HORS-RPG:
-Age*: 16 ans
-Lieu où vous habitez: france
RPG:
-Nom et Prénom de votre Perso Atori Kori
-Age de votre Perso: 16 ans
-Village Natale de votre perso: Inconnue (Voir histoire)
-Village que vous souhaiteriez rejoindre: Oto
-Nindo:
Tout n’est que réciprocité ; Tu m’aide, je t’aiderai. Tu me blesse, je te tue.
Je suis une bête sauvage peut être mais je peux te morde comme preuve.
-Description Physique de votre Perso:
Kori est un adolescent, on peut dire une chose : il semble avoir grandit trop vite.
Effectivement celui-ci est un 'poids plume '( 60 kg ) pour une taille d'adulte. ( 1 m 74)
Ce qui en fait un individu très mince, presque trop.
Toujours vêtu de vêtements longs de couleur noire tombant presque au sol.
On peut néanmoins observer un héron gris perle dans le dos du vêtement.
Ses signes particuliers, il porte constamment un bandeau serré autour de son oeil gauche, et il est parfois pris de légers tremblements, de longues cicatrises boursouflés parcourent son dos.
Son oeil visible est vert clair dont la pupille est très dilatée. Son visage est encadré par des cheveux gris qui descendent jusqu a son cou.
Ce physique me donne hélas une piètre maîtrise du domaine du Taijutsu.
-Description Mentale de votre Perso:
Kori est un cas peu social, il parle très peu, cependant il étudie avec ardeur.
Presque comme un chien Kori obéit à tous des ordres qu'on lui donne sans arrière penser ni remord. La seule de ses manies visible est de regarder des oiseaux lorsqu'il n'a rien a faire.
Même si Kori est à la limite de la bestialité celui ci a de nombreuses affinités en Genjutsu et son ninjutsu est raiton.
Caractère:
Plutôt calme et taciturne Kori évite toute discutions inutile. Très intéresser par l’apprentissage et par la maîtrise de ses capacités il est très intéresser par les propos que l’on lui dit.
Néanmoins il reste plutôt animal dans certaine de ses habitudes.
Ce qu’il aime/ Ce qu’il n’aime pas
La seule chose que Kori aime c’est les animaux, cependant il a une préférence pour les chats et tous les oiseaux, principalement les hérons.
Par conséquent Kori déteste la souffrance des animaux et cela sous toutes les formes, tuer pour manger ne le gênera pas pour autant.
Etant donné son passé Kori a une certaine aversion envers les autres humains, cependant tant qu’il n’y a pas de contact physique il n’y a aucun mouvement violent.
Qualités / Défauts
Ne rechigne jamais a travaillé. / Parle peu
Intelligent / Physiquement faible.
Toujours serviable et docile/ Peu social
Capable d'apprivoiser des oiseaux
-Histoire de votre Perso:
Je ne sais pas exactement dans quelle circonstance je suis venu en ce bas monde.
Après tout personne ne se souvient de cela non ? Mais on ma raconter une version qui
d’après les circonstances est sans doute vraie, ou bien était ce son dernier mensonge…
De toute ma triste vie je n’ai connu que la maudite tiédeur moite du chenil dans lequel je vivais. Mal nourrit seul, sans éducation, et sans ami. M’apprendre à parler et la seule chose que celle qui m’a élevé à fait de bien, Sauf me raconter le pauvre début de ma triste vie :
Je serais née dans l’endroit où j’ai sans doute jamais été le plus jeune homme à visiter : Une maison de plaisir dans une petite ville commerçante. De mon père j’ignore tout, comme ma mère je le présume, toujours est il qu’il n’a jamais donné signe de vie. Remarque savait-il que j’existais ? Enfin bon toujours est-il que je suis née là dedans, sans jamais connaître la douceur d’une mère ni l’amour d’une famille. J’aurais été vendu à la femme qui m’a élevé au milieu de ses chiens quand j’avais deux ans à peine.
J’ai passé la plupart de mon existence dans le chenil, Mais j’en ai gardé quelques souvenirs.
Voici le plus distinct : Kori regarde le sol prêt de lui, il doit avoir prêt de sept ans.
Tout ici n’est que crasse, l’endroit est une vielle cave, plutôt spacieuse qui contient une dizaine de cage en bambou dans lequel des vieux chiens dorment, ma caisse et auprès de la porte qui mène à la maison.
« Et toi!
- Oui?
