HRP
Prénom : Didi ! è.é
Âge : 16 ans
Comment avez vous connu NU ? Par google, il y a trèèèès longtemps (les dinosaures existaient encore ! xD) Un an et demi quoi ^^
RP
Nom : Heishi
Prénom : Fuyuzora (Que de souvenirs… ^.^)
Affinité : Suiton
Grade souhaité : Chûnin
Description mentale : Naïve serait un bien grand mot pour la qualifié la jeune femme mais nous n’en sommes pas loin. Elle est un peu fleur bleue certes, et sa tête se trouve souvent de les nuages. Malgré ces quelques malheureux défauts, elle restera une femme dotée d’une grande gentillesse. Cela étant, il faut exclure de vos esprits qu’elle ne puisse faire de mal à une mouche, gentille certes, mais tout de même sans pitié.
Il est bien dur d’énerver la jolie rousse, elle garde son sang froid et son principal principe ce base sur son honneur, refusant par conséquent d’attaquer quelqu’un dans le dos ou même à terre. Outre cette règle, elle n’hésitera pas à tuer ses ennemis sur ordre, même s’ils se trouvent être ses amis.
Fuyuzora se retrouve souvent dans l’impasse du comment, ne sachant que faire d’un ordre imprécis, la kunoichi n’a malheureusement pas vraiment de jugeote… C’est ce principal défaut qui lui est bien souvent le plus reproché… Bien que tout ce qu’elle trouve à dire, laissant blasé ses amis, fut, « Ah mais oui, bien sur ! » Kunoichi respectueuse de ses supérieurs, il ne lui vint jamais à l'esprit de les contredire, leur obéissant avec son enthousiasme habituel.
Mais un trait de caractère très visible chez Fuyu est qu’elle ne fait pas confiance facilement aux autres, préférant garder ses secrets pour elle-même. Malgré ça, sa bonne humeur la lie tout de même rapidement aux autres, faisant d’elle une jeune femme communicative et appréciable qui cache tout ses petits secrets à elle sous ses grands sourires angéliques, ce qui la transforme en une personne difficile à cerner.
Son comportement enfantin n’est malheureusement qu’une facette de la femme, Fuyuzora connaît la glaceur de la nuit qu’elle incarne sous sa mauvaise lune. Et oui, derrière tout ses sourires attendrissants et son comportement d’enfant, la jeune femme de 21 ans ne fait que cacher sa froideur et son éternelle air lasse qu’elle attribut à toute chose. Il lui suffit de rencontrer une personne de même caractère ou sans intérêt pour qu’elle arrête de jouer son rôle de fillette enthousiaste. Pour elle, la vie n’est en vérité qu’un théâtre. Serai-ce ce petit côté schizophrène qui lui donne l’impression de ne pas être normal ?
Description physique : Si nous allons du haut vers le bas, nous pourrons commencer par sa longue chevelure rousse lui arrivant au bas des fesses. D’un roux presque rouge et bien loin du carotte, Fuyu garde ses cheveux attachés en une demie-cuche, sans compter sur sa petite mèche lui tombant dans les yeux orangés. Etrangement, ceux-ci reflètent une grande froideur, en parfait désaccord avec ses sourires enjôleurs. Son visage fin et très pâle dont la seule couleur est celle de ses pommettes qui se soulèvent et rougissent à ses sourires qui élargissent doucement ses fines lèvres rosées. Autour de son cou, un col de fine toile attaché d’un tissu noir, relié au haut de sa tunique.
Passons au tronc de la jeune femme, de fine épaules dénudées, son bras gauche portant une bande grise et le droit portant un opéra de même couleur. Sa tunique quand à elle, ne descend pas bien bas… S’arrêtant au bas de son popotin, elle part ensuite sur deux longueurs de tissus ne couvrant pas une passerelle de ses gambettes. A ses pieds, de fines bottes à talons auxquels Fuyu est bien sur habituée.
En ce qui concerne son style vestimentaire, les couleurs se limites au gris, ses cheveux ne suffisent-ils pas à colorer le mètre soixante et des poussières d’un petit bout de femme ? Du moins, accroché à sa taille, un fourreau noir contenant son sabre aux fines écritures de même couleur, alors que la lame elle-même se trouve d’un rouge bordeaux, comme si on y avait laissé sécher tellement de sang que celui-ci, avec le temps, avait perdu sa couleur flamboyante…
Histoire : : Née il y a 21 ans dans un petit village perdu dans le pays des brumes, Fuyuzora ne sut être qu’une enfant normale, née d’une famille des plus banales, faisant la joie de ses parents. Elle resta fille unique à jamais. Sa naissance, comme celle de tout les enfants du village, donna l’occasion au village d’organiser une grande fête. La petite fille passa de bras en bras, sans arrêt de nouvelles têtes lui apparaissaient en lui souriant. Ces têtes restèrent à l’élever durant toute son enfance, allant auprès de l’ancien chaque jour pour apprendre de nouvelles choses à raconter à ses parents le soir au dîner, ainsi qu’écouter une nouvelle histoire. La plus réclamer était celle qui racontait la grande guerre, aucun enfant ne pouvait refuser ce récit passionnant et si bien raconter qu’ils pouvaient alors s’y croire. Ce récit, seuls les enfants les plus âgés l‘avaient vécut mais ils n’en savaient que très peu de réalité, car aucun guerriers ennemis n’étaient arrivés au sein de ce village. Quelques ninjas blessés avaient réussit à venir, égarés et à moitié-mort. Ceux-ci, une fois soigné si cela était possible, racontait leur histoire aux enfants, grossissant les moments héroïques, ignorant certaines horreurs et inventant des dragons cracheurs de feu et des princesses à sauver. Les ninjas ne cherchaient pas a rentré chez eux… Ils restaient passer leur vie ici, racontant aux enfants grandissant toujours la même histoire.
