Une rencontre en plein trafic [Finit]

Sujet: Une rencontre en plein trafic [Finit] Mer 17 Sep 2008 - 21:46

Par un temps pluvieux sur les abords du village caché de la brume, des enfants étaient en train de jouer sous un hangar, tranquillement entre eux. Ils étaient en train de jouer au ninjas avec des bâtons, des pierres… Le lieu où ils étaient en train de jouer était très bien pour eux car il y avait des poutres métalliques un peu partout même en l’air. Tout d’un coup, en pleine course, un enfant trébucha en avant et sa tête percuta une poutre. Par réflexe, l’enfant mit ses bras en avant pour se protéger mais le choc fut brutal. Il retomba à terre, le ventre en direction du sol, avec les bras sur la tête. Il se frotta avec ses mains sa tête très rapidement pour essayer de faire passer la douleur même si ça ne servait à rien et repartis en courant en disant :

- Un ninja ne doit jamais pleurer alors pourquoi une toute petite douleur me le ferait faire ? –

Une fois que le petite garçon eut finis de parler, un autre courut en sa direction alors il se releva d’un bond et partis très vite en courant. Ils jouèrent et jouèrent pendant un long moment, environs trois heures de suite sans s’arrêter jusqu’au moment où la nuit commença à apparaître rapidement. A présent, il ne pleuvait plus mais un épais nuage de fumée s’était installé partout, surtout à l’horizon vers les montagnes qui séparait le village de la brume à celui du village de la foudre. Les enfants commencèrent à sortirent du hangar par la porte principal et coururent rapidement en direction de Kiri pour sûrement rentrer chez vous. L’endroit où venait de jouer les enfants était le lieu préféré de Raïto Nara, un jeune Genin du village caché de la brume, lorsqu’il voulait être seul pour pouvoir réfléchir à certaine chose tout en ce reposant. La nuit complètement installée, les enfants rentrés chez eux au chaud avec leurs parents, les environs de Kiri étaient d’un calme plat, parfaitement. Seul quelques brui d’animaux comme des oiseaux ou des criquets étaient en train de faire du bruit mais très légèrement. Il faisait frais mais quelques personnes courageuses étaient en train de se promener prêt d’un lac. Il y avait de jeunes couples assis sur un banc, d’autre en train en marcher. Mais d’autres ombres étaient en train de marcher sans faire de bruits, juste en chuchotant quelques mots. C’était un groupe d’une dizaine de personnes composé seulement d’hommes de vingt ou trente ans environs. Ils étaient en train de marcher en direction de la porte d’entrée du hangar et y pénétrèrent, toujours en ne faisant aucun bruit, sauf la porte qui grinça très légèrement. Cinq minutes plus tard, un camion plutôt gros arriva devant le hangar et la personne qui le conduisait sortis de son camion. Il frappa à la porte deux fois, puis une fois et une personne lui ouvrit. La personne qui lui ouvrit le regarda et lui dit en regardant le camion :

# Vas te garer derrière le hangar. Le boss y est et il t’attend avec impatience. Ne te fais pas trop attendre sinon tu sais ce qui risque de t’arriver. #

Une fois la personne eut finit de lui parler, le conducteur du camion remonta dans son véhicule et le conduisit derrière le hangar. Derrière le bâtiment se trouvaient trois hommes dont l’un avait une canne dans sa main droite. Le camionneur arrêta son camion en face d’eux, avec une distance approximative de trois ou quatre mètres. Les trois hommes marchèrent d’un pat et arrivèrent rapidement derrière le camion accompagné du chauffeur. Deux des trois hommes ouvrirent les portes arrièrent du camion pendant que l’homme avec la canne prit une lampe et regarda ce qui se trouvait à l’intérieur. Un peine il alluma sa lampe qu’un énorme hurlement eut lieu :

