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 Aide aux mafieux (C)

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Rakurai
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Rakurai


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MessageSujet: Aide aux mafieux (C)   Aide aux mafieux (C) Icon_minitimeDim 2 Mar 2008 - 18:01

Le soleil était sur le déclin dans le ciel dégagé au-dessus de Ryoko Owari, jetant déjà ses couleurs oranges sur la ville mal famée, lui donnant ses seules couleurs qui disparaîtraient quelques minutes plus tard. Dans les rues du sombre village aux maisons en bois à moitié détruites, quelques bruits circulaient. Encore des rumeurs sur un nouvel assassinat qui aurait eu lieu, ou bien sur un nouveau trafic de drogue qui aurait été monté. Bref, la routine. Ce n'est pas à cette heure-là qu'on s'enfonce encore plus dans l'illégalité, si c'est possible, chez les Nukenin. Même si il n'existe plus de police dans la ville, il vaut mieux éviter de déconner sur le territoire d'un gang ennemi avant la tombée de la nuit. Alors, chacun reste chez soi, et le grabuge attendra. Ce jour-là, il arriverait plus tôt que prévu.

Rakurai marchait tranquillement dans les rues de Ryoko Owari. Un vent frais balayait la poussière du sol, et le forçait à mettre la main sur sa tête pour retenir la capuche de son long manteau noir. Il n'aimait pas se révéler en public - même si, à cet instant, il n'y avait pas de public -, et encore moins ce soir-là, précisément. Il gardait en tête que, s'il allait travailler pour la mafia, les jours suivants ne seraient pas sans repos. Mais qu'importe, il aimait ça. Il n'état pas fait pour une vie monotone, mais bien pour l'action. C'était d'ailleurs la seule raison qui l'avait poussé à sortir ce soir-là, obéissant au message qu'il avait reçu le matin même, aux aurores, qui lui indiquait que le chef de la mafia de Ryoko Owari avait besoin de ses services. Il n'avait presque pas hésité, juste le temps de constater que, si sa tâche n'était pas assez palpitante à son goût, il aurait au moins le loisir d'essayer d'échapper au maître soi-disant incontesté de la ville.

La capuche rabattue devant son oeil droit, seul le gauche voyait où il allait et ce qui se passait autour de lui. Il vit défiler un homme allongé par terre contre un mur et enroulé dans des couvertures, un reste de maison qui était apparamment le seul rescapé d'un incendie et deux hommes dans une ruelle sombre dont les actions étaient aussi louches pour quelqu'un de respectable qu'elles étaient banales pour les habitants de Ryoko Owari. Il prêtait attention à tous ces détails tout en sachant qu'il n'y avait pas une chance sur mille pour que ça lui soit utile à autre chose qu'à entraîner la vivacité de ses yeux. Mais il ne s'ecombrait pas la mémoire avec des choses si insignifiantes. Non, son esprit était occupé par une affaire bien plus importante : il venait de s'arrêter devant la demeure du chef de la mafia.

Cet homme, conscient de sa puissance, ne se cachait pas. Son lieu de logement aurait été considéré comme normal par des gens civilisés. Mais, à côté des autres bâtisses de Ryoko Owari, cette maison sur deux étages, en bois luisant et propre, qui reflétait la lumière envoyée par les torches bordant le chemin de terre qui traversait le verdoyant jardin, semblait être un palais. Ce jardin était entouré de hautes haies taillées très droit, et la seule entrée possible était une porte en acier brillant, gardée par deux hommes qui semblaient être des jumeaux : la même carrure droite, massive, même taille, même mâchoire carrée, même regard noir perçant. C'était par cette ouverture que Rakurai avait aperçu la demeure de son employeur, et il resta immobile quelques secondes à admirer ce chef-d'oeuve architectural. Ce fut la voix rauque d'un des deux gardes qui brandissait déjà une lance à deux mains dans sa direction qui le fit reprendre ses esprits.


"Hé, toi ! Qu'est-ce que tu fous ici ? C'est une propriété privée, et tu sais à qui elle appartient ? C'est la dem...
- Je sais très bien qui habite ici, le coupa Rakurai d'une voix lente, presque menaçante. Et c'est lui qui m'a fait venir. J'ai là un message... Il lâcha sa capuche et fouilla à l'intérieur de son manteau, dont il sortit un morceau de parchemin enroulé. Il gardait toujours, par précaution, les demandes de services - du moins, jusqu'à ce qu'il ait rencontré son employeur. ... De Kagemura. Il souhaite recourir à mes services. Je pense que son sceau suffira à me laisser entrer..."

Il tendit le message aux deux hommes, sans le lâcher, et le premier fit un simple signe de tête à l'autre - un mouvement vertical - pour lui faire comprendre que tout était en ordre. Les gardes ouvrirent la porte et laissèrent passer Rakurai.

