Naruto Ultimate - RPG Le N°1 des forums Rôle Play Naruto francophones ! Version 9.0 |
|
| Horai Ilakar | |
| | Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Horai Ilakar Mar 19 Juin 2007 - 0:07 | |
|
Présentation
[color=green]Nom:Ilakar
Prénom:Horai
[color:ed57=green:ed57]Age:15 ans
Physiques Horai a les cheveux verts, les yeu verts et des vêtements verts. (En gtos, il aime le vert xD). Il court très vite, il porte aussi un collier avec un médaillon vert. Il est plutôt beau ce qui fait craquer la gente feminine. Il tient aussi tout particulièrement a son médaillon qu'il porte autour du cou.
Qualités: Horai est stratégique. Il l'a déjà montré dans des entrainements en famille.
Defaut:Il est plûtot avard. Pas au niveau de l'argent, mais aux niveaux de ses habits, de ses objets personnels.
Peur:Horai a peur du kazekage, normal puisque c'est le meuilleure ninjas de Suna. Et il a peur de mourrir.
~~ L'histoire ~~
Horaï Ilakar -Introduction- Devant les grandes portes de Suna, un jeune homme se tenait tranquillement debout, calme, respirant un air chaud, presque brûlant. Celui-ci était de taille moyenne et de corpulence normale. Il avait sur sa tête une sorte de chapeau, long et large, on aurait dit un magicien d’ailleurs, avec son costume noir et blanc, ses gants parfaitement ajustés et ses chaussures cirées à l’extrême. Cela semblait spécial comme style et il était bizarre de voir une personne habillée de la sorte hors d’un cirque… Ne voyant pas ses cheveux l’on pouvait tout simplement dire qu’en dehors de ses vêtements il était doté d’yeux verts émeraude et qu’il avait une peau blanche. Hormis cela il semblait se contenter comme accessoire d’une sorte de bâton noir qu‘il portait sur son épaule droite, typique des magiciens, mais aussi de cartes à jouer. Cela présageait sûrement quelque chose de mystérieux et sous ses artifices pouvait se trouver un secret bien lourd à porter… Pour le moment le jeune homme ne faisait pas grand-chose et restait en quelque sorte immobile face aux portes de Suna, jouant avec ses cartes et s’amusant à faire tournoyer son bâton, mais Horaï Ilakar, car il se nommait ainsi, savait ce qu’il faisait et tout ces faits et gestes étaient soigneusement calculé pour enclencher une alarme chez les gardes censé l‘accoster dans quelques temps. Apparemment l’étranger réfléchissait intensément à quelque chose, mais à quoi? Pendant que notre pseudo magicien plonge dans ses pensées allons faire une visite guidée de son passé ainsi que de son présent… Le futur sera , lui, conté plus tard…
-Chapitre I : Les Ilakar, histoire et secrets- Tout d’abord il faut prendre les choses par la racine, c’est-à-dire le clan Ilakar. Un clan qui n’est pas considéré comme tel car ils ne comptent pas seulement des ninja. Voici l’histoire de la création du clan : Au début était un homme, Kiro Ilakar, un homme doué pour le jonglage et tout ce qui touchait au cirque mais qui avait pour ambition de devenir ninja, oui car il avait, comme toute personne, plusieurs passions qui, malheureusement, n’étaient pas compatibles. Sa famille approuvait ses deux passions mais pensait qu’il ne pourrait jamais assouvir les deux, tout comme Kiro qui savait qu’un choix devrait s’imposer un jour ou l’autre. Il fallait donc qu’il prenne une voie, et malgré que de devenir ninja était beaucoup plus noble le jeune homme n’arrivait toujours pas à se décider au bout de plusieurs mois. Il décida alors de briser les idées fausses qui disaient que l’on devait choisir une seule voie et monta un clan secret, avec ses frères et sœurs, en essayant du mieux que possible d’instituer une organisation sans faille… Fut alors créé un concept très particulier : Toutes les décennies serait élu dix membres de la famille Ilakar pour ensuite se faire envoyer dans chacun des villages caché du monde, beaucoup d’entre eux finiraient donc ninja mais la plupart resteraient des artistes car c’était là la double particularité du clan, non seulement tout les membres ne devenaient pas ninja mais en plus il se trouvait que chaque Ilakar avait des prédispositions et pour le cirque et pour le Ninjutsu. Ce système permettait donc de créer une polyvalence au sein du clan Ilakar, mais c’était sans compter les mauvais plans de certaines personnes. Oui, car le clan avait bien des ennemis, être une famille comptant à la fois des ninjas ainsi que des personnes d’une compagnie de cirque se trouvait être très mal vu dû au fait que dans certaines familles il était impossible d’avoir des membres ayant autant de possibilités.
