Je viens vous donner des nouvelles [Rp finit]

Sujet: Je viens vous donner des nouvelles [Rp finit] Dim 28 Sep 2008 - 20:34

Un matin sur le village caché de la brume, l’air était très frais voir froid. Le temps était couvert par de gros nuage gros et noir. Il n’y avait aucun rayon de soleil qui pouvaient éclairé le village de Kiri. D’ailleurs, le centre ville de ce village était vide. Seul quelques personnes étaient présentes, soit en train de sortir le chien ou alors en train d’aller à l’épicier ou au boulanger du coin. Ce jour là, Raïto était dehors en train de marcher dans le froid. Il était vêtus d’un bon gros manteau polaire pour ne pas avoir froid. Très vite, il commençait à neiger quelque peu et le vent commençait à souffler de plus en plus. Notre jeune Genin était toujours en train de marcher mais de plus en plus vite. La cause ? Raïto détestait avoir froid et une fois, quand il était petit, Raïto était tombé malade et avait dus rester chez lui pendant cinq jours entier au chaud. Remarque, il aimait bien car il n’allait pas à l’académie et son père ne l’embêtait pas avec ses devoirs mais il ne pouvait pas voir ses amis et ne pouvait pas s’entraîner pour devenir ninja. A présent, il était quand même ninja car il avait à chaque fois rattraper son retard. Le jeune garçon aux cheveux brun portait également une écharpe ainsi que des gants épais. Il était en train de marcher en direction des cascades de Kiri, là où habitaient ses parents.

Fils d’un homme riche, il avait vécut tout sa vie dans un grand châteaux et était toujours suivit pas des hommes pour le protéger en cas de danger. Plus d’une fois, quand il était petit, Raïto avait été victime de tentative d’enlèvement et il avait semé plus d’une fois les hommes qui le protégeaient juste pour s’amuser. Quand il était petit, il ne savait pas qu’il avait été en danger beaucoup de fois et qu’il a faillit mourir plus d’une fois mais étant petit, naïf et pas très futé, il n’en savait rien mais à présent qu’il avait mûrit et qu’il allait bientôt a avoir quinze ans, Raïto comprit que son père était toujours présent pour lui, pour l’aider quand il était là même s’il ne le montrait que très peu. Raïto détestait son père au point qu’une fois, il lui avait craché à la figure et avait fugué. Cela remontait à un peu prêt deux ans et depuis ce jour, il n’avait donné aucunes nouvelles à son père ni à sa mère.

En parlant de sa mère, celle-ci était très peu présente elle aussi mais Raïto l’adorait quand même et était très préoccupé par elle. Effectivement, sa mère était atteinte dune très grave maladie que les médecins ne savent pas encore soigner. Beaucoup de personnes étaient mortes de cette maladie et Raïto en était conscient. C’est pour cela que son premier nindo était de devenir ninja médical. Aujourd’hui, Raïto avait franchit la première étape. Il était devenus apprentis médecin à l’académie de Kiri. Il avait la soif d’apprendre très vite dans ce domaine là. Sa mère était certes très malade mais elle parlait beaucoup avec Raïto avant que celui-ci ne parte. A présent, Raïto regrettait d’avoir fugué mais ne le regrettait pas. Je m’explique. Il adorait sa nouvelle vie et avait beaucoup voyagé. Il avait également vie des sensations très fortes mais ses parents lui manquaient affreusement. Les hommes qui le protégeaient lui manquaient aussi. Pendant qu’il marchait, il regardait à côté de lui, par terre mais rien ne s’y trouvait. Habituellement, Shadow, son tigre à dent de sabre était avec lui mais aujourd’hui, Raïto l’avait laissé chez lui. Il voulait être seul et ne voulait surtout pas qu’il tombe malade. Le jeune Genin était en train de marcher sous la neige qui était en train de tomber de plus en plus et sous le vent gelé venant de la mer côté Ouest. Même avec son manteau polaire, ses gants et son écharpe il avait très froid. Raïto avait dans l’idée d’aller voir ses parents ce jour là de temps très froid. La neige qui s’intensifiait se mélangea avec de l’eau et la température chuta d’un coup.

Raïto passa à côté d’une pharmacie et regarda le panneau électronique qui affichait la température de l’air. Le panneau affichait qu’il faisait -3° C. Rien qu’à l’idée qu’il faisait aussi froid Raïto eut encore plus froid. En parlant d’idée, Raïto en y une. Il commença à courir pour se réchauffer mais également pour arriver plus vite chez ses parents pour les voir mais pour être à l’intérieur, pour être au chaud. Raïto courut et courut mais le sol était trop glissant alors il sauta en l’air et sauta ensuite de toits en toits. Après dix minutes de sauts, Raïto voyant à l’horizon les cascades de Kiri. Les petites cascades étaient complètement statiques, gelées par le froid. Les grandes cascades étaient trop puissantes et trop grandes pour gelées mais les petits bassins d’eau qu’elles formaient au sol étaient eux gelées sauf là où l’eau chutait. En plus de cela, il pleuvait très fortement alors les cascades étaient de plus en plus fortes. Arriver à la ligne de départage entre le centre ville et le lieux où se trouvaient les cascades, Raïto arrêta de sauter et lorsqu’il mit un pied au sol, il fit un saltos en arrière avant de tomber par terre sur les fesses. Il était tombé à cause d’une plaque de verglas incrusté dans le sol. Raïto se releva, s’essuya et sa tapa légèrement les fesses pour essayer de faire passer la douleur.

