Tel le serpent. | privé |

Les remparts étaient enfin passés. Kaigo qui était emmitouflé dans une longe cape noire. Sa peau anormalement blanche étaient moins dure que d'habitude. Les longs scalpels d'os qui finissaient le prolongement de ses bras avaient disparus. Tandis que le soleil tentais de percer à jour le visage de l'homme sous sa capuche, celui-ci baissa la tête et recouvrit le plus que possible son corps de cette longue cape. Son sabre à son flanc droit cliquetait de temps à autres. Sur son front, aucun bandeau ni même sur une autre partit de son corps. Ses ailes avaient disparus laissant place a deux petites bosses dans le haut du dos. Au pieds, il portait des chaussures légères en bois, liés par un fin fil de soie qui semblait plutôt résistant. La foule de Konoha ne prêtait pas attention à cet homme qui pourtant allait leur apporter tant. Toutes ces personnes allaient et venaient sans autre but que d'accomplir leur tâche. Voilà à quoi était résumé leur vie, travaillé pour sur-vivre et non travailler pour vivre. Les yeux de Kaigo semblaient briller de temps à autre dans l'ombre que procurait la capuche. Au bout de quelques minutes de marches, il sentit qu'il était observé. En effet, en haut a droite, sur un toit, ce qui semblait être un garde l'observait avec attention. Voulant le semer, l'homme encapuchonné bifurqua au premier carrefour dans la direction opposée de son probable adversaire et, en quelques fractions de secondes, disparus après avoir prononcer quelques formules. En effet, Kaigo maîtrisait l'Hikari et pouvait ainsi absorber toutes lumières venant sur lui afin de ne pas se faire remarquer. Cependant, une personne avec un dojutsu assez développé pouvait le remarqué immédiatement. Au bout de quelques minutes de marches, s'assurant qu'il n'y avait plus de gardes, il se mit au milieu de la grande salle et annula son sort de camouflage. Posant l'index et la majeur de sa main droite sur le manche de son sabre il dit d'une voix claire qui résonna dans toute la place.

- Peuple de Konoha, vous me prenez peut-être pour un fou mais je souhaite la libération de l'homme. Pourquoi devriez vous écouter un homme que la société à établi de supérieur et qui n'en a rien ! Vous êtes la force de ce village, de ce pays ! Sans vous, aucun avenir est possible et pourtant ? Regardez comment vous êtes traités pour certains ! Doit on abandonner notre prochain car il n'a pas de quoi payer vos services !

Il marqua un bref arrêt, il était de nouveau repéré et cette fois-ci, il se sentait plus en sécurité. En effet, la foule de gens n'avait pas desamplie et cette masse humaine formait à Kaigo une protection inestimable.

- J'ai besoin de vous ! De votre soutien ! De nombreux Kage on dirigé ce village pour leur propres intérêt. Angel en faisait partit. Minato fut une vermine qui mena le village en guerre ! On ne peut avoir confiance au fait que l'homme dirige les siens car l'égoïsme et la cupidité sont tellement encrées dans nos moeurs qu'il en est quasiment impossible de s'en extirper.

Kaigo enleva les doigts de son sabre et leva les deux mains. A son poignet droit, une petite croix métalique semblant à un viseur pendouillait. En face de lui, des shinobis déconcertés le regardait avec empatie ou parfois avec un simple rejet. Pendant qu'il observé la foule il traça discrètement de ses pieds un sceau autour de lui tout en faisant mine d'examiner la foule.

Bien que le post soit privé je pense que les unités spéciales et le kage ( quand il sera rentré d'après ce qu'on m'a dit) ont le droit de venir poster pour m'empêcher. Je dit aussi qu'aux personnes concernés de se manifester maintenant ^^"

Un enfant regardait cette manifestation, en tachant d'écouter ce que disait cet homme, malgré les quelques bavardages des villageois. Malheureusement, le jeune garçon se sentit inutile dans cette affaire, il décida donc de se retirer, pour aller se promener sur les rives du fleuve de Konoha.

C'est après un moment, qu'il vit une kunoichi du village, Road Itchido. L'enfant engagea la conversation avec la jeune femme, qui apparement, était dans une tristesse profonde. Après quelques mots échangés, l'enfant demanda curieusement:

« Tu es malheureuse ? »

« J’ai envie de partir d’ici »

«Oh bah... il y a un monsieur dans la grande place de Konoha... un monsieur que je n'ai jamais vu... beaucoup de gens l’écoutait, le regardait, d’autres disait que ce n’était qu’un fou, que ce qu’il désirait était impossible... Je n’ai pas trop comprit de quoi il parlait, mais apparemment, on aurait dit qu’il cherchait des personnes pour se... rebeller si c’est le bon mot... Si tu veux partir d’ici... »

Interessée par ce que disait ce garçon, Road partit en direction de cette place pour y voir de plus près. Elle marcha longtemps, jusqu'à entendre une voix masculine, qui résonnait et qui attirait l'attention sur tout le monde.

La kunoichi fit quelques pas pour pénétrer dans la foule, pour écouter les mots de cet étrange visiteur. Une chose la frappa : Contrairement à tous ceux qui ont fait un discours aux villageois, il n’était pas sur une estrade, en train de vociférer des paroles en l’air. Lui, était comme tous les autres, en parlant normalement. Il semblait ne pas vouloir dominer les autres, ou les effrayer. Pourtant, la plupart des personnes semblaient surprises voire terrorisées par cette apparence ordinaire.

