Yahiko, était présentement, dans la forêt, ou plus précisément dans la frontière de suna. Enfin bref, ce n’est pas non plus des plus important, le jeune homme continuait sa marche dans la frontière de Suna, cette forêt si immense, qu’il connaissait tout de même comme sa main ! Il venait de sortir de cette boutique au vendeur pervers, toujours son ombrelle en main, c’est la seule arme qu’il avait, Yahiko espérait que cela lui sera utile ! Il continua la marche avec grâce, il voulait se rendre à ce cher pays civil du vent, on disait que là-bas, il y avait quelques bandits, qui dévalisait des boutiques, qui sait si il réussit à les battre, il pourrait prendre quelques armes. Sa volonté était plein d’énergie et son sens d’orientation et de survie était très expérimenté, le kirien sera la bas en quelques heures pas plus. Il se mit donc en marche, mais finalement cela n’allait pas être si facile, devant-lui se trouvait quelques montagnes pas très hautes, mais en masse, il devait escalader ces plusieurs montagne, avant de pouvoir au moins arrivé vers le désert, quel merde… Plutôt déçu il baissa la tête…
*Cela risque d’être vraiment long ! Je vais simplement me reposer, une minute, pour pouvoir mieux surmonter les montagnes.*
Yahiko était assis contre un tronc d’arbre, puis vu soudainement, un animal qui lui était familier !Il le regarde d’un regard perçant, ce petit animal lui avait dérobé des armes, mais l’écureuil, lui avait l’air de vouloir dire quelques chose, bref, ces mouvements était plus compréhensible que ces dires, d’après ce qu’il pouvait presque pas comprendre, l’écureuil lui disait de le suivre, pourquoi pas de toute façon il n’avait vraiment rien a faire, et si il pouvait l’aider à trouver un chemin plus vite, il était pour ne pas l’étriper tout de suite XD ! Bref, il commença donc à sauter, dans une des montagnes, apparemment il fallait monter quelques montagnes, quel galère… Le jeune homme sauta, et sauta, d’un côté à l’autre, enfin d’arrivé en haut de la montagne, l’écureuil, fixait les alentours, puis continua à marcher, il fallait maintenant descendre cette montagne, il ne vu même pas la pente, qu'il tomba, il pu atterrir sur un bloc de roche accroché à la montagne, les deux pieds étirer, une paume de main à terre, Il tenait !
Essai # 2
Bien, qu’'il avait été sauvé sans dégâts, il fallait continuer, et étrangement l’écureuil était pressé, il le suivit, descendant doucement cette fois-ci en s’accrochant bien au roche, et arriva au sol, il y avait maintenant simplement des bosses de terres de cinq mètres environ à traversé… Quel merde, il fallait continuer, il regardait donc le soleil, celui-ci paraissait beaucoup plus chaud, il devait sûrement s’approcher de ce pays, il fallait continuer ! L’écureuil, marcha à coter de ce suivant, heureusement on ne devait plus escalader, mais simplement se tenir bien équilibré… Bref, cela se passa très bien ! Ce qui prévenait que du bien, enfin pour l’instant… Après ces plusieurs arbres, montagnes, et bosse, nous arrivons enfin à une sorte de lac, qui menait au loin, l’écureuil, couru vers une chaloupe, il ne voulait plus continuer avec Yahiko, il devait ramer tout seule…
*Enfin une petit bête ne peut pas ramer… *
Bref, il prit les bâtons qui s’y trouvaient et continuait sa route, mais cette fois-ci dans une sorte de lac, un fleuve, une plage, aucun indice n’était disponible, il fallait donc se méfier, il regardai au loin de lui, il voyait le soleil encore plus brûlant, cela devait être sûrement le pays du vent, le jeune homme, commença donc à ramer de plus en plus vite, il fallait s’y rendre rapidement, bien que le vent rendait cela plus hostile, il fallait qu’il se débrouille encore une fois, tout seule ! Il essaya de changer de coter, sans arrêt mais le vent était de tous les coter, comment faire ? Il ne voulait pas gaspiller de Chakra ni trop d’énergie, fallait-il attendre que le vent se calme ? Nager ? Ou ramer de plus en plus fort ? Il fallait continuer à ramer, mais avec plus d’effort, même si cela allait l’épuisé, il était dans tous les désavantages, il avança dans le vent hostile, et après quelques minutes, le vent s’arrêta, comme si c’était une barrière de droite à gauche ! Il commença donc à ralentir, pour enfin pouvoir se reposer un tout petit peu, il y alla doucement, et arriva après une bonne dizaine de minute. Il pu enfin être sur la terre de sable... Un véritable désert !