GROAAAAA

A l’intérieur de la soute du camion se trouvait des animaux enfermés dans des cages. Il y avait plusieurs types d’animaux, des tigres, des chevaux, des ours, des loups… Un peu plus au fond se trouvait des bassins où à l’intérieur étaient en train de nager des requins, des dauphins et autres animaux aquatiques. Au son du crie des animaux, les personnes qui étaient prêt du lac partirent rapidement car ils avaient eut une très grande frayeur. Les personnes arrivèrent rapidement au village de Kiri où ils arrêtèrent des passant qui allaient vers le lac pour leur dire qu’il se passait des trucs bizarres. Raïto qui était en train de manger un hamburger avec des frites entendit une personne dire à une autre :

« Il paraît qu’il se passe des trucs bizarres prêt du hangar à côté du lac un peu plus loin. Moi qui voulais y aller pour faire… enfin tu vois ce que je dis pour la première fois avec mon petit ami et bien c’est raté. En plus je me sentais vachement prête. Bon je dois te laisser, je dois appeler mon petit ami pour lui dire que c’est annulé mais qu’on pourra quand même le faire chez moi. Aller, à plus. »

Les personnes partirent chacune de leur côté et Raïto se leva et partit en courant vers le hangar, en jetant de l’argent sur le comptoir du restaurent. Raïto sauta de toit en toi le plus vite possible mais il avait trop mangé et il n’avait pas tout digéré alors il ne sautait pas bien vite de toits en toits. Un peu plus tard, il arriva aux côtés du lac de Kiri et continua toujours à courir mais un peu moins vite pour éviter de faire du bruit. Encore un peu plus tard, il put voir de loin le hangar où se trouvaient les hommes. Raïto s’y approcha en marchant avec de grands pats et se cacha derrière d’un grand buisson. Il leva sa tête et vit à une dizaine de mètres plus loin tous les onze hommes réunit derrières de camion, y comprit le chauffeur. L’homme à la canne resta en arrièrent pendant que les autres étaient en train de charger les cages avec les animaux dans le hangar à l’aide de palettes pour meubles et de monte-charge. Les animaux étaient en train de crier dans tous les sens et les hommes étaient en train de les frapper avec des bâtons et les fouetter. Raïto qui adorait les animaux était en train de s’énerver de plus en plus. Il ne pouvait plus bouger à ne rien faire comme ça. Il devait aller les aider le plus vite possible. Un des hommes avaient un fusil en main pointé sur un tigre. Pas n’importe quel tigre, un tigre à dent de sabre. Un tigre très féroce et très rare qui était en train de grogner à tu tête. Raïto sauta de derrière les buissons et retomba devant l’homme, surpris de le voir. Raïto attrapa le bras de l’homme et le tourna. L’homme lâcha le fusil et lorsque l’arme tomba, un coup de feu partit dans la jambe de Raïto. Ce coup de feu permit aux hommes d’arriver rapidement sur place car il savait qu’il y avait un problème. Raïto lâcha le bras de l’homme et lui donna un coup de pied dans l’estomac puis un autre dans le genoux pour le faire tomber. L’homme perdit l’équilibre et tomba à terre, la tête en première qui heurta une pierre. Le reste des hommes se réunirent en groupe devant Raïto. L’homme à la canne était devant et le chauffeur était à ses côtés. Il y avait encore neuf hommes, sans compter les compter et sans compter non plus l’homme qui était évanouie par terre. Raïto qui n’est pas du genre à chercher les coups pour rien se mit face au groupe d’hommes et leur dit :

~ Qui a fait ça ? Qui a bien pus faire entend de mal à ses animaux. ~

L’homme à la canne s’avança d’un pat et avec un petit sourire aux lèvres, il lui répondit.

