Prénom: Je suis déjà fichée alors pas besoin de le dire >.<
Age: presque 20 ans Y.Y
Comment avez vous connu NU ? …
RP:
Nom: Arashi
Prénom: Natsuko
Age : 22 ans
Affinité: Fûton
Grade souhaité: Je laisse cette jolie épine comme choix au Kazekage
Description mentale: Le proverbe ‘’ l’habit ne fait pas le moine’’ sied parfaitement a Natsuko. Si vous avez cru, en la voyant, que c’était une jeune femme douce, fragile et emplie de bonté. Vous ne pourrez qu’être déçu car elle est loin de cette image. Si on devait décrire sa personnalité en quelques mots, caractère de cochon ou difficile serait les termes les plus appropriés. La brune est extrêmement têtue, elle ne tient pas particulièrement à avoir raison mais demandera qu’on lui prouve qu’elle à tord sinon elle ne démodera pas sur son opinion ou même quel que soit le sujet, même si c’est sur la couleur d’un papier peint. Elle ne se vexe pas facilement mais par contre elle peut s’énerver pour des broutilles, d’un naturel calme pourtant, il y a certaine période…ou un élément dans sa journée, qui ne sait pas passer comme elle le souhaitait, pour s’emporter peu après juste parce qu’une chaussure est mal ranger. Malheureusement pour son entourage, une fois qu’elle commençait à s’énerver, elle reste de mauvaise humeur tout le reste de la journée, il est très difficile d’arriver à lui tirer un sourire. Ses journées où ‘’elle sait lever du mauvais pied’’ ou même des périodes d’énervement son la plupart du temps fugace et elle redevient calme…et arriver à l’énerver est presque un chalenge (que peut ose tout de même relever ) Elle est également autoritaire, un non est un non, ce qu’elle demande doit être exécuter au plus vite. Ce qui est déjà un petit paquet de défaut, vous l’envelopper en plus dans un tissu appeler la rancune. Natsuko est très rancunière, lié en plus à une excellente mémoire.
Rassurez-vous, cette petite créature n’a pas que des défauts, après tout c’est une humaine ainsi elle à quelques qualités. L’une de ses plus belle serait peut-être la compassion, même si son cœur reste de glace et qu’elle n’éprouve pas de réelle tristesse, elle sera se montrait compatissante à l’histoire de la petite vieille qui sait fait voler son sac, sans savoir réellement comment, elle trouve toujours les mots qu’il faut pour réconforter et apaiser un peu la tristesse des autres alors que ceux-ci ne lui inspire rien du tout. Elle est tout de même capable de douceur vis-à-vis des personnes qui lui sont cher ainsi que très attentionné envers eux, protectrice, elle peut paraître même dés fois un peu étouffante mais ceux qui la connaisse un peu, savent qu’ils peuvent compter sur elle, en cas de problème. La persévérance est une autre de ses qualités avec la patience, enfin dans certain cas et certaine personne aussi, mais ce n’est qu’un détail. Malheureusement pour ses proches, la jeune femme est égoïste d’une très étrange façon, elle pense très rarement à elle. Elle est prête à sacrifier énormément pour que les personnes qu’elle chérit soient heureuses.
Description physique: Natsuko souhaitait ne jamais ressembler à sa mère pourtant même si de caractère il n’y avait pas meilleure opposée. Ceux qui avaient pu apercevoir Nami Arashi, aurait dit que sa fille était son portrait craché. A l’époque déjà on la qualifiait ‘’ Jolie comme une poupée’’ et a son grand drame cette appellation ridicule ne lui a pas était retiré en grandissant. D’un magnifique dégradé, les cheveux brun clair presque châtains par endroit, retombait souplement dans le bas des reins de la jeune femme. Elle aime faire passer les cheveux les moins long sur ses épaules tandis que sa franche un peu trop long encadre parfaitement un visage triangulaire au trait délicat parfaitement féminin. Son visage est ravisant mais n’ai pas sans défaut, bien que les fins sourcils qui n’ont jamais eu besoin des soins d’une pince à épilé, ainsi que de long cil que beaucoup de jeune femme envie, un nez trop petit à son goût et de lèvres fines et menues lui donne plus des airs de poupée que de vraie femme. Ses yeux légèrement bridés de couleur brune-marron est peut-être la seule chose qui ne fait pas référence à un objet dans son corps…et même ça, elle en doute. Car même sa peau qui est très blanche pour une personne qui a passé toute son adolescente dans le désert, ce qui renforce encore un peu l’aspect poupée de collection qu’elle déteste temps. Ses vêtements n’aident pas à cette image qu’on se fait d’elle, puisqu’elle porte une tenue qui ressemble fortement à celle des Kiho. Un haut blanc parsemer de ligne rouge au niveau des coutures ainsi que des symboles rouges sur le haut des épaules est accompagné par le long pantalon-jupe rouge qui recouvre également de fine sandale dresser de couleur blanche. Cette tenue épouse parfaitement sa méthode de combat tandis que les perles de couleur or, ne sont là que pour but décoratif puisqu’ils ne retiennent pas réellement les cheveux ensemble.
