Etrange rencontre... [PV Seitrigo]

Civil Nombre de messages : 27 Age : 30 Date d'inscription : 11/07/2008

Une lueur rougeoyante éclairait le ciel du pays du feu, en cette fin d'après-midi, ou se début de soiré, indiquant le fin d'une douce journée de fin d'été. Le village était paisible, comme si la température et l'ambiance du climat se répercutait dans les habitants du pays. Une vague de bonne humeur se prêtait à la foule des "konohaiens" qui sentaient leqs beaux jours s'en aller progressivement pour laisser place, progressivement, à l'automne.

La bonne humeur des uns faisait cependant le malheur des autres. Le jeune Kyo n'était pas au plein de sa forme. Il se sentait malade, malade du bonheur et de l'innoscence des autres. Durant cette été, il avait mal évolué. Son malin plaisir a provoqué les gens s'était transformé en une véritable haine envers l'innoscence et la normalité. Il ne sortait pas, par crainte que sa maladie laisse place à la folie et qui ai par la suite quelques problèmes pour "violence injustifié". Tous ses problèmes étaient liés a son plus gros défault, la jalousie. Il ne faisait pas preuve d'intolérence en haïssant ainsi les gens car ils les haïssaient plus par ce qu'ils avaient vécu que par ce qu'ils n'avaient pas vécu. A savoir l'intolérence aurait put être le bon adjectif si Kyo avait été fière, ce qu'il n'était pas. Sa jeunesse l'avait cassé de tous sentiment de démarquation et il savait pertinement que il n'était qu'un homme parmis les millards d'autres. Il n'était rien de moins, rien de plus. Il s'était également retiré plus ou moins des services ninjas car cela lui faisait mal d'être commandé par un "hokage". Il voyait se titre comme un titre fachiste, donné a celui qui faisait le plus peur et qui était le plus intelligent. Son intégration à Konoha n'avait pas été celle que son ex sensei aurait espéré.

Kyo avait peur de devenir ce qu'il avait toujours détester, une élite fachiste ce prenant pour plus qu'il était et survivant de sa seul soif d'intolérance et de haine. Il sentait par moment qu'il aboutissait à, se genre de personalité, mais il penssait intérieurement qu'il ne l'était pas. Il ne haïssait pas tout le monde, mais il haïssait quand même une grande majoritée. A vrai dire il était perdu. Ses vrais sentiments commençaient à prendre le dessus sur ce qu'on lui avait apprit et ce qu'il avait toujours approuvé, et se formait ainsi un horrible contraste. Le jeune genin passait ses journées à réfléchir car, bien que fou, il était looin d'être simple d'esprit. Il réfléchissait sur la voie qu'il devait suivre, se nourissant que très peu et sortant de temps en temps mais jamais il ne se montrait en publique. D'ailleurs, qui serrait soucieux de le voir. Depuis qu'il était arrivé dans se village, il n'avait été qu'une arme. Il sentait qu'au fond, il haïssait les habitants plus pour leurs images, leur renomée que pour ce qu'ils étaient, de simple être vivant. Il haïssait leur image de gens simple, généreux, obéissant envers les ordres des maitres. Il haïssait plus les ninjas que les habitants cependant. Il n'aiamait pas leurs comportements de moutons, leurs soumissions envers cet hokage. On l'avait l'avait conduit ici en lui laissant mirouater dans son esprit l'image utopique d'un village libre, mais il n'avait découvert que la triste vérité du monde des ninjas, sa soumission, son hypocrisie et ses menssonges.

Ce jour là, Kyo réfléchissait encore à toutes ses penssées qui féferlaient infernalement dans sa tête. Durant l'été, il avait grandit et évolué comme je l'ai dit plus haut, mais mal évolué, aussi bien physiquement que mentalement. Ses cheveux avaient été teint en deux couleurs répartit sur chaques cotés, blanc à gauche, noir à droite. Ses vêtements arborait les mêmes couleurs de la provoquation. Pour résumé, à part sa peau, son corps avait été séparé entre le noir et le blanc. Ses cheveux avaient poussés étaient longs à présent. Il se trouvait sur le toit de son appartement, regardant d'un air dédaigneux le village de la tromperie et de la naïve utopie. Il était torse nu, son torse osseux et maigre découvert. Il était recouvers de balafre que lui avait infligé les hommes de sa jeunesse, par plaisir ou par vengence. Kyo haïssait peu être jalousement ou intolrérement les villageois du village mais il avait connu plus de malheur qu'eux et à la différence de beaucoup de gens qui perdant une famille, il s'était relevé et avait dessidé de vivre. Plutôt que de lhaïre la vie après une énorme perte, il a préférer l'embrasser.

Seul sur son toit, il lui arrivait de cracher dans le vide, espérant parfois de toucher quelqu'un. Il ne faisait rien, son corps ne bougeait pas d'un pouce, son corps si maigre et à l'air si fragile mais pourtant aussi solide qu'une pierre, alimenté par l'exitation d'une profonde haine. Son regard était empreint d'un étrange mélange. On aurait dit qu'il était vide mais il semblait perçant et près à jeter des éclairs. Il sembla soudain sortir de ses "rêveries" pourquoi? Pour lacher un juron illustrant tout à fait son état de pensser.

-Putain de merde... dit-il, lachant par la suite un long soupir.

Il se leva, lentement, doucement, péniblement, comme si un lourd poid peusait sur ses épaules. Il saute dans sa pièce loué et il saisit la seul chose qui n'était pas détérioré par sa folie, l'instrument de son calme, sa guitare. Il saisit l'instrument de musique avec la douceur d'une mère, passa sa lanière par dessus les épaules et sauta par la fenêtre. Il attérit sur un petit préau couvrant des poubelles. Il rebondit sur un toit et se mit à marcher calmement, sautant de temps en temps sur un autre toit afin de continuer son chemin. Il ne savait pas ou aller, il ne savait même pas pourquoi il y allait, mais il avait envie de se perdre, de se retrouver seul. Les moindres de ses mouvements commençaient à être influencer par sa folie. Il s'assit finellement sur un petit mur dans un quartier abandonné, poussé à l'est du village, et il commença à jouer de son instrument. Il commença doucement à frotter les cordes, passant des accords lentement, puis il commença une mélodie plus complexe, plus vivante et plus entrainante. Rarement des arpèges, justes des accords barrés, au son tentôt étouffé, tentôt plein, tentôt grave, tentôt aigu, mais toujours aussi sec. Il jouait à l'improviste, sa seul partition était ses sentiments et malgré sa folie, sa mélodie restait claire. Son esprit se vida, toutes sa haine s'éffaca et il ne penssa plus qu'au son de la musique.

[Bof bof au niveau de la qualité, j'ai un peu rouillé >< Bref, profite quand même de se post car je fairais peut être pas mieux ><]