- > C’est moi petit. Pourquoi, tu en veux un ? Fais attention car il coûte très chers. < -

~ Non je n’en veux pas. Au contraire, je veux que vous les libériez. Ces animaux non rien à faire en cage alors laissez-les partir. Pourquoi les hommes font-ils ce genre de chose ? Pourquoi capturent-ils des animaux et les mettent en cage ? ~

- >Pourquoi ? C’est pourtant simple. De riches hommes payent des fortunes pour avoir ce genre d’animaux. Le trafic d’animaux, il y a que ça de vrai mon petit. Tu en sais trop à présent. Il va falloir que tu disparaisses. Messieurs, l’homme qui tuera cet enfants recevra une très grande sommes d’argent alors allez-y, à l’attaque. <-

Le tigre à dent de sabre qui s’était calmé un peu regarda Raïto puis se remit à rugir lorsque les neuf hommes foncèrent sur Raïto. Le ninja n’avait aucune arme sur lui car auparavant, il était en restaurent et ne savait pas qu’il devrait ce battre dans la soirées contre des hommes. Raïto se mit à accroupit et sauta très haut, emportant avec lui deux hommes avec ses bras qui était en train de le charger. Il tourna en l’air et lâcha l’emprise qu’il avait sur eux. Les deux hommes volèrent un peu plus loin et retombèrent dans le lac. Un autre homme chargea Raïto, un couteau en main. Le jeune Genin glissa derrière lui très souplement, attrapa sa jambe et la souleva pour lui faire perdre l’équilibre. Il leva ensuite haut sa jambe et frappa l’homme qui venait de tomber par terre, comme s’il venait de frapper de toutes ses forces un ballon de football. Il restait encore six hommes de main de l’homme à la canne et du chauffeur. Quatre autres hommes, katanas en main sautèrent en l’air pour frapper Raïto de tous les côtés. Celui-ci glissa sur le sol avec une roulade pour esquiver leur coup. Les quatre hommes ne pouvait plus arrêter leur mouvement et se rentrèrent dedans de plein fouet et tombèrent au sol, sans connaissance. Raïto pointa du doigt les deux derniers hommes et leur dit :

~ Si vous ne souhaitez pas à ce qu’il arrive la même chose à vous, je pense qu’il faudrait que vous fuyez non ? Alors, bouh. ~

Les deux hommes partirent en courant et en criant comme de petites filles avec les bras en l’air. Raïto était en train de rigoler dans son coin tout en les regardant partirent. Il reprit ensuite son sérieux et regarda à présent l’homme à la canne et le chauffeur. Il reprit de même que pour les deux hommes.

~ C’est valable aussi pour vous deux. Alors que choisissez-vous ? ~

Derrière Raïto se dressait une ombre mais le jeune Genin du village caché de la brume ne l’avait pas vus. Une personne frappa fortement Raïto avec une batte de baseball en fer sur la tête. Raïto fut déstabilisé et eut un peu la tête qui tourne. Il tomba à terre, sur les genoux et mit ses mains à terre. Les deux hommes à qui il venait de parler en profitèrent pour prendre la fuite avec l’homme qui venait d’assommer Raïto. Les trois hommes montèrent dans le camion et démarrèrent très vite, les pneus patinant légèrement au sol. Raïto essaya de se relever mais retomba à terre. Le choc qu’il venait d’avoir résonnait dans tous les sens. Malgré cela, Raïto essaya de se relever et y arriva. Il commença à ouvrir les cages des animaux. Il commença par la cage d’un ours, puis celle d’un cheval… Il ouvrit ensuite la cage du tigre à dent de sabre avec une très grande prudence. Celui-ci regarda Raïto et partit en courant. Le jeune Genin partit ensuite dans la direction des bassins des requins et dauphins tout en essayant de réfléchir au moyen de les libérer car ils avaient besoins d’un espace d’eau pour pouvoir survivre. A peine Raïto fit trois pats qu’il tomba à terre sans connaissance. Les dernières images qu’il avait pus voir étaient floues mais il avait vu quelque chose bouger devant lui. Deux heures après, Raïto reprit connaissance avec un mal de tête épouvantable. Il était allongé dans un lit, dans une pièce blanche. Raïto pensa immédiatement à une chambre d’hôpital car ce n’était pas la première fois qu’il y allait. Il essaya de se lever mais il était encore trop faible pour pouvoir faire quoi que ce soit. Une jeune infirmière très belle avec de beaux cheveux bruns, des yeux verts d’un peu prêt arriva dans la chambre de Raïto un grand sourire aux lèvres lorsqu’elle vit que Raïto était allongé. Raïto regarda l’infirmière et lui demanda :

~ Qu’est-il arrivé aux reste des animaux ? Qui m’a amené ici ? Où suis-je ? Pouvez-vous me donner votre numéro de téléphone je vous trouver très sexy et j’aimerais qu’on se vois à l’extérieur de l’hôpital ? ~

Il y eut un bref silence et Raïto reprit.