Ma voie est faible et le sang sur mon dos témoigne de récents actes de violence.
- Lève toi et va me chercher du bambou dans le fond de la cave ! »
* Sale harpie *
« Très bien. »
* Je me vengerai bien un jour *
Puis le claquement sonore du fouet.
« Plus vite que ça ! »
Je dois beaucoup à celle-la car j’ai perdu mon œil le jour ou cette immonde a amené un animal nouveau dans le chenil ; un loup. J’ignore pourquoi, peut être pour s’amuser, me tuer peut être. Toujours est-il que celui ci a tué le chiot que j’élevais et ensuite m’a mordu au visage. Presque toutes les marques ont disparut mais les blessures de l’esprit elles sont encore les même après tout ce temps.
Un autre souvenir. Kori est étendus sur la paille moisie du chenil et regarde à travers les fentes le ‘monde’ ou plutôt la rue a coté de la maison. Là deux chats se disputent un morceau de viande. Plus haut vole un héron dont le bec semblait se débattre.
J’ai toujours adoré les animaux, ils étaient plus proches de moi que les humains, moins cruel plus affectueux. On peut facilement obtenir l’affection des animaux par la douceur et la nourriture. Mais j’ai toujours adoré voir les oiseaux. C’est cette liberté de mouvement, j’ai si longtemps vécut enfermé que je les enviais.
Je n’ai jamais voulut le mal ni même la mort, encore moins la souffrance car celle ci me rappelle la mienne. Mais j’ai adoré la vengeance. Celle qui avait fait de ma vie un enfer devait payer. Non pas mourir mais souffrir avant de quitter ce monde.
Kori regarde les bambous entreposés dans la cave. Puis lentement a l’aide d’un vieux morceau de métal, il taille l’extrémité du morceau, un sourire cruel aux lèvres.
* Les cages sont fermées, je vais les ouvrires puis je vais te tuer, ma vielle saleté *
Cette chansonnette avait hanté mon esprit pendant deux jours.
Puis j’ai décidé de changer les choses de tout reprendre à la harpie.
Cette femme qui est étendue au sol devant moi. Morte bien sur. J’ai 15 ans et je ne supportais plus d'être tel une bête soumise a sa volonté. Oh non je ne suis pas un monstre, pas même un enfant difforme ou violent, non rien qu’un enfant de 15 ans qu’on a toujours torturé.
La tuer n’a pas été facile car les chiens ont hésité, il ma fallut 6 ans pour que ces chiots finissent par m’écouter moi et plus cette femme. Non elle n’allait pas mourir tout de suite elle devait d’abord me parler, me parler de moi. Et il à fallut la faire parler.
La femme tourne le dos à Kori celui ci avance derrière elle tenant un bambou taillé dans sa main droite. Il avance sur le sol, silencieux, Puis frappe violemment la nuque de la femme qui tombe au sol les cheveux poisseux de sang.
Les chiens venez ici ! »
Mes quatre fidèles amis ont quitté la cave et ont encerclé la vielle pourriture.
Celle ci me regarda avant de cracher ces paroles :
« Retiens les chiens Toi !
- Ah ? Et bien il va falloir me parler de mes parents pour commencer.
- Je ne sais rien je te le répète sans cesse !
- Haa alors on ment encore alors qu’on va mourir, Tika attaque ! »
Hum … le souvenir du craquement des os de son bras.. Après toute ma vie passer sous sa domination ce pouvoir m’avait littéralement rendu fou.
« Toujours rien sur ma mère peut être ? On veut parler ?
- On t’a vendu et je j’ai accepté.
- Merveilleux on progresse. Où ça ?
- Je je ne sais plus.
- Hum … mauvaise réponse. »
Je crois que c’était la première et l’unique fois ou je voulais la mort et la douleur d’un humain, cependant ce ne m'a pas gêné quand j’ai pris mon arme afin de lui entailler le bras.
« Toujours rien sur l’endroit ?
- C’était à un bordel ta mère était morte alors il ton vendu et comme nous sommes en période de famine tu as eu de la chance que je t'achète tu étais en train de mourir !
- Pfeu la mort aurait eu plus d’avantages que cette vie avec toi, a oui comment je m’appelle ?
- Kori .. Oui c’est comme ça qu’ils t’ont appelé.
- Oh Kori ? C’est agréable d’être plus que Toi tu sais ?Bon est bien j’en sais assez.
- Je peux partir par pitié.