Ce fut donc à cause de cela que des clans presque morts s’attaquèrent à la lignée Ilakar… Certains essayèrent de s’infiltrer, d’autres attaquèrent de front, plusieurs décidèrent tout de même de créer des alliances mais il n’y avait rien à faire, ce clan comptait des ennemis, et bien plus que Kiro ne le croyait. Se déroula donc, durant une année entière, un face à face entre le clan secret des Ilakar et le clan Abumi, une lignée dont les membres arrivaient à contrôler le son mais qui comptait de moins en moins de ninja. Pendant cette fameuse année éclata donc une guerre, au début les pertes furent minimes, les clans alliés venaient en aide et au sein même du désert de Suna les missions de reconnaissance se multipliaient. Puis, au fur et à mesure des mois, le manque d’homme se fit sentir et, à l’ombre de tout les regards, Kiro décida de faire un pacte avec le clan Abumi. Tordu cet homme n’est-ce pas? Et bien il était clair qu’à ce moment là il n’avait pas la tête sur les épaules, mais il pensait à sa famille et au même moment à sa propre personne, ce clan qu’il avait créé, il ne voulait pas le voir sombrer. Il signa donc un accord qui proclamait les deux clans comme « mariés », cela signifiait en fait que les membres respectifs du clan se marieraient entre eux pour assurer en quelque sorte une descendance. Le clan Abumi était parfaitement d’accord, mais c’était sans compter sur la fierté des Ilakar qui ne voulaient rester qu’entre eux, sans faire intervenir qui que ce soit au sein de leurs lignée. Mais les membres réticents à cette idée durent bien vite se rendre à l’évidence : Ils étaient de moins en moins nombreux, il fallait donc commencer une restauration du clan tout de suite pour ne pas sombrer, même si en l’occurrence le clan Ilakar était secret et que personne ne se préoccupait donc de son avenir…
Les membres des deux clans commencèrent donc à former des couples et survint, sans que personne n’y soit préparé, une trahison, vous savez, une de celle qui est mijoté très longtemps et qui sert à exterminé une lignée entière. Cette trahison avait pour but de semer la zizanie au sein des Ilakar et ainsi ne plus avoir à faire à ce clan pour les temps avenir…
C’était une nuit sombre, au dessus d’un des grands ponts de Kiri, alors que Kiro, pratiquement âgé de quatre-vingt ans, avait fondé une famille et comptait douze petits enfants, il fut assassiné lâchement par un dénommé Tor Abumi à ce que disait la rumeur. Mais, au lieu de décimer le clan, l’assassinat du créateur de celui-ci rendit encore plus soudé les membres de la lignée. Après ce terrible drame les Ilakar décidèrent donc de se mettre à l’ombre et de rester à l’abris du regard des autres. A partir de ce moment les actions du clan se feraient secrètement, sans que personne n’en sache rien… Les membres auraient même une couverture sous laquelle ils devraient se résoudre à vivre…
-Chapitre II : Un amour tragique, sacrifice et division- Alors que le clan vivait dans l’ombre, un Ilakar décida de briser le cauchemar qu’il vivait, car vivre sous un faux nom n’était pas une mince affaire et il fallait non seulement se faire passer pour quelqu’un d’autre mais en plus se couper du monde… Cette situation commençait à devenir insupportable pour un certain homme : Arito Ilakar, de son faux nom Horto Vilto, Jounin de Suna. Il avait pour projet d’épouser une jeune femme qu’il avait rencontré mais en dévoilant sa véritable identité, ce fut pour cela qu’Arito se trouva dans une situation très délicate : Soit il avouait à son clan son amour et il était banni du clan, sinon une autre solution, plus lâche mais courageuse tout de même, s’offrait à lui, il pouvait s’enfuir à jamais avec son adoré pour essayer de restituer l’honneur de son clan et montrer que celui-ci existait toujours. Arito opta pour le second choix…
La femme qui avait fait tombé l’Ilakar se prénommait Karui Ebu, celle-ci était issu d’une famille de bibliothécaire et semblait capable de tout pour son futur mari. Elle accepta donc de partir, laissant sa famille seule, dans les bras d’Arito. La préparation du voyage c’était préparé très vite. Ils avaient apportés comme provision quelques plats tout prêt ainsi que des couvertures bien chaudes, ajoutez à cela une tente et quelques petites bricoles utiles à tout voyages. Les deux tourtereaux avaient décidé de se faire la malle pour se rendre dans un endroit neutre, sans ninja, pour pouvoir s’épanouir pleinement. Mais malheureusement Ilakar se voulait être un ninja déserteur et il était à présent d’aucune utilité pour quel nation que ce soit… Il dû donc se résoudre à assouvir une seconde passion, celle du cirque…
Une fois arrivé au pays de la pluie, les amoureux décidèrent de se marier et de s’installer. Leur mariage se déroula parfaitement bien, malgré le peu d’invité. Mais ce ne fut pas de même pour la nuit de noce, non seulement il y avait eut beaucoup plus de monde qu’au mariage mais non seulement il se trouvait que cet évènement allait très mal tourner. Il avait suffi seulement de quelques mois pour que les Ilakar découvrent la nouvelle trahison qu’ils subissaient… Ceux-ci décidèrent donc de s’inviter à la nuit de noce des jeunes mariés, ce fut à ce moment là qu’un évènement tragique se produisit : La mort d’Ilakar, l’assassinat d’un Ilakar par d’autres ninjas de la même lignée. On pouvait donc se demander à ce moment là si cela n’avait pas été calculé par le clan Abumi, car maintenant il était clair que la division du clan était proche, très proche même, mais quelqu’un arriverait un jour ou l’autre à restituer l’ordre…
Le clan avait perdu un membre, Karui un mari. Heureusement, personne ne le savait encore, mais la jeune veuve se trouvait être enceinte, le sacrifice n’avait pas été effectué pour rien : Une nouvelle génération d’Ilakar allait faire son apparition. Pour le moment il était clair qu’il fallait penser à soi, maintenant que le clan Ilakar était au courant de l’existence de Karui elle allait devoir faire très attention. Mais puisque le clan ne s’était pas encore attaqué à elle alors qu’elle avait été à porté de main lors de la nuit de noce on pouvait en conclure qu’elle ne risquait rien, pour le restant de ces jours.