Le jeune homme fit quelques pas lents sur le chemin, puis s'arrêta. Il tourna la tête de gauche à droite, en examinant le jardin. Il se demandait comment l'herbe pouvait survivre au froid de l'hiver et aux chutes de neige qui étaient plus que fréquentes à Ryoko Owari. Il n'eut pas l'occasion d'y réfléchir plus longtemps : un nouveau mafieux traversait le jardin à sa rencontre. Grand, cheveux sombres dressés sur sa tête, il dominait Rakurai de quelques centimètres. La lueur des torches bordant le chemin l'éclairait par le bas, lui donnant ainsi un air menaçant. Un tatouage dépassait de dessous sa manche de kimono, sur son bras droit. Une sorte de dragon-lézard qui s'enroulait autour de son bras, dont chaque mouvement de muscles donnait l'impression qu'il ouvrait la gueule ou ondulait son corps. Celui-là avait du subir de nombreuses épreuves, pensa Rakurai à la vue du regard dur qui trahissait le sentiment qu'éprouvait le mafieux à son égard : du mépris. L'Arrankar n'aimait pas ça, mais il était trop tôt pour faire comprendre à cet homme qu'on ne le regardait pas de cetet façon.

Le mafieux le conduisit jusqu'à la porte principale de la maison qui révéla un long couloir qui menait à de grands escaliers en s'ouvrant. Puis les deux hommes s'arrêtèrent devant une des nombreuses portes qui bordaient ce couloir et attendirent quelques instants durant lesquels Rakurai put entendre des gloussements étouffés provenant de la salle dans laquelle il s'apprêtait à rentrer. Une minute plus tard, c'était le silence le plus complet. Enfin, le mafieux fit coulisser le panneau en papier. Il poussa Rakurai dans le dos et referma la porte.

Le jeune homme jeta un rapide coup d'oeil à la pièce dans laquelle il venait d'entrer. Elle était fermée, sans fenêtre, et décorée à la chinoise, avec des lampes pendant au plafond. La peinture rouge couvrait tout le mur ainsi que le plafond, parsemée de taches dorées. La pièce empestait un parfum bien trop fort au goût de Rakurai. La porte dissimulée dans un coin au fond de la pièce n'échappa pas au regard attentif de l'Arrankar. Enfin, il regarda le chef de la mafia. C'était un homme qui avait dépassé la soixantaine, chauve sur le dessus du crâne et portant une couronne de cheveux blancs sur les côtés, qui s'arrêtait juste au-dessus de ses oreilles. Des rides parcouraient son visage, ses yeux étaient cernés, il portait une petite barbe qui était plus grise que blanche. Affalé dans des coussins assortis à la décoration des murs, un verre d'alcool dans la main et la bouteille vide à ses pieds, il leva ses yeux verts - qui n'allaient pas du tout avec le reste de son visage - vers Rakurai, et prit la parole sur un ton traînant, fatigué.


"Eh bien, te voilà. Bon, je n'ai pas l'intention de perdre de temps alors je vais tout expliquer d'un coup. Tu poseras les questions après.
- Ca me convient
- Comme tout le monde le sait, je contrôle à peu près tous les trafics de drogue de la ville. Certains gangs veulent passer outre leurs obligations envers moi. Leurs dirigeants meurent, et je revendique le crime. Ils se calment. Certaines personnes font de même, mais seules. Elles trépassent, mais à quoi bon revendiquer le meurtre ...? Mais il y a un troisième type de personnes. Kagemura but une gorgée d'alcool, puis reprit. Ce sont des pourris, comme tout le monde ici... Et eux ne veulent pas déroger à mes règles, mais carrément me contrer. Récupérer le monopole du marché de la drogue. Ce genre de cas est très rare, mais quand il arrive... C'est plus qu'embêtant. C'est aussi contrariant. Ces menaces doivent être éliminées dès leur naissance. Sinon, il faut récupérer les réseaux de trafics perdus, après leur mort. Et j'ai appris qu'un groupe de personnes comme ça s'était formé. Ta mission est donc d'éliminer la famille qui me gêne. Ces enculés sont les cerveaux; sans eux leur petite armée ne peut rien faire. Ils sont bien protégés, environ une petite dizaine de shinobis supérieurs leur lèche les bottes. Ah non, ils ne sont plus que trois aux dernières nouvelles. Enfin bref, ce qu'il faut, c'est que tu élimines père, mère, frères et soeur."

Le chef de la mafia vida son verre. Pendant ce temps, Rakurai chercha à comprendre comment il se pouvait qu'un esprit aussi machavélique pouvait se cacher dans un corps qui ne lui correspondait absolument pas. Ce corps frêle eut un spasme, et sa bouche repit la parole.

