Mission rang S: Un nouveau départ

Sujet: Mission rang S: Un nouveau départ Mer 16 Jan 2008 - 18:39

Mission S

Retrouver un certain ninjas disparut a Kiri Gakure no sato.

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Il faisait beau ce jour là. Masaka était bien matinale et ne savait pas quoi faire. Il se décida alors de faire un tour a kumo pour se changer les idées. Par la suite, il traversait la ville en regardant pas si par là. Kumo était bien joyeuse après la guerre. Les habitant du village marchaient en amoureux, ou faisait ce qu’il avaient a faire. En tout cas, rien ne semblait empêcher les déranger. Mais quelque chose allait bientôt arriver à ce joyeux village, et masaka l’avait pressentit depuis bien longtemps. Il savait ce qui arriverait serait bien pire qu’avant, mais pour ne pas affoler le village, cela était tenu secret. L’akatsuki allait peut être refaire son apparition, et là, elle ne laisserait sûrement aucun survivant. Mais toute ces choses n’affectait pas l’heishi den’kou qui marchait dans les rues, mains dans les poches. Après quelques minutes à faire le tour du Kumo gakure no sato, un aigle noire vint a masaka. Il était assez gros, mais il avait quelque chose accrocher dans son dos. Masaka sauta sur le toit où était percher l’oiseau et prit le morceau de papier. Puis après avoir déplier le papier où il y était inscrit, l’aigle partit en battant de ces ailes. Le jeune homme qui l’avait regardé partir commençait alors à lire le message qui lui était sans doute destinée :

« Bonjour masaka, nous vous avons envoyer ce message pour vous informer que vous avez était choisit pour accomplir une mission de rang S. Celle-ci consistera a enquêter sur la disparition de l’un des nos shinobis. Vous devrez partir au plus tard avant les midis. Donc, faite ce que vous avez a faire et rendez vous a la porte principale. Cordialement, l’équipe de renseignement. »

L’heishi den’kou très surpris du message était comme de pierre. Il ne bougeait plus, comme si quelque chose lui revenait à l’esprit. Et soudain, il bougea la tête comme pour se réveiller. La feuille qu’il tenait entre ces mains était belle et bien un ordre de post. Mais quelque chose le chagrinait, comme une mauvaise sensation. Il serra alors son poing et fit du papier une boule froisser. C’est alors qu’il la laissa tomber et partit. Il sautait de toit en toit pour revenir chez lui.

Il était onze heures et demie lorsque masaka arriva chez lui. Il ouvrit la porte d’entrer et avança afin de prendre son sac qui était posé à coté d’une petite tables. Il prit ensuite son sac, mais au moment où il s’apprêtait à partir, il tira un tiroir de façon à l’ouvrir. Dedans il y prit un objet qu’il mit dans une poche intérieur. Puis il sortit dehors, ferma la porte de sa maison et se dirigea vers la porte principale de kumo.

Midi, porte de kumo ; Masaka était assis sur un rocher et il attendait le service de renseignement. Après un bref délai, il mit son sac sur ses genoux et prit un objet. Masaka regardait ce bout de papier, il le contemplait. Mais il se fit interrompre par un homme derrière lui. Cet homme lui dit alors :

« _ Elle est belle n’est ce pas ?
_ Oui, plus je la regarde plus j’ai la sensation d’être un lâche.
_ Ce n’était pas ta faute voyons. Regarde ce que tu es devenu, brave et fort. Tu ne crains presque personne.
_ Et pourtant, je ressens toujours une faiblesse quand je regarde cette photo.
_ Je sais qu’elle te manque, mais il ne faut plus y penser, c’est du passé.
_ Oui, vous avez peut être raison, mais si j’avais été plus fort j’aurais pu la sauver.
_ Aller, remettez vous mon cher, vous avez une mission difficile a accomplir. Ne penser plus a sa sinon vous courez au danger.
_ Bon il faut que je parte.
_ Attends, il faut que je te donne la fiche d’information sur la mission, je vais t’en faire un résumé.
Il s’agit d’une enquête que tu doit menez auprès de Vegeta, le sous raikage. Il a disparut et on ne l’a pas retrouvé alors qu’il devait revenir au village. Tu dois partir a kiri au plus vite, pour trouver des renseignement et essayer de ramener Vegeta-sama a Kumo. Cette mission est très importante, car si Akatsuki attaque de nouveau, personne ne sera là pour nous guider. Alors tu as compris ?
_ Ve…Vegeta ! Disparut ? Comment se fait-il ?
_ Nous service d’information, n’en savent pas plus, c’est as toi que revient l’honneur de partir a sa recherche, car si j’en croit mes relation, vous vous entendiez plutôt bien non ?
_ Oui c’est vrai, bon, je ne peux tarder ici.
_ N’oublie pas de lire la fiche d’info, cela te permettra d’en savoir plus, et j’oubliais… »

Masaka se levait et l’homme, qui était un homme des service de renseignement, lui tendit un pendentif. Masaka regardais l’homme et baissa les yeux pour voir ce que ce dernier lui avait tendu. Et c’est alors que l’homme, assez vieux habiller d’une grande veste lui dit :

« _ Tiens, prend, c’est le collier qu’elle portait quand elle était petite. Il ne te servira pas à grand chose, mais il va te porter bonheur. Je pense que le moment venu est enfin arriver.
_ Il est peut être temps pour moi de passer au stat supérieur. Merci a toi père »

Puis c’est le regard sombre que masaka franchit les portes de kumo. Avec une envie soudaine d’aller au plus vite a son but. Rien ne semblait l’en désintéresser.
Il était très nerveux, et son père, le regardais partir au loin. Puis ce dernier se mit en route, à l’opposé de masaka. Il regardait le ciel en espérant au plus profond de lui que masaka soit fort et qu’il puisse accomplir sa destinée.
Cela faisait déjà deux heures que masaka était partit de Kumo. En marchant, il regardait sans cesse cette photo, une photo avec une jeune fille que masaka avait connut auparavant. Il en a même oublié son nom, d’ailleurs, masaka ne savait tout simplement pas a quoi ressemblait la fille de cette photo, car cela est bien si loin dans l’histoire de sa vie.
Il tenait aussi dans sa main gauche le pendentif que lui avait donnée son père. C’était une sorte de pierre de cristal rouge foncée. Il était attaché à une ficelle blanche. Ce pendentif était complètement anodin pour masaka. Lui-même ne savait pas a quoi il servait, mais son père si. C’est pour cela que masaka devait le découvrir tout seul, et ainsi il découvrirait sa vraie destinée.

Il était maintenant cinq heure de l’après midi lorsque masaka sortit du chemin où il se trouvait. Il découvrait les prairies qui s’étendait sur de vaste terre a perte de vue. Ces prairies qui laissait apparaître de hautes herbes étaient prisent par un vent léger. Quelques arbres planter entre les champs donnait un brin de mélancolie. Masaka se rapprochait alors petit à petit de la mer qu’il devait traversé pour atteindre kiri. Ce paysage qu’il traversait était beau, tellement beau que sur la route, masaka croisait des peintres de la région. Ces peintre qui dessinait avec réalité ce paysage devait pensé comme l’heish den’kou. Rien de plus beau de pouvait être détruit un jour, voila ce que masaka pensait. Mais il ne pouvait pensé a ces choses que quelque heures, car les vagues tapant contre les rocher émettait un son qui était de plus en plus net au fur et a mesure du temps.

Une brise légère commençait à refroidir, ce qui donnait des frissons a masaka. Cela signifiait qu’il n’était plus très loin du port. En route, il réfléchissait au meilleur moyen d’aller a kiri, et sa le plus rapidement. Puis, il eu une idée, certes pas très bonne mais très futée. Il allait concevoir, grâce a ses techniques doton un petit radeau a une place. Jusqu’il faut pour qu’il tiennent dedans, et ensuite, avec le suiton, il se propulserait au loin. En se frottant le menton, il se dit alors que se serait le meilleur moyens, les bateau étant assez chère, c’était un moyen de ne pas utilisé d’argent et d’arriver sur les terres de kiri gakure no sato au plus vite.

Vingt heure venait de passer, et masaka s’était accroupit au bord d’un petit ruisseau qui se jetait dans la mer. Il mit ses mains dedans afin de faire une sorte de bol. Il y prit de l’eau et se la jeta a la figure. Il regarda alors sa montre après s’être essuyer, il prit alors la parole a voix basse :

« Déjà huit heures et quart, que le temps passe vite. Espérons que le ninjas que je dois retrouver ne s’est pas perdu ou capturer. Je me demande d’ailleurs pourquoi mon père ne ma pas donner son nom, cela devient de plus en plus bizarre. Bref, je dois accomplir cette mission au plus vite »

Après ces quelques paroles, masaka se releva, remit son sac sur ses épaules et partit vers la mer. Les mains dans les poches, une petite fissure au dessus du chemin étaient présentes. L’heishi den’kou pouvait apercevoir la pleine lune entre les arbres qui entourait ce dernier. La lune éclairait le chemin de masaka. Celle-ci était resplendissante et scintillante. Puis, sur son chemin qui était de terre, les semelles de masaka commencèrent à émettre le son qui était propre au sable. Et, ainsi, il était arrivé sur la plage qui longeait les cotes de Kumo gakure no sato. Sur le coté gauche de masaka apparaissait une petit ville qui faisait office d’auberge pour le pécheur qui venait de loin. Et sur le coté droit de shinobis, une grand file de montagne se prolongeait sur des kilomètres. Quelque morceau de rocher ressortait de la mer, des arbres rendaient le tout vivant. Comme si il y eut la vie en ses montagnes. Mais l’heishi den’kou n’avait pas le temps de regarder ce paysage, plus il restait a ne rien faire, plus la vie de Vegeta risquait de ce raccourcir.