La jeune femme décida donc, seule, enfin, avec un fœtus dans le ventre, de faire le voyage qu’elle avait accompli dans l’autre sens pour pouvoir retourner auprès de sa famille et ainsi se rendre compte de l’erreur qu’elle avait put accomplir… Et tenir compte de cette expérience…
-Chapitre III : L’enfant du cirque, un magicien, un ninja- Quelques mois après s’être enfui du pays de la pluie et avoir perdu son mari, la jeune femme se retrouva donc au village de Suna, complètement déboussolé par ce qui lui était arrivé durant sa cavalcade. Sa famille n’était pas empathique aux douleurs de la jeune femme, mais quand ils comprirent que Karui était enceinte ils commencèrent tout de même à prendre soin d’elle. L’enfant était donc attendu par tout le monde et une descendance allait être assuré, sans doute pour le bonheur de tout le monde…
Ce fut donc quelques mois d’attentes que le bébé arriva. C’était un garçon, la jeune femme décida de l’appeler Horaï, un hommage au feu et à la foudre qui signifiait bien des choses, et notamment le fait que la jeune maman voulait que son enfant suive les traces de son père. Le feu représentait donc le courage et la foudre représentait, elle, la force futur du nouveau née. Horaï avait donc tout pour devenir un ninja d’exception, à condition qu’il soit élevé dans de bonnes conditions et avec la vérité pure de ce que son père avait dû subir…
Le nourrisson fut tout d’abord, dès sa naissance, comblé, pour le moment il n’avait pas l’air de se rendre compte du manque de quelqu’un indispensable à toutes personnes au sein d’une famille : le père. Sans père l’on pouvait sans doute vivre mais pas apprendre à faire face à toutes les faces de la vie, même si certaines pouvaient être justement confrontés lorsque l’on avait un être chère manquant dans sa vie, comme la solitude, ou encore le manque de confiance en d’autres personnes… Bref, il était clair que dans la vie d’Horaï, le manque de père aurait un effet considérable… Et puis il y avait un clan qui serait sans doute confronté, un jour ou l’autre, à la réalité des choses, le fait qu’Arito ait une progéniture était sans doute une mauvaise chose pour les Ilakar qui semblait toujours garder leur existence secrète.
La croissance d’Horaï se passa pour le mieux, chaque membre de sa famille l’initiait aux joies de la lecture, il était de plus, en quelque sorte en tout cas, idolâtré par la famille qui le chérissait tant. Ses dons se faisaient de plus en plus voyant et sa passion pour le cirque commença dès son plus jeune âge. Sa pratique préféré était la prestidigitation et du coup il s’amusait souvent à faire des tours à ses amis à qui il apprenait à faire la même chose juste après, mais tout le monde n’avait pas la dextérité des Ilakar. Un peu plus tard, vers l’âge de six ans, Horaï commença ensuite à utiliser le chakra pour faire ses tours, il ne connaissait pas tout de cette énergie mais savait qu’il y avait quelque chose de magique et subtil sous cette appellation. Le jeune enfant commença donc à se poser des questions dès qu’il eut le pouvoir d’acquérir le chakra, qui d’ailleurs, était d’une couleur assez spéciale et peu courante : Verte, la couleur du chakra des médecins…
Au sein de la bibliothèque de Suna l’enfant eut droit à des réponses à ses questions, il apprit donc beaucoup de choses sur le chakra et son fonctionnement. Mais il semblait aussi que les dons de ninjas étaient héréditaires, et alors qu’Horaï se posait des questions sur ses ancêtres, il se demanda pourquoi il n’avait pas de père. Il ne s’était jamais vraiment posé la question et maintenant il se demandait bien pourquoi il se questionnait sur ce sujet. De plus il s’agissait là non pas d’une question de pure connaissance mais aussi sentimentale, cela pourrait non seulement lui apprendre plusieurs choses sur ses réelles racines mais aussi lui faire comprendre pourquoi il a ce comportement et celui des autres est d’une telle gentillesse et compréhension. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Horai Ilakar Mar 19 Juin 2007 - 0:07 | |
| [color=lime] [color:8046=lime:8046]-Chapitre IV : A la recherche du clan, aventure et découverte- C’était lors d’un dîner, Horaï était alors âgé d’une dizaine d’année, il n’avait encore jamais évoqué son père. Peut-être que sa mère allait mal le prendre, peut être serait-ce le contraire…
« Maman, dis moi? Pourquoi j’ai pas de papa? » La mère sourit alors à la question, elle pensa à son amour perdu qu’elle n’avait d’ailleurs jamais remplacé.
