Les vacances commences (suite)

Sujet: Les vacances commences (suite) Ven 16 Nov 2007 - 18:37

[center]Le bateau dans le quel se trouvait Wat tanguait doucement de droite à gauche, et de gauche à droite. Indéfiniment, sans cesse, sans fin… La fenêtre de la cabine était ouverte, la porte des toilettes par sécurité également, le visage de Wat avait après la réception organiser sur le pont du bateau passer du blanc au rouge, puis au vert. Le gâteau à la crème, les coupes de champagnes et les larges portions de pizza qui l’avait accompagné se faisait maintenant ressentir. La nuit était tombée depuis quelques heures déjà et les douleurs abdominales, et son état second ne s’était pas amélioré. Ses traversé en bateau ne lui avait encore jamais fait cet effet là. Puis soudain, les morceaux de pizza se retrouver a flottait à la surface de l’eau noir. Wat retira sa tête de dehors pour essayer sa sueur d’un revers de manche qui perlait sur son front chaud. Il s’allongea sur le lit, les genoux remontés et les bras le long du corps. Le froid l’avait fatigué, al fête également et sa ressente remontait n’avait rien arranger, de sa main la plus proche, il ferma la fenêtre et s’endormit durant les quelques dernière heures qui lui restait.

Quatre, peu être cinq, petites heures venaient de s’écoulées depuis que Wat s’était endormit, en tout cas, le bateau venait de se mettre a quai et le garçon se précipita dehors avant qu’une nouvelle remonté ne lui face ressortir les dernier reste du repas de la veille au soir. N’ayan plus rien dans el ventre, la bile fut l’une des seules choses présentes au bas du bateau. Wat releva la tête et eu un sourire en voyant face a lui un café d’ouvert dans lequel il s’engouffra pour commandait son petit déjeuné. Des croissants ainsi que des pain au chocolat avec un grand verre de chocolat chaud lui remirent les idées en place. C'est-à-dire dans son estomac. Quand il eu fini, il sortit du café et commença sa première journée de vacances d’un pas traînant.

Le soleil n’était pas très haut dans le ciel, le matin a peine lever, les rues ayant ses premiers occupant et ses boutiques s’ouvrant doucement de part et d’autre des longues rue du village. De nouveaux vêtement serait bien pour le garçon, ainsi que de nouvelle armes, des kunais et des shurikens qui commençaient a ce faire vieux traînait en vrac dans sa pochette accrocher a sa jambe gauche. Son sac a dos avait ses fermeture éclairent cassé, le seul moyen de l’ouvrir était de lui faire sortir les affaire de force et de le fermer au fil et a l’aiguille ensuite. Ses chaussures se faisaient trop petites et son bandeau… peut importe, il l’aimait qu’importe son état.

« Ne t’en fais pas Sat-chan tout devrais bien se passer » avait simplement déclaré l’Umikage en passant la porte du palais. Mais la jeune Sachiko voyait les choses tout autrement et arrivait difficilement à croire que tout se passerait bien, c’était après tout encore un des plans tordus de sa kage et ça la kunoichi l’avait tout de suite pressentie lorsque Yume vient la chercher dans son bureau pour lui demander conseil avec une perruque brune dans les mains.

A ton avis Sat-chan je devrais mettre une perruque ?

Gné ? Umikage-sama pourquoi ce besoin soudain de changement ?

Ce n’est pas un changement Sachiko mais un retour aux sources temporaire !

Avait corriger la jeune kage non sans un froncement de sourcil, c’était dans des cas comme ça que cette dernière se trouvait plus qu’incomprise par les incapables qui peuplaient inutilement son palais. M’enfin si elle se mettait à nouveau Sat-chan à dos, Yume redeviendrait à nouveau seule sans personne à qui parler…Aussi l’adolescente fit un effort et mis au placard le dédain qu’elle avait sortit par réflexe et ajouta d’un ton neutre(ben quoi elle n’est pas odieuse c’est déjà ça ! ^^’)

C’est que j’ai appris que mon père était à Nami aujourd’hui alors je ne sais pas trop quoi faire…M’enfin je vais me débrouiller toute seule je suis une grande fille après tout ! ^^’