Dernière édition par le Dim 27 Jan 2008 - 21:04, édité 1 fois

Au bord de la plage, où la lune émettait son reflet sur l’eau, Masaka avait fait des signes pour se faire une sorte de barque en argile. Il la traînait alors jusqu’à l’eau et la fit flotter. L’argile étant connut pour sa résistance à l’eau, Masaka n’avait aucun risque de couler en pleine mer. Une fois la barque à l’eau il monta dedans. Il mit d’abord son pied droit, puis le pied gauche fit de même pour que Masaka soit enfin assis dans la barque. Par la suite, il fit des signes pour permettre a sa barque d’avancer grâce au suiton. Et, en quelque seconde, masaka avançait rapidement comme par magie, sans une rame ni moteur vapeur.

Sur le rafiau, Masaka regardait la lune, mais en se frottant les bras a causes de la fraîcheur de la nuit, il pensa alors au papier d’information sur l’ordre de mission. Il ne l’avait pas lu, et cette tranquillité dont lui faisait par la nature était le bon moment pour le lire. L’heishi den’kou ouvra alors une des ces poches et prit le morceau de papier qui était plié de façon rigoureuse. Puis, il commença a lire les infos portant sur végéta :

« Végéta a été envoyer a kiri pour une mission banal. Mais il a été envoyé là bas avant que la guerre n’éclatent. Il devait revenir peut après les réunification, mais le temps de retour a durer trop longtemps. Nous avons, dés lors prit des mesure au sein du village mais par la suite, Végéta n’ait toujours pas revenu malgré nos messages envoyer a Kiri Gakure no sato. Les dirigeant du village n’ont ont fait parvenir, eux aussi, qu’ils ne savaient pas du tout où été aller Végéta sama. Nous avons penser a un enlèvement, mais, d’après les ninjas partit pour faire des recherche, les traces qui correspondait a Végéta ont été retrouver. Celles-ci étaient accompagnées d’autres traces complètement anodines pour nos chiens experts dans ce domaine. Même les odeurs ne figure pas dans nos archives (Même si la quantité était très moindre, nous en avons pu en tirer quelque chose). Vous avez été choisit pour cette mission afin de la menez a bien, car vous connaissez bien les pays des vagues. Donc, en terme, partez a kiri pour récoltez des information et retrouver Végéta. Sans lui, Kumo cours peut être a la catastrophe. »

Masaka, qui arrivait petit à petit prés des cotes avait été très surpris de ce message. Le vent le faisait frémir et s’engouffrait dans ces cheveux. Mais soudain, de petite goutte d’eau atterrir sur sa feuille. Il se retourna et vit, par ces plus grandes frustrations, un calamar géant. Ce dernier lui jeta alors une énorme vague, ce qui déchira la feuille d’information que tenait masaka entre ces mains.

L’heishi den’kou qui avait été renverser par l’énorme vague, avait perdu la feuille. Il était sur l’eau, accroupit, regardant le monstre. Il tenait, grâce a son chakra, sur l’eau salée. Et, devant lui se tenait un monstre gigantesque, aussi gros qu’une maison. Ce monstre avait plusieurs tentacule, très large, et chaque coup porter pouvait être fatale. Masaka le regardait, il regardait ses yeux. En effet, les yeux du calamar étaient nombreux, il y en avait cinq sur la face avant et cinq derrière lui. L’heishi den’kou très serein s’était mit en position de défense. Masaka avait entendu parler de se monstre des profondeur. D’après ce qu’il savait, le trafic marin avait été arrêter quelque temps a cause du calamar géants. Il était craint de tous les pécheurs, ce qui ne favorisait pas l’économie des pays. Et d’après ce que masaka avait entendu ces dernier temps, ce monstre était a cours de poisson, il avait alors attaquer a mainte reprise le bord des village voisin. Ce qui était dangereux pour la population. Masaka se dit alors qu’il devait le tuer, même si cela n’est pas écrit dans son ordre de mission, il devait le faire pour le bien des gens.

Puis après quelque seconde, le monstre des mers attaqua le premier. Masaka surprit de sa vitesse par rapport a sa taille se laissa tomber dans l’eau pour éviter sa tentacule. Et il revint sur l’eau peut après. Mais ce que masaka ne s’attendait pas a voir, c’est une boule d’eau arriver sur lui. Avant le choc, il eu le temps de mettre ses bras devant sa tête pour se protéger. Par la suite, il se fit éjecter plus loin, il faisait même des ricoché tellement le choc était violent.
Le shinobis de kumo s’était alors relever, en levant la tête du bas vers le calamar. Il dit alors avec nervosité :

« Alors comme sa, tu contrôle le suiton. Sache que tu n’es pas le seul, alors prend garde. Je vais faire qu’une boucher de toi ! »

Serrant ses poings, masaka partit en direction du calamar. Ce dernier ne mit pas de temps à lancer une autre attaque avec sa tentacule qui rasait l’eau. Masaka l’évita en sautant au dessus. En atterrissant sur l’eau, il envoya un kunais pour distraire le monstre et disparut. L’heishi den’kou, réapparut alors dans l’angle mort de l’ennemi. Et c’est alors qu’il arriva devant l’un des cinq œil du dos du calamar, et il lui assaina un poing électrifiée, ce qui creva l’œil du monstre. Et en revenant sur l’eau qui était assez agité, masaka dit :

« Alors, surpris ? Ne t’inquiète pas c’est pas finit. Ce n’est que le début de ta mort »

Et le monstre qui c’était tourné vers lui, voyait masaka courir vers lui. Il fit alors un cri et laissait apparaître sa bouche énorme. De celle-ci, il fit un jet d’eau plus grand qu’un train. Masaka avait déjà préparer sa technique et il fit sortir des deux coté de son corps deux sortes de serpent a gueule de dragons. Le jet et la technique de masaka s’entrechoquèrent. L’heishi den’kou, relativement beaucoup plus puissant que l’effroyable monstre réussissait a transpercer le jet géant. Et en avançant, il arrivait vers l’œil central du monstre. Comme le calamar n’avait plus d’eau dans son corps, et qu’il mettait du temps pour en régénérer, cela avait suffit a masaka pour trouver une ouverture. C’est alors que le ninjas sortit son zanpakuto et donner deux coup en diagonale au monstre, et pour finir, il lui fit mini canon garric afin de désintégrer l’œil du monstre. Ainsi, masaka atterrissait sur l’eau, non pas avec une pluie d’eau, mais avec une pluie de sang.

Devant lui se tenait le monstre des mers les plus puissant qu’il soit. De son œil coulait des litres de sang. Puis voyant la faiblesse dont faisait par le calamar, masaka partit a l’assaut. En courant sur l’eau, le ninjas vit alors dans l’ombre de l’eau une tentacule arriver, et au dernier moment, il sauta sur le coté pour repartir en courant vers le monstre. Mais soudain, une deuxième tentacule revint, mais celle-ci rasait le sol. Masaka l’évita de justesse mais un autre qu’il n’avait pas vu vint l’écraser dans la mer. Au fond de l’eau, où la visibilité était presque nul, l’heishi den’kou essayait de se tirer des tentacule qui l’avait collé comme une ventouse.

Et, en agitant son zanpakuto, masaka réussit à s’en échapper. Mais en revenant à la surface, il vit alors que son bras gauche avait une drôle de tache noire. Celle-ci commençait à grandir et, une douleur immense envahit le bras de masaka. Il cria alors de souffrance :

« Aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!! »

Et c’est alors qu’il se mit a terre, a genoux se tenant le bras. Il ne pouvait plus le bouger. Comme paralyser. Et il prit haleine et dit :

« Qu…Qu’est ce que….Que m’arrive t’il ? »

Et d’une voix soudaine, comme sortit des antres de la terre, une voix grosse comme le démons, le calamar prit la parole :

« Hum…Hum…J’ai mit en toi un poison qui a pour but de paralyser ton corps. Manque de chance, je t’ai loupé et ais visé ton bras. Mais cela n’est pas grave, vu que tu vas mourir dans d’atroces souffrances. Hahaha ! »

Masaka qui était accroupit tenant son bras fermement regardait le monstre des mers agiter ses tentacules de toute part. Puis, en regardant l’eau assez calme il pensait :

***Comment se fait il que je sois aussi faible fasse a un ridicule poisson. Je ne…Je ne peut tolérer sa, je suis aussi nul qu’a mes début. Merde, il faut que je me réveille !!!***

Il avait frappé l’eau de son poing fermé. En laissant quelques larmes, son pendentif qu’il avait autour de son cou devint bleu turquoise. Il brillait, et donnait a masaka de l’énergie. C’est comme s’il se sentait revivre. D’ailleurs, masaka ne connaissait nullement l’origine de cette pierre qui était accroché. C’est alors qu’il se levait doucement tout en regardant le monstre d’un œil vif et agressif. Il était en colère, même si son bras gauche n’avait pas guérit, le shinobis de kumo avait évacué tout sa colère sous forme de chakra bleu turquoise. Et ainsi, il dit a voix basse :

« Je ne sais pas d’où vient cette pierre, mais une choses et sur elle me donne plus de puissance. C’est pour cela que je ne dois pas abandonner. Si j’abandonne, je laisse tomber Végéta et le village. Je ne peut accepter sa, et c’est pour sa que je vais te battre ! »

Et la, il commençait a courir en direction du calamar géant. Ce dernier voyant la contre attaque lança la plupart de ses tentacules vers masaka. L’heishi den’kou évita d’abord l’une d’elles en se déplaçant rapidement sur le coté, puis il sauta sur une autre pour glisser le long de celle-ci. Et, par un avant dernier saut, il atterrit sur la dernière tentacule qui cachait la tête du monstre des mers. Masaka courait, courait et enfin, il sauta le poing droit en arrière. Masaka poussa alors un énorme cri tout en élançant son poing vers le monstre.