«Hé bien, je me demandais quand est-ce que tu me poserais la question… Bon, je vais tout te raconter, » « point par point… » Karui raconta à son fils l’histoire du clan Ilakar, elle lui fit aussi part des idéos de son père ainsi que de son assassinat… Après ces révélations Horaï fut complètement bouleversé, il avait donc une famille caché, qui plus est de ninja. Il fallait absolument tout faire pour retrouver ce clan, en tout cas essayer de restaurer l’honneur des Ilakar tout comme son père voulait le faire auparavant.
Horaï attendit donc trois ans, trois ans à attendre, à faire des recherches sur ce fameux clan secret… Au bout de ces trois années Horaï décida de faire le premier pas, il fallait qu’il retrouve les traces de ce clan qui semblait, en apparence, avoir disparu. L’anniversaire des ses douze, Horaï annonça son départ proche à la recherche de son clan, ce qui serait sûrement fastidieux, mais le jeune homme voulait faire ouvrir les yeux aux membres de la lignée. Il fallait retrouver l’honneur perdu au cours des années et restaurer ce nom défraîchit par le temps. Cette mission serait sûrement périlleuse et rien ne présageait un parfait accord avec les projets du fils d’Arito…
Cela faisait maintenant deux mois que le jeune homme avait décidé de quitter Suna pour partir à la recherche du clan, mais selon ses recherches et les informations que lui avait apporté sa mère il lui semblait qu’il pourrait trouver une aide précieuse au sein de Suna, sans doute des ninjas du clan Ilakar caché sous une couverture. Horaï décida donc de chercher ceux-ci pour avoir un appui lors de son périple. Malheureusement il ne trouva pas tout de suite ce qu’il voulait et il lui fallut une année entière d’investigations intenses pour trouver seulement un Ilakar. Celui-ci était reconnaissable car ses talents d’acrobates étaient réputés dans le village entier. Ce n’était qu’un Genin mais cela suffirait, il s’appelait Keryu… Ce ninja n’était pas très sûr que les projets d’Horaï puissent fonctionner mais il était d’accord sur un point : Mentir à son village n’était pas une bonne chose, il allait donc aider notre jeune héros…
A travers les déserts, les mers et les forêts, les plaines ainsi que les montagnes, les deux compagnons marchaient, ils étaient apparemment tout deux décidé à montrer au clan que ce n’était pas vraiment une bonne idée de se faire passer pour d’autres personnes. De plus il était indispensable de reconstituer ce qui était jadis un pilier du clan, le cirque… Une fois ces projets assouvis Horaï pourra être fier de lui et son père pourra reposer en paix… Ce fut donc après maints voyages que les deux Ilakar purent se retrouver en face du repère secret des leurs. Nous ne dévoilerons ici pas sa position pour une raison de sécurité…
Une fois à l’endroit qu’ils cherchaient depuis tant de temps ils purent donc faire face à plusieurs des membres du clan. On demanda alors à Keryu ce qu’il faisait ici et pourquoi il avait amené un inconnu. Le Genin fit signe alors, avec un mouvement très élégant, à Horaï de commencer. Un long discours commença :
« Vous vous demandez sûrement ce que je fais ici, au sein de l’antre secrète de votre clan… Le clan » « Ilakar. Et bien sachez que je viens restaurer l’honneur de notre noble lignée, ou, je dis bien notre, car » « je suis le fils d’Arito Ilakar, qui a voulu durant toute sa vie honorer son clan… Malheureusement » « tout le monde n’était pas de cet avis… Pourquoi se cacher, pourquoi mentir à tout le monde et » « essayer de disparaître aux yeux de tous. Jusqu’à quand allons nous rester dans l’ombre, essayant de » « sombrer dans l’oubli. Ce que j’essaye de vous dire est que ce n’est pas parce qu’un clan compte des » « ennemis que celui-ci doit se couper du monde, au contraire, nous devons nous confronter au » « danger et essayer de tout faire pour rester fier et humble face à des adversaires tout simplement » « jaloux de nos capacités. Vous me prendrez sans doute pour quelqu’un d’insensé, mais si je suis » « venu ici c’est parce que je vous fais confiance et qu’au fond de moi-même, je sais que vous avez » « toujours voulu ce que mon père à essayé de défendre jusqu’à la fin de sa vie : L’honneur… Alors » « que vous soyez ninja, jongleur, magicien ou quoi que ce soit, sachez qu’en aucun cas nous n’avons » « le droit de passer outre les raisons de l’existence de ce clan, et c’est pourquoi je suis aujourd’hui, » « alors s’il vous plaît, écoutez moi… Ce n’est pas parce que je suis jeune que je ne suis pas doté de » « bon sens, je sais que cela sera très dur de refaire surface dans le monde des ninjas mais si nous » « essayons ensemble nous pouvons le faire… » Une fois le discours d’Horaï terminé, tout le monde se tût, et quelqu’un applaudit : C’était bien sûr Keryu. Tout le monde suivit alors le genin et dans un tonnerre d’applaudissement le clan pût commencer à retrouver son honneur. Pour le moment il fallait d’abord à changer quelques petites choses qui permettraient aux Ilakar de prendre leurs ampleur. Tout d’abord il fallait que les examens permettant d’élire de nouveaux ninja soit accomplis tout les cinq ans et non toutes les décennies. Il faudrait de plus choisir non pas deux ninjas par village mais trois pour remplir au plus vite les nations d’Ilakar… Pleins d’autres réformes allaient sans doute suivre, en tout cas, pour le moment il fallait se préparer à la prochaine élection qui s’accomplirait dans seulement une année… Cela laissait donc peu de temps au jeune homme pour se préparer.
