*Général HRP
Prenom: Médéric
Age: 17 ans
* Général RP
Nom : Korat
Prénom : Medji
Age : 16 ans
Taille : 1 m 70
Poids : 54 kg
Village natal : Suna no kuni
Village souhaité : Kumo
Nindo : :
« Une faiblesse aux yeux des autres peut être pourtant un avantage »
Pouvoir heriditaire (si possible): Marionnettiste
* Description physique :
Medji Korat a tous d’un adolescent classique et légèrement perturbé par le passage de l’age enfant à l’age adulte, quoique. Plutôt grand pour son âge celui se tient toujours droit. Son visage est inexpressif, le plus souvent, encadré par ses deux grands yeux verts légèrement jaunis. Ses cheveux son châtains laissés tranquilles puisque sa coiffure ressemble plus à un champ de bataille qu’à autre chose. Il porte des vêtements plutôt étroits mettant en valeur une silhouette mince. Cependant sa manche gauche, sa jambe droite ainsi que son dos ont une seconde épaisseur cousue sur le vêtement principal, plus ample, donnant un curieux aspect asymétrique à son corps. Sa manche gauche est parcourue de vagues grises ainsi que le bas de son dos. Son bras gauche n’est pas constitué de chair : Celui est un bras fort semblable à celui d’une marionnette (puisque formé de bois et d’acier) mais recouvert d’une légère peau le tout parcourut du même chakra que son bras droit (procédé complexe de fils de chakra courant sous la peau). Ses deux bras sont pourtant rigoureusement identiques et ses mains sont dotées de doigts plutôt longs et fins.
* Signes particuliers :
- Bras gauche de pantin a la place du véritable bras. (Nettement moins habile)
- Cicatrices sur le visage.
- Tatouage de forme confuse sur la main droite.
* Description morale :
Medji est plutôt réservé, le plus généralement méfiant face aux autres (notamment les personnes populaires). Son infirmité lui ayant valu sarcasmes et rejets il préfère nettement la solitude (même s’il peut se trouver bavard dans certaines occasions voir agréable). En général parfaitement obéissant aux ordres donnés par un supérieur il ne se gêne pourtant jamais pour exprimer son point de vu face à celui ci si quelque chose lui déplait. Il reste franc en toute circonstance et ne ment jamais (parfois par politesse il se contente de ne pas répondre). Medji n’a aucune fierté ni aucun orgueil et se moque de l’opinion des autres sur lui-même (si ceux ci n’interfèrent pas dans sa vie et ne gênent pas ses actes). Il ne reviendra jamais sur une parole donnée cependant. Ce garçon protégera toujours le plus faible quelque soit la situation au détriment de lui-même parfois.
* Traits de caractère :
- Méfiant.
- Inexpressif
- Paresseux
- Silencieux
* Histoire :
Mon histoire…hum vous voulez dire : le récit de ma vie tel qu’on me le raconte, ou tel que je l’ai perçut quand j’ai vécu… Moi je préfère la deuxième option et peut être la trouverais vous plus subjective moins vraie. Mais je pense que ceci le sera plus que l’amalgame de tous les récits contradictoires que l’on à dit à mon sujet, non?