"Bien... Maintenant, les questions ?
- Oui... Localisation et plan détaillé de leur maison ?
- Dans cette enveloppe sur la table, derrière toi.
- D'accord, répondit Rakurai sans se retourner. Maintenant, je veux aussi que vous sachiez que, si j'accepte ce boulot, c'est pas parce que je suis de votre côté. Les histoires de pouvoir, et tout, je m'en fous complètement. J'y vais juste pour m'amuser."

Kagemura ouvrit la bouche, affichant une expression sévère, mais il n'eut pas le temps d'intervenir.

"Vous n'aurez qu'à aller vous balader par là-bas demain matin pour savoir si j'ai réussi ou pas. Sur ce, bonne nuit..."

Sur ces mots, le jeune homme se retourna, saisit l'enveloppe contenant les informations qu'il avait demandées, et sortit de la maison. Pendant son entretien avec le chef de la mafia, le soleil s'était couché. La nuit était tombée. Une fois dans la rue, Rakurai leva la tête vers les étoiles blanches qui parsemaient le ciel noir. La tradition de Ryoko Owari serait perpétuée au moins un jour de plus.

Cette nuit-là, il y aurait des morts...
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Rakurai
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MessageSujet: Re: Aide aux mafieux (C)   Aide aux mafieux (C) Icon_minitimeMer 5 Mar 2008 - 20:40

Le plan que lui avait fourni Kagemura était très précis. Il trouva la maison de ses futures victimes à quatre rues de celle de la demeure du chef de la mafia. Il admira l'audace : s'installer à quelques centaines de mètres de l'homme qui était certainement le plus dangereux de la ville, tout en osant s'opposer à lui, c'était tout simplement gonflé. Et c'était peu dire. Rakurai remarqua que la maison de la famille Hitsume - le nom qui leur était donné par le dossier trouvé dans l'enveloppe - était calquée sur le modèle de celle du vieil homme qu'il venait de quitter, mais dans une version à un seul étage. Tout y était : la haie était pareillement taillée, la grille était identique, le jardin avait la même taille, des torches bordaient la aussi le chemin en terre, et même les deux gardes semblaient être des cousins éloignés de ceux qui avaient arrêté l'Arrankar une petite demi-heure plus tôt. Ce qui fut le plus frappant, c'est que ces deux hommes eurent le même comportement envers lui : ils lui aboyèrent dessus, lui ordonnant de s'éloigner de la maison. Rakurai obéit sans discuter, et tourna le dos à la maison. Il marcha dans le sens opposé, bifurqua à un angle de rue vingt mètres plus loin, et sortit du champ de vision des deux gardes. Il savait comment infiltrer la maison, mais l n'avait pas l'intention de la faire tout de suite. Ou, plus précisément, il ne pouvait pas le faire tout de suite. Il décida de s'asseoir contre le mur en bois délabré de la maison qu faisait l'angle, puis siffla longuement, un sifflement aigu, strident. Il obtint une réponse à peine une minute plus tard. Sous sa capuche, il sourit; un sourire satisfait. Puis, il ferma les yeux sans s'endormir, et attendit le moment propice...

Dans le ciel, la pliene lune brillait intensément, d'une lumière blanche, pure. Elle était la seule source de lumière dans le ciel sombre; toutes les autres étoiles étaient recouvertes par d'épais nuages violets. Mais ces nuages semblaient vouloir éviter la lune, comme s'ils la craignaient. Ou comme s'ils craignaient que la seule chose qui permettait le peu de sécurité la nuit, dans Ryoko Owari, ne disparaisse et laisse se déchaîner le crime, la violence, la barbare. Pourtant, ce moment allait venir. Il arrivait chaque nuit et, quelle que soit la volonté des nuages, ils ne pouvaient pas résister au vent qui les poussait lentement, les rapprochant inexorablement de cette lune ronde, innocente, jusqu'à ce qu'ils la recouvrent entièrement et que la dernière source de sécurité disparaisse. Il en était ainsi chaque nuit...

Rakurai ouvrit les yeux. Sur son épaule se tenait un aigle grand d'un mètre environ, qui tournait la tête toutes les cinq secondes, ses yeux jaunes, perçants, scrutant la rue dans ses deux sens. Le jeune homme réajusta sa capuche sur sa tête, puis posa la main sur le sol poussiéreux. Il avait eu de la chance qu'il ne pleuve pas. Mais la chance était un critère qui avait sa place dans la réussite d'une mission. S'appuyant de tout son poids sur son bras droit, il se releva. De sa main gauche, gantée, il rebroussa la manche droite de son manteau, révélant le long de son avant-bras une plaque de cuir noir abîmée par endroits. Il vérifia qu'il n'était pas surveillé, puis il murmura quelques mots à son aigle. N'importe qui aurait pu le prendre pour un fou...


"Washikara, on peut y aller. Essaye de faire le plus vite possible... Je ne crois pas que les gardes penseront à regarder en l'air, mais on est jamais trop prudent..."