- A non les pauvres chiens non pas mangés et si je pars qui va leur en donner?
- Tu va me tuer ?
- Oui et non ça sera plus long voyons, moi ça a bien duré presque 15 ans. »
Puis je lui avais plongé le bambou dans le ventre et je me suis retourné devant les chiens.
La j’ai regardé chacun d’entre eux dans les yeux, je voulais qu’ils voient ce que je voulais.
« A table mes enfants, Y’a de la charogne au menu »
Hum même s’il s’agit de ma vie je préfère éviter la suite je n’étais plus moi-même : Ivre de colère de pouvoir et de satisfaction.
J’ai passait une nuit étrange, J’étais libre enfin ! Je n’ai eu aucun remords pas d’angoisse juste une intense satisfaction, celle du travail accomplie et parfaitement réussit. Tuer un être humain ne m'a pas fait ni chaux ni froid, rien de plus que de croquer une pomme.
Reprenons 6 jours plus tard ou un paria m’a recueillit et nourrit.
Il vivait dans une vielle cahute en foret, rejeté par les autres à cause de ses croyances.
Tout y été simple, la chaise ou il prenait place, derrière la table ou nous nous regardions.
La première de nos discutions fut la suivante.
« Qui es tu ?
- Kori
–Ton nom ?
– C’est quoi un nom ?
–Mais ce qui nous distingue des bêtes!
– Alors je ne suis qu’une bête
Je lui dois beaucoup car il m’a fait mes vêtements, amples pour avoir une grande liberté de mouvement, de plus il a bandé mon œil. Et surtout c’est grâce à lui que j’ai un nom désormais Atori, cet homme était comme mon père. Il ma garder avec lui 2 mois puis il est repartit pour la ville avec des gardes, pour être exécuté j’en suis sur.
Je pense que j’ai compris à ce moment précis que tuer était la base de la vie. Je ne suis doué en rien de particulier, dresser les animaux ne me nourrira pas. Mais je peux tuer, et j’ai une soif colossale en matière de pouvoir et de connaissance.
Mais je dois avouer que j’ai peur des humains. Je suis devenu par nature docile mais j’ai toujours peur du contact physique. J’ai déjà mordu comme un chien tout simplement parce que j'avais peur qu’on me touche le bras.
C’était un soldat, il m'a toucher l’épaule chez mon ‘père’ et a voulut me faire avancer vers la porte, j’ai perdu tout contrôle j’ai saisit le kunai d’Atori et j’ai tranché ce qui me touché puis j’ai enfoncé la lame dans la gorge de l’homme. Le gargouillis me fit sourire. J’ai pivoté pour sauver mon ‘père’ mais un autre soldat se tenait devant la porte un katana dans les mains.
Je n’ai pas eu le choix fuir ou mourir, J’en ai cauchemardé des nuits entières de n’avoir pas résisté pour tenter de tuer celui qui m’avait offert son nom.
Un jour que je flânait en ville a la recherche d’un repas, j’ai entendu une brève discussion .
« Le marchant d’épices du coin tu sais la rumeur sur lui ?
-laquelle ?
-Il a été tuer par des ninjas.
-Mais pourquoi ?
-Tu sais qu’il était pas un citoyen exemplaire il trafiquait un peu…
-Et ?
-Pour un peu d’or on a acheter sa mort aux ninjas
-mais combien vaudrait une vie ?
-Je sais pas , 3 repas ? »
J’ai alors penser que devenir un ninja, un guerrier de l’ombre était peut être ma seule échappatoire. Vivre loin du regard des humains. Certes certains hommes seront présents pour m’aider, m’épauler et j’ose espérer pouvoir me changer grâce à cela. Comme je traînais dans les environs je suis venu ici. Rejoindre l’Académie est sans doute la seule chance qu’il me reste pour apprendre et pouvoir survivre.
J’ai trouvé l’Académie ; Grande et pleine d’autres humains. C’est bizarre d’être considéré comme autre chose qu’un paria ou un animal. Ici on ne m'a pas jeté de pierre, même pas de regard mauvais, quoique certain me reproche peut être ma tenue tachée de terre.
Un grand jardin, j’ai pus voir des oiseaux magnifiques créatures. Bien désormais je dois sans doute trouver quelqu’un pour m’intégrer, puis pour m’apprendre.
Peut être on me demandera mon passé… alors … ils sauront juste ce que j’ai à dire la dessus.