge.

"Genma-Sama? Cela fait plusieurs années que vous n'avez pas remis les pieds dans cet Hôpital que vous avez fondés... Qui est cet homme, il n'a pas l'air d'aller bien. Quand à vos veines... Vous avez... Utilisés un produit dopant ou ouvert des verrous de chakra, n'est-ce pas? Vous avez mis votre vie en danger?

-Tout va bien pour moi...Ne vous en faites pas... Tatsumi-chan... Occupez-vous de... Lui... Puis de... Moi...

-Nous ne pouvons pas vous laisser dans cet état, vous le savez mieux que quiconque ici même, le fait de rester sous l'emprise de ce que vous avez fait ne fera que détruire votre corps. D'après mon diagnostic physique et les symptomes que vous présentez, vous avez ingérés l'une de ces pillules de votre fabrication, n'est-ce pas?

-Oui...

-DEMANDE D'URGENCES, FAITES VENIR LES SECOURS MEDICALISES !"

La voix rauque et faible de Genma se perdait entre ses respirations qui étaient de plus en plus fortes: l'effet néfaste des pillules se produisait a présent. Le Médecin fit un signe d'appel a d'autres qui arrivèrent munis de brancarts. Tout devint flou dans le visage du Jônin qui perdit connaissance a ce moment précis de l'histoire...

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