... Mais l'aigle obéit à ses paroles. Il s'agrippa fermement au brassard noir, déploya ses ailes, et commença à donner de grands coups dans le vide. Aussi incroyable que cela aurait pu paraître, malgré la diproportion de tailles entre l'oiseau et son maître, Washikara s'envola, emportant Rakurai avec lui. Il s'éleva dans le ciel, à une petite vingtaine de mètres du sol, et s'élanca vers l'avant, en planant en ligne droite. Les pieds de Rakurai rasèrent les toits de trois maisons - les plus hautes de la ville - mais, pendant les trente secondes que durèrent ce vol de cent mètres, le jeune homme fut totalement à découvert. Heureusement, la lune était couverte, et il ne volait de toutes façons pas dans sa lumière. Difficile à repérer. L'aterrissage, en revanche, fut moins discret. Il se laissa tomber à côté de la résidence Hitsume, le long de la haie taillée. Certes, il avait très bien amorti sa chute, mais son pied, au lieu de rencontrer le sol poussiéreux, tomba sur une brindille qui craqua sous son poids. Une saloperie certainement tombée d'une branche d'arbre qui passait par-dessus la haie. Un infime détail, mais qui allait peut-être faire foirer toute sa mission. Par chance, une nouvelle fois, les gardes ne l'entendirent pas. Apparamment, la rue était déserte, et ils avaient relâché leur attention. Pourquoi faire ? Mais, qu'est-ce que ça change de le savoir ? De toutes façons, ils ne pourraient pas l'arrêter.

Sûr de lui, de sa supériorité et de l'avantage que lui procurerait l'effet de surprise, Rakurai réfléchit quelques instants, Washikara sur son épaule. Il lui suffisait de tuer les cinq membres de la famille. Alors, que faire de la sécurité ? La réponse vint rapidement d'elle-même : les neutraliser, le temps que durerait son attaque. Ainsi, le lendemain, lorsqu'ils se réveilleraient, ils découvriraient leurs maîtres morts et iraient le crier sur tous les toits. Et lui, Rakurai, aurait complètement réussit sa mission. Oui. C'était ça qu'il fallait faire. Et les gardes se maudiraient de leur impuissance... Ce serait parfait.
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Rakurai
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MessageSujet: Re: Aide aux mafieux (C)   Aide aux mafieux (C) Icon_minitimeJeu 6 Mar 2008 - 16:43

Il commençait à avoir des fourmis dans les jambes. Il était resté accroupi trop longtemps, et ses muscles commençaient à le démanger. Il lui semblait que c'était un appel au meurtre, comme si ses cuisses avaient compris son intention et le forçaient à aller au bout de ses actes sans attendre, et assouvir sa soif d'action. Obéissant à ses muscles, donc, Rakurai se releva discrètement. Son infiltration ne pourriat pas rater. Il faisait nuit, l'ombre était présente partout, sur le sol : la situation était on ne pouvait plus favorable à l'Arrankar. Et il savait que son "ombre" pensait la même chose que lui.

"Kouhan, murmura-t-il, tu penses à la même chose que moi, hein ?"

Une voix lente, comme fatiguée, plus basse encore, venant de nullepart, répondit à ces mots.

"Oui... J'y vais... Mais je veux pouvoir m'amuser, moi aussi...
- Ton amuse-gueule est à trois mètres de toi... Je te demande juste de ne pas le tuer, OK ?
- À condition que je puisse compenser ces vies par d'autres...
- Ca marche. Par contre, essaye d'être discret, s'il te plaît..."

En regardant attentivement le sol, un passant aurait pu discerner un léger mouvement parmi les ombres qui le recouvraient. Mais personne n'aurait pensé à regarder attentivement le sol. Rakurai le savait, et il savait également ce que cela signifiait : Kouhan réussirait, et sans être repéré. Après tout, il était lui-même une "ombre", aussi noire, mystérieuse et insaisissable que toutes les autres ombres de ce monde. Et Rakurai ne put s'empêcher de jeter un coup d'oeil vers les gardes pour admirer la scène. Il ne se lassait jamais de ça : Kouhan sortant silencieusement de l'ombre, sans se faire repérer, sortant la copie de Koshiryû l'étincelante de son fourreau, assomant rapidement et discrètement les deux gardes, un par un, avec la garde du petit sabre, et les traînant sous la haie taillée. Le premier obstacle avait été éliminé rapidement et avec efficacité. Et, une fois sa tâche achevée, Kouhan était retourné à l'état d'ombre, s'assurant ainsi une couverture parfaite. Rakurai se dépêcha de dégainer un de ses deux Kodachi. Ce fut Koshiryû, le sabre qui avait servi de modèle à celui que venait d'utiliser Kouhan. La lame argentée brillait d'elle-même. Même si elle risquait de le faire repérer, il se sentait en sécurité avec son petit sabre dans la main. À côté de lui, Washikara quitta son épaule et s'envola dans le ciel nuageux. Rakurai attendit encore quelques minutes.

