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| La Pittoresque Histoire [Kimihiro Yotakui] | |
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Kimihiro Yotakui Déserteur de Kumo
Nombre de messages : 140 Age : 31 Localisation : Partout et nulle part, là où on veut bien m'entendre... Nindô : Entretenir l'équilibre des forces Date d'inscription : 09/10/2007
Feuille de Personnage Vitalité: (140/140) Chakra: (70/70) Niveau: 3
| Sujet: La Pittoresque Histoire [Kimihiro Yotakui] Mar 2 Déc 2008 - 17:33 | |
| [Avant de commencer, au vu d'une règle, j'aimerais simplement savoir si le titre dérange. Si c'est le cas, n'hésitez pas à me le faire savoir, je changerais. ^^ ]
HRP:
Prénom: Bof... Pas important ^^
Age: 15 ans
Comment avez vous connu NU ? J'étais déjà inscrit avant la réformation. Sinon, avant cela, je l'ai connu dans magasine. Mais c'était encore à l'époque du site.
+RP:+
+Nom: Yotakui. Cela fait longtemps qu'il a cessé de se faire désigner sous la bannière des Sakurazuka. Non. Aujourd'hui, il a repris le nom de son père en l'honneur de celui-ci.
+Prénom: Kimihiro
+Affinité: Fûton (vent)
+Grade souhaité: Déserteur de Kumo no Kuni.
+Description mentale: Kimihiro est un être abject dans sa manière de faire. Le mot est simple, certes, mais son intensité est parfaite ; ni trop anodine, ni trop influente. Effectivement, assez abject pour disposer de toutes ces atroces qualités que l'on nomme manipulation, hypocrisie, cruauté et ambition. C'est bien connu, seul ceux qui n'ont plus rien à perdre sont capables de telles choses. Car c'est bien le cas de ce jeune garçon sans famille et infortuné. Et pourtant, il n'envie personne. Il sait se faire apprécier ou détester et n'hésite pas à s'en servir pour parfaire ses desseins.
Indépendamment de cela, c'est un ninja d'un naturel calme, curieux, méthodique et humble. Il a un sens de la justice furieusement prononcé - c'est bien là, la plus grande valeur qu'ai pu graver son esprit, en mémoire de son défunt père - et c'est là où se consiste en la partie faible du mot. Car "abject" n'est pas assez important pour influencer sur sa part d'humanité. Il peut faire preuve de compassion ou de sympathie... Il est possible que cela lui arrive. Il est susceptible de tendresse et de douceur. D'un ordinaire froid et distant, il lui est également plausible de se faire sociable et attachant.
Kimihiro possède une folle manie pour l'esthétisme des choses. Ceci peut fluctuer d'une personne à une lampe en passant par un arbre. Cela peut paraître, certes, bizarre, étonnant, voir même prétentieux et insolent, pourtant, on ne devrait guère le lui en vouloir, étant donné qu'il est habité par le pouvoir héréditaire du clan Sakurazuka. Certains pensent que c'est un effet inverse au principe du pouvoir qui arrive parfois à ses usagers à force l'exploiter. Vous l'aurez probablement compris. C'est là, une psychologie assurée, malicieuse et organisée, le tout animé d'un enthousiasme et d'un génie immuable. Néanmoins, contrairement au moteur, les intentions, elles, sont toutes aussi altérables... s'il le veux bien.
+Description physique: Kimihiro est passablement grand et svelte. On ne note pas d'exceptionnel musculature au première abord, pourtant, on ne tarde pas a se rendre compte que l'habit ne fait pas le moine. Il se distingue souvent des autres par une relativement longue chevelure empourprée qui s'achève au niveau des omoplates. Son visage est simplement, mais finement dessiné. Sa peau possède une teinte claire, sans, toutefois, aborder le livide ou le pâle.
Jusqu’ici, rien dans son apparence physique n'indique son identité de ninja, néanmoins, ses yeux vairons y remédient sans contestation. Oui, en effet, vairons, car l'un est d'un vert vif, teinté de rouge et l'autre est... mort. Comme les yeux d'un aveugle, il est pâle est sans couleur. Comme les yeux d'un aveugle, ils imposent cette pression troublante totalement dépourvue de vie. Cependant, contrairement aux yeux d'un aveugle, il voit.