"Pourquoi devriez vous écouter un homme que la société à établi de supérieur et qui n'en a rien ! "

Cette phrase retentit dans les oreilles de la jeune femme. Ces mots montraient tout de suite que cet individu semblait mépriser cette société. Road ne perdit pas une miette de ce discours fabuleux, qui était aussi sa façon de penser. L'ermite semblait être hypnotisée par chaque son de sa voix.

Soudain, un lourd silence s'abbatut sur la place: l'homme semblait avoir terminé son discours. Personne ne semblait avoir réagit aux paroles réalistes de celui-ci. Il examina attentivement la foule, mais Road remarqua qu'il agissait de façon bizarre avec ses pieds...

La hiérarchie, ce système inventé et mis en place il y a très très longtemps. Ce système qui organise tous les villages. Ce système, inventé pour diriger et commander les hommes. Mais les hommes qui sont et qui seront placés au somment de la hiérarchie sont-ils vraiment dignes de leurs rangs? Sont-ils vraiment capable de diriger? Jusqu'ici le monde se résume à cela: La guerre, la reconstruction, l'épanouissement, la guerre, la reconstruction, l'épanouissement et encore et toujours la guerre. Les hommes sont avides de richesses et ne pense qu'à gagner de la puissance ou du territoire pour que leurs patrie soit la plus belle et la plus grande. Il est temps de changer ce système.

Ce jour-là, le soleil n'avait pas encore atteint son zénith, mais il resplendissait de splendeur. Ce jour-là, une atmosphère paisible et rassurant flottait dans le village de la feuille. Shikamaru marchait d'un pas nonchalant dans les rues de son village. Il portait sa tenue traditionnelle de combat et avait ses mains dans ses poches. A ses côtés se trouvait son compagnon, Kiba. Le loup albinos était l'être le plus proche du Nara qui venait de le retrouver il y a maintenant quelques semaines. Tous deux se comprenaient et étaient inséparables, l'un ayant besoin de l'autre. Il y a maintenant plusieurs jours, le garçon avait appris qu'il était devenu chef de l'ANBU de Konoha et qu'il devrait désormais la reprendre en charge et la réorganiser. Il était content de cette promotion qu'il attendait depuis bien longtemps. Plusieurs villageois et marchands animaient les rues du village de la feuille qui semblait récupérer sa force et sa puissance d'antan. Soudain, les deux compères entendit le début d'un discours prononcé par une voix forte et convaincante.

- Peuple de Konoha, vous me prenez peut-être pour un fou mais je souhaite la libération de l'homme. Pourquoi devriez vous écouter un homme que la société à établi de supérieur et qui n'en a rien ! Vous êtes la force de ce village, de ce pays ! Sans vous, aucun avenir est possible et pourtant ? Regardez comment vous êtes traités pour certains ! Doit on abandonner notre prochain car il n'a pas de quoi payer vos services !

Tous deux prirent la direction d'où provenaient ces paroles. Ils étaient surpris, car la dernière fois qu'un homme étaient venus prononcer un discours, c'était pour annoncer la rébellion de Konoha contre son Kage. Très vite, le chef des ANBU arriva devant la personne qui prononçait le discours. Plusieurs ninjas et villageois s'étaient déjà regroupés autour de l'homme qui parlait. L'inconnu était encapuchonné dans un long vêtement, cachant son visage et le reste de son corps. Les gardes qui circulaient sur les remparts et dans les rues semblaient observer de loin ce qui se passait, mais toutefois prêt à intervenir. Malgré leurs inactivités, le Nara savait parfaitement que bientôt les gardes interviendraient et tenteraient d'arrêter l'homme situé au centre du regroupement. L'homme reprit son discours en parlant des anciens Hokages. Il expliquait que les hommes n'étaient pas en mesure de diriger un village, car l'égoïsme et la cupidité étaient encrées dans nos moeurs et qu'il en était impossible de s'en extirper. Il était clair que le discours de cet inconnu incitait à le rejoindre et à détruire toute forme de hiérarchie au sein des villages. Le discours fit réfléchie l'adolescent qui semblait un peu déstabilisé. Il aperçut à quelques mètres de lui Road, mais elle semblait différente. Elle semblait triste et buvait chaque parole de l'inconnu.

(pensée de S: Kiba ne penses-tu pas que ce que dit cet homme est juste? Les hommes sont si égoïste et avide de pouvoir, dans ce monde, la guerre est presque omniprésente, car chaque Kage veut avoir la patrie la plus grande et la plus forte. Chaque Kage nous conduit à la guerre, car aucun d'entre eux n'est différent des précédents! Ils sont tous cupide! Je pense sincèrement que cet homme à raison. Et puis Konoha n'est plus ce qu'il était autrefois, le village a perdu de puissants shinobis qui faisaient sa force et la nouvelle génération de Gennin semble moins forte que la précédente.)

(pensée de K: Ce que dit cet homme paraît certes juste, mais n'oublie pas Shikamaru que tu viens d'être nommé chef de l'ANBU! Qui dirigera les ANBU si tu pars?)

(pensée de S: Je suis le seul membre de l'ANBU et les Jûnin de Konoha ne semblent pas prêt pour s'engager et s'investir sous mes ordres. J'ai envie de prendre un nouveau tournant de ma vie! Depuis que je suis né j'ai servi Konoha du mieux que j'ai pu. J'ai toujours exécuté les ordres et les missions. Mais aujourd'hui j'en ai marre de rester là, à regarder la société actuel qui est pitoyable. Il y a des guerres pour des raisons idiotes, des ninjas tuer pour rien! Il faut changer tout çà.)

Alors que Shikamaru venait de prendre la décision de suivre les idées de cet homme, les gardes semblaient commencer à se manifester. Cependant, l'homme qui s'était arrêté de parler semblait faire des choses étrange avec ses pieds.