« Whooooooooaaaaaaaaaaaaaaa !!!!!!!! »

Le poing droit de masaka qui était plein d’électricité fit alors une immense vague électrique, désintégrant en entier le haut du calamar.

Sujet: Re: Mission rang S: Un nouveau départ Mer 23 Jan 2008 - 15:05

Masaka venait de battre le calamar géant en lui arrachant la moitié de son corps. Masaka avait atterrit sur l’eau qui engouffrait le monstre. Mais soudain, la douleur de son bras revint, et Masaka se tenait le bras, serrant les dents comme un dégénérer. Ainsi, il partit en direction de la plage a vitesse réduite. Son bras lui faisait tellement mal qu’il zigzaguait sur l’eau. Et arrivant sur la plage déserte, masaka s’effondra par terre. Il était maintenant sur le dos, regardant la pleine lune, serrant son pendentif. Il semblait que la douleur s’était estomper quelques instants. Tranquillement allonger sur le sable doux, masaka perdait peu a peu connaissance. Et, laissant sa main glisser sur son torse, il ferma les yeux.

Il était neuf heures lorsque masaka se réveillait en sursaut. Un jeune demoiselle était a coté de lui, mais masaka avait encore la vue flou et ne pouvait rien distinguer d’autre. Puis, la femme prit la parole avec un sourire radieux :

« Bonjour, j’espère que vous aller bien en cette belle journée »

Masaka qui avait tourné la tête et peu à peu retrouver sa vue vit la personne s’approcher de lui. Son cœur battait à toute vitesse et il dit dans sa tête :

***Quel beau visage. Elle est très belle***

Mais soudain une douleur le reprit, et avec sa main de droite, il serra fort son bras gauche. En effet, sa blessure causée par son combat avait prit tout son bras. Cette blessure se propageait lentement, et la jeune femme qui était sûrement infirmière reprit :

« _ Nous n’avons rien pu faire avec votre bras. Ce poison est inconnu, et il attaque vos cellules nerveuses. Donc il est inutile de tenter quoique se soit.
_ Où...Où suis-je ?
_ Vous êtes à Kiri Gakure no sato. Nous vous avons retrouver sur la plage, a moitié mort.
_ Hein ? Kiri ? Il...il faut que je vois votre Kage.
_ Vous n’êtes pas sérieux, vous n’este pas rétablit, inutile d’aller ou que se soit.
_ Mais je suis en mission !
_ Moi aussi figurer vous, je suis une kunoichi des forces spéciale de médecine. Je dois veillez sur vous.
_ Mais...
_ Il n’y a pas de mais qui tienne. Reposez vous ! »

Masaka qui était furieux mit alors ses doigts vers son torse pour composer un signe. Il attendait alors que la jeune femme se tourne et il disparut. L’infirmière retourner sentit un léger coup de vent passer sur son fin visage. Puis elle se retourna et vit le lit d’hôpital vide. C’est alors qu’elle sortit en courant, prenant sa veste de jûnin et partit dehors en direction du bâtiment principal de Kiri Gakure no sato.
L’heishi den’kou no kumo parcourait le village sur les toit. Son bras état en piteux état mais était tenu par une sorte de foulard. Masaka avait mal, et en passant de toit en toit, il le regardait. Après quelques enjambés, il se rapprochait du bâtiment principale de kiri, là où se trouvait le mizukage.

Par un dernier pas, il atterrit devant la porte du palais. Mais soudain, il sentit la présence d’une grande puissance. Et, en avançant doucement, masaka vit alors l’infirmière apparaître devant lui. Surpris de voir sa présence, il entama une discussion assez particulière car la jûnin avait plié son poing et mit devant sa tête en signe de colère.

« _ Pour...Pourquoi vous êtes là ?!
_ A ton avis idiot ! Tu ne dois pas sortir, donc tu vas me faire le plaisir de remettre dans ton lit !
_ J’ai dis non, nu point c’est tout !
_ ARG, tu vas voir de quelle bois je me chauffe : Tenken punch !
_ Mais je suis un blesser, vous ne pouv...
_ Rien a foutre ! Prend sa ! »

C’est à ce moment là qu’il parait qu’on voit défiler toute sa vie, mais pour masaka ce n’était que lorsqu’il jouait à la console. Il avait fait alors des gros yeux, voyant le poing d’une puissance extrême arriver devant lui, il ne pensait même pas s’enlever du chemin tellement la puissance le paralysait. Il poussa alors un petit cri :

« Aïe »

Masaka se prit le coup de poing en pleine figure et vola a quelques mètres sur le sol, face contre terre. Mais cela n’était pas finit, la jûnin vint a lui et le prit par le col en le secouant de tout les cotés. Elle parlait a vois haute comme pour engueuler masaka, qui ne comprenait pas ce qui lui arrivait.

« _ Alors maintenant tu vas m’écouter...

***Incroyable, cette puissance. Je n’ai jamais vue sa. Mais pourquoi faut que je tombe sur elle. N’y a-t-il pas d’autre ninjas médecin ici ?***

_...Et tu vas me suivre...
_ Mais qu’est ce que ce boucan soudain ? »

La jûnin se fit alors couper la parole par un homme aux cheveux blanc. Il s’était mit devant les deux ninjas. Masaka ne l’avait même pas remarquer, lui qui était presque mort.

« _ Heu rien maître mizukage, je...j’aidait ce ninjas a revenir a l’hôpital pour lui donner les soins nécessaire.
_ Ce n’est pas la peine de lui crier dessus ainsi. Et qui plus est, c’est un ninjas de kumo, il ne faut en aucun cas qu’il est de mauvais souvenir de nous. N’est ce pas ?
_ Oui maître mizukage.
_ Bien, je l’espère.
_...M...Maître mizukage, je voulais vous voir.
_ Mais certainement mon ami »

Et c’est alors que Masaka se releva pour se mettre debout devant le Mizukage. La jûnin n’avait pas dénié une seconde a l’aidé. Mais peu importe pour masaka, il était sauver de cette kunoichi complètement timbré du ciboulot.

Masaka suivait alors le mizukage a l’intérieur du grand bâtiment qui était entouré des maisons de Kiri Gakure no sato. Il avait des sueurs qui coulaient le long de son visage, car il avait eu la peur de sa vie. Même la mort ne lui faisait pas autant peur. En marchant derrière le mizukage, Masaka regardait les tableaux des anciens kage qui précédait ce dernier. Puis, en ouvrant la porte de son bureau, il prit haleine et dit d’une vois calme et sereine :

« _ Excusez moi pour ce dérangement avec l’infirmière. Elle est parfois un peu autoritaire et quelque peu agressive avec les malades. Mais elle est douce de caractère.
_ Ce n’est pas l’impression qu’elle m’a donnée, dit masaka en souriant.
_ Oui, mais elle fait bien son travail, c’est l’une des plus intelligente et habile de ce village. C’est rare d’avoir une kunoichi comme elle.
_ Si ce que vous me dites est vrai, j’en suis des plus ravit pour vous.
_ Bien passons, que venez vous faire ici ? En cette paisible période ?
_ En faite, nous avons perdu les traces d’un de nos shinobis, alors qu’il devait rentrer de Kiri. Nous avons fait des recherche approfondit mais cela n’a rien donnée. Donc on m’a chargé de venir et de trouver une piste.
_ Et de quel ninjas faite vous allusion ?
_ C’est...Il s’agit de Végéta-sama, sous raikage depuis peu.
_ C’est terrible, comment faite vous ? Et si il y avait une attaque sur kumo ?
_ C’est pour cela que je dois le retrouvé au plus vite, et ainsi nous éviter cette pensée.
_ Si vous le désirez, je peux vous faire un résumé de son passage ici. Aller a l’accueil et ils vous transmettrons un dossier concernant Végéta lorsqu’il est venu a Kiri.
_ Merci de votre compréhension maître Mizukage.
_ Mais tout le plaisir est pour moi. A bientôt.
_ Je vous renvoie l’appareil. »

Et masaka sortit du bureau, laissant le mizukage derrière lui. En évoquant Végéta, masaka avait froncée les sourcils, comme s’il était énerver mais en même temps inquiet.

Masaka était sortit du bureau du mizukage et se dirigeait vers l’accueil. Il ne regardait même pas les différentes personnes passées devant lui. Il avait un air penseur et marchait lentement. Puis en arrivant vers l’entrer, Masaka vint alors vers une sorte de comptoir fermer, où une porte menait à une arrière salle. Un homme qui se tenait derrière celui-ci feuilletait des documents et signait des papiers leva alors la tête en voyant Masaka venir a lui. L’heishi den’kou mit alors son coude gauche sur le comptoir et se mit en position décontracter. L’homme qui avait un long barbe et vêtu de noir demanda alors a Masaka :

« _ Que puis je pour vous ?
_ Je viens chercher un dossier que le Mizukage m’a confectionné.
_ Ah je vois, vous devez être M. Kashimoto. Tenez le voici »

Et Masaka sans dire un mot prit les documents de sa main droite. Et il partit par la porte qui menait à l’extérieur du bâtiment. Il s’arrêta alors juste devant et regardait le ciel et dans sa tête il dit :

***Quelle belle journée aujourd’hui. J’espère que tu vas bien Végéta. Je ferais tout pour venir jusqu'à toi***

Et, du haut de l’immeuble arrondit, le mizukage regardait le ninjas de kumo et dit alors dans le vide :

« _ Voici t’as nouvelle mission : Suis ce ninjas. Tu m’informera des ces action et ces faits. Et surtout je veux savoir où il va. Tu l’aideras alors dans sa quête pour retrouver ce shinobis disparut, sinon kumo se fera des fausses idées à notre sujet. »

Et soudain, un nuage apparut dans la pièce sombre. Une jeune femme avec une veste de jûnin apparut. Elle avait de longs cheveux noirs attachés par un ruban de couleur blanc. Elle avait un grand pantalon de kimono et une sorte d pull sans manche. Un grand katana était attachée dans son dos. Cette jeune femme dit alors au mizukage avant de disparaître dans la fumée :

« Bien maitre mizukage. Je mènerait a bien cette mission et ferait mon possible pour retrouver le ninjas disparut. J’essayerait aussi d’être gentille avec ce personnage complètement loufoque (Elle parle de masaka)»

Puis elle partit en faisant un signe avec sa main. Le mizukage qui ne c’était même pas retourné pour voir la jeune femme regardait toujours masaka qui parcourait le village du brouillard.