~ Ouïe ouïe ouïe, ça fait mal. ~

Raïto se remit en marche mais un peine il fit un pat qu’il heurta un poteau d’éclairage. Raïto n’avait à priori pas beaucoup de chance à ce moment là mais il pensa à autre chose, à l’image d’où il habitait mais surtout à ses parents. Il se remit en marche mais cette fois-ci, il fit attention à ce qu’il n’y ait rien autour de lui. Raïto marcha et marcha vite, les mains dans ses poches de manteau et arriva enfin devant le château de ses parents. Lorsqu’il était petit, le château lui semblait immense lorsqu’il le regardait mais à présent qu’il avait grandit, le château avait l’air plus petit. Ce n’était en fait pas un château mais un palais. Depuis qu’il était petit, il pensait que c’était un château car le lieu où il vivait était très grand mais il se trompait. Raïto avança jusqu’à devant la porte du palais et appuya sur un petit bouton. Une petite chansonnette très gracieuse retentis dans le palais. Quelques secondes plus tard, une jeune femme habillée en noir et blanc avec un tablier blanc vint lui ouvrir la porte. Raïto la regarda pendant un moment sans cligner des yeux comme s’il avait vu un fantôme mais il reprit ses esprits lorsque la jeune femme lui dit :

- Oui ? Que désirez-vous ? –

Raïto prit la jeune femme dans ses bras mais d’un geste vif, celle-ci repoussa Raïto et le gifla. Raïto, l’air perplexe regarda la jeune femme. La jeune femme était brune avec de magnifiques yeux vert émeraude était devenus légèrement rouge.

- Mais qu’est-ce qui vous prend ? Et qui êtes-vous ? –

Raïto la connaissait très bien. D’un air amusé, Raïto la regarda fixement et lui dit :

~ Ai-je autant changé que ça après deux ans ? C’est moi, Raïto. Tu ne te souviens pas de moi Maï? Même que tu disais que j’étais ton petit Toto. ~

La jeune femme qui à priori, selon les dires de Raïto s’appelait Maï eut un léger temps de réaction assez long avant de prendre Raïto dans ses bras et de le sérer très fort dans ses bras. Raïto mit ses bras autour d’elle et la séra également. A prêt un gros câlin de deux minutes, ils se séparèrent et la jolie jeune fille fit entrer Raïto dans la hall d’entrer. Cette Maï était m’amie d’enfance de Raïto. C’était elle qui faisait toujours rire Raïto lorsqu’il n’avait pas le cœur à être joyeux mais plutôt dans son coin. Mais elle n’était pas que ça. Elle était l’infirmière de la mère de Raïto. Tout d’eux étaient très content de ce revoir. Depuis qu’il était petit, Raïto avait toujours eut l’envie de sortir avec elle mais elle était trop vieille pour lui. Lorsqu’il avait treize ans, celle-ci en avait vingt donc cela veut dire que la jeune fille avait à présent vingt-deux ans. Raïto la regarda de haut en bas et rougit fortement. Il l’a trouvait très belle surtout quand elle était habillée en infirmière. Maï prit Raïto par la main t l’emmena dans le couloir qui se dressait devant eux. Ils firent quatre ou cinq grands pats dans le couloir avant d’ouvrir une porte sur leur côté gauche. Ils entrèrent dans la pièce où se trouvait quatre hommes debout habillés en noir ainsi qu’un homme d’un peu prêt cinquante ans assis sur une chaise en train de lire un journal et une vieille femme en train assise sur un canapé en train de coudre. La porte qui venait d’être ouverte claqua fortement sur le mur et produisit un puissant bruit. Les six personnes présentent regardèrent en direction de la porte et virent Maï accompagné de Raïto. Le vieil homme allait demander ce qui se passait mais la vieille personne prit la parole avant lui et s’écria :

Sujet: Re: Je viens vous donner des nouvelles [Rp finit] Dim 28 Sep 2008 - 20:38

« Raïto, tu es de retour. »

Un silence important eut lieu dans toute la pièce. Raïto avait bien sûr reconnut son père et sa mère mais il avait également reconnut les quatre hommes en noir. C’était eux qui protégeaient Raïto lorsqu’il était petit. Raïto courut comme un enfant vers sa mère et la prit dans ses bras. Raïto et sa mère étaient tout les deux en train de pleurer de joie de ce revoir. Ils restèrent comme ceci pendant un long moment jusqu’à ce que Raïto, avec beaucoup de difficulté, réussisse à s’enlever des bras de sa mère qu’il ne voulait pas quitter, sécha ses larmes et marcha ensuite vers son père. Son père était mince et grand et avait deux cheveux gris, tout comme la mère de Raïto. Le père de Raïto se leva de sa chaise et parut grand par rapport à Raïto. Ils se regardèrent droit dans les yeux jusqu’au moment où son père tendit sa main direction de Raïto avant de dire :