La vie du village était-elle si parfaite ou avaient-ils peur de se perdre de nouveau en chemin ? Il est vrai qu’en voie général on apprenait aux enfants que sortir du village était interdit, que des monstres horribles et croqueurs d’enfants rodaient autour… Au file du temps, personne ne sortait du village, même les adultes n’osaient plus tant que ça aller chasser trop loin. Fuyuzora grandit donc comme tous ces enfants, au milieu des bétails, des arbres fruitiers et des autres enfants de son âge. Cette vie aurait du continuer ainsi jusqu’à sa mort n’est ce pas ? Elle avait tout pour elle, des parents aimant, des amis dans tout le village, des poupées confectionnées par « la vieille dame » nommée ainsi par les enfants. Bref, une vie de rêve loin des cauchemars de la guerre qui avait enfin prit fin…
Mais il a fallut que cette nuit change la vie de la fillette, oh non on ne l’avait pas enlevé, ni croqué, ni encore moins jeter au lion. Ce fut elle, qui de son plein gré partit. A sept ans et des poussières, avec sa peluche dans les bras comme ça en pleine nuit, elle se leva, sortit doucement de chez elle et se retrouva dans une chaude nuit d’été, en pyjama. Pour la simple raison qu’une ombre avait bougé devant sa fenêtre… cela faisait plusieurs nuit qu’elle voyait cette ombre qui sans cesse se balançait d’un coin à l’autre de sa chambre, passant devant sa fenêtre tel un oiseau. La petite fille devait en avoir le cœur net, cette chose était forcement là pour l’embêter et cela marchait alors autant la chasser. Appelant à basse voix la chose « monsieur le monstre », elle n’obtint aucune réponse, pas même un bruissement de feuille. S’approchant doucement de sa fenêtre, la chose repassa devant elle vitesse, la faisant tombée sur ses petites fesses en étouffant un cri. Puis, le monstre s’approcha d’elle en sautillant, pas plus grand qu’un chat mais plus fin et avec une grande queue touffue, se tenant sur ses deux pattes arrières tel un kangourou. Fuyuzora leva doucement sa main tremblante vers le petit monstre pas si monstrueux, celui-ci ne bougea pas laissant la fillette caresser sa petite tête poilue et douce. S’agenouillant devant la petite bêbête, Fuyuzora commença à lui chuchoter quelques mots dans la nuit, éclairée par le reflet de la lune.
La petite bête finie par se lasser des réprimandes non compréhensibles de l’enfant et lui attrapa doucement sa peluche, la retournant et croquant dedans à petit coup de dents. Fuyuzora finit par perdre de patience et d’un coup de main tenta vainement d’attraper son doudou d’un vif mouvement. La petite bestiole ne semblait pas tout à fait du même avis, du moins assez pour finir par s’enfuir avec la petite peluche dans la bouche. L’air de l’animal était assez ridicule, la peluche faisant presque la moitié de sa taille, il semblait perdre l’équilibre à chaque instant. Et bien sur, celui-ci s’enfuit en direction de la foret, bien loin du village, derrière les champs de blé… Et bien sur, la petite Fuyuzora le suivit… Courant en pyjama après la petite bête dans les champs pour finalement entrer dans la foret sans se rendre compte de sa bêtise, la petite fille courue une dizaine de minutes avant de s’arrêter fatiguer par cette course. Elle cria au petit monstre de revenir lui rendre son ourson. Mais bien évidemment celui-ci devait être déjà loin. Laissant la réalité, la peur et la tristesse l’envahir d’un coup, l’enfant réagit rapidement, courant dans le sens inverse de son arrivée, mais tournant parfois par ci et là à cause d’un chemin barré… Une heure, une heure de course pour une enfant de sept ans totalement affolée, s’en était trop. Elle erra donc, marchant doucement de ses petites jambes fébriles… Elle finit par arrivée dans une clairière, l’aube n’allait plus tarder. Quelques heures plus tard le soleil pointait son bout de nez, et inonda la vallée et ses herbes de grande verdure de ses premiers rayons. Mais ce jour là, ses rayons éclairent aussi une petite tache rose roulée en boule, avec des grandes herbes oranges reliés à la boule en question, s’étalant tel un soleil autour de la fillette endormie, le pouce à la bouche.
La suite se passa dans l’hôpital de Kumo où une petite fille rousse avait été envoyé en urgence. Retrouvée à quelques kilomètres du villages, derrière la grande montagne, non loin des frontières. Durant de long mois, il fallut adapter la petite fille à la vie de la ville, lui trouver une famille… La laissant oublier peu à peu ses souvenirs d’enfances, la laissant croire que tout cela n’était qu’un rêve… Sa date d’anniversaire sera celle de son arrivée, son nom de famille celui de la famille qui l’avait recueillit. C’est ainsi que la jeune fille grandit et devint une jeune fille portant le nom de Heishi Fuyuzora, élevée par une famille ninja, elle devint kunoichi et développa les capacités nécessaires pour suivre les cours. Grandissant, encore et toujours, elle se retrouva au grade de chûnin avant l’arriver de ses 21 ans, envahie par ses souvenirs d’enfance.