Quelque part dans la nuit, un cri retentit. Un cri aigu, long, ressemblant étrangement à un autre qui s'était fait entendre un peu plus tôt ce soir-là. Sans plus attendre, Rakurai se précipita à l'intérieur de la propriété. La faible lueur des torches bordant le chemin terreux ne l'éclaira que quelques seconde. Il était déjà plaqué contre le pilier de bois à droite de la porte de la maison lorsqu'une fenêtre s'ouvrit, juste au-dessus de sa tête, à l'étage. Un voix de jeune homme, plus jeune que l'Arrankar, mais indiquant qu'il était quand même bien défoncé, brisa le silence pesant et angoissant laissé par le cri qui s'était arrêté.


"Hé, il se passe quoi ?"

Rakurai retint sa respiration, de peur de se faire repérer. Il croyait que tout allait bien, mais réalisa tout à coup qu'il avait fait une erreur : si le garçon regardait du côté de l'entrée et qu'il ne voyait pas les garde, il avertirait immédiatement toute la maisonnée. Et cela, il fallait l'éviter à tout prix. Mais, avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit, ce qu'il redoutait arriva.

"Hé, réveillez-vous !! Juren et Shigeta ont quitté leur poste !!"

Rakurai arrêta d'écouter. Il devait rapidement se décider, et n'avait plus d'importance à donner à ce qui se disait. Prendre l'initiative ou attendre l'ennemi ? Il resta immobile cinq secondes, puis il se frappa le front. Pourquoi pas les deux à la fois ? Il n'eut qu'un mot à prononcer pour que Kouhan s'élance. "Monte". Il n'attendit pas, cette fois, de voir son ombre surgir de l'obscurité. Pas de temps à perdre, l'attaque surprise devait fonctionner. Sans se préoccuper de rester discret, il donna un violent coup de pied dans la porte en bois de la maison. Celle-ci céda, et l'Arrankar se précipita dans la maison, Koshiryû en main. Il continua à courir tout droit, en direction des escaliers, au bout du couloir. Au-dessus de sa tête, à l'étage, il entendit un bruit étouffé, comme quelqu'un qui tombait au sol. Kouhan avait-il déjà fait une victime ? Ou bien était-ce l'inverse ? Non, la deuxième solution était impossible, il l'aurait senti...

Il était arrivé en haut des escaliers lorsqu'il entendit un porte claquer dans son dos. Il se retourna vivement, mais fut surpris de voir, au lieu du garde viril qu'il avait imaginé, un vieil homme aux cheveux blancs plié en deux, bossu, s'appuyant sur une canne en bois. Il n'hésita pas. L'Arrankar tendit sa main libre, paume ouverte, doigts écartés, et en fit jaillir un éclair blanc qui partit comme une flèche en direction de la poitrine du vieillard. Celui-ci émit un faible bruit lorsqu'il fut touché, puis s'effondra. Rakurai avait dosé son attaque pour que l'homme ne soit que paralysé, et non pas tué par le choc électrique. Après tout, les seuls qu'il devait tuer étaient les membres de la famille Hitsume...

De nouveau, il entendit un bruit dans son dos. Un bruit de pas, cette fois. Il fit volte-face, tout en se demandant s'il n'allait pas finir par avoir la gerbe à force de tourner sur lui-même, et tomba nez-à-nez avec un homme à la peau bronzée, aux longs cheveux noirs qui lui tombaient devant la figure, masquant toute expression. Nullement impressionné par la carrure athlétique de son futur adversaire, sachant que s'il était dominé en taille, c'était uniquement à cause de quelques marches, Rakurai leva les yeux vers le rideau de cheveux de l'homme.


"Qu'as-tu fait à mon père, misérable ? Moi, Kamitake Hitsume, je vais te faire regretter ton acte !! gronda l'homme.
- Ton... Père ? Ce... Ce vieux croulant est ton père ? HAHAHAHAHAHAAAAAAA !!!"

L'Arrankar eut un éclat de rire incontrôlé. Il en pleurait tellement c'était drôle. Plié en deux, il ne vit pas le pied de Kamitake arriver en direction de sa figure. Il ne prit conscience qu'il était attaqué que lorsqu'il sentit la douleur sur sa joue droite, et qu'il fut expulsé sur le côté. Il passa par-dessus la rambarde de l'étage et s'écrasa contre le mur en bois. Il réussit à retomber sur ses pieds, mais il ne riait plus du tout. Sa capuche était tombée, et ses yeux noirs, derrières ses mèches, fixaient son adversaire, n'exprimant plus qu'un sentiment de colère froide. Il essuya le filet de sang qui coulait du coin de sa lèvre et, saisit d'une impulsion meurtrière, il s'élança sans plus attendre sur le fils Hitsume. Koshiryû s'abattit sur l'épaule droite de l'homme, mais ne rencontra que le vide. Kamitake s'était décalé d'un pas, un pas suffisant pour éviter la lame argentée. Rakurai avança de deux pas, et se retourna pour faire de nouveau face à son ennemi.