-Chapitre V : La préparation, entraînement et pouvoir- Tout de suite après la découverte du clan, Horaï Ilakar décida de se mettre à la recherche d’une personne capable de lui apprendre les bases des connaissances ninja, il allait donc falloir avaler des tas de livres parlant de théorie. Au pire le futur ninja pourrait trouver cela au sein de la bibliothèque de la famille de sa mère. Mais la théorie ne suffisait pas et il fallait aussi apprendre au jeune homme les ficelles du métier et donc tout ce qui était contrôle du chakra ainsi que contrôle des armes. Tout cela serait sûrement appris en vitesse mais quand on entrait au sein d’un village d’étudiant seule la motivation comptait, la force et les connaissances étaient secondaires… Et ce fut bien sûr, comme vous vous en serez douté, Keryu qui accepta de prendre Horaï sous son aile.
L’entraînement commença tout d’abord lorsque nos deux acolytes se mirent en route vers Suna, il y eut alors plusieurs exercices accomplis tels des lancers de kunai qui avaient en général pour cible de gros gibier, puis de plus en plus petit pour affiner la précision, et enfin les yeux bandés pour essayer de sentir, simplement grâce aux sensations ou aux odeurs, l’emplacement d’un adversaire. Horaï pût aussi s’exercer, durant ce voyage, au maniement du bâton, une arme qu’il affectionnait tout particulièrement d’ailleurs. Ce fut donc lors de cette périlleuse avancé qu’ils commençaient à connaître par cœur que les deux jeunes gens purent s’échanger leur savoir. Car non seulement Horaï assimilait ce que lui apprenait son maître mais Keryu se faisait lui aussi beaucoup de bien car il réapprenait ce qu’il avait appris il y a déjà quelques temps pour le restituer.
Une fois rentré à Suna, Horaï fut accueillit par sa famille du mieux que possible et Keryu pu recevoir le même traitement de faveur dû au fait qu’il avait pris soin de l’enfant prodigue. Juste après leur arrivée, festive et heureuse, les deux jeunes gens recommencèrent de suite à se mettre au travail. Tout d’abord ils étudièrent plusieurs choses, notamment les différentes, voies possible. Oui car il fallait tout de même bien réfléchir avant de se lancer dans l’aventure de la voie ninja, de plus il n’était pas dit qu’Horaï soit élu alors autant mettre toutes les chances de son côté. Une fois les recherches terminées le jeune homme en conclut que sa voie serait la médecine. Celle-ci était celle qui correspondait le plus au Ilakar, une force hors du commun mêlé à des capacités intellectuels tout aussi spectaculaire. Bien sûr il y avait des défauts dans cette voie, mais comme pour toutes d’ailleurs…
Maintenant il était de devoir de Keryu d’enseigner à son élève éphémère les bases de l’art qu’était la tactique ainsi que les fondements des connaissances du clan. Pour cela il allait falloir faire beaucoup d’efforts d’assimilation. Mais de toute façon Horaï était prêt à tout pour arriver à ses fins et réussir l’élection des ninjas au sein des Ilakar. Les deux amis commencèrent donc tout d’abord par étudier les théories sur la tactique lors de combat, notamment lorsque l’on était dans l’impossibilité d’utiliser des techniques utilisant du chakra. Il était souvent décrites des actions simples comme le camouflage ou encore l’utilisation de subterfuges tels que des appâts… Puis, une fois toutes ces différentes tactiques assimilées, Horaï commença à se pencher sur le clan et ses techniques.
