chanson pour mon clan

C’est la tribu des hommes au regard immaculé de blancs
L’histoire d’un jour, histoire d’une vie, histoire d’un clan
Apprécie l’instant où le byakugan éclaire la nuit
Chéri le moment où la loi de mon jukken sévit

Le village et mon clan je les défend avec ma rage ardente
Sans relâche arpentes et le charpentes,
Comme une belle femme, nos ennemis sont vidés
Ils se son rendu compte qu’un Hyuga est impossible a dompté
Difficile d’évité coups, de résisté a l'entité révoltée
Poches vidés, coeur gonflé
Les idées reçues, les clichés persistent et
Croient que notre clan se résume a Soké et Bunké
Pas mal de gars décidés veulent résister
Je ferai ce qu'il faut pour que la flamme crame, poto
Quitte a monter au créneau armé de bon cocktail molo
A l'ancienne, frero, essuie ta sueur, écoute ton coeur
Même sous les clameurs on commet pas d'erreurs
Peur de rien, et dites-leur bien
Ça fout la trouille, hein?
on marche qu'avec des mecs droits comme leur conscience
Notre ninjustu est aussi approfondi et vaste que la science
Nos origines sont douloureuses issu d’un peuple de martyre
Pourtant mon clan garde le sourire
Endurcis, certains on compris
Que la destiné d’un homme n’est jamais écrit
Bien sur quelque uns se laisse moisir
Ils s'appuient sur un mur et soupirent
Tant pis, c'est la vie
C'est ce qu'on écrit
S'il faut le crier, faudra pas nous prier
On représente ce qu'on est
Et ça va pas s'arrêter ici
Les dragons de la lune noire sont de sortis

C’est la tribu des hommes au regard immaculé de blancs
L’histoire d’un jour, histoire d’une vie, histoire d’un clan
Apprécie l’instant où le byakugan éclaire la nuit
Chéri le moment où la loi de mon jukken sévit

Les éléments en furie, la science catastrophée
Dans leur astrophysique même Dieu est apostrophé
certain parle de révolution à la seule condition
Qu'on garde en mémoire, qu'elle constitue un rêve d'évolution
Ça demande du courage d'être honnête
C'est plus lâche d'être bête
Le loup qui dort en moi a pris l'dessus
Et sa rage coule dans mes veines depuis mes début
L'aube se lève, les village s'excitent
Coincés dans leurs chiffres y savent à peine qu'on existe
Pourtant nos tam-tam déchirent l'air puis des saisons
Saisi par la passion, l'incendie des pâtés d'maisons
A tort ou à raison on croque l'instant présent
Renforce la liaison quand le combat devient pressent
Moi j'descend armé au cœur de la bataille, le chemin est stressant
Seul bagage, l’honneur d’une ligné de combattant.

C’est la tribu des hommes au regard immaculé de blancs
L’histoire d’un jour, histoire d’une vie, histoire d’un clan
Apprécie l’instant où le byakugan éclaire la nuit
Chéri le moment où la loi de mon jukken sévit