Sujet: Re: Mission rang S: Un nouveau départ Dim 27 Jan 2008 - 21:26

Il était bientôt une heure de l’après midi, et masaka avançait tranquillement dans les rue de Kiri. Il feuilletait le dossier que les mizukage lui avait donné. Il était très étonné, car le dossier n’était pas aussi gros que masaka l’aurait crut. D’ailleurs, c’est pour cela qu’il fit une tête bizarre avec de gros yeux. Il dit alors :

« Mais, il a dépenser la plus part de son argent en nourriture ! Il y a au moins quatre page de restaurant et autres ! C’est complètement incroyable, halala il me fera temps rire ce Végéta...Végéta, où est tu ? »

Le visage de masaka s’était assombrit lorsqu’il évoqua Végéta. Pour lui, il avait en quelques sortes perdues un frère d’arme. Et il pensait en même temps au village, que ferait il sans lui ? C’était une chose impensable que le sous-raikage soit mort. Mais peut être était il encore en vie ? C’est ce que masaka pensait profondément. Et c’est alors quand secouant sa tête de droite a gauche pour se remettre les idées en place, il continua son chemin. Il se dirigeait vers un petit restaurant du nom : « Les petites fleurs du temps »
Un nom très joli, et leur prix étaient assez joli eux aussi. Même plus que l’anormale. Masaka entra alors dans le petit restaurant ou l’on accédait directement à une grande pièce où les tables étaient nombreuses. Elles étaient couvertes de nappes rouges et jaune à carreau blanc. Des assiette et couvert étaient mit de façon judicieuse sur ces dernières. Une sorte de gros bar qui servait de self était au centre des celle-ci. Masaka qui était sur les marchent devant la porte d’entrer voyait toutes ces tables former une fleur. Les pétales étaient les tables en rouge et les autres pétales, plus au centre de la grande salle étaient jaunes.

Grâce a la hauteur des marches en marbres, masaka voyant la salle, toutes la salle. Une fraîcheur d’air et de parfum titillait ses narines. Il y faisait bon vivre et masaka avait alors compris pourquoi végéta était venu manger plusieurs fois ici. Le calme et la sérénité étaient tout ce qu’il y a de meilleur chez un ninjas.
Un homme, plutôt grand et mince vint vers masaka. Cet homme habillé en costume de soirée était sûrement le serveur. D’un air gaie, il salua masaka en se penchant vers le bas. Un salut japonais qui venait d’être fait.

Masaka fit alors de même, et l’homme lui fit signe d’avancer par la suite. Masaka pénétrait dans la salle illuminé par diverse forme d’éclairage, notamment des bougie, lampes a pied ou murale. Une petite scène surplombait les tables. Dessus, deux hommes avec un piano et une guitare, où les deux musiciens s’entraient a voix basse. Masaka tourna alors la tête pour regarder ailleurs, et il vit alors un homme assez gros, dans une longue chemise blanche. Il avait un pantalon noir avec des chaussures en peau de serpent. Il était sûrement le propriétaire du restaurant, et, vu son apparence, ce restaurant devait bien marcher. Puis en le saluant de la main, l’homme dit a masaka :

« _ Je vous ait réserver un table. Suivez moi.
_ Bien, j’ai hâte de manger, cela fait deux jours que je n’ai pas touché à une assiette.
_ Vous allez vous régaler, la maison vous offres ce dont vous avez besoin. Nous pourront discuter tranquillement comme il n’y a personne l’après midi. »

Masaka sans dire un mot suivait le directeur jusqu'à s’asseoir a un table des plus belle. Deux bougies était posées sur le centre de la table. Avec un vase plein de fleur ravissante, deux assiettes étaient posées à l’opposé de l’autre. Masaka s’assit alors en même temps que l’homme. Ils commencèrent alors à manger les quelques plats qui se succédèrent les uns les autres. Après que masaka fut bien remplit et qu’il s’en mit plein la panse, il prit haleine et commençait une longue discussion avec le patron.

« _ Bon, j’ai quelque question a vous posé, cela ne vous dérange pas j’espère.
_ Non, pas du tout. Mais qu’est t-il arriver a votre bras ?
_ Oh rien, une blessure de routine. Bon trêve de bavardage inutile. Passons aux choses sérieuses. Voila comme vous le savez certainement, un ninjas est venu plusieurs fois ici. Il se nommait Végéta.
_ Ah oui, ce grand gaillard qui avalait les plats en un clin d’œil. Pendant la semaine qu’il est venu, j’ai du doubler mes imports en provision. Qu’est il devenu ?
_ Justement j’y viens. En faite pour résumer cours. Nous avons perdu tout contact avec lui alors qu’il devait entrer à Kumo Gakure no sato.
_ Ah bon comment se fait il ?
_ Nous ne savons pas où il a pus aller. C’est pour cela que je suis venu vous demander de l’aide. Par exemple décrire ce qu’il venait faire ou même ces entrevu avec des personnes.
_ Eh bien, a part qu’il était seul presque tout le temps.
_ Mais il est bien venu avec au moins une personne ?
_ Maintenant que j’y pense, un homme assez petit l’a rejoint à sa table. Cet homme avait l’air angoisser, il regardait partout autour de lui et avait du mal a se prononcé. Il était d’ailleurs vêtu d’une sorte de grand manteau qui n’a pas d’ouverture. Ces mains ne donnaient pas sur l’extérieur. Il était très bizarre si j’en crois mes souvenirs.
_ Mais, ne lui a-t-il pas donné quelques choses ou un truc de ce genre ?
_ Hum...Peut être bien, je me souviens l’avoir vu donné une sorte de lettre. Sinon rien d’autre.
_ Je vois, donc nous avons un suspect. Est-ce que vous pourriez me donné un peu plus de précision sur son visage.
_ Je ne l’ai pas très bien vu, mais je crois qu’il avait les cheveux noirs et longs. Ils étaient attachés par une sorte de ficelle. Il avait aussi un nez assez grand et des rides sur le front. Il avait aussi une petite barbe recouvrant que son menton. Végéta ne parlait presque pas avec lui, les deux n’étaient pas très bavard. Voila c’est tout ce que je peut faire. Désoler.
_ Sa fait rien, mais merci quand même. Vous m’avez été d’une grande aide. »

Et Masaka, s’essuyant la bouche une dernière fois avec sa serviette se leva de la table et partit en direction de la porte. Le patron lui se leva et partit vers les cuisines en se retournant une dernière fois, lui aussi vers Masaka. Une fois dehors, masaka se mit en marche vers le bureau du Mizukage pour faire par de ses trouvailles. Mais en route, il fit la rencontre de l’infirmière. Celle qui devait le soigner de son bras toujours dans la paralysie. Elle était en face de ce dernier. L’heishi den’kou très surprit de sa présence lui demanda alors ce qu’elle faisait ici.

« _ Pourquoi vous êtes la ?
_ A ton avis ? Je dois te surveiller comme un gamin.
_ Hein ?
_ Pff...Tu comprends rien à la vie, tu es d’une débilité incroyable.
_ Mais, ne me parle pas sur se ton. Et pis c’est toi qui est complètement loufoque !
_ N’importe quoi !!! Aucune amabilité, sa se fait pas de parler au jeune fille comme sa !
_ Mais je t’em******, je fais ce que je veux !
_ STOP, arrêtons nous la. Dis moi plutôt comment se porte ton bras.
_ Bien, bien...mais j’aurais besoin de ton aide.
_ De quel sujet s’agit-il ?
_ Il s’agit d’un ninjas qui apparemment habite Kiri. C’est mon suspect numéro 1 dans l’affaire Végéta. Voila sa fiche.
_ Mais je l’ai déjà vue, il habite a quelque pâté de maison de chez moi !
_ Ah bon ! Alors dépêchons nous d’y aller, cela me fera gagner du temps. Je n’aurais pas besoin d’aller voir le Mizukage.
_ Ok, suit moi. »

Et d’un bond, masaka partit dans les pas de l’infirmière sur les toits du village. Les deux shinobis étaient cote a cote est se dirigeait vers une grande rue. En se décalant sur l’extrémité des toits, ils regardaient les gens pour voir si leur homme n’était pas dans le coin. Mais il ne le virent pas et continuèrent alors leur chemin. En se dirigeant a l’endroit qu’avait indiquer l’infirmière, masaka pouvait constater que les maison, au fur et a mesure devenait de plus en plus petite. Et en voyant la jeune femme sauter de l’autre coté de la rue, il en fit de même.
Masaka qui était alors aux cotés de la jeune kunoichi lui demanda :