Je suis née à Suna, bon je dois avouer qu’on me la dit ça. Qui se rappelle de sa naissance après tout, enfin bref, ma mère se nommait Ayla, et mon tout premier ‘souvenir’ reste la couleur de ses yeux, d’un bleu profond et pénétrant semblant vous sonder à chaque parole. Plutôt petite pourtant, c’était à mes yeux mon père le géant, Korat Edge .. J’ai toujours constaté que mon prénom était une simple dérivé du sien, lui-même a un nom dérivé de son père et ce depuis plusieurs générations au sein de la famille. Notre maison était située en bordure du village d’après mon oncle : je dois avouer que le désert n’était pas mon paysage préféré et ma santé étant plutôt médiocre, je résistais mal au climat sans pitié du désert. C’est pourquoi j’ai passé la plupart de ma vie consciente chez mon oncle soit de mes 7 ans a mes 12 ans, lui était un marionnettiste de talent ; Norat mais sans aucun prénom… Voilà pourquoi dans ma famille seul le premier fils et les filles portent des prénoms les autres fils non sauf un prénom courant utilisé hors du cercle familial . Mais cessons de survoler mon passé sur ces souvenirs que ne sont pas les miens. J’ai toujours été mauvais dans la manipulation de mon chakra, de plus trop frêle pour maîtriser le Taijustu et ne possédant aucun talent pour le Genjustu. C’est pourquoi je suis depuis ma naissance la honte de mon père : le déchet de la première branche. Mais malgré ça j’été le premier fils de mon père et on espérait une amélioration … cependant… J’ai été banni de cette branche à l’age de 12 ans, pour un accident stupide… c’est paradoxal les accidents sont toujours extrêmement stupides. Ce jour la … un jour comme temps d’autres jours : Le soleil brûlait l’azur et j’ouvrais les yeux pour voir le plafond de ma chambre. La maison de mon oncle n’était pas très spacieuse : 1 étage réservé à la conception des poisons des marionnettes, les chambres étaient au rez-de-chaussée adjointes a la salle principale. Comme d’habitude je voulais offrir à mon oncle des champignons intéressant de la foret, concernant le poison bien sur. Ainsi pendant que je recherchais un champignon pour tester ses qualités d’antipoison j’ai glisser de mon rocher d’observation pour atterrir devant la tanière d’un loup solitaire. Les loups ne sont pas les animaux les plus agressifs et les plus dangereux de la nature après tout il y a l’homme, mais en cas de danger ils peuvent se montrer particulièrement hostile face aux intrus, aux yeux d’un animal sauvage la simple odeur d’un humain est source de danger quelque soit l’age de l’humain en question…. Je me suis réveillé environ trois jours après ce stupide accident dans le lit de mon oncle incapable de bouger, le corps enveloppé de bandage sans ressentir la moindre douleur néanmoins. Mon oncle conversait avec un inconnu… ce dernier était …. Vieux est secouait la tête d’un air triste… mon oncle lui tremblait… et juste quelques brides de phrases sont parvenues à mon cerveau complètement abrutit par les drogues.
« …..bras…….. impossible…. Amputé…rien pus….désolé…..plus possible….essayer… »
A mon total rétablissement 7 jours plus tard j’ai vu l’irréparable, mon bras gauche était ‘absent’ sectionné au-dessus de mon coude formant un disque blanchâtre de chair… mais pour moi et ma famille la perte d’un membre de plus d’un bras était significative de nombreux points : a commencer par le plus important la perte d’efficacité et de vitesse des mudras donc perte d’efficacité du ninjustu et du taijustu ceci ajouter à mes défauts naturels en matière de genjustu valait pour la branche principale un poids mort absolument inutile donc une suppression de ce dernier devait avoir lieu. A non pas la mort… inutile de tuer un enfant on l’oublier, le rejet des faibles est la base de survie de ma famille. Alors un mois plus tard environs, a Suna, mon père, mon grand-père, ainsi qu’une dizaine de personne tous membres des principales branches de la famille se trouvèrent face à un petit enfant effrayé dont le moignon du bras gauche était le centre de tous les regards. Un vieillard pris enfin la parole prononçant le mot : « Bannit » d’une voie absolument neutre vidée d’émotion, mot répète par tous les membres de ma famille présents y compris mon père. « Néanmoins nous lui laissons le nom de la famille ainsi que son prénom mais retirez-le de nos registres, Edge