Il voit l'horreur. L'horreur qu'est le temps sur les êtres. C'est pourquoi, pour ne pas céder à cette évidente folie qu'accorde le pouvoir héréditaire des Sakurazuka, Kimihiro le masque, tantôt sous un bandeau, tantôt derrière cette chevelure tombante, dans l'idée de neutraliser cette capacité mal maîtrisée. On aperçoit souvent le shinobi comme étant vêtu d'un pull noir, le plus fréquemment enveloppé d'une somptueuse soubreveste beige. Son cou est constamment ceint d'une formidable écharpe. Il ne vaut mieux pas essayer de savoir d'où il sort une tenue aussi fastueuse.
+Histoire:
Kimihiro n'a pas eu une vie que l'on pourrait qualifier d’ “heureuse". Non, ça, c'était réservé à d'autres. Et pourtant, le sort lui a donné de nombreuses fois, une chance qu'il a, contre toute attente, décliné, implicite. Aujourd'hui, il n'a aucun regret, malgré sa situation peu glorieuse. Mais, venons-en à l'histoire...
+[ Histoire au prochain post... ]
Dernière édition par Kimihiro Yotakui le Jeu 4 Déc 2008 - 21:35, édité 1 fois | |
| | | Kimihiro Yotakui Déserteur de Kumo
Nombre de messages : 140 Age : 31 Localisation : Partout et nulle part, là où on veut bien m'entendre... Nindô : Entretenir l'équilibre des forces Date d'inscription : 09/10/2007
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| Sujet: Re: La Pittoresque Histoire [Kimihiro Yotakui] Mar 2 Déc 2008 - 17:34 | |
| Vingt-quatre ans auparavant. Kimihiro fêtait sa première année d'existence. Sa mère, descendante de la fière lignée des Sakuramori avait épousé un ancien guerrier de Yuki, converti en shinobi de Kumo. La situation était des plus délicates, car, il n'y avait pas plus de six mois qu'on annonçait le décès du Sixième Hokage, Naruto Uzumaki. Et à présent, Kumo accompagné de son plus fidèle allié, Kiri, organisait la violente attaque de Suna. Nombreux étaient les ninjas ayant participé à la sanglante et atroce abolition d'Iwa et, maintenant, certains, ne supportant plus cette guerres insensées, dénonçaient le village de cette soudaine et suspect alliance - bien que les deux pays nourrissaient les même objectifs - et de cette lutte apagogique. Bien sûr, le jeune père aurait pu simplement accepter, dans l'espoir d'avoir une vie meilleur pour lui et sa famille, plus tard. Toutefois, il n'en fut en rien le cas et, quelque part, Kimihiro lui en aurait voulu s'il avait agit autrement. Il faisait, effectivement, parti de ces guerriers qui ne voulaient plus servir ce conflit absurde et qui défiait ce gouvernement, tout aussi aberrant. Impassible, le Raïkage exila les rebelles, sans plus de cérémonies. On garda leurs familles, de peur de carence après la guerre. Ainsi fut produite la première séparation...
De ce fait, le jeune Kimihiro demeura à Kumo, avec, pour seul famille, sa mère. Celle-ci souffrait terriblement du départ de son mari, mais ne laissait rien paraître de cela. Au contraire, aussi loin que puisse remonter le jeune homme dans ses souvenirs, elle lui était toujours apparue comme étant la mère parfaite, attentionnée, souriante, serviable et bien d'autres qualités encore. Mais, quand on le dit parfois, les apparences sont souvent trompeuses. C'était, en effet, pénible de la prétendre "parfaite", alors que, chaque soir, chaque nuit, le jeune garçon entendait ses murmures délirant d'accablement et ses pleures chargés de désespoir taciturne. Cependant, l'état de sa mère n'était pas la seul à s'être dégradé. L'enfant s'est vite vu abandonné par tous les personnages qu'il côtoyait au quotidien. Ses amis, ses professeurs et même les amis de ses parents ne se sont nullement fait prier pour disparaître de sa vie et le changement était radical. Le village les méprisaient, lui, sa mère et toutes les autres familles dans le cas semblable. C'était injuste. C'est alors qu'à l'aube de son cinquième anniversaire, le jeune Sakuramori appela à la décision de se faire ninja à l'exemple de son père. Sa mère lui vantait souvent les éloges passée de son parent manquant, lui exposant ses magnifiques exploits, sa véhémence et son charme. Bien entendu, elle prenait plaisir de temps à autre à romancer les prouesses de son mari. Il n'y avait pas de doute là-dessus, elle l'admirait. Aisément influençable, Kimihiro aussi.