« _ Que sait tu de ce gars ?
_ Oh, très peu de chose. Il n’est pas du genre à sortir de chez lui. D’ailleurs, je ne lui ait jamais adressé la parole.
_ Donc, il n’est pas très bavard.
_ Oui...Tiens c’est la, voici sa maison. »

Et par un pas forcer, la kunoichi et masaka atterrir derrière la maison de l’homme avec une rapidité extrême. Les deux ninjas étaient accroupit au dessous du rebord d’une fenêtre. Il avait haussé la tête pour voir l’intérieur de la maison qui était des plus sombre. En regardant, masaka dit a voix basse :

« _ Au faite, je ne connais pas ton nom ?
_ Pourquoi veut tu le savoir ?
_ Bah au cas ou il y aurait un pépin. Je ne vais pas t’appeler machin.
_ Hin, hin, moque toi bien de moi. On verra
_ Mais je te demande ton prénom et toi tu m’en vas chier comme une vieille chaussette.
_ Tu es peut être une vieille chaussette.
_ Quoi ?! Tu veux une claque ?!
_ Comment tu me parles. Tu est vraiment irritant a la longue. C’est pour sa que t’as pas de copine.
_ Qu’est ce que tu en sais d’abord ?
_ Bah regarde. La jeune ninjas sortit alors de sa poche une feuille indiquant les relations que masaka avait eu auparavant. Elle le regardait d’un petit sourire sadique, ce qui énervait masaka.
_ Comment tu as eu sa !!!
_ Tais toi, quelqu’un viens ! »

Masaka obliger de se taire vit alors par la fenêtre quelqu’un entrer dans la pièce qui donnait sur les carreaux sales où se trouvaient les deux shinobis. Les deux compères regardaient l’homme dans la pièce. Ils le voyaient prendre une valise marron et mettre un chapeau sur sa tête. Masaka qui soudainement avait remarqué l’agitation de l’homme sauta sur son toit et attendait devant la porte d’entrer. La jeune shinobis qui était resté là-bas vit alors l’étrange bonhomme sortir, et sauta alors sur le toit. Et soudain la porte s’ouvrit lentement. Un homme apparut, de taille moyenne avec un chapeau. Il avait peut être la quarantaine. Masaka qui était à quatre ou cinq mètre de la porte le vit sortir avec un air décontracter. Et, l’homme se prit d’une envie soudaine de décamper au plus vite. C’est pour cela qu’il partit à toute allure dans sa maison. Masaka surprit de sa réaction dit en courant dans la maison à la kunoichi :

« La porte de derrière ! »

La jeune kunoichi fit un pas a gauche et courait en direction du petit terrain qui était derrière la maison. Elle courait, et en arrivant au bord, elle sauta en faisant un salto avant avec les jambes tendu. Elle atterrit devant l’homme presser et dit d’une voix douce et énervé :

« Alors, comme sa on tente de s’enfuir au ninjas. C’est pas bien messieurs Urashima »

Masaka qui arrivait derrière ploqua les bras de l’homme grâce a son bankai. Les bras d’Urashima était désormais attacher dans son dos, de l’avant bras jusqu’au bout de doigt. Une position qui faisait relativement mal. Masaka le prit alors par le dos, mais Urashima laissa tomber sa valise suite à l’emprisonnement de ces bras. Mais, en s’ouvrant elle laissa place a des liasses d’argent. Surpris et ne s’attendant pas a sa masaka prit l’homme et le plaqua contre le mur d’un regard très agressif. Le shinobis de kumo avait mit son avant bras sur son cou. Urashima ne pouvait plus bouger. Et, se relevant après avoir examiner les billets, l’infirmière jûnin dit a Masaka pour lui raconter ce qu’il en ressortait.

« _ Masaka, c’est l’argent volé d’un grand magasin. Ce magasin a été volé il y a environ deux mois, on soupçonnait d’autre personne. Je n’aurais jamais crut qu’un homme comme lui puisse faire une chose pareille. Un homme sans histoire. Il me laisse de marbre.
_ Hung, sans ce ninjas de malheur, mon plan aurait marché comme sur des roulettes.
_ De quelle ninjas s’agit-il ?
_ Un de tes amis figure toi !
_ Végéta ? Ou est-il aller ?! Réponds
_ Pourquoi je te le dirait ? Maintenant, il ne doit plus être de ce monde. Mouahahaha !
_ Tu vas voir enfoiré ! Dis, moi, où, il, est aller !!! »

Mais Urashima ne répondait pas. Cela n’avançait pas Masaka et de plus il s’énervait. Une soif de vengeance venait en lui. Mais soudain, de son bras droit qui était contre le cou de l’homme, il sortit un kunais, pointe vers la tête d’Urashima. Le bras gauche dans un bandage, masaka était plus serein que jamais. L’infirmière plus surprise que jamais essayait de calmer le jeux, mais l’heishi den’kou lui cria dessus pour la faire taire et reprit sa conversation avec Urashima.

« _ Si tu tiens à ta vie, dis moi où se trouve Végéta !
_ Mais masaka, calme toi, tout de suite.
_ Tait toi, je veux savoir ce qu’il sait. Maintenant ; dit-il en écorchant doucement la gorge d’Urashima avec le kunais froid.
_ Ok, ok. Je vais te le dire. J’ai braqué ce magasin car j’avais besoin d’argent. Cette argent devait m’aider a rembourser mes dettes avec le restaurant « Les petites fleurs du temps », je devais en effet de l’argent au patron. Mais quand votre ninjas est arrivé, je ne pouvais plus donné l’argent sans me faire voir. C’est alors que je suis allé voir votre ninjas lorsqu’il mangeait et je lui ai donné une lettre expliquant qu’un ninjas de kiri viendrait le voir lorsqu’il partirait pour kumo. Par la suite, j’ai dis au patron que j’avais don argent mais que Végéta me l’avais voler avant de partir. Il a du envoyé quelque ninjas pour le tué.
_ Et après ?!
_ Je n’ai plus eu de nouvelle. Alors je suis rester caché et attendait le bon moment pour partir, et vous êtes arriver, toi et Motoko.
_ Ferme là, mon nom de code est Konoko.
_ Nom de code ?
_ Oui je devais retrouver ton ninjas que tu recherche. Mais j’ai annulé cette mission, manque de piste. Maintenant, lâche le !
_ Si tu veux, tu peut aller voir le patron, il te dira sûrement où il a enterrer le corps.
_ Inutile, j’ai quelqu’un de beaucoup plus proche qui pourra me renseigner. »

Et après ces derniers mots, masaka laissa tombé au sol Urashima. Et c’est alors qu’il fit des signes et fit apparaître un cercle de chakra autour des mains de l’infirmière qui se nommait Motoko. Les deux cerclent se rejoignirent alors et les mains de la jeune femme se croisèrent. Elle ne pouvait plus bouger, et il demanda a masaka pourquoi il faisait sa.

« _ Mais qu’est ce que ?
_ Désolé d’en venir là, mais tu es désormais mon suspect numéro 2. Tu ne m’as pas tout dit, et j’ai l’autorisation du mizukage de faire un interrogatoire à tout ceux que je suspecte. Donc on va parler un bout de temps tout les deux.
_ Tu...Tu n’as pas le droit !
_ Je vais pas me gêner tiens ! Aller en route. »

Après que les anbus aient prit Urashima, Masaka et Motoko partirent vers le centre de Kiri. A travers les rues, les habitants regardaient les deux ninjas. C’est alors que masaka dit en s’adressant a Motoko en chuchotant :

« Heureusement que tu t’es transformé en une autre personne. Les gens n’ont pas l’air très amical par ici. »

Après ces brèves paroles, Masaka tout en marchant s’approchait d’un bâtiment orné d’une étoile au dessus de sa porte. Ceci devait être le poste de police principale de Kiri Gakure no sato.

Il était maintenant trois heures de l’après midi. Masaka était dans une petite salle, sans fenêtre. Il n’y avait qu’une porte qui rendait sur un couloir des bureaux de la police. L’heishi den’kou était debout devant Motoko, qui elle était assise sur une chaise. Masaka attendait d’avoir des explications et surtout il attendait des réponses à ses questions. Il était très énerver et ne pouvais plus attendre a Kiri. Chaque seconde comptait à ses yeux. Et c’est alors qu’il prit une chaise et s’assis dessus. Il passa alors ses mains dans ses cheveux en signe de fatigue. Il souffla un grand coup et allait entamer une longue discussion avec Konoko, ou plutôt Motoko.

« _ Je veut tout savoir sur ta mission.
_ Je n’ai rien à dire, elle est top secret.
_ Ecoute, je pense que tu ne veux pas que les relations entre Kumo et Kiri se dégrades ? Alors dit moi où es tu aller !
_ Hum...Je veut bien te le dire, mais a une condition.
_ Laquelle ?
_ Je veux venir avec toi, car je veux a tout prix retrouver ton ninjas.
_ Ok, alors parle. Sinon je serai obliger d’en venir a la manière forte.
_ C’était il y a peu prés une ou deux semaines, je ne m’en rappelle plus trop. Végéta est alors venu nous voir pour faire des choses importantes pour ton pays et le mien. Pendant son séjour, il a eu quelque problème et c’est là que l’on m’a chargé de le retrouver pour éclaircir ses actes au sein de Kiri. Il aurait volé de l’argent en grande quantité, mais je n’y croyais pas. J’ai donc demandé au Mizukage d’y aller, et il accepta. Avec une équipe de trois, nous sommes partit sur le chemin. Nous avons rattrapé Végéta a grand peine, et quand nous sommes aller au devant de lui il e fut pas surpris. C’est alors que l’on a tout de suite deviné qu’il n’avait rien à voir avec le cambriolage. Ensuite, nous avons fait un bout de chemin ensemble et c’est quelque part dans le secteur C que nous avons été attaqué par un ninjas puissant. Malheureusement, mon équipe a été décimé et j’ai essayé en vain de retrouver Végéta. Il avait disparut et l’autre ninjas aussi. Je suis alors retourner au village et inventé une histoire comme quoi mon équipe a déserter le village.
_ Mais où as-tu mis les corps de tes shinobis ?
_ J’ai trouvé une grotte non loin de l’endroit où nous avons été attaqué et c’est alors que dans la grotte, il y avait une sorte de salle religieuse. J’ai balancé les corps dedans. Depuis je tien cette endroit secret. Je ne voulais pas que l'on me prenne pour une hérétique.
_ Bien j’en sais assez. »

Et masaka remettant sa veste de ninjas commençait à partir en dehors de la salle. En traversant les couloirs à toute allure, il se retrouva alors à l’extérieur du bâtiment en quelque seconde. Mais dans son élan, il entendit une voix l’appeler. Il se retourna alors et vit Motoko au pied des marches dessous la porte.