Malheureusement pour elle le fait qu’elle ne fasse que 66cm dans un corps de 50kg renforce encore plus l’aspect petite poupée que donne sa première impression.
Histoire: Les humains descendent des animaux, c’est un fait. Alors qu’ils croient que leur espèce est menacer, ils se sentent obligé de procréer afin que la race ne s’éteigne. C’est comme cela que le Baby-boom fut créer.
Un être humain est né d’une union physique avec un autre, pas dans les choux ou les roses comme veulent nous le faire croire nos arrières-grands-parents. C’est par cette union que je vais devoir commencer, si je ne veux pas prendre le livre en plein milieu. Si vous voulez savoir ‘’ comment séduire une jeune fille’’ ou ‘’ L’union entre deux corps de manière très oser’’ il faudra aller voir du côté d’un autre rp. Bref…je vais donc faire un rapide résumer de la situation.
Nami Arashi n’avait alors que 16 ans, elle était la fille cadet d’aubergistes. Elle tenait l’affaire familiale comme elle pouvait, tandis que sa sœur aînée bien trop gâtée dépensait l’argent durement amasser en vêtements et autre futilité et elle ne pouvait non plus pas compter sur son frère qui était bien trop paresseux au point que pour lui le mot ‘’tôt’’ n’était pas avant 15heure alors tenir une auberge…Elle n’était pas orpheline mais ses parents ne valaient guère mieux que les deux autres. Un père plus souvent entrain de boire que de distribuer la boisson tandis que sa mère était toujours à gauche à droite à ouvrir ses jambes par le premier qui lui disait quelque mot doux. Vous l’avez deviné, sa vie n’était pas mauve. Elle rêvait que quelqu’un l’amène vite de cet endroit. Cette personne ne tardait pas à entrer dans la vie de la jeune fille, il s’appelait Ao Tsumetai âgé alors de 25 ans. Il ne tombait pas amoureux instantanément après avoir vu la jeune fille, ni même ne fut éblouit par sa beauté. Après quelques passages et autre belle parole, il réussissait à mettre la petite idiote dans son lit. Malgré que la guerre ne soit pas loin, celle du SIDA ils ne devaient pas connaître, sinon peut-être qu’un préservatif aurait été utilisé mais comme vous l’avez compris ce n’était pas le cas. Il fallait ajouter à ça que la bécasse ne prenait pas la pilule et que comme par hasard, il n’était pas loin du 14éme jour du mois. Elle tombait enceinte ! Bien entendu quand le jeune homme apprenait la nouvelle, il ne restait pas longtemps dans la région. Nami ne trouvait plus d’autre solution que de se présenter à la grande demeure des quelques Kiryû qu’ils restaient, ceux-ci habitait dans le village à 1 ou 2km. Je vous passerai les lamentations d’une gamine éplorée qui demande asile, pour juste vous dire qu’après 15 jours, ceux-ci étaient bien obligés de céder s’ils ne voulaient pas deux mort civil sur la conscience. Il est tout aussi inutile de vous raconter l’apprentissage qu’elle avait du subir et de ce même fait vous passez l’accouchement. Le 21 juin, Nami prouvait qu’elle manquait également d’énormément d’imagination, elle décidait d’appeler sa fille, Natsuko (fille d’été) juste parce qu’elle était née le premier jour de cette saison. Je ne vous ennuierai pas avec les détails sur sa petite enfance mais l’enfant était tout de même un peu plus vive que sa mère, elle était à peine à l’âge ou on commence à réfléchir, qu’elle voulait fuir cette maison bien trop stricte. Malgré qu’elle ne soit pas la seule enfant de la demeure, la petite fille, ne croisait jamais l’héritier. Pourtant, un jour cette évènement arrivait alors qu’elle avait réussi à s’échapper de son cours de maintien, elle l’avait vu. Assis prêt d’une porte coulissante sur un gros coussin rouge, il lisait tranquillement.