Nonobstant, sa mère ne réagit pas à cette nouvelle ainsi qu’il se l'attendait... Ou comme elle aurait dû réagir. Elle semblait plus angoissée, comme si on avait exagérément alourdi le poids qu'elle supportait déjà depuis, maintenant, quatre ans. Le jeune enfant aux ambitions guerrières interpréta sa réaction comme étant relativement normal, car, il était clair que chaque enfant qui s'engageait dans l'armée devait en affoler les mères. C'était donc, probablement un geste naturel auquel elle se ferait. Mais, il avait tort. Il aurait du s'en douter, s'en méfier.
Âgé, donc, de cinq ans et pas plus grands que trois pommes, Kimihiro entama son initiation de ninja. Il comprenait vite est bien et se fit rapidement apprécier par ces professeurs qui, pourtant, ne manquaient de le mépriser. Deux ans plus tard, il fit son entrée à l'académie. Certes, il était un peu plus jeune que la moyenne, pourtant, il s'en distinguait par sa capacité d'analyse et son talent à exceller dans le Genjutsu. Jusqu'ici, le parcours du jeune garçon est sans faute, voir même admirable. Toutefois, il restait le fils d'un déserteur et cela, les employés de l'académie comme les autres élèves le lui faisaient fermement comprendre. Kimihiro les haïssaient. Tous. Mais, pour le moment, il ne pouvait rien faire. Hormis s'instruire, apprendre l'art du ninja dans toutes ses facettes, afin que, une fois le moment venu, il puisse se tenir prêt, assuré, déterminé. Quand ? Quoi ? Comment ? Il n'en avait pas la moindre idée. Et même s'il en avait eu, jamais il ne les auraient conçu aussi terrifiant et monstrueux que la réalité...
Bientôt, le jeune ninja arrivait au terme de sa formation et quittait l'académie. On le dotait d'un senseï et de deux autres coéquipiers - quoi de plus normal ? Pourtant, ce nouveau maître n'était pas comme les autres. Certes, il était exigeant, froid, sévère et détenait même un certain goût pour la cruauté, mais en contraste avec les autres professeurs, il adoptait un caractère égal vis-à-vis de tous. Une qualité que Kimihiro fut à même d'apprécier. Assisté par l'illustre compétence de ce précepteur, le jeune adolescent établi de prodigieux progrès dans l'art du ninja. Plus encore, c'était une chaleureuse relation qui s'instaurait. Probablement la première, depuis des années. Ainsi, le maître qui n'avait pas de favoris en avait trouvé un en le jeune personnage de Kimihiro. C'était une chance. Les années passèrent. Pas la peine de préciser que cette relation n'avait été que des plus bénéfique pour l'entraînement de l'adolescent. De jours en jours, ses talents de shinobi se développaient, s'affinaient, se caractérisaient. Son mental aussi, il lui arrivait, même, de devenir optimiste, d'espérer. Seul et isolent petit espoir, comme une petite perle de lumière que les ténèbres ne tardèrent pas à happer. Car cet espoir n'était pas sien, ne lui était pas destiné, non, c'était autre chose, plus sombre encore, plus profond.