« Tu m’avais promis de venir avec toi ! »

Et masaka surprit qu’elle soit dehors, il lui fit un signe pour qu’elle vienne a lui. Et les deux compères partirent sur les toits de Kiri Gakure no sato. Ils allaient à toute vitesse vers la porte nord du village du brouillard. En sautant au sol, ils continuèrent leur course folle. Masaka avait le regard fixe vers l’avant et motoko de temps en temps le regardait d’un air inquiet. Les deux shinobis couraient dans le scion du chemin crée tout les jour par les gens et bêtes. La distance entre Masaka, Motoko et la grotte se faisait de plus en plus petite. Il était a présent six heures et quelques minutes du soir et le temps commençait a s’assombrir.

C’est après quelques minutes que masaka et motoko arrivèrent à l’emplacement de l’attaque qu’avait subit Motoko et son équipe. Et soudain, un orage éclata dans le ciel. Cet orage atterrit juste derrière la petite foret à gauche de masaka. Motoko surpris pointa alors le doigt dans une direction. Elle indiquait l’entrer de la grotte. Puis, les deux ninjas partirent en marchant prudemment vers cette grotte. A travers les buissons, l’entrer se faisait de plus en plus visible. Motoko vit alors masaka s’arrêter derrière un buisson, elle en fit de même en se rapprochant de celui-ci. Elle dit alors a voix basse :

« C’est ici. Il n’y a personne aux alentours, on peut entrer ».

Masaka d’un signe de tête vers le bas sauta rapidement afin de se mettre face à l’entrer. Il entra accompagné de Motoko. La grotte était plutôt sombre, mais au fur et a mesure, elle était éclairer d’un éclairage naturelle. La luminosité de la lune semblait percer la grotte de toute part. Cela facilitait la tache a masaka car il n’avait nullement besoin d’allumer une torche et ainsi ne pas se faire repérer par d’éventuelle ennemie.

Masaka et Motoko avançaient a pas réduit. Il y avait quelque virage par ci par la, et parfois ils enjambaient des pierres qui étaient tomber du plafond pas très solide. Et après un petit bout de temps, ils arrivèrent devant une porte de pierre où des symboles étaient dessinés dessus. Masaka dit alors en frottant la porte pour enlever la poussière :

« Ce sont des signes très ancien. Il me semble que cela veut dire « Les portes du temps »

Motoko qui était assez angoissé toucha la porte doucement, et sans le vouloir elle l’ouvrit. C’est alors que ce bout de pierre laissait place à une pièce assez grande. Sur le bas coté a droite, il y avait deux corps sans vie. Ils étaient sûrement dans l’équipe de Motoko lorsqu’elle s’est fait attaqué. Mais au centre de la pièce apparaissait un cercle avec différent signe dedans. Ce cercle était taillé dans le sol, et en relevant les yeux, masaka vit cinq piliers. Ces cinq piliers étaient mit de façon à ce que les pointes forment une étoile si on les relie. Et au centre de ces fameux piliers, une sorte de stèle couverte de poussière. Pendant que Motoko allait voir les corps de ses confrères, masaka partit voir les piliers ou il y était inscrit, sur chacun d’entre eux, une écriture différente. Masaka en regardant de plus prés et en soufflant dessus pour mieux voir fut surpris de l’écriture. En effet, elle était ancienne, mais le signe de chaque pays était taillé dessus. Masaka prit haleine et dit à Motoko :

« Viens voir ces ménisques. Regarde, sur chacun d’entre eux, il y a le signe d’un village. Sur celui du fond, face a la porte, il y a Kiri Gakure no sato. Sur sa droite, il y a Konoha Gakure no sato. Sur la droite de ce dernier, Kumo Gakure no sato, puis Iwa Gakure no sato et enfin, Suna Gakure no sato. Et ce n'est pas une salle religieuse comme tu l'as dit. Ce sont les cinq grand pays de ce monde. Mais qu’est ce que cela signifie ? »

Masaka contemplait la salle en regardant autour de lui. Motoko en faisait de même, mais soudain, masaka toucha le symbole du village de Kumo Gakure no sato. Et là, un anneau sortit alors du sol et se mit a la verticale. Plusieurs écritures y étaient inscrites, et une lumière vive et brève vint éblouir masaka et motoko qui étaient devant. Et une sorte de vortex se mit en place dans l’anneau. Et comme par enchantement, ce vortex montrait l’image des vastes horizons de Kumo Gakure no sato.

Puis en avançant vers cette anneau, le collier de masaka se mit soudain à briller intensément. Il le sortit alors et le lâcha. Le collier flottait dans les aires, et autour de lui une fine membrane bleu turquoise apparut. Et le collier s’approcha doucement de la stèle au milieu de la salle. Il se mit alors dans une encoche de sa forme et ceci enclencha un mécanisme. Et c’est ensuite que Motoko ressentit une force étrange l’attirer vers la stèle. Elle sortit alors un collier, identique a celui de Masaka, et ce collier se mit dans un fente a coté de l’heishi den’kou. Masaka surprit regardait alors un deuxième anneau s’élever devant l’autre. Et au même moment un autre vortex s’ouvrit, montrant alors une pièce de marbre. Masaka dit alors a Motoko :

« _ Où as-tu eu ce collier ?
_ Je n’en sais rien, c’est ma mère qui me la donner lorsqu’elle est morte.
_ Comment sa fait il qu’il soit pareil que le mien ? Je ne te connais que depuis que je suis arrivé à Kiri.
_ Moi non plus je n’en sais rien. En tout cas nous devrions peut être entrer dans ce vortex conduisant a cette pièce. Je trouverait peut être des indices concernant la mort de mes camarades.
_ C’est peut être là que ton ninjas c’est enfuit, et sûrement avec Végéta.
_ Alors allons-y »

Et en quelques pas, masaka et motoko passèrent a travers le vortex. Et quelques secondes après ils étaient dans la pièce. En se retournant, ils apercevaient la grotte où ils étaient précédemment. Par la suite, ils se mirent à avancer vers la table qui était au centre de la salle. Sur les murs qu’ils touchaient, des sortes de langages égyptiens y étaient inscrit. Masaka dit alors a Motoko en regardant une fresque contre le mur a gauche :

«_ Sa alors, regarde, on dirait qu’il s’agit de l’histoire de cette salle.
_ Oui cela est bizarre, il y est écrit quoi ?
_ Il y a environ douze ans de cela, les démons a queues envahir le monde. En autre, un bijûus qui terrorisait les alentours de kiri. Il y est dit que les hommes ne pouvant pas la battre changeait à chaque fois de village, mais ce bijûus le retrouvaient a chaque fois. Et c’est alors qu’il découvrir une grotte renfermant une pierre du nom de Gelel. Cette pierre permettait d’ouvrir des portes temporelles entreposées dans plusieurs salles dans le monde. Ce fut la plus grande découverte de l’époque, et les villageois gardèrent ce secret pour eux. Et à chaque fois que les démons venaient vers eux, ils prenaient une de ces portes temporelles pour aller à l’autre bout du monde. D’après le mur, ils sont allés de Kiri à Kumo puis de Kumo à Suna. Et ainsi de suite, pour échapper au démons appeler Gobi.
_ C’est incroyable !
_ Tu l’as dit, mais cette table au milieu de la pièce m’intrigue, allons y jeter un coups d’œil.
_ Oui. »

Cette table était posée sur un terre plein un peu plus haut que le sol. Il y avait deux encoches sensiblement identiques au collier que masaka et motoko venaient de récupérer. Ils mirent alors leur collier respectif dans l’encoche, et soudainement ils se tournèrent comme une clé. Et un trou apparut dans la table laissant place à un bras de pierre monter en l’air. A hauteur des têtes des deux ninjas, une main tenait une pierre ovales, couleur turquoise.