Genma qui avait été assigné pour poursuivre un homme ne mit pas de temps jusqu'a arriver dans une grande salle fourmissante de monde. A l'intérieur, impossible de le discerner parmi la foule, cependant quelque chose allait tout de suite le faire repérer. L'homme complètement emmitoufé se mit a hurler des paroles en plein milieu de la foule, dont à peine la moitié parvenurent à l'ouie pourtant surdéveleppée du Shiranui. Sans pour autant se montrer, celui-ci continua son discour anarchique, des mouvements de foule se firent voir venant de la plupart de ceux qui avaient entendu son discours. Les autres suivirent comme toujours...

Le Jônin de Konoha qui était en service parla à la radio, en explicant les faits.

« Je tiens notre homme en visu... Il est actuellement en train de faire une sorte de discours anarchique, il souhaite faire tomber le règne des Hokages et ainsi détruire toute forme de hiérarchie... Il ne s'est pas levé de la foule, je n'ai pas bien compris... Peut-être a-t-il perdu la tête, son corps me rappelle pourtant très vaguement quelque chose... J'engage les procédures habituelles ! »

Genma cracha plusieurs senbons sur le plafond puis sauta dans les airs afin de s'accrocher aux senbons et de se mettre à la vue de tout le monde. Les paroles qu'il dicta cette fois-ci étaient puissantes et fortes, s'adressant à n'importe quel Homme se situant à l'intérieur.

« Mesdames et messieurs... Afin d'assurer votre sécurité je vous prie de vous diriger vers les voix de sortie le plus calmement possible. Un homme s'est infiltré dans la pièce, il est pisté par nos services depuis son entrée par effraction au village de Konoha... Il doit sûrement s'agir d'un homme envoyé par l'un de nos ennemis ou bien d'un Nukenin. Nous nous chergerons de l'arrestation de celui-ci, les Jônins sont en place ! Ceci n'est pas un exercice »

La foule commença à se vider à l'intérieur de la grande salle, bientôt il n'y eut quasiment plus personne, hormis le Chef de l'ANBU et son loup, l'homme recherché, Genma et la femme ermite qu'il avait rencontré plus tôt. En s'approchant de lui, le Jônin regarda derrière lui afin de voir si la protection était bien en place. En effet, elle l'était... Tout allait enfin commencer...

Le Jônin se laissa tomber au sol, se réceptionnant avec souplesse sur ses pieds. Il se releva lentement et commença à s'approcher du Nukenin qu'il avait en face de lui. Faisant un signe au Chef des ANBU afin qu'il l'aide à l'arrêter, il s'approcha doucement de lui...

« Shikamaru-sama... Allons-y, cet homme est un terroriste, il a osé perturber la paix civile qui règne dans notre village ces temps si. Cela mérite largement plus qu'une simple arrestation, si il s'agit d'un Nukenin, nous aurons même l'oblogation de le mener à sa mort, vous êtes haut placé pour le savoir... La dernière rebellion fut un succès car il s'agissait d'une dictature... Cette fois, tout va pour le mieux... »

¤ Quel imbécile cet homme... Comment peut-il affirmer ce qu'il dit alors que l'histoire nous à dicté le contraire. Durant les Grandes Guerres Shinobis, chacun était libre... Massacres et guerres étaient le festin de chaque jour. Il est dans la nature humaine d'afficher ses croyances aussi bien politiques qu'ethniques... Chacun à envie de croire à son petit paradis... C'est pour ça que tout le monde ne pouvait pas vivre ensemble, car l'un souhaitait quelque chose qui nuisait au rêve d'un autre... De par l'alliance du clan Senju et Uchiwa, fut créé le pays actuel de Kâgure no Sato, le village caché du feu. Et Konoha en fut dirigé comme village caché... Des règles furent fondées et la paix règna jusqu'à l'apparition d'un certain dictateur... Mais celle-ci a totalement disparue et aujourd'huis la contrée de notre village resplendit de milles feux ! Pour la sûreté de Konoha, je vais m'occuper de cet homme ¤

J’avais entendu bien des choses dans ma noble vie mais celles-là me dépassaient largement comment pouvait-on prôner une telle puérilité? C’était franchement désolant à entendre, pourtant je me devais d’y répondre représentant de l’ordre et symbole protecteur de Konoha que j’étais. préalablement j'avais stoppé les quelques gardes qui savançaient en direction de l'assemblée.

Ainsi donc je m’avançai dans la foule seul ne portant aucun symbole de mon rang de toutes les manières cela n’était pas dans la coutume de Mao de s’afficher dans une des tenue excentrique que les Hokage avaient pu porter. Si on pouvait dire j’étais simplement outré de ces propos, car il ne représentait qu’un simple aspect de la vision de cette homme qui ne m’inspirait pas la plus grande des confiances.

Il y avait bien des shinobi de ce village qui regardaient et écoutaient si il voulait suivre qu’il n’en tient qu’à eux je ne les en empêcherais pas, seul mes mots feraient barrage à cette tentative fort vaine de convaincre un peuple de se joindre à une folie de plus. Mao avait déjà des soucis avec l’Akatsuki et voilà qu’on lui en ajoutait je le plaignais le pauvre. Oui, s’il avait été là il aurait surement des cheveux qui vireraient déjà au blanc par ces actes stupidement mené.