"Hum, t'es pas mauvais... Il va falloir que j'emploie les grands moyens...
- Une minute... Comment t'as fait pour faire sortir des éclairs de ta main ?
- Quoi ? Tu ne sais pas ça ? Dans ce cas, je ne devrais pas avoir trop de mal à te tuer..."

Sans répondre à la question de son adversaire, Rakurai lança son Kodachi en avant, vers la tête de l'homme. Une nouvelle fois, Kamitake évita le sabre qui alla se planter, derrière lui, dans le mur. A ce moment-là, au lieu d'attaquer l'Arrankar, le fils Hitsume préféra prendre le sabre. Il eut deux secondes d'inattention que son adversaire ne laissa pas filer. Rakurai dégaina rapidement son deuxième Kodachi, Kamiryû. Puis il se jeta sur sa cible. Il arrêta son visage à deux centimètres de celui de Kamitake. Il ne pouvait malgré tout pas voir ses yeux, mais il sentait quand même son haleine enfumée. Vingt centimètres plus bas, Kamiryû avait transpercé la poitrine de l'homme, embrochant son coeur au passage.

Rakurai retira violemment son sabre du cadavre, laissant le sang jaillir de la plaie et recouvrir son épaule. Il récupéra Koshiryû et, les deux sabres en main, laissa Kamitake tomber lourdement par terre. Il promit au père Hitsume qu'il reviendrait s'occuper de lui plus tard avant de longer le mur au nombreuses portes, à sa droite. Il écoutait, mais n'entendait rien. Ce fut derrière la troisième porte, au bout du couloir, qu'un bruit parvint à ses oreilles : des sanglots. Il ouvrit lentement la porte, et vit d'abord un corps, près de la fenêtre - certainement la personne qui avait ameuté la maison - sur le dos, la gorge ouverte, la tête baignant dans une mare de sang. Puis il aperçut un deuxième corps, sur le ventre cette fois, présentant deux trous rouges au niveau des deux omoplates. Ce cadavre perdait, lui, encore du sang. Enfin, il découvrit l'origine des pleurs : une femme aux longs cheveux châtains, à genoux, se tenait le visage ruisselant de larme entre les mains. Debout devant elle, Kouhan tenait la copie de Koshiryû en main, pressant la lame argentée contre la gorge de la femme, impuissante.


"Bien vu, le coup des chambres communiquant par des portes cachées, dit-il sur un ton moqueur. Mais bon, même tous les trois ensemble, vous n'auriez eu aucune chance de me battre... Hein ?"

La femme répondit à ces sarcasmes par un coup de poing vers le genou de Kouhan, mais celui-ci fut plus rapide : il dégaina son deuxième Kodachi et arrêta, avec le côté de la lame qui ne coupait pas, le bras de la femme.

"Tsss... Tu n'es pas très obéissante, hein ? Eh bien, dans ce cas, meurs !!"

Sur ces mots, Kouhan décapita sa victime. La tête bondit en l'air, propulsée par la fontaine de sang qui jaillissait du cou, roula sur quelques mètres, et s'arrêta dans un coin de la pièce. Ses yeux, dans lesquels était resté imprimée une expression de dégoût éternelle, fixaient l'ombre, comme voulant le faire culpabiliser son acte. Kouhan n'y prêta pas attention, et tourna le dos au cadavre sans tête. Il aperçut enfin Rakurai.

"Alors ! reprit-il, comme si rien ne s'était passé, Ca s'est passé comment de ton côté ?
- Ben, facile. Ils ont certainement de bonnes bases en Taijutsu, mais il ne connaissent même pas le Ninjutsu... En plus, j'ai l'impression que leur drogue, ils la fument aussi, vu comment je les ai battus facilement... Et toi ?
- Ben, j'ai eu le premier par surprise... Puis le deuxième est arrivé par la porte cachée dont j'ai parlé, mais il a juste eu le temps de crier que j'étais là. Après, la dernière... J'ai voulu m'amuser un epu avec elle Mais c'est vrai qu'ils sont pas vifs...
- Ah, tu me fais penser que c'est pas tout à fait terminé..."

Rakurai descendit les escaliers quatre à quatre et s'arrêta près du vieil homme, toujours étalé par terre, paralysé.

"Désolé, vieux, mais je te l'ai promis, alors... Meurs !!"

L'Arrankar toucha la tête du vieillard. Puis ce dernier eut un spasme très violent, et son coeur arrêta de battre.