Il était maintenant tard dans la nuit, et masaka contemplait cette pierre assez particulière. Motoko, quant à elle faisait le tour le la pièce. Cette pierre avait le nom de Gelel comme l’indiquait les inscriptions dans les murs. Cette pierre de couleur turquoise était dessiné de façon a la mettre en valeur, et d’après ce qu’avait pu lire masaka, elle possédait un pouvoir inimaginable. Aucun homme ne pouvait d’ailleurs la contrôler. Et c’est alors que les deux ninjas se réunirent en face de la table en marbre. Ils regardaient la pierre avec un désir soudain de s’en emparer. Mais, tout d’un coup, un kunai venant du vortex derrière vint a eux. Masaka et Motoko l’évitèrent en sautant sur le coté. Ils se tournèrent face au vortex et virent une ombre en sortir. Un grand bonhomme, avec une armure et un kunai à la main avançait tranquillement devant les deux shinobis. Masaka surpris dit alors :

« _ Que veut tu ?
_ Hum...Hum...Je viens prendre la pierre de Gelel.
_ Pourquoi la veut tu ?
_ Et bien pour prendre le pouvoir qu’elle renferme afin de devenir le maître du monde.
_ Cette pierre ne t’appartient pas, et de toute façon tu ne l’auras pas.
_ Hahaha...Tu ne vas quand meme pas me la refuser, moi qui t’ais élever !
_ Mais qui est tu pour dire de telle sottise ?
_ Tu ne reconnais même pas ton propre père. C’est incroyable ce que tu peut être naïf.
_ Mon père ? »

Et c’est alors que l’homme enleva une sorte de masque pour anbus. Il le prit de la main gauche tout en regardant fixement masaka. L’homme reprit haleine et dit d’un ton arrogant :

« _ Oui je suis ton père.
_ Mais que fait tu ici ?
_ Je viens de te le dire.
_ Mais pourquoi veut tu cette pierre ? Je ne te reconnais pas !
_ Je la veux, un point c’est tout. Avec elle je contrôlerais le monde. Même les plus puissant bijûus ne peuvent rien contre elle. Je t’ais suivit jusqu’ici car je savais que tu allait trouver ce temple. De plus, ces portes temporelles me seront utile car je pourrais parcourir le monde en quelques minutes.
_ Mais tu ne peut pas faire sa !
_ Et tu vas faire quoi pour m’arrêter ?! Depuis ta plus tendre enfance je t’ais élever pour que tu devienne fort. Je voulais aussi savoir a quoi ton collier pouvait servir. Et en faisant des recherche approfondit sur tes parent biologique j’ai trouver comment être l’homme le plus puissant. Ton collier est un fragment de la source de Gelel, une grotte introuvable. C’est pour cela que tu guéris rapidement de tes blessures. Grâce à ce gisement, je deviendrais l’homme le plus puissant de l’univers.
_ Pour cela, il faudra d’abord que tu me passes sur le corps. Je ne te croyais pas aussi maléfique père, toi qui as toujours été mon modèle.
_ Cela est tout a fait grotesque. Mais je dois avouer que tu m’as bien aidé dans mes recherches, maintenant, je sais comment trouver ce gisement. Souviens toi de ta mére, as ton avis qui la tuée ?!
_ Ne me dis pas que...
_ Si c'est moi, elle m'a tout arraché, tout. A chaque fois, elle se mettait en travers mon chemin, mais je pouvais rien faire. Je ne pouvais te laisser avant d'avoir trouvé la pierre de Gelel.
_ Tu...Tu ne peut pas faire sa ton fils.
_ Tu est sur ?! »

Et d’un bond, le père de masaka sauta vers lui et mit un coup violent dans sa nuque. L’heishi den’kou s’envola par terre a moitié conscient. Et son pére s’approchait de la pierre de Gelel avec une petite lueur dans ces yeux. Mais au moment où il allait s’en emparer, Motoko qui s’était cacher derrière une colonne lui mit un violent coup de pied dans la tête. L’homme partit contre le mur, mais sans aucune égratignure. Il se releva alors avec un regard mécontent.

Masaka qui essayait désespérément se relever avec un bras gauche en moins regardait son père partir vers Motoko. Plus son père s’avançait, plus masaka ressentait une rage immense l’envahir à son égard. Puis son père fut devant motoko en quelques pas, et il dit d’une voix grossière :

« Petite garce, crève ! »

Il mit alors un violent coups de genoux dans l’estomac de motoko. Celle-ci se plia mais le père de masaka la rattrapa par la gorge et la serra d’une force titanesque. Motoko criait par douleur, mais elle se vit projeter à toute allure vers un mur. En effet, l’homme en un geste la projeta et disparut soudainement. Il réapparut devant elle à deux mètres du sol et lui mit un coup de pied dans le dos. Motoko s’étaler par terre quelques mètres plus loin. Elle saignait de partout, le choc avait été très dur à encaisser. Masaka qui avait peiner a ce relever cria alors a son père pendant qu’il tabassait motoko :

« Arrête tout de suite Seta ! Arrête je t’en prit, elle a rien a voir avec tout sa ! »

Quelques larmes avaient coulé sur le visage entaillé de masaka. Il avait d’ailleurs quelque peu du mal à tenir debout. Mais soudain, sans même s’en soucier, masaka sentit la présence de son père derrière lui. Ce dernier dit alors :

« Tu m’as appelé par mon nom, c’est la première fois que tu le prononce. Mais sûrement la dernière. Comme tu peux le constater, je ne dois laisser aucun témoin. Donc, je dois vous éliminer, et cela va être facile car vous ne m’arrivez pas à la cheville. »

Cela faisait cinq minutes que masaka se faisait battre par Seta. L’heishi den’kou ne pouvait presque plus tenir. Puis en se retournant aprés un dernier coup de poing, masaka vit la main éléctrifé de Seta. Son père s’apprêtait à lui mettre un coup de poing mais au moment de l’abaisser, il se prit cinq aiguilles dans l’épaule. Ces cinq aiguilles venaient de Motoko qui avait fait l’effort, malgré ses nombreux os cassé de sauver masaka. Ce dernier, par une telle occasion revint vers la jeune kunoichi en faisant des petits bonds en arriére, toujours face à l’ennemie.
L’heishi den’kou s’accroupit et dit alors a la jûnin :

« _ Est-ce que sa va ?
_ J’ai connu bien mieux. Mes aiguilles on atteint leur cible.
_ Oui j’ai vu sa, merci de ton intervention, sans sa j’était foutu.
_ Dans quelque instant, il devrait être paralysé puisque j’ai enduit mes aiguilles de poison.
_ De poison ?
_ Oui un poison dont personne ne connaît le remède. Il va mourir à petit feu. »

Après ces paroles, masaka regardait avancer Seta vers lui. Il se leva et se mit en garde, mais son père, d’un pas furtif, vint devant lui le prit afin de l’envoyer en l’air. Seta sauta alors pour se mettre le plus haut possible pour mettre un coup terrible a masaka. Seta fit alors des signes de main et dit : Doton, les poing lunaires ! Mais au moment où la technique devait se faire, rien ne se passa comme si il n’avait plus chakra. Surpris, Seta resta bloquer essayant a tout prix d’exécuter sa technique. L’heishi den’kou en profita pour réapparaître derrière lui et faire une technique doton. L’homme en instant se retrouva terre, dans un sale état. Il avait du mal à se mettre debout, et masaka, qui était revenu au sol vint vers lui et lui mit un coup de pied dans les cotes. Seta s’envola par terre, et après quelques secondes, il cracha du sang. Grâce a motoko, Seta était maintenant hors de nuire mais au moment où l’heishi den’kou allait le frapper, il déchaîna tout son pouvoir contre le temple. Les murs tremblaient de toute part, et soudain, Motoko cria :

« _ Masaka, vient vite, il faut partir. Tout va s’écrouler !
_ Si j’étais toi, je ne l’écouterait pas, va vers la pierre et recharge là. Cela te donneras un pouvoir immense.
_ Mais, Motoko va mourir si je ne l’aide pas. Elle a les cotes brisées. Je ne peux la laisser.
_ Comme tu veut, mais il te faudra se pouvoir pour me retrouver ! »

Et en un instant, Seta se retrouva vers la porte du vortex alors que masaka était retourné. L’homme franchit le vortex, et l’heishi den’kou très surpris lui courut après, sans résultat favorable. Le vortex se referma devant lui, lui et Motoko étaient condamné dans la salle où ils étaient. Masaka prit de vitesse se mit a parler dans sa tête en quête d’une sortit :

***Que faire, que faire. Il faut que je nous sorte de la, mais je ne peut rien faire avec mes multiple blessures. Et mon bras gauche qui est hors service, mais que faire***

Et soudain, alors que le temps pressait, l’heishi den’kou se pressa vers l’hôtel au centre de la salle. Il prit son collier et le mit contre la pierre de Gelel. Des rocher commençait à tomber dans toute la salle, et motoko, au sol ne pouvait pas bouger. C’est alors qu’un morceau de colonne se renversa en direction de la jeune kunoichi. Et masaka d’un geste l’éclata grâce à une technique raiton qu’il venait de faire. Il se faufila alors entre les blocs de marbre pour aller auprès de Motoko. Et en un quart de seconde, tout s’écroula sur les deux ninjas. Mais au dernier moment, grâce au pouvoir de la pierre de Gelel qui était enfermé dans le collier de masaka, ce dernier fit une sorte de bouclier autour d’eux.