Commença alors une longue et fastidieuse recherche que le jeune homme décida d’accomplir sans l’aide de son ami genin. Horaï connaissait plusieurs choses sur le clan, et notamment sur son histoire et son fonctionnement, mais les techniques, elles, étaient complètement passés au dessus de la tête du Ilakar. Il fallait donc toutes les étudier pour avoir le plus d’éléments possibles en cas d’affrontement contre un membre du clan expérimenté. Malheureusement Horaï ne pouvait trouver son bonheur n’importe où car les techniques de clan étaient souvent bien gardé par des personnes hors de porté et les trouver était sûrement assez compliqué, mais en plus leurs obligé à révéler certains secrets relevait de l’impossible. Comme d’habitude lorsqu’il était coincé quelque part, Horaï décida d’aller demander conseil à sa mère…
« Maman, crois-tu que je pourrai trouver les techniques du clan Ilakar quelque part, je les cherche » « désespérément et malheureusement je n’ai aucune piste, sauf toi… » « Ah, et bien dis moi, tu t’intéresse de près à ton clan. J’espère que l’élection des Ilakar se passera » « bien pour toi, et, pour ce qui est des techniques, sache que je les ai… » « Quoi, mais, comment as-tu fais, elles sont censés être secrètes… Maman!!! »
« Houlà, du calme, je t’explique… Ton père, qui avait rompu avec son clan il y a bien longtemps, avait » « tout prévu pour une éventuelle progéniture et du coup il m’avait fait part d’un parchemin qui servirait » «à perpétuer le patrimoine du clan… Viens avec moi, je vais te passer ce fameux parchemin… » La mère et son fils s’en allèrent ensuite vers la bibliothèque familiale, une fois là-bas Karui actionna un mécanisme dévoilant une salle avec beaucoup de parchemins ainsi que des photos d’Horaï, mais aussi de son père…
« Ici c’est mon bureau personnel, chaque membre de notre famille en a un pour ses recherches » « personnels… Alors voilà, ici se trouve mon bureau personnel, tu en auras sûrement un pour tes » « études de ninja que la famille te délégueras, pour le moment je te fais don du parchemin que ton père » « m’a offert… » Après cette découverte spectaculaire, Horaï fut complètement déboussolé, il allait donc avoir droit à une sorte de centre de recherche pour tout ce qui aurait attrait à ces études, et donc, comme il le voulait, au monde ninja… Ce serait sûrement fabuleux d’avoir une salle où étudier seul mais pour le moment la priorité était à l’étude du clan Ilakar.
Horaï pût donc faire plusieurs découvertes fabuleuses : Il y avait des tas de techniques, et non pas seulement faites pour tout les ninjas. Non, depuis la création du clan avait été apparemment créé plusieurs classes de techniques. Celles utilisant des balles ou des flambeau de jonglages, d’autres utilisant les cartes à jouer, d’autres se trouvant être axé sur la blague et l’art du clown… Bref, une artillerie complète se trouvait composer l’armada des Ilakar. Une fois les connaissances avalés le jeune homme pût se rendre à une évidence : Il était prêt… |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Horai Ilakar Mar 19 Juin 2007 - 0:08 | |
| -Chapitre VI : L’élection, épreuves et verdict- Le moment tant attendu était donc en train d’approcher à grand pas, Keryu et Horaï s’étaient préparés pour le voyage qui, pour eux, étaient maintenant un parcours pratiquement facile. L’élection, personne ne savait comment elle allait se dérouler encore. Les épreuves allaient être tirés au sort, elles étaient en général au nombre de trois : Une épreuve intellectuelle, une épreuve physique ainsi qu’un épreuve dites, de clan…
Une fois arrivée au repère du clan, Keryu et Horaï demandèrent à plusieurs personnes où est-ce qu’ils devaient se rendre pour passer l’élection. On leur annonça que le tirage au sort des épreuves allait se faire dans peu de temps et que les épreuves, elles, commenceraient le lendemain, le temps pour les candidats de se préparer mentalement sans doute. Horaï se présenta donc comme candidat à l’élection et pût assister au fameux tirage aux sorts des épreuves. Il y avait une vingtaine de candidat, et pour seulement quinze place car il y aurait trois ninjas envoyés dans chaque villages cachés.