~ Hum… oubliez ma dernière question. Je sais que je n’ai aucune chance. De toute façon c’est vraiment débile comme question. Désolé. ~

L’infirmière ricana aux paroles de Raïto et rougit légèrement. Elle baissa sa tête un peu embarrassé et répondit aux questions du jeune Genin.

Si vous parlez des requins et dauphins qui étaient prêt du hangar, ils vont bien. Une équipe de ninja les a relâché dans la mer, aux côtes des comptées de Kiri. Pour votre deuxième question, c’est un tigre qui vous a amené ici. Vous savez, vous auriez pus tomber dans le coma à cause de votre blessure à la tête si vous seriez resté plus longtemps ici. Le tigre vous a sauvé la vie en quelque sorte. D’ailleurs il est dans la cour de l’hôpital. Et sinon, j’ai un petit ami. Je suis désolé.

Raïto se releva d’un bond et courut en direction de la cour. A croire qu’il n’était plus fatigué. A l’autre bout de la cour se trouvait le tigre. C’était le tigre à dent de sabre qu’il avait sauvé d’un des hommes et il venait à son tour de le sauver. On dirait que le tigre avait une dette envers Raïto. Les deux marchèrent l’un vers l’autres à la même vitesse et se retrouvèrent en plein milieu de la cour. Raïto s’agenouilla et prit le tigre à dent de sabre dans ses bras. Habituellement, le tigre l’aurait mordu ou autre mais Raïto avait eut une sorte d’instinct et savait qu’il n’allait rien lui faire. Le tigre posa une de ses pattes sur l’épaule de Raïto et sous le poids, Raïto tomba à terre. Celui-ci rigola fortement même s’il avait toujours mal à la tête. Raïto se releva au bout de dix minutes et commença à partir en direction de chez lui pour se reposer. Raïto sortit avec le tigre à ses côtés. Le jeune Genin pensa que le tigre allait partir lui aussi mais il suivit Raïto jusqu’à chez lui. Raïto ouvrit la porte en grand pour que le tigre puisse rentrer. Une sorte de destin liait Raïto et le tigre. Raïto s’asseyes sur son canapé et le tigre se mit à ses pieds. Le jeune Genin était très attaché au tigre et le tigre était lui aussi très attaché à Raïto. Les deux nouveaux amis étaient à présent inséparable alors Raïto décida de garder le tigre avec lui et de l’entraîner pour le faire devenir un tigre à dent de sabre de combat pour qu’il puisse l’emmener en mission avec lui…Il fallait à présent choisir un nom. Raïto réfléchissait pendant un long moment allongé sur son canapé en train de regarder le tigre et tout d’un coup, un déclic eut lieu.

~ Pourquoi ne pas t’appeler Shadow ? Est-ce que Shadow te convient comme nom ? ~

Comme signe pour approuver, le tigre baissa sa tête tout en rugissant légèrement pour montrer à son nouveau maître qu’il aimait bien se prénom. Les deux nouveaux compagnons se regardèrent et Raïto dit à Shadow :

~ Bon et bien à présent, il faut aller au vétérinaire pour demander des papiers et pour savoir si tout va bien. Je suis sûr que tu n’es jamais aller au vétérinaire alors ne dis pas que tu n’aimes pas y aller. Aller vient. ~

Raïto et Shadow partirent au vétérinaire pour faire un contrôle de santé à Shadow, pour lui faire ses papiers et rentrèrent chez eux pour se reposer.

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