** D’un autre coté cela pourrait mettre à mal les projets de l’Akatsuki quel qu’ils soient… … ou alors faire tomber cette contrée dans un sanglant bain de sang immonde ou tout homme devrait forcément être fort pour vivre, mais n’y pensons pas ces temps immémoriaux ou de tels actes de barbarie était notre pain quotidien sont révolues. **

Désormais, je devait me dresser tel le bouclier de Konoha devant la lame vengeresse du destin détournant ainsi son offensive des nobles terres ou bien avant que l’homme ne si établisse j’avais vécu.

-Voyons donc, l’Hokage n’est qu’un simple homme qu’est-ce qui peux vous faire croire que même par une quelconque hiérarchie social cela change s’il est tué c’est qu’il aura remplit sa mission envers son village. Si le titre de Kage existe c’est pour défendre les terres des tourments et des afflictions, guidant ceux qui le suivront dans cette direction. Je ne ni pas le fait que Konoha est emprunter des chemins plus difficiles que tout autre village, mais c’est ainsi qu’un homme grandit et qu’une nation s’épanouie. Les peuples, s’ils vous suivent, les défendrez-vous? Pourrez-vous vous porterez garant de leur vie être capable d’être présent pour eux?

Je me tu un instant laissant mijoter mes paroles dans la tête de tous ici présent et pourtant, j’en avais encore long à dire et je ne laisserais le temps à mon adversaire de prendre une quelconque initiative. Je devait montrer à tous la totalité de ce que représentait cette fausse liberté que le destin imposait à tous et que seul les plus forts pouvait choisir d’emprunter. J’ai beau dire qu’il était mon adversaire pour le moment ce n’était encore rien que quelques paroles insidieuses qu’il voulait faire entrer tel un genjutsu dans la cervelle de ninja au cœur encore pur. Je ne pouvais supporter qu’on manipule ainsi le cœur des hommes. Et pour mettre mes propos en valeur j’utilisai mes jambes me glissant au travers de cette foule dizaines de shinobis réunies ici et pourquoi? Écouter ces paroles qui relevaient de l’absurde? Oui, sans aucun doute.

J’étais désormais face à cette homme étrangement je ne ressentais pas l’aura particulier d’un être humain mais plutôt celui de quelques chose de plus lointain. Mais c’était sans doute là mon esprit enflammé qui me jouait des tours.

-Désormais nous sommes face à face, l’un tenant des propos marqués de haine envers la société, l’autre qui y voit ses avantages. Dans un tel cas, allez-vous vous en prendre à moi physiquement? Ou serrez-vous au moins capable de vous exprimer clairement? Je sais, je ne vous laisse pas le temps de vous exprimer et c’est bien là le problème, alors contez nous donc ce futur si noble sans personne pour protéger une noble fleur, si mon choix vous déplait et bien qu’il en soit ainsi. Je ne m’attarderais pas à des mots, mais pour moi vous ne reflétez que le chao d’une vie jadis oubliée.

C’est ainsi que je terminais le discourt sur le pourquoi du comment et puis si il me tuait qu’importait il aurait dès lors perdu et je ne serais pas mort, il ignorait toujours qui j’étais, hé, bien je lui révélerais peut-être de par mes mots. Fermant les yeux pendant le bref interlude ou il préparait ses paroles, je me mis à repenser à mon lointain passé, comme tout cela avait pu être pénible et surtout toutes ses pertes.

[Hrp]Petite précision ceci est Hôshiro, ses cheveux sont blanc, mais physiquement il est exactement identique à Mao. [/Hrp]

Comme il s'y attendait, les élites du villages, membres de la répressions étaient venus dans cette grande salle au plafond haut, fait de bambou et de béton dont les murs étaient percés de fenêtres larges et profondes. Il ne fut que quelques instants à l'un d'eux, accroché au plafond, pour faire fuir les villageois. L'un d'eux, celui qui avait fait évacuer la salle semblait plutôt enclin au combat ce qui excitât l'âme maudite. Dans la salle, ils n'étaient plus que cinq, cinq shinobis prêt à combattre pour leurs idéaux. La main, toujours gardée sur son sabre, Kaigo laissa apparaître dans la pénombre que formait sa cape un sourire sadique. Ses dents étaient fines et pointues tandis que son menton blanc laissait paraître une marque noire qui montait jusqu'en haut du crâne caché. Une jeune femme plutôt belle le regardait avec une intensité compatissante. Un autre membre des unité spéciale au cheveux brins qui était le dénommé Shikamaru semblait regarder Kaigo avec une neutralité déconcertante comme si ce jeune homme ne voulait montrer le partit qu'il allait prendre dans la bataille. Cependant, dans ce monde si rustre les convictions morales étaient le seul espoir de survie psychique. Sans but, l'homme ne peut entièrement jouir de la vie. Cependant, ce jeune adolescent semblait important car, le membre principale de l'unité spéciale qui avait fait la démarche de faire fuir les habitants venait de lui dire les mots suivants :

« Shikamaru-sama... Allons-y, cet homme est un terroriste, il a osé perturber la paix civile qui règne dans notre village ces temps si. Cela mérite largement plus qu'une simple arrestation, s'il s'agit d'un Nukenin, nous aurons même l'obligation de le mener à sa mort, vous êtes haut placé pour le savoir... La dernière rébellion fut un succès car il s'agissait d'une
dictature... Cette fois, tout va pour le mieux... »