C’était dans une salle propre, richement décoré, des rideaux pourpres rendaient l’atmosphère assez sombre. Plusieurs personnes, apparemment haut gradés dans la hiérarchie ninja, se trouvaient prendre place au sein de fauteuils ressemblant étrangement à des imitations de trônes. Des personnes importantes en sommes. Elles se levèrent une par une pour faire une sorte de discours, notamment sur les récents événements qu’avait provoqué Horaï et donc sur les nouvelles réformes. Puis, les personnes que l’on appelait, apparemment, les membres du conseils, décidèrent de procéder au dépouillage des épreuves. Une personne se leva donc de son fauteuil. Le cœur d’Horaï battait la chamade, il lui semblait que son sang allait d’un instant à l’autre sortir de ses veines… Les mains du membre du conseil attrapa un bout de papier rouge, qui vira ensuite au blanc. La personne lut ensuite ce qui était inscrit sur le papier :
« L’épreuve consistera en un Labyrinthe géant… » « Les modalités de l’épreuves vous serons fournis demain, à l’aube, soyez présent… » « Et surtout gardez vous bien d’apporter quelques provisions. » « Vous risqueriez d’appâter les prédateurs… » L’épreuve consisterai donc en un labyrinthe géant. Mais que faudrait il accomplir au sein de cet enchevêtrement sans fin? Sortir, Trouver un objet… Pour le moment aucun candidat ne savait ce qu’il allait devoir accomplir et c’était cela qui était le plus inquiétant. Tout le monde était pensif à l’idée de ce labyrinthe. Ce serait sans doute un Genjutsu en tout cas, car pour construire un labyrinthe il fallait s’y mettre plusieurs années avant. Ces prédateurs en question seraient donc, sans doute, des illusions créé pour tromper les candidats dans leur quête. Cette première chose était facile à examiner vu que le membre du conseil n’avait parlé que de cela dans son énigme de fortune… Sans doute fallait il apporter de la nourriture si ce raisonnement était le bon. Pour le moment il était d’une grande importance d’aller se reposer pour être en pleine forme le lendemain. Ce fut sous un arbre que le jeune homme pût se reposer toute la nuit, pensant alors à ce que sa vie pourrait lui apporter une fois ninja… Il rêva donc toute la nuit de ces escapades, des missions ainsi que des guerres. Tout cela était vraiment intense selon Horaï, et le fait de protéger son village jusqu’à la mort était pour lui quelque chose de très excitant… c’était sans doute pour cela que le jeune homme c’était présenté à cette élection. De plus, le Ilakar voulait aussi restaurer l’honneur de son clan et le rendre plus prospère que jamais. Le rang? Cela important peu à Horaï, la seule chose qu’il projetait était de devenir au minimum Jounin… Ce serait le rang le plus prestigieux pour lui. Pouvoir être en charge d’une équipe et de la mener à la réussite, transmettre son savoir… C’était cela que le futur ninja voulait atteindre comme rang dans la hiérarchie… Doucement, lentement, les pensées l’envahir… Horaï sombra ainsi dans un rêve… Le rêve…
Il se trouvait devant plusieurs portes, cinq exactement, comportant chacune un des symboles des villages ninjas. Il fallait apparemment choisir… Horaï, toujours dans son rêve, décida de se prêter au jeu et choisit alors la porte représentant le village de Suna. En ouvrant celle-ci le jeune homme se sentit aspiré. Il était littéralement emporté par une force qui lui semblait infini. Dans son inconscient, le Ilakar décida de ne pas résister. C’est ainsi que le jeune homme se retrouva au sein d’un labyrinthe. Personne à l’horizon. Mais comment cela était-il possible? C’était-il levé pour participer à l’épreuve? Non, la seule chose dont le jeune homme se souvenait c’était qu’il avait sombré dans un sommeil profond… Mais alors… Oui, c’était donc cela l’épreuve tant attendu. Un Genjutsu de rêve. Horaï Ilakar se trouvait donc, en ce moment même, en train de rêver et en même temps de passer l’élection des Ilakar.
Une lumière apparut en face de notre héros. Cette lumière se matérialisa ensuite en une personne qui fit part à Horaï de ce qu’il allait devoir accomplir :
« Toi, Horaï Ilakar, sans qui le clan ne serait plus, ton épreuve sera celle-ci : » « Au sein de la toile d’araignée, trouve la fleur qui te sortira de ce mauvais pas » « Mais attention à bien faire ton choix, car si celui-ci s’avère incorrect, à jamais perdu tu seras » Puis l’homme qui avait énoncé l’épreuve s’en alla dans un halo de lumière, laissant Horaï sans indice. Apparemment, si l’on décomposait ce que le membre du conseil avait énoncé, il fallait trouver une fleur, une fleur dont la fonction serait de nous sortir de « ce mauvais pas », ce qui voulait sans doute dire de ce labyrinthe. Donc la toile d’araignée était sans doute une métaphore symbolisant elle aussi ce labyrinthe, ou encore le rêve… Mais les deux étaient confondus ici. Mais cette fleur, que signifiait-elle, peut être que ce mot était à prendre au sens littéral. En tout cas, si c’était le cas, il fallait très vite commencer les recherches.