transmettez un nom a votre fils désormais aîné, quand a ce poids il revient à son oncle et si celui ci refuse la garde nous aviserons. » Déjà j’étais devenu une ombre n’appartenant à ma famille que par un nom sachant qu même ma mère ne me regarderait plus que comme un étranger. Mon oncle n’a jamais été aussi furieux contre notre famille. Pour les Korat le sang froid, le respect et l’obéissance étaient des règles de vie pour tous même les ombres, c’est pourquoi jamais je n’avais vu le regard de mon oncle aussi emplie de haine envers mon père qu’a ce jour.. Pourtant tout cela était normal a mes yeux, je n’avais aucun talent de la famille aucune maîtrise du ninjustu et mon bras gauche était amputé… cette décision était logique et on m’avait laisser mon prénom, mon nom et la vie pourquoi me plaindre. Une fois chez lui mon oncle celui ci a passé un an dans sa chambre sans manger avec moi me laissant seul avec mes rêves et mon infirmité. Je ne me rappelle plus le nombre de soir passé à étudier dans ma chambre à écouter le bruit du rabot de bois et le choc d’un burin. Ce n’est qu’après tout ce temps que je l’ai revu, le visage ravagé par le travail mais enfin souriant, son premier sourire depuis mon accident,. Il avait taillé un bras de pantin de ma taille, j’ai toujours ce dernier au bras gauche chez d’œuvre d’un maître en la matière voulant combler l’infirmité cause par son manque de vigilance. Son chakra courait dans le membre en bois, je le soupçonnerai toujours d’avoir sacrifier sa vie pour me rendre un bras …
« Medji, fait de ton défaut ton principal atout, montre aux Korat que nous qui ne sommes peut être pas de la première branche ne sommes pas des déchets. »
Mon bras gauche est toujours difficile a contrôlé depuis ces 3 années, mon oncle réussit à passer un mois avec moi a m’apprendre à créer des fils de chakra pour faire de moi un marionnettiste suffisamment doué pour contrôler correctement mon bras, sans succès. Il est mort d’une crise cardiaque (même si je doute de ce fait pour une raison : a sa mort mon bras s’est mis à croître au même rythme que mon bras naturel ceci est contre nature) Ne laissant derrière lui que 3 rouleaux. Le premier est le recueil de ses techniques de ninjustu concernant mon bras artificiel et mon pantin… un si petit parchemin dont chaque ligne est gravée dans ma mémoire.. Le second est celui de sa dernière marionnette : L’ombre. Je ne l’ai jamais sortit de son parchemin comme me le conseille mon oncle dans son premier parchemin « N’utilise l’ombre que le jour ou tu pourras la manipuler Medji ». Ce parchemin est lui dans mon bras endroit unique en son genre lieu sans aucun doute le plus sur pour moi. Voici ce que dit la fin du testament de mon oncle, son dernier écrit :
« Medji, j’espère que tu deviendras plus fort que les autres Korat pour leur montrer que nous les ombres pouvons surpasser ces conservateurs. Je ne m’excuserai jamais assez pour ton bras puisse-tu faire de celui ci ton arme et ta fierté. Je te laisse mes plus beaux pantins, ton bras et l’ombre et j’espère qu’un jour tu pourrais les utiliser à la perfection. Inutile de pleurer sur le passer ou de renier la vérité, bat toi pour ton futur. Je t‘offre tout ce que je peux pour assurer ton avenir, tu va devoir passer par l’Académie des ninjas de Kumo. Tu n’es pas très bon en taijustu à cause de ta stature et de ta santé mais Je souhaite que tu te battes pour avancer. Puisse-tu un jour maîtriser ton ombre. On se reverra Medji, le plus tard possible j’espère. »
C’est pourquoi j’ai rejoins l’Académie de Kumo, seul sans trop de ressource, sans lien ni famille proche. Dans une Académie de ninjas ou je n’avais pas, d’après certain ma place, puisque mon niveau était bien insuffisant. J’ai passé trois ans a l’Académie, non pas par nullité absolue ou par manque de volonté, mais peut être par manque de control et de technique. Elève discret sans problèmes, plutôt renfermé et inattentif mais dont la théorie était excellente. En revanche ma pratique des ninjustu étant médiocre je fut recalé 3 années de suite. L’examen final se révélant toujours d’une difficulté extrême a mes yeux. Enfin cette année on m'a accordé le bandeau du village et le titre de Gennin. Le reste ça reste à voir.
(Je crois que ca ira pour cette fois,
Sinon je suis prêt a revoir les passages qui dérangent.^^)