Ainsi donc, la jeune femme présente ne faisait pas partit de l'unité de défense d'après ce que disait le jeune homme. La paix... Qu'est-ce que la paix dans un village où les habitants doivent tenter de travailler de toutes leurs forces pour subvenir aux besoins de la société en crise après la grande guerre. Les misérables n'ont pas vraiment le temps de semer l'animation lorsque la répression règne. Mais, alors qu'il voulait répondre à ses invités, Kaigo fut de nouveau interrompu par un jeune homme au cheveux blancs. Celui-ci semblait être là depuis un moment déjà et Kaigo l'avait vu manifester son mécontentement sans vraiment l'avoir entendu. Il n'était pas aisé pour cet étranger d'entendre et de comprendre les paroles d'un shinobi lorsque lui même discourait. De plus, prêter de l'importance à de tels personnes ne pouvait qu'engendrer la colère dans le cœur de Kaigo mais celui-ci persista, s'avançant vers son interlocuteur et se plaçant assez prêt pour qu'il soit reconnu dans la pièce vide. En effet, de tous les présents dans la salle il semblait le plus faible avec la jeune femme. Cependant, bien qu'il eut été ignoré une fois, il crut qu'il se devait d'éclaircir ses propos :

- Désormais nous sommes face à face, l’un tenant des propos marqués de haine envers la société, l’autre qui y voit ses avantages. Dans un tel cas, allez-vous vous en prendre à moi physiquement? Ou serrez-vous au moins capable de vous exprimer clairement? Je sais, je ne vous laisse pas le temps de vous exprimer et c’est bien là le problème, alors contez nous donc ce futur si noble sans personne pour protéger une noble fleur, si mon choix vous déplait et bien qu’il en soit ainsi. Je ne m’attarderais pas à des mots, mais pour moi vous ne reflétez que le chao d’une vie jadis oubliée.

A ce moment, Kaigo parut hilare, prit d'un fou rire joyeux et presque distrayant mais, ce n'était qu'une feinte pour détendre l'atmosphère et s'aider à cacher sa véritable puissance. Une fois calmé, il plaça ses mains sur son sabre et activa à nouveau sa technique on'kyou afin que tous le village puisse entendre son discours. Il s'adressa en premier au shinobi qui avait lancé des senbons :

- Monsieur, je ne crois pas que vous comprenez pleinement les mots que vous employez. Terroriste ? Le terrorisme est une chose effroyable que je préférerait éviter a vrai dire et je n'ai exercé aucune intimidation oppressante ou acte de violence envers vous. Et puis, pour être terroriste je devrais être membre d'une organisation à but politique mais à vrai dire que savez vous de moi ? Je suis peut être tout seul ou peut être accompagné de dizaine de membres tout aussi fort que moi. Mais, la force est elle un critère ? Pour vous j'ai l'impression. Pourquoi n'avoir pas appeler cette femme a m'attaquer avec vous ? Ou que fait elle ici ? il se tourna vers la kunoichi. Mademoiselle, pourquoi venir si vous ne faites pas partit des forces spéciales, de plus, si je dois me fier à ce que dit ce jeune homme, vous n'avez pas les compétences requises pour me porter une attaque mais, tout ça peut être lié au fait que vous êtes une femme. Il sourit et dit alors, C'est vrai, partout j'entends le mot homme mais, le mot homme signifie t-il obligatoirement le mot humain ? Ne serait-ce pas plutôt un antonyme ? Pourquoi le sexe mâle représenterait le sexe féminin ? Quelle injustice...

Prenant une grande respiration, il laissa espérer a ses interlocuteurs le temps de répondre mais il les coupa dès qu'ils eurent ouvert la bouche.

- Tout vas pour le mieux ? Je vous signale que vous sortez de la guerre, vos shinobis se sont effroyablement affaiblis et ne se sentent même plus impliquer dans les affaires de ce pays. A l'époque, ça aurait été une dizaine de shinobis qui n'auraient rien à faire avec l'unité spéciale qui seraient rentrés pour me tuer. Maintenant, vous être quatre !

Doucement, il tourna le buste vers l'homme qui se trouvait en face de lui, pas assez proche pour être pourfendu de son sabre mais tout de même assez pour être tué.

- Je vois en face de moi, deux membres de l'unité spéciale et deux simple shinobis. Vous, l'adolescent aux cheveux blancs, votre puissance égale celle de la jeune femme et vos discours sont si manichéen que je suis prit au désarroi. Je ne savais pas que dans un pays où la souffrance était si grande des gens comme vous pouvez encore se masquer les yeux sur la réalité. Je pense, vu à vos attitudes que vous devez venir d'une famille aisé ce qui a développé votre arrogance et votre trop grande confiance en vous. Ainsi vous croyez que je veux vous agresser ? Hum... vous n'en valez pas la peine je pense, je ne suis pas la pour tuer des chunin, je veux un entretien avec le Kage. Vous ne voulez pas me laisser le temps de m'exprimer, mais que fais-je depuis tout à l'heure ? Sérieusement, ne vous prenez pas pour plus important que vous l'êtes. Des gens comme vous qui méprises les autres selon leurs idées et qui n'essayent même pas à les comprendre ne mérites pas d'être appellés humain, et non homme.

Lors d'une seconde, Kaigo fit entrevoir à son adversaire ses dents aiguisées puis continua :

- Croyez vous que Konoha a eut le passage le plus difficile ? Je crois que vous vous trompez ! Ces paroles montre encore votre égocentrisme autour de votre village. Que penser des autres ? Le nôtre a eut du mal alors ceux qui ont été détruits n'ont pas à se plaindre ! Ce n'est pas comme ça que je compte protéger un village. Ce n'est pas en me souciant de mon sort personnelle que je pense que les choses évolueront. Si je veux un monde prospère, j'essayerais d'aller aider les villages en crises et de leur proposer une main secourable afin d'instaurer un climat de confiance et de paix morale. Maintenant, par les propos que vous m'avez menez, je sais que vous voulez me tuer. Je dis cela à tous les shinobis de Konoha et du monde entier : aider votre prochain sans aucun vice ou mauvaises attentions et l'avenir vous sourira.