Ce fut donc après avoir réfléchit intelligemment que notre héros décida de commencer sa quête vers cette fleur. Et puis apparemment il y en avait plusieurs, il allait donc falloir faire très attention dans le choix final. Mais en chemin Horaï pût se rendre compte de quelque chose, si l’on en jugeait par ses recherches post-élection, et bien lors de l’examen il y avait trois épreuves : Une intellectuel, que le jeune homme venait sûrement de résoudre avec l’énigme, une épreuve physique, une qui se déroulerait dans quelques temps sans doute et enfin une épreuve concernant le clan… Cela manquait apparemment dans l’élection, mais à ce moment là Horaï eut une illumination : La fleur, n’était-ce pas là une façon d’appeler les trèfles des cartes à jouer. C’était sans doute cela qui concernait le clan… Et puis le bon trèfle serait sans aucune hésitation un trèfle à quatre feuilles… Il fallait donc trouver un trèfle de cette sorte, très rare d’après ce qu’en disait les personnes à la recherche de ceux-ci qu’étaient les médecins…
Il restait donc l’épreuve physique, ce fut au moment où le Ilakar pensa fortement à ce qui pouvait représenter cette épreuve que les murs du labyrinthe, en buis, se mirent à bouger en se matérialisant en fauves… Les provisions dont avait fait allusion un membre du conseil n’étaient en fait, pas de la nourriture mais la réponse à l’énigme. Ce n’était donc pas aussi évident que cela n’aurait pût le paraître, et maintenant, Horaï courait, il était en train d’essayer d’échapper à plusieurs fauves en buis. Absurde me direz vous… C’est-ce que ce dit notre jeune héros alors qu’il était en train de courir.
*Mais, si je m’arrête et que je pense fort à échapper à ce monstre, peut-être que je pourrai lui* *échapper… Oui, c’est cela, je suis dans un rêve, j’ai donc tout les droits sur tout… Et puis je crois* *que je vais un peu m’amuser d’ailleurs…*
Horaï commença alors à matérialiser dans sa bouche un vent fort violent qu’il projeta sur son poursuivant, un Futon avait été lancé… Mais les fauves ne furent pas pour autant arrêté et le Ilakar dû décider très vite de sa prochaine offensive, qui serait plutôt défensive d’ailleurs. Une carte apparut dans sa main. Un As de trèfle… Une fois celui-ci dans sa main, le jeune homme fut de nouveau emporté par une force qui lui était toujours inconnu, il était en train de sortir de son rêve.
Dans un sursaut le jeune Horaï se réveilla. Il était dans un bâtiment grand et spacieux, sans doute avait il réussit l’examen, ou peut être était-il arrivé dernier…Quelqu’un vint alors à sa rencontre, c’était Keryu… Apparemment il n’était pas vraiment triste. Mais sans doute devait il garder le secret du verdict. C’est alors que les membres du conseils s’avancèrent au milieu de la grande salle, un à un ils annoncèrent ceux qui avaient gagné, et en même temps ils leurs annonçaient dans quel village ils allaient, sans oublier leurs spécialisations ainsi que leurs spécialités dans le clan Ilakar. Horaï, pour sa part, n’entendit que ce qui le concernait, c’est-à-dire :
« Horaï Ilakar, affecté à Suna no Kuni ayant pour spécialisation la médecine et au sein du clan le » « contrôle des cartes… »
Il y était donc arrivé, son objectif avait été atteint…
-Chapitre VII : Une nouvelle vie, Suna…- Le jeune homme se retrouvait maintenant au sein de l’académie, cela faisait trois semaines qu’on l’avait élu. Maintenant il était rentré et s’était bien préparé pour l’acceptation au sein de Suna, peut-être allait il devoir changer ces habitudes, sans doute même, déjà qu’il avait reçu comme cadeau son bureau au sein de la bibliothèque…Horaï se trouvait donc à Suna, au sein de l’académie ninja, on lui avait dit de patienter, le jeune homme avait maintenant 15 ans, on venait juste de lui laisser passer les portes de Suna, maintenant tout le monde le connaissait et il était une personne à part entière au sein du village… |
| | | Kurayami Kitai Hokage
Nombre de messages : 6778 Age : 34 Date d'inscription : 22/01/2006
Feuille de Personnage Vitalité: (60/60) Chakra: (140/140) Niveau: 3
| Sujet: Re: Horai Ilakar Mar 19 Juin 2007 - 0:15 | |
| | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Horai Ilakar Mar 19 Juin 2007 - 0:17 | |
| |
| | | Jin Hyûga Civil
Nombre de messages : 201 Age : 34 Localisation : Hyûga/Bunke, Ten'shi Date d'inscription : 21/05/2007
| Sujet: Re: Horai Ilakar Mar 19 Juin 2007 - 0:19 | |
| Magnifique présenttation et sois le bienvenu a Konoha ^^
J'ai pas eu la force de tout lire .... Il y avait un petit peu trop ^^ | |
| | | Tempo Déserteur de Konoha
Nombre de messages : 2110 Age : 32 Localisation : Cachée ! x) Date d'inscription : 08/02/2007
Feuille de Personnage Vitalité: (90/90) Chakra: (60/60) Niveau: 2
| Sujet: Re: Horai Ilakar Mar 19 Juin 2007 - 15:09 | |
| Bienvenue! ^^ Ca faisait longtemps qu'on avait pas eu une aussi belle (et longue) présentation bravo! ^^ Trop long pour ma pauvre cervelle defraichie désolé je me suis arrêter à la deuxième ligne... T.T | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Horai Ilakar | |
| |
| | | | Horai Ilakar | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|