Le vent du désert faisait balayer doucement les cheveux noirs. Elle avait alors 5 ans mais cette image allait lui rester graver longtemps dans sa mémoire. Plusieurs fois ils se croisaient au fil des années, il arrivait parfois que la gamine lui apporte une tasse de thé ou des biscuits mais c’était à quoi se résumait leur contact…soit à rien. Juste assez quand même pour casser un peu la solitude des deux enfants de cette grande maison.
Elle avait put réellement parler avec celui-ci l’année de ses 16 ans, le jour de son départ.
Sa mère était presque une étrangère pour la jeune fille, elle ne l’avait pratiquement pas élever, les professeurs et gouvernantes l’avaient fait à sa place. Pourtant, elle avait mi une part de son salaire (qui était déjà pas fameux) pour le jour de ses 16 ans. La maman oiseau choyait ses petits jusqu'à ce qu’ils quittent le nid mais ils devaient être partit à la 3ème semaines. Natsuko avait voulu le quitter ce domicile à 4 ans, elle avait du attendre 12 ans avant de pouvoir prendre son envole. Elle n’avait aucun regret de quitter cette demeure…enfin presque aucun.
Assise sur le bord de la fenêtre, elle s’apprêtait à sauter et s’élancer dans la nuit.
Que fais-tu Natsu ? La jeune fille sursautait et se rattrapait in-extrémiste sur les deux bords de la fenêtre pour ne pas glisser et se casser ainsi la figure dans les cactus en dessous de l’endroit où elle était perchée. Les yeux bruns de l’adolescente se fixaient sur le jeune homme de 3 ans son aîné. Elle poussait un rapide soupir tandis qu’elle se remettait d’une façon un peu plus stable sur son perchoir, en passant la moitié de son corps dans le bâtiment. Seichirô Kiryû, la dernière personne qu’elle voulait voir. Il ne venait plus dans la demeure familiale depuis un certain moment, la seule personne au monde qui pouvait la retenir dans ses lieux…elle le croisait maintenant.
- Sei-nii-chan, tu m’as fait une de ses peurs ! Se contentait-elle de répondre alors qu’elle faisait semblant de calmer les battements de son cœur. Les sourcils du presque-homme se fronçaient légèrement alors qu’il allait reposer une fois de plus sa question mais sa cadette l’en empêchait en ouvrant la bouche plus vite que lui.
- Je reviendrai…Je te le jure…mais…permets moi de te servir d’une autre manière que CA ! Elle avait un ton presque dédaigneux en désignant d’un geste large le couloir derrière l’héritier ( cela fait bien entendu référence à la maison entière). Elle n’avait jamais voulu devenir servante, plus que faire ce métier, elle tenait absolument à ne pas être comme sa mère. A sa grande surprise, son aîné se détournait, cette vision lui serrait la poitrine mais Seichirô lui donnait sa bénédiction, d’une certaine manière.
La jeune fille ne savait pas réellement ce qui lui avait prit mais elle glissait ses mains autour du cou du jeune adulte. Une tendre étreindre, la dernière. Sans attendre plus longtemps, elle passait le reste de son corps pas la fenêtre et sautait dans les jardins de la propriété avant de s’éloigner au plus vite.
Natsuko apprenait l’art ninja auprès d’un shinobi qu’elle avait croisé (et aider) dans le désert, son enseignement, la manipulation des vents grâce à deux immenses éventails, était dur mais la jeune fille était persévérante. Elle n’abandonnait pas une seule fois, malgré la chaleur ou le froid du désert. Elle ne se construisait pas de renommée, elle prenait chaque fois un autre pseudonyme lorsque son sensei l’envoyait remplir différentes missions. La gloire ni même les missions plus dur accordées au ninja grâce à leur renommée ne l’intéressait pas, elle comptait bien faire usage de son nom plus tard mais pour servir une unique personne. Ce petit garçon bien trop sérieux et seule, une journée d’automne au coin d’une porte coulissante. Bien qu’elle s’était exilée pendant de nombreuse années, elle avait continuer à se renseigner sur le village pour revenir en cas d’attaque ou même si l’héritier des Kiryû avait des problèmes mais celui-ci ne semblait pas avoir besoin d’elle…c’était rassurant pour la jeune femme mais un peu douloureux également. A présent elle allait pouvoir cesser de veiller le brun dans l’ombre… Après 6 ans d’absence, elle revenait enfin mais elle le courage lui manquait pour pousser les lourdes portes du village qui était à présent sous le règne de l’enfant solitaire.