Quinze ans. Cela faisait quinze ans que cette mère se faisait dévorer par ce trou béant qu'avait laissé son mari à son départ et que son enfant n'avait pu combler. Quinze ans qu'elle semblait craindre quelque chose dont le jeune garçon ignorait encore. Quinze ans...Kimihiro en a seize et est, aujourd'hui, assez mature pour s'être fait une place au sein de la hiérarchie militaire. Les choses commencent à s'améliorer, pourtant... C'était un jour comme tant d'autres. Le jeune homme rentrait de mission. En entrant dans le vielle habitacle qu'il occupait avec sa mère, le shinobi nota l'absence de celle-ci. Elle était probablement partie faire un tour dans le parc, ce qui était de plus en fréquent ces temps-ci. C'est alors que tout se passa vite. Très vite. A peine avait-il dépassé le niveau de la porte que celle-ci se referma. Soudain, plusieurs couteaux sombres surgirent de l'obscurité, fonçant à une allure affolante sur le jeune éphèbe. Affaibli et épuisé, le garçon les évita, cependant, avec habilité. Il sentait l'adrénaline dominer ces sensations et l'instinct de survie avec. Néanmoins, il était à bout et la nausée le gagna bientôt. Mais les attaques, elles, s'enchaînaient, alors, déjà : Une masse floue se décrocha du plafond plus ténébreux que n'importe quel partie de la maison et s'effondra sur lui avec précipitation. La suite se passa extrêmement vite. Kimihiro esquiva le coup, maladroit, et, sans autre forme de procès, riposta aussi sec. L'assaillant ne vit pas le coup venir et succomba sur le champ. Le survivant prit la peine de souffler un peu avant de s'approcher du corps dans le but d'identifier son ennemi. Il portait un masque, était relativement grand, était affublé d'un costume noir comme ceux que portent usuellement les assassins et était une femme. Soudain, une atroce douleur se fit ressentir au niveau de ses omoplates. Sans prendre la peine de baisser les yeux pour constater les dégâts commis par l'uns des naguère kunais, il s'empressa d'ôter le masque du mort, sentant l'inconscience le gagner. La scène comportait une étrange atmosphère macabre. Son visage s'horrifia en découvrant le visage dissimulé, avant de sombrer...
Quelques heures plus tard - il n'aurait su donner de chiffre exact - le garçon reprit connaissance. Hagard, il tentait d'apaiser et de ressembler ses pensées éparses, confuses, tout en sondant l'obscurité. Dans la pièce, rien n'avait changé, hormis le manque de lumière. La nuit avait, effectivement, succédé au jour étincelant. A la vue de la dépouille terne et froide sur le planché, l'adolescent se souvint, alors. A l'inverse des ténèbres éminents tout s'éclaircit dans son esprit. Constatant les risques qu'il encourait, Kimihiro s'efforça de garder la tête froide, pesant le pour et le contre de la suite des événements. Il ne s'attarda pas longtemps sur la question et se releva. Claudiquant, le jeune ninja traîna le cadavre à travers toute la maisonnette, jusque dans la cuisine. Là, il soigna du mieux qu'il put sa blessure, réduisant son bandeau à l'état de simple compresse. Une fois ceci fait - se qui ne fut pas si long - le jeune homme anima méthodiquement toutes les sources possibles de gaz se trouvant à sa portée. Une fois fait, il abandonna la maison et son défunt résident. Il parcouru, dans la nuit, éclairé par le seul halo de lumière que projetait la lune, les avenue, puis les quartiers, avant de déboucher sur l'une des grandes portes. Deux hommes la gardait, immuables. Kimihiro se tapit dans l'ombre d’une maison, attendant le signal. C'est alors que l'explosion retentit. On ne lanterna pas à apercevoir une fumée s'élever dans les airs un peu plus loin dans les bas quartiers. C'était sa maison. L'effet escompté ne lambina pas à se produire ; les gardiens s'en allèrent, ce qui laissa le champ libre au jeune garçon. Celui-ci, franchi les hautes portes et disparu dans l'opacité du clair-obscur d'une demie lune. C'est ainsi que s'achève sa vie à Kumo, et débute celle du déserteur qu'il est aujourd'hui. Il ne laisse, derrière lui, aucune famille, pas même sa mère qui, pour l'heure, doit être réduit en cendres sous les décombres de son ancienne habitat... En effet, c'était bien cette semblable mère qui avait, il n'y avait pas plus de quelques heures, attenté à la vie de son propre enfant, lequel découvrira, plus tard, que ce geste avait été causé par la peur de le voir, un jour, convoiter l’idée de l’éliminer pour hériter du pouvoir du clan. Oui, car, cette époque marque également l’éclosion d’un nouveau du pouvoir en lui. L’ironie, dans cette histoire, c’est que le jeune Kimihiro n’eut jamais eu connaissance de l’origine de ce pouvoir avant de retrouver son père.