"Ils résistent mal à la tesnion, hein ?"

Cette touche d'humour noir les fit rire tous les deux, et ils sortirent de la maison. À présent, le mal était fait; la lune était dégagée...
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Rakurai
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MessageSujet: Re: Aide aux mafieux (C)   Aide aux mafieux (C) Icon_minitimeVen 7 Mar 2008 - 16:43

Rakurai traversa le jardin. Kouhan retourna dans l'ombre et Washikara descendit du ciel, sa silhouette noire se découpant d'abord dans la lune, puis apparaissant plus netement aux yeux de l'Arrankar. C'était fini, il laissait la scène du drame derrère lui. Délaissant son masque de psychopathe au service des Yakuza, il remit sa capuche sur sa tête, masquant son visage. Il allait sortir discrètement, sans se faire remarquer par les deux spectateurs qui l'attendaient à la sortie, toujours inanimés. Il était fier de sa représentation. Mais ce n'était apparamment pas le cas des hommes qui allaient le prendre en embuscade quelques mètres plus loin. Qu'est- ce qui ne leur plaisait pas ? Le fait de ne pas avoir joué cette pièce pour la même raison que le réalisateur ? C'était en partie vexant, en partie exaspérant. Il avait joué son rôle, la scène était finie. Pourquoi en reparler, alors ?

"Alors, tu as réussi... Eh ben, tant pis pour toi, nous on va te tuer !! Tu sais, le boss aime pas qu'on conteste son opinion comme tu l'as fait... La punition va être très sévère, ce ne sera pas sans souffrance..."

Ah, d'accord. En fait, c'est parce qu'il avait joué son rôle à sa manière. Peut-être était-ce le fait d'avoir laissé deux personnes vivantes dans cette maison... Enfin, ca lui déplaisait énormément qu'on critique une performance dont il était fier. En fait, il s'énervait chaque seconde un peu plus. Il allait bientôt passer à un autre rôle, celui du meurtrier assoiffé de sang. Cela dit, ca ne changerait pas grand chose avec le psychopathe... Une petite différence d'interprétation, c'est tout. Et puis, au moins, il aurait le choix quant à la manière de jouer la pièce qui s'annonçait. Voilà l'entrée en scène... Il se devait de commencer fort. Une réplique qui marquerait les esprits. Les mots lui vinrent naturellement à la bouche.

"Non, vous vous méprenez... Je n'ai pas l'intention de vous faire souffrir. Disons plutôt que ce sera rapide, d'accord ?
- Tu... Tu te fous de notre gueule ?? Allez, les gars, tuons le !!"

Ah lala... Ils ne comprenaient rien au génie artistique qui était nécessaire pour sortir une telle réplique en si peu de temps ? Ils allaient le payer cher...


*
* *



Les trois mafieux sortirent leurs armes. L'un avait un couperet arrondi, le deuxième une longue lance tout en fer, et le dernier deux longs sabres. Celui qui tenait la lance bondit dans les airs, environ deux mètres au-dessus de la tête de Rakurai, hors de portée de toute attaque. Le premier, au couperet, se déplaça sur le côté sans quitter l'Arrankar des yeux.

Le dernier se lança dans une attaque de front, les deux sabres croisés devant lui. Il ne comprit pas ce qui se passait, ni comment c'était arrivé. Il vit juste son adversaire se dédoubler, sortir deux Kodachi aux lames respectivement argentée et dorée, bloquer son attaque avec un seul d'entre eux et lancer le deuxième vers son foie. Sans défense possible, le pauvre Yakuza sentit la lame rentrer dans sa chair, et baissa les yeux pour voir son sang commencer lentement à s'écouler. Une faiblesse lui parcourut le corps, ses muscles se détendirent. Il lâcha ses sabres. Il n'eut pas le temps de relever sa tête ni d'ouvrir sa bouche déjà emplie de sang pour voir le deuxième sabre lui couper la tête.

Ca en faisait un de moins. Et une victime supplémentaire pour Kouhan, cette nuit-là.



Rakurai dévia la pointe de la lance qui dardait vers sa tête et attrappa la partie inoffensive de l'arme pour la tirer vers lui, en arrêtant avec la pointe le couperet qu'avait lancé le troisième homme, vers son flanc. Au-dessus de lui, le mafieux hésitait : garder l'arme dans la main et se faire transpercer par le sabre parcouru d'éclairs, ou lâcher la lance, tomber et se faire embrocher par l'extrémité pointue de sa propre arme ? La troisième option était forcément meilleure. Ce fut donc celle qu'il choisit. Il prit appui sur le manche de sa lance tant qu'il le pouvait encore et se propulsa dans les airs, en arrière. Effectivement, cette troisième solution était avantageuse : au lieu de se faire transpercer par un quelconque lame, il vit un flash qui illumina la nuit. En même temps, il sentit son corps totu entier s'engourdir, et les battements de son coeur accélérèrent. Il retomba lourdement sur le sol, face contre terre, avalant un peu de la poussière qu'il venait de soulever. Il ne pouvait plus rien faire, paralysé.