Kaigo coupa alors l'effet de sa technique on'kyou et fit des signes bref. En quelques secondes, pendant que les shinobis de la salle s'écartaient et se préparer à se défendre, de grands arbres se mirent à pousser avant les murs, créant une deuxième défense. Ses troncs si larges ne pouvaient brûler si facilement et même si un shinobi eut réussit, il mettrait en péril la vie de tous les shinobis présent dans cette pièce. Le long de ces tronts lisses, de larges épines suinter un liquide pourpre et malveillant. Maintenant, tout aller ce jouer. Dans une dernière phrase il dit :

- Si vous ne me tuez pas, je le ferai ! Que la justice ne soit plus qu'une théorie !

[respecter l'ordre des posts au maximum si possible merci ^^ ]

La jeune femme écoutait avec passion le discours de cet homme, qui ouvrait les yeux sur certains point. Ses idées d’égalités... pourquoi le prendre pour un fou ? De plus en plus de personnes s’étaient rassemblées, donc Shikamaru Nara, un ANBU qu’elle connaissait particulièrement bien, ainsi que quelques ninjas de Konoha.

Road se sentit transportée par ces paroles engagées, jusqu’à ce qu’un jounin fit irruption devant la foule : Genma. Celui-ci n’était pas venu en paix, mais bien au contraire, pour arrêter cet homme qui criait la vérité. Puis enfin le bouquet final, l’Hokage qui arriva, face à face du manifestant. Elle était pourtant décider de se rebelle contre son mari, mais le voir devant elle lui coupa le souffle. Mais ce visiteur ne baissa même pas la tête, il continuait d’exprimer ses idées, sans sous-entendus. C’est alors que la kunoichi reprit courage et décida de s’exprimer
Mais comment ? Ses réflexions furent interrompues jusqu’à ce que cette voix qu’elle écoutait depuis quelques minutes s’adressa à elle :

« Mademoiselle, pourquoi venir si vous ne faites pas partit des forces spéciales, de plus, si je dois me fier à ce que dit ce jeune homme, vous n'avez pas les compétences requises pour me porter une attaque mais, tout ça peut être lié au fait que vous êtes une femme. Il sourit et dit alors, C'est vrai, partout j'entends le mot homme mais, le mot homme signifie t-il obligatoirement le mot humain ? Ne serait-ce pas plutôt un antonyme ? Pourquoi le sexe mâle représenterait le sexe féminin ? Quelle injustice... »

La kunoichi ressentit alors un étrange sentiment... une volonté de crier qu’il avait raison, mais aussi la crainte de son mari. Mais hors de question de baisser les bras : sans réfléchir, elle s’avança, entre Genma et l’homme. Elle était face à celui-ci, prête à lui dire ce qu’elle pensait :

« Je me demande... femmes ou hommes... nous sommes tous pareil.... C’est justement en faisant partie de ces unités spéciales que je me suis rendues comptes de certaines inégalités. »

Puis, elle se retourna, face à Genma qui était prêt à l’arrêter, avec près de lui, Shikamaru mais qui ne semblait pas motivé pour suivre le jounin. Elle était à quelques mètres du shinobi, avec autour tous les gens qui quittaient rapidement la salle.

« Perturber la paix, vous dites ? Cet homme n’a tué personne, et il a le droit de s’exprimer ! Et c’est lui qui perturbe ? Ce n’est pas lui qui actuellement est prêt à arrêter une personne pour la condamner à mort... VOILA A QUOI SERVENT LES KAGES ! Dès qu’on leur reproche un détail, la terre s’effondre, et on est prêt à tuer l’interlocuteur... Et vous parlez de paix... »

La jeune femme avait laissé parler son cœur, peu importe les conséquences, elle avait envie de faire quelque chose pour son village... non, pour tous les hommes. Elle tournait le dos à Mao ainsi que l’homme, pendait qu’elle affrontait Genma du regard.

Shikamaru était là, les mains dans les poches, regardant à tour de rôle les différentes personnes qui s'échangeaient des paroles visant à destabiliser l'autre. Il n'avait pas encore parlé, mais pensait énormément. Le Chef des ANBU avait choisi son camps et il ne le dévoilerait que quand le besoin se le fera sentir. Tout c'était enchaîné si rapidement. D'abord, Gemma, un Junnin que l'adolescent connaissait était entré et avait fait sortir tout le monde, racontant que l'inconnu au centre de la salle était un terroriste. Ensuite, un homme qui n'était autre que l'Hokage en personne du village de la feuille était entré et avait énoncé à son tour son point de vue sur le monde et la société actuel. Sa vision était complètement l'inverse de ce que pensait l'homme à capuchon et à l'inverse également de ce que pensait Shikamaru. L'Hokage exposait son point de vue et trouvait des arguments contre le point de vue de l'homme. Un long débat politique venait alors de commencer entre deux hommes possédant une vision de la société complètement différente. Désormais seul cinq shinobis étaient présents dans la salle. Cinq ninjas tous différents, cinq ninjas prêt à se battre pour défendre leurs convictions et leurs points de vue. L'inconnu et l'Hokage continuait de parler, chacun prenant soin de démonter les arguments de l'autre avec l'aide d'arguments contraire. Le Nara, lui, n'écoutait pas entièrement les tirades de chacun, car il avait déjà choisi son camps et qu'il trouvait tout cela inutile. Les tirades des deux hommes étaient longues et directes, et Shikamaru avait un peu la flemme d'écouter les discours entièrement. Il retenait des mots et des bouts de phrase et s'efforçait de montrer qu'il écoutait tout. Soudain, tandis que l'inconnu venait d'énoncer ces mots :

- Je dis cela à tous les shinobis de Konoha et du monde entier : aider votre prochain sans aucun vice ou mauvaises attentions et l'avenir vous sourira.