Livré à lui-même, le jeune éphèbe aborda sa nouvelle vie avec un certain regard idyllique. Bien entendu, il peinait encore réaliser ce qui venait de se passer. Il favorisait l'oubli de cette toute cette histoire, ayant comme objectif ultime, de retrouver celui qui sera le plus apte à soulager les mille et une questions qui tourmentaient son esprit, son père. Pourtant, cela ne fut pas chose aisés que de délaisser ses souvenirs obscurs, car, chaque nuit, son subconscient, comme ayant mission de le ramener à la réalité, le hantait de violentes images. Toujours le même rêve qu'il affronta avec fureur et frénésie. Pourtant, il y avait ce nouveau pouvoir d'une acuité sensationnel que Kimihiro interpréta comme étant un cadeau de sa mère défunte. Un cadeau empoisonné... Les années passèrent. Les souvenirs rêveurs, bientôt, étouffèrent, à l'image de son mental trop généreux, aimable et naïf qui se fit substituer par une psychologie plus étudiée, plus froide, plus cinglante et abjecte. C'est un shinobi accompli bien qu'il ne vit que sur un foyer mobile, fugace. Il apprit, avec une dextérité certaine, à contrôler ce don maternel.
C'est donc, sous ce nouveau jour, plus hostile et franc qu'il fêta les retrouvailles de son père, autrefois porté disparu. Ils apprirent à se connaître, à partager leur vie. C'était bien ça, la vie de deux déserteurs, père et fils. Ils étaient fièrent, l'un de l'autre, même si la vérité était une peu plus sombre. La père était bien trop vieux et la mort lui rôdait autour, tel l'aube d'un charognard. C'était un bonheur, triste et éphémère, mais c'était un bonheur. Kimihiro ne s'en vante pas, non, car, bien sûr, ce n'est pas dans ses habitudes. Il le garde pour lui, au plus profond de son être, comme un jardin secret. Bientôt, son père mourut. Ainsi, c'était la touche finale du tableau. Le jeune garçon trouva, naturellement, réponses aux nombreuses questions se bousculant de sa tête, mais aucune ne pu le soulager de la mort de son père. A présent, il était définitivement orphelin. Pour étancher sa douleur, il reprit le nom de son père, préférant l'anonymat à véritable nature.
Aujourd'hui, il est enfin devenu celui qu'il espérait se voir devenir un jour. Il erre, pareil au vent, insaisissable, entre les dissemblables nations. Pour beaucoup, il est truand, galvaudeux, misérable, cruel. Pour d'autres, c'est un sauveur, une étoile, un protecteur, tout ce qu'il y a de plus honorable. Toutefois, il ne cherche ni à s'attirer leurs bienfaits ou leurs éloges, ni leurs colère, ou leurs haine. Tout en fuyant l'animosité de certains, il cherche un but, un objectif pour lequel vivre, pour lequel il serait capable du pire, jusqu'à la mort. Car, il a beau posséder un pouvoir fabuleux, des connaissances sans comparaison et une puissance étonnante, le monde reste imparfait. C'est pourquoi, l'inconscience et l'immaturité de la jeunesse qui lui reste lui ordonnent simplement de servir le monde dans lequel il vit, en équilibrer les grandes puissances qui le régissent. Bien entendu, cela n'est que la convoitise des ambitions, vu que c'est impossible, le monde ne changera pas par le simple caprice et l'unique volonté d'un seul homme. C'est néanmoins le défi que s'est lancé le jeune Yotakui. | |
| | | Kimihiro Yotakui Déserteur de Kumo
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| | | | Kiryû Seishirô Kazekage et Chef du Clan Kiryû
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| Sujet: Re: La Pittoresque Histoire [Kimihiro Yotakui] Ven 5 Déc 2008 - 15:24 | |
| Je te valide Niveau 3 (200 points de statistiques à répartir entre Vitalité et Chakra / 2 points compétences en plus / 220 points d'expérience) en tant que Déserteur de Kumo. Bienvenue, et bon RP ! | |
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