Après quelques minutes d’éboulement, Masaka et Motoko sortir de dessous les gravats. Masaka qui n’avait pu tenir le bouclier en place jusqu’au bout était plein de poussière. Et Motoko en était de même, et c’est pour cela qu’elle dit à haute voix au shinobis de Kumo :

« _ Pff...A cause de toi je suis sale, t’es vraiment un clanpin !
_ Nan mais oh, je voudrais bien t’y voir toi. C’est la première fois que j’utilise cette pierre et ce qu’elle renferme.
_ Oui, bon, essayons de reprendre nos esprits, et retournons au village ; dit elle en frottant ses vêtements.
_ Euh, je ne sais pas si tu as remarqué, mais on ait pas du tout a kiri. Regard autour, des prairies a perte de vue. Je crois qu’en faite nous ne sommes pas là ou nous devrions être.
_ Ah oui, sa pose un problème, et alors, où somme nous ?
_ Bah d’après ce que j’ai lu sur les inscriptions, on peut traversé les portes pour aller d’un pays a l’autre, or il y était écrit que cette endroit est...Oh nan, pas sa !
_ Quoi pas sa ?
_ Nous sommes dans un autre monde parallèle au notre.
_ Attends, répète ce que tu viens de dire ?
_ Ce n’est pas la terre, mais une autre planète dans une autre galaxie.
_ Quoi ! Naaan, ce n’est pas possible, qu’est ce que je vais devenir ? Mes amis, mon chat, ma maison, ma fortune ?
_ Mais tu pense vraiment qu’à toi, essaye de trouver un moyen pour sortir.
_ Oui c’est plus judicieux, désoler »

Cela faisait maintenant trois heures que masaka et motoko cherchaient désespérément une sortie dans ce vaste monde inhabité. C’est alors qu’en ce posant sur un rocher, que Masaka remarquât une chose étrange. Cette chose très étranger venait tout droit du soleil flamboyant. Ce soleil qui éclairait la région laissant parfois quelques nuages le cacher semblait ne pas bouger. En effet, c’est après une petit réflexion que l’heishi den’kou s’aperçut de la technique utilisé par son père. Il partit alors vers motoko qui était exténué, la prit par la main et lui dit en courant vers la porte temporelle détruite :

« _ Ceci n’est que genjutsu, j’aurais du m’en douter depuis belle lurette. Je savais que mon père était très bon pour ce qui est des illusions. Et je suis sur que nous somme toujours dans la salle et qu’il a du s’échapper pendant que nous on faisait les mariolles.
_ Tu es sur ?
_ Certain, prépare toi ! »

Comme l’avait dit masaka, ceci n’était que genjutsu. C’est alors qu’en passant par la porte temporelle détruite, ils arrivèrent dans la salle où il avait fait irruption il y a quelques heures. Les cinq piliers étaient autour d’eux, mais une autre porte était ouverte, sûrement celle que Seta avait prit pour s’enfuir. Le shinobis de kumo la regardait, quant à motoko, elle partit dehors par le chemin de la sortit. Seta était déjà très loin, et masaka se dit :

***Un jour je te retrouverais, et là c’est moi qui te tuerais. Maintenant, je sais qui m’a contrôlé depuis le début, je viendrait a toi là où tu te caches. Même au plus profond des entrailles de la terre. Je trouverais ce gisement quoiqu’il arrive. Et la je vengerait mère des mes propres mains***

Ensuite, Masaka sortit dehors où le soleil brillait de mille feux. Il était dix heures du matin lorsque Masaka fit un dernier pas avant d’être complètement dehors. Motoko qui était un peu plus loin déposait les corps de ses camarades afin de les ramener au village. Et d’une main (son bras gauche étant toujours hors service), Masaka fit des signe. Il fit un petit technique doton afin d’ensevelir la grotte. Personne ne devait la trouver. Par la suite, il se dirigea vers la jeune kunoichi, traversant le chemin d’herbe. Les oiseaux percher sur leur arbres gazouillait, et la vie reprenait son cours normale pour les deux ninjas. En s’approchant de motoko, masaka remettait en ordre ses nombreux kunais. Puis en étant devant elle, les deux ninjas firent leurs adieux.

« _ Bon je crois que ma mission touche a sa fin.
_ La mienne aussi, mais tu ne devrais pas retrouvé ton ninjas.
_ Si, mais grâce a la pierre de mon collier, je pourrait le trouvé, n’importe où.
_ Ah mon collier, je l’ai oublier !
_ Laisse tomber, Seta a du le prendre avec la pierre de Gelel. Merci a toi de tout ce que tu as mu m’apporter. J’espère te revoir un jour.
_ Moi aussi, j’ai beaucoup apprit et bonne chance pour ta quête.
_ Ne t’inquiète pas, je parcourrait le monde s’il le faut, mais un jour ou l’autre nos destin se croiseront.
_ De mon coté je ferrait du mieux que je peut pour retrouvé mon collier, étant donnée qu’il a une valeur sentimentale.
_ Bon je ne m’attarde pas, j’au du pain sur la planche. Salut
_ Au revoir Masaka »

Et les deux ninjas se séparaient en se faisant signe l’un a l’autre. Ils prient alors une direction opposée. Il était temps pour l’heishi den’kou de retrouvé Végéta, et grâce a son pendentif, ceci n’était que du gâteau. En avançant sous la pluie de rayon de soleil, Masaka tenait en sa main son pendentif. Un air essouffler et inquiet s’emparait de lui. Il se mit alors à se concentrer, il malaxait son chakra pour le réunir dans la paume de sa main. De la sueur transparente mais avec une certaine couleur claire coulait sur son visage affaiblit. La pierre qu’il tenait avait été rechargé de pouvoir grâce a la pierre de Gelel, que Seta avait prit avant de s’échapper. Mais maintenant, Masaka ne s’intéressait plus a se père indigne. Son objectif était Végéta. Et c’est alors que l’heishi den’kou pensa, avec une volonté monstre de revoir Végéta. Son collier se mit alors à briller, mais rien ne se passait. Et soudain, Masaka prit de sa poche une sorte de rouleau qu’il avait dissimulé des regards mal intentionné. Il l’avait même caché son amie Motoko Aoyama. Il le déroula. Le rouleau fit alors apparaît des écritures avec deux espace en forme de main, et au centre, la marque du pendentif. Il y avait en bas, une sorte de cœur et l’emplacement servait à mettre un nom. Masaka qui ne savait pas du tout comment cela marchait prit une plume et de l’encre et écrivit Végéta-sama dans l’emplacement prévu a cette effet. Il mit alors son pendentif sur le bout de papier, et soudain, une lumière se dégagea autour des mains dessinées. Le ninjas mit alors ses mains en respectant les signes qu’il devait faire avant de les mettre. Et en un instant, il s’effaça de la nature, telle une gomme qui efface un tableau. Peu de temps après, alors que la nature suivait son cours, une lumière blanche, presque turquoise apparut dans des buissons. Masaka apparut alors a travers ce phénomène rare. Il fut très surpris de cette découverte.

Mais plus loin, sur un chemin de terre, semé de quelques feuilles d’arbustes qui entouraient le paysage. Un homme vêtu d’une cape noire marchait tranquillement. Son visage était caché par une capuche qui était attaché à la longue cape. Masaka qui avait atterrit dans les buissons, se releva et vit tout de suite cet homme. Des gouttes d’eau commençaient à couler sur les vêtements du ninjas, il pleuvait aujourd’hui, et des orages éclataient de toute part. L’heishi den’kou vit alors le ciel noire, cependant, les nuages laissaient tout de même passer des rayons de soleil. Mais soudain, Masaka se baissa en vitesse car l’homme se retourna. Ce dernier laissa alors apparaître que le bas de son visage, le haut toujours caché par sa capuche noire, où l’eau ruisselait telle une rivière. Il n’avait pas vu Masaka. Puis en continuant son chemin, Masaka se releva discrètement, et le chakra de l’homme était assez familier pour le shinobis. Après quelque minutes a suivre l’homme Masaka savait alors que cette homme n’était pas moins que Végéta. Mais le sous-raikage était bizarre, pas comme d’habitude. Tout en le suivant, Masaka pensa alors :

***C’est Végéta, mais quelque chose cloche. On dirait que son chakra est plus maléfique, il s’est passer quelque chose. Mieux ne pas le déranger pour le moment. Je vais continuer jusqu’à Kumo gakure no sato, d’ailleurs on ne devrait plus être loin, ce paysage m’est familier***

En effet Masaka n’était qu’à un ou deux kilomètre de Kumo. Et c’est après que quelques minutes que l’homme et Masaka traversèrent les portes principale. Végéta partit dans une autre direction, surveiller par l’heishi den’kou. Masaka était très inquiet pour Végéta. Et c’est alors qu’il le laissa marcher sous la pluie et se mit en route vers le bureau de la raikage. Les rues de kumo étaient vides, une tranquillité comme tous les jours de pluie. Parfois, des chats traversaient en courant à toute allure afin de trouver un abri. Et en avançant vers le bureau de la raikage, Masaka laissait derrière lui la brume du jour. Pour lui sa mission était accomplit, même si il n’avait pas vraiment retrouvé Végéta. Ce dernier était rentrer sain et sauf, c’est tout ce qui comptait pour L’heishi den’kou. Une porte s’ouvrit alors, avec un voix disant : « Tu peux entrer » Masaka entra alors et s’avança alors vers la raikagepour faire son rapport, avec un air penseur, il regardait a travers la vitre le lointain paysage, assombrit par une masse de nuages plus noire les uns que les autres.

Alors, voila une mission delicate... Tout d'abors.

Rang S --> + 100 000 stats au maximum (plus de 120 lignes de rp)

Synthaxe: 06/10 -> +2 000

Tu reviens a la ligne quand il faut, les petits paragraphe sont sympas a lire, mais les majuscules sont souvent oubliée pour les noms propre.

Orthographe: 07/10 -> +2 000

Pas trop mal, le nombre de fautes n'est pas exessif, c'est bien.

Interêt de l'histoire: 09/10 -> +12 000

Exellent, meme si ca ne colle pas a 100% avec le rp story. L'attaque du calamar aussi c'etait sympas.

Mise en page: 10/10 -> +1 000

Tres lisible, les couleurs nesont pas flashis, tres bien.

Donc pour resumer, c'est une bonne mission tu merites ses stats, cependant, tu as encore des points faibles assé important, comme les repetions de mots et aussi les expressions employé qui ne sont pas toujours bien chosis.

Stats : +100 000 + 17 000 de bonus
Soit, + 117 000 de stats.