Des arbres surmonter d'épines se mirent à pousser à l'intérieur de la salle, bordant les murs et assombrissant complètement le lieu où se trouvait les shinobis. Désormais, il faisait presque complètement noire, mais quelques rayons de lumière parvenaient à se frayer un chemin à travers les arbres épineux. Maintenant, chacun savais qu'un combat allait très vite s'engager. L'inconnu avait ajouté que si Mao ne le tuait pas , il le tuerait. Auparavant il c'était adressé à Road, lui expliquant qu'il y avait de grande injustice dans le village de la feuille. La principale était que les hommes et les femmes ninjas n'étaient pas traitées pareil et cela, le Chef ANBU le savait parfaitement. Road avait compris tout ça et semblait elle aussi, suivre les idées de l'inconnu. Elle avait clairement compris comment se passait la vie à Konoha, les inégalités entre hommes et femmes dans les services spéciaux et tout le reste. Le garçon repéra brièvement où se trouvait les différents shinobis présent malgré l'obscurité. Il fallait que Shikamaru commencent à agir, c'était à lui de jouer, il devait empêcher que l'Hokage s'échappe de cet endroit!

(pensée de K: Shikamaru sais-tu que si tu attaques ton Kage tu seras considéré comme un criminel et tu auras des ANBU tes trousse?)

(pensée de S: Oui je le sais, mais j'ai choisis mon camps et je dois empêcher la fuite de mon Kage. Ne crois-tu-pas toi aussi, que toute cette société doit changer?)

(pensée de K: Si je le pense aussi, et je te suivrais dans tes décisions.)

Tout allait bientôt se terminer et tout allait changer. Le Nara regarda l'inconnu puis fit des signes dans l'obscurité.

Kagemane No Jutsu

L'ombre du garçon s'allongea discrètement et silencieusement pour atteindre les pieds de Mao. Désormais il ne pourrait plus bouger. L'obscuritée était omniprésente dans cette pièce et personne n'avait encore remarqué ce que venait de faire l'adolescent. Il venait de trahir son village et son Kage, à partir de maintenant, il serait poursuivi par les services spéciaux. Mais tout cela il en était conscient et s'en fichais complètement, il avait fait le choix de suivre une vision du monde complètement différent de celle qu'il suivait auparavant et devait maintenant assumer sa décision. Le Nara était le seul à ne pas avoir parlé, mais il en voyait pas le besoin. Pour lui tout était clair dans sa tête, il avait fait quelques pas pour s'écarter de son Kage et se rapprocher de l'inconnu qu'il avait décidé de suivre dès son arrivée. Tout allait se jouer maintenant...

[Vraiment désolé, mais je ne peux plus RP ici. Pour la suite de l'histoire qui se prépare, je ne peux tout simplement pas faire ce RP -_-. Vu le comportement de mon perso, vous pouvez dire qu'il s'agit d'un PNJ >< Encore désolé pour le dérangement]

Que de réflexion, tout cela mener à son terme me faisait clairement voir le fin mot de l’histoire j’aurais franchement du écouter mon frère. Enfin passons, car si bien que je me disais cela parfois, il n’en demeure pas moins que l’humain est un être intéressant plein de ressource. Je le vis gesticuler, cet inconnu, tentant je ne sais quel jutsu qu’avait-il l’intension de faire ainsi était-ce encore une manière de se jouer de moi, il ne me craignait pas certes, mais il n’avait pas le moindre respect pour ceux qui ne faisait qu’afficher leur libre pensé.

Cela devenait fort ennuyeux surtout pour cette jeune femme que je ne souhaitais en aucun cas froisser même si je ne l’avais encore jamais rencontré quoi qu’elle semble connaître l’Hokage au vu de ses réactions. Pourquoi avoir une tel appréhension, j’avais encore quelques cartes dans ma manche. Alors, il ne me fallait plus que jouer ma main. Dès l’instant où Mao était partit me laissant seul à Konoha décideur de son destin en ce lieu, l’armure du phénix comprise pour que je garde son apparence le plus possible. J’avais obtenu des possibilités supérieures à la norme et par cette armure une d’entre elles s’ajoutait celle d’utiliser mes jutsu sans incantation de quelques genres que ce soit.

-C’est bien la preuve que j’attendais de vous, la traitrise vous n’êtes pas capable de vaincre vos adversaires par les parole alors vous vous rabattez sur la violence, en plus vous savez très bien que je n’oserais pas utiliser un jutsu qui mettrait en péril la vie des ces gens vos intention sont donc dévoilé au grand jour, mais sachez que vous avez tord de penser m’avoir lié pieds et mains. En plus de prôner une fausseté vous compter l’appliquer par la tyrannie « qu’importe si ils se mettent sur ma route je les tuerais » est-ce votre leitmotiv? Vous agissez de la pire manière qui soi et quand vous parlez de bien et de mal, vous ne penser même pas à ce qu’est le bien ou le mal. De simple concepts dans une vie, car les personne que vous considéré comme mauvaise ne le sont que parce que vous le dites ainsi et qu’elles se voient perçus ainsi vis-à-vis des autre. Quand à moi vous me considéré comme votre ennemis que parce que mes idées s’opposent aux votre.