Sur ces derniers mots la Kage avait tournée les talons…tsss une grande fille, c’était poussé l’hypocrisie bien loin, car la grande fille était pour le moment morte de trouille, partagé entre excitation et mortelle angoisse. Après tout la dernière fois qu’elle avait son père c’était il y a plusieurs mois de cela, alors que le visage de ce dernier se distordait dans les yeux embuée de larmes de l’adolescente. Mais cette nouvelle arrivée à Nami lui apportait beaucoup d’espoir, après tout peut être que Kaede et lui était revenue sur leurs décision, et qu’il était là pour lui dire ça, et alors elle ne serait plus seule, mais avec eux…comme avant. Mais une hypothèse s’imposait inéluctablement à l’esprit de la jeune femme, son père avait très bien pu venir à Nami, juste pour accomplir une petite mission, ou prendre un peu de repos, et non pour la voir…M’enfin Yume téméraire dans l’âme était décidé à prendre le taureau par les cornes, mais voilà un dilemme tout aussi cornélien s’imposait toujours à elle : devait-elle ressembler à l’ancienne Yume cruche et brune, ou alors devait elle rester cette Yume aux cheveux en miette et au sens de la répartie plus qu’acide et tranchant ? Ba si son père était venu pour la voir, il souhaiterait certainement revoir sa chevelure d’ébène aussi elle opta pour la perruque, cependant voir son enfant un peu plus mûre lui aurait fait tout aussi plaisir, aussi Yume décida de pu être cette fille sotte qui distribuait des fleurs.

Il était encore très tôt lorsque l’Umikage passa la porte de son palais tout en rassurant son assistante. Une matinée seulement on revit tel un spectre, le fantôme de cette folle aux cheveux d’ébènes parcourir une toute dernière fois les rues de Nami. Si l’information donné par ses espions étaient justes son père devait se trouver dans une auberge bordant les frontières du village, mais ces dernières devait être erroné, car déjà Yume alors qu’elle parcourait les rues longeant le port, apercevait une silhouette qui lui était plus que familière. Sans réfléchir la jeune kage se contenta de crier :

Otosan !

Instinctivement ce dernier se retourna, puis se ravisa immédiatement en continuant sa route en hâtant le pas. Il n’avait beau lui avoir accordé qu’un seul regard, l’adolescente avait la réponse à ce dilemme cornélien, elle l’avait trouvé aux plus profond de ce regard presque horrifié qui venait d’être portée sur elle. Alors Oui Sachiko avait raison de s’inquiéter car son plan c’était tout sauf bien passé, tout avait été ici vite, comme sa propre réaction qui après le départ de son père avait été de courir, juste courir, fermer son esprit juste un instant, bloquer la douleur qui l’assaillait, bloquer les larmes qui affluait, juste courir. Mais voilà courir les yeux embuée de larmes est toujours la meilleure solution pour heurter quelqu’un, ce qu’elle fit sans le vouloir. Le choc la fit tomber au sol avec le jeune homme qu’elle venait de heurter par la même occasion, sur le coup elle ne le reconnu pas immédiatement, et pourtant elle l’avait déjà vu auparavant…

[HRP : désolé pour le gros gros retard, j’avoue ne pas avoir été inspiré au départ et d’avoir oublier par la suite ce sujet, donc je te présente mes plus plates excuse, et encore désolé de t’avoir bloqué dans ton rp, la prochaine fois j’essaierais d’être beaucoup plus rapide >_<]

Le garçon continuait de flâner devant les vitrine des rues, le regards vide face aux superbes rivière de diamants ou encore devant les draps de toutes les étoffes possibles et imaginables. Il se laisser bercer par le son des vagues qui ne se trouver qu’a quelques mètres derrière lui, les foule en masse semblait ne produire qu’un sombre brouhaha incompréhensible, bourdonnent aux oreilles bouché de Wat qui bailla ouvertement devant une boutiques d’objets incrusté d’or.

Soudain, il entendit un bruit distinct parmi tous, ceux de Jûchibi qui lui annoncèrent :
-- Attention Daragon, Derrière toi…
Wat se retourna vite et se retrouva légèrement soulever du sol en perdant son souffle, quelques chose lui était rentrer dans le plexus lui coupant le souffle et l’envoyant par terre. La poussière se soulevant lentement, venant se lotir dans le nez de Wat qui éternua par deux fois avant d’ouvrir les yeux pour voir qui venait de le bousculer. Le soleil a peine lever droit devant lui, venait frapper ses yeux avec des rayons rougeâtres qui l’obligèrent a fermer a demi les paupières pour voir qui se trouvait face à lui.

Il se releva lentement en tapant ses vêtements trop grands pour les dégager de leur poussières, et quand il eu fini son exercice, place sa main juste au dessus de ses yeux comme pour faire un pare-soleil. Il remarqua alors la jeune femme devant lui. Elle lui faisait penser à quelqu’un, mais il ne souvenait pas du tout qui. La mémoire de Wat lui faisait encore défaut, comme à son habitude, il ne se souvenait jamais des noms et des visages sauf quand il en avait envie.

Il laissa ses bras pendre alors le long de son corps, ses manches vinrent recouvrir ses mains nue et abîmer par l’effort de tant d’années. Il marchait encore sur son pantalon trop grand pour lui et demanda d’une voie intriguer à al personne face à lui :
-- Heu…Sa va aller ?

HJ: je vais me couché donc je le fait petit, et tu ne te sentira pas obliger de faire un RP de 100 lignes (par contre pour le prochain)