"Il ne reste plus que toi... Eh bien, quelle mort vais-je te faire goûter ?"

Le dernier mafieux était tendu. Désarmé, seul face à un adversaire qui venait d'envoyer à son coéquipier un éclair en plein abdomen, il savait qu'il ne pouvait plus faire grand chose. Il tremblait de tous ses membres, sachant que la mort était proche. Abandonnant lâchement son courage et ses compagnons, il se retourna et prit les jambes à son coup. Mais pas assez rapide. Un ombre surgit devant lui, brandissant une lame argente au-dessus de sa tête. Trois secondes plus tard, la cervelle giclait du crâne ouvert. Kouhan était fier de lui.


*
* *



L'entrée avait été sensationnelle, mais la scène rapide... Il fallait que la pièce soit appréciée. Il fallait une sortie digne de ce nom. Une nouvelle fois, les mots sortirent tout seul, à l'intention de l'acteur paralysé. S'était-il trouvé un talent d'acteur ?

"Informe ton chef que moi, Rakurai, ne suis pas un mercenaire qu'on manipule à sa guise... Et qu'il retienne mon nom !!"
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Kaelris
Raïgeki et Chef du Clan Sakurazuka
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MessageSujet: Re: Aide aux mafieux (C)   Aide aux mafieux (C) Icon_minitimeMar 1 Avr 2008 - 1:09

Mission Solo

Gain: 5'000
Commentaires: Excellente mission! Je n'ai noté aucune incohérence scénaristique au niveau de l'objectif, et vu la longueur pour une rang C je peux difficilement t'enlever des points ici.

Bonus
Note Syntaxe: 9/10
Gain: 16'000
Très bonne syntaxe dans l'ensemble, un niveau de langage élevé sans répétitions et avec des formulations originales et variées. Seul petit hic (je suis très tatillon là-dessus T.T) certaines de tes phrases particulièrement au début sont un peu lourdes: tu accumule un peu les virgules et ça donne des phrases à rallonge. C'est pas terrible pour l'esthétique de la lecture.
A part ça, petite lourdinguerie:
"Et j'ai appris qu'un groupe de personnes comme ça s'était formé."
Le "comme ça" crache vraiment avec le niveau d'expression du perso dans le reste du dialogue: tu aurais du dire un truc comme par exemple "J'ai appris que ce genre d'enfoirés avaient fait leur apparition dans le coin".
Bon ok je suis tatillon, mais c'est pour ton bien xD

Note Orthographe: 9/10
Gain: 8'000
"L'Arrankar n'aimait pas ça, mais il était trop tôt pour faire comprendre à cet homme qu'on ne le regardait pas de cetet façon."

"Ce corps frêle eut un spasme, et sa bouche repit la parole."

"des torches bordaient la aussi le chemin en terre"

"mais l n'avait pas l'intention de la faire tout de suite."

"Dans le ciel, la pliene lune brillait intensément, d'une lumière blanche, pure."

"le crime, la violence, la barbare."

"diproportion"

"Son infiltration ne pourriat pas rater."

"Ca marche. Par contre, essaye (c'est "essaie") d'être discret, s'il te plaît..."

"Ils résistent mal à la tesnion, hein ?"

"sa silhouette noire se découpant d'abord dans la lune, puis apparaissant plus netement aux yeux de l'Arrankar."

"il sentit son corps totu entier s'engourdir"

La quasi totalité de tes fautes sont des fautes de frappe, donc rien de grave. Ma liste n'est pas exhaustive, j'ai référencé les principales. Finalement vu la longueur de tes posts ça fait vraiment peu, donc je t'enlève qu'un point...

Interêt de l'histoire: 10/10
Gain: 24'000
Bieeeeeeen!!!! Ton histoire est intéressante et pleine de rebondissements, tu te poses toi-même des difficultés (échec de l'effet de surprise, gorilles en embuscade à la fin), et tu as le rare talent de développer tes descriptions de manière précises et intéressante! De plus tes persos ont chacun un caractère propre et bien travaillé, et tu transcris clairement leur attitude dans leurs paroles et comportements. Garde absolument ces qualités, c'est superbe *-*

Mise en page: 10/10
Gain: 1000
Clair, lisible, pas de problème... Sans être moche ou flashant x)

GAIN TOTAL: 54'000
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MessageSujet: Re: Aide aux mafieux (C)   Aide aux mafieux (C) Icon_minitimeMar 1 Avr 2008 - 1:57

euh....Arano tu as fumer quoi ? A moins que ce ne soit un poisson d'avril ? C'est vraiment ta validation ?
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