Je n’étais pas outré cette fois il me faudrait uniquement faire preuve d’intelligence de plus la concentration de chakra dans les deux morceaux d’armure du phénix était à son comble bientôt j’aurais ce qu’il me fallait pour exécuter la technique que je désirais. Mais avant cela un simple murmure me permit d’appeler à moi Reshin sous sa forme la plus puissante. Celle d’un dragon de feu dans la pièce ainsi scellé c’était suffoquant, mais surtout très dangereux car les flammes consumaient l’oxygène à une vitesse alarmante. Un autre que moi n’aurait osé faire cela. Mais je n’étais pas un autre mon nom était bien Hôshiro, même si je revêtais l’apparence du jeune homme en qui je logeais pour qu’il puisse accomplir son destin.

La vitesse serait déterminante alors que tous choisissaient leur camp, je ne comptais pas me faire prendre dans le tas et puis ne m’avait-il pas provoqué le premier par ses futiles menaces. Cela importait peu, mais il faudrait jouer le jeu ainsi je continuai mon discourt sentant mes jambes maintenant lié au sol par une technique du clan Nara une nouvelle sottise qui prouvait le manque de réflexion des humains. Oui car, s’ils avaient évolués comme nous phénix la mort ne leur serait connue que de par l’âge.

-Je suis désolé d’en arriver là mais vous allez bien trop loin dans votre détermination certes vous avez vos raison que la raison ignore surement. Mais agir comme vous le faites on voit bien le manque d’intérêt pour vos semblable les emprisonner ainsi dans une prison ou un simple jutsu peu ce révélé mortel quel idée saugrenue. Vos geste ne reflet pas vraiment vos paroles en pratique.

Les flammes rongeaient déjà mon corps, mais faire diversion était essentiel pour la suite du plan ainsi j’astreignais Reshin à s’enrouler autour de ma personne pour rendre la visibilité sur moi-même totalement nul. En vérité j’avais prévus plus que de raison mes actes et cela me peinais de voir que tous se liguaient contre moi par contre ils seraient satisfait car je ne serais plus avec eux pour les importuner.

Pour l’instant la technique était minime, car je devais produire bien plus de chaleur que cela pour en arriver au stade de résurrection, il est drôle de comparer la vie au feu si l’on y songe. N’est-ce pas deux choses aussi éloignée qu’elles ne sont proche? Pendant ce temps ma première technique étai achever quatre boules de feu c’était là tout ce dont j’avais besoin leur condensation était d’une bonne puissance et le chakra à l’intérieur de ces dernières était particulièrement travaillé pour ce que j’avais en tête.

-Honoo seirai jigoku no bunrisuru, Reshin

Le dragon qu’était Reshin au moment de cette phrase se dispersait en plusieurs autres. Ceux-ci continuèrent quand même de tourner autour de ma personne, après tout c’était le but de la manœuvre attirer l’attention général sur cette technique plutôt que sur moi-même. Les quatre boule furent prisent dans la gueule des mini Reshin.

(Hôshiro êtes vous sur de votre manœuvre? Si vous agissez ainsi Mao vous en voudra.)

(Qu’importe Mao n’a pas à s’en soucier par ailleurs ce poste est un gêne pour son futur développement.)

(Le rendre malheureux ne vous fera pas gagner du temps Konoha est pour lui sa patrie)

(Reshin ce sont aussi les terres ou je suis né, je sais ce qu’il ressentira mais nous parlons de bien autre chose ici. Je ne peux pas non plus me permettre ce combat si l’on découvrait mon point faible ici et maintenant je ne pourrais plus rien faire pour notre ami.)

(Alors, nous allons fuir?)

(Non, pas fuir mais mourir.)

Le silence régnait la technique de faux Hokage allait bon train et un nouvelle se préparait mais bientôt aucun n’aurait plus le besoin de comprendre ce qu’il se passait. Un mince sourire voyait le jour sur les lèvres de l’individu aux cheveux blanc soudainement un couche de flamme l’entoura brulant son enveloppe corporelle avec une intensité incroyable mais au même instant les dragons partaient pour le plafond les premier firent disparaitre en quelque instant le poison sur les parois qui empêchaient l’embrassement de ce dernier les autre permirent de sécher le bois issu du jutsu Mokuton. Tel que je le prévoyais le toit s’effondrerait surement mais ceux ici présent ne recevraient que peu d’éclat de ces débris avant de terminer ma technique de résurrection je regardai une dernière fois.

La seule chose que je vis fut la fumée et les flammes qui me consumaient déjà mon corps éclataient en une gerbe de flamme qui créa un flash de lumière aveuglante tel que personne n’aurait pu le regarder de face et ne point être éblouit. De l’air frais s’engouffrait dans la pièce le toit était percé et pas qu’un peu là ou les trois boules de feu avait explosé, on ne voyait pas un morceau du toit restant. On entendit quand même mes dernières paroles à ce moment.

-La flamme ne meurt pas ainsi, elle restera éternel et vivra pour l’éternité libre de tout choix de tout décision libre de pensé ce quel souhaite. C’est ainsi que le village de la feuille perdurera car vous avez beau jeu de dire vouloir défendre tout les humain de ce monde, vous oublier que tous pense et agissent différemment. Il y a autant de femme et d’homme que de manière de penser et les villages représente la division de ces pensées. Aujourd’hui je meure de ma volonté propre car je l’ai choisit si cette manière vous déplais acharner vous contre le destin chacun de vous a son choix propre mais la responsabilité de ne pas y engager par la force ceux qui ne sont pas en accord avec vos idéaux.

Le vent portait ces parole au dehors une femme les avait aussi entendu cette voix elle la connaissait celle de l’Hokage, mais pourquoi?