° Bonjour mon fils. Tu as beaucoup grandis. Je sais que tu ne m’aime pas beaucoup mais sert moi au moins la main pour me dire bonjour. °

Raïto ricana légèrement de ce qu’avait dit son père et le prit ensuite dans ses bras en lui disant :

~ Ne sois pas bête papa. Je disais que je ne t’aimais pas quand j’étais petit car je ne pouvais jamais rien faire sans que quelqu’un soit sur moi mais j’ai compris que tu faisais tous cela pour moi. ~

Raïto repoussa la main de son père et le prit dans ses bras lui aussi. Raïto aimait beaucoup son père même si à l’époque c’était tout le contraire. Son père, surpris, ne savait pas trop quoi faire. Après quelques secondes, il posa ses bras autour de Raïto comme l’avait fait la mère du jeune Genin de Kiri. Raïto se dégagea ensuite des bras de son père et se plaça devant les trois hommes. Il les regarda un par un et mit ensuite ses genoux à terre ainsi que ses mains et reste dis secondes sans bouger avant de leur dire :

~ Messieurs, veuillez m’excuser de ce que je vous ai fais. Je regrette tous ce que j’ai fais. Mais bon, il faut le dire, je me suis bien amusé quand j’étais petit à vous semer. C’est tout à fait normal que vous m’en veuillez mais acceptez mes excuses qui viennent du plus profond de mon cœur. ~

Les hommes étaient eux aussi beaucoup surpris de ce qu’était en train de faire Raïto. Toutes les personnes se trouvant dans la pièce avaient pus constater le changement de Raïto. Il avait beaucoup mûrit. Un des hommes releva Raïto, posa une main sur l’épaule du Genin et lui dit :

* Je parle en mon nom ainsi qu’au nom des trois autres. Je pense qu’ils pensent comme moi. Nous ne t’en voulons pas. Tu étais un jeune gamin plein d’ambition à qui on ne laissait jamais rien faire. Tu sais, nous avons eut ton âge toi aussi donc on comprend ce que tu as vécus et pourquoi tu as fais ça. Si quelqu’un à quelque chose à rajouter, qu’il parle maintenant. *

Il y eut de nouveau un long silence jusqu’au moment où Raïto commença à enlever son manteau, ses gants et son écharpe tout en leur expliquant qu’il les remerciaient d’être aussi indulgent et qu’il avait beaucoup de chose à leur raconter. Il posa ses affaires sur un porte manteau qui était à côté de la porte et s'asseya ensuite sur le canapé, aux côtés de sa mère. Son père l’imita et s’asseya à côté de son fils. Les quatre hommes prirent chacun une chaise et s’y mirent dessus, en face de Raïto. Maï qui ne savait pas trop quoi faire commença à partir mais Raïto l’appela et lui dit de venir. Maï était partit pour prendre elle aussi une chaise mais Raïto l’attrapa sur le passage et la fit asseoir sur ses genoux.

~ Combien de fois je t’ai écrasé les genoux franchement alors pour une fois, c’est toi qui va écraser les miens. Bon voilà j’ai quelque chose à vous dire. Je ne regrette pas d’avoir fugué. A présent, je suis un ninja de Kiri. Je suis un Genin de notre village et je suis également un apprenti médecin. ~

Raïto se retourna vers sa mère et lui dit :

~ Je t’ai promis que je deviendrais un ninja médical et aujourd’hui, j’ai passé la première épreuve et je suis entré dans l’académie médicales de Kiri. A présent, il faut que je passe des examens et pleins d’autres choses pour devenir maître médical mais le chemin sera long et très durs. J’ai également beaucoup voyagé. Je me suis rendus au village caché de la feuille donc Konoha pour rencontrer un ninja. Ce ninja est le chef des Anbus de Konoha. Les Anbus sont une unité spéciale comme les sabreurs de Kiri. Ce ninja est Shikamaru Nara, le leader de notre clan. Il a même accepté de me former et de m’apprendre des techniques et autres. On s’est également entraîné ensemble. D’ailleurs, je trouve que je lui ai quand même donné du fil à retordre. On m’a également attribué un sensei. Mon sensei s’appelle Kazuki Muto. C’est un Chûnin de notre village.

Raïto parla et parla de ce qu’il avait fait depuis qu’il avait fugué. Il leur dit qu’il habitait une petite maison dans le quartier des habitations de Kiri avec son tigre à dent de sabre, Shadow. Il leur expliqua comment il avait rencontré Shadow et comment il l’avait adopté… enfin comment Shadow avait adopté Raïto on va dire. Il leur parla également des missions qu’il avait effectuées mais la mission qu’il parla le plus était la périlleuse mission de rang B qu’il avait fait avec Kazuki. Raïto avait tellement parlé que la nuit avait déjà commencé à tomber. Il regarda la fenêtre et vit beaucoup de buée dessus. Il se leva du canapé et marcha en direction de la fenêtre. Il voulut regarder le temps qu’il faisait dehors mais une grosse couche de neige bloquait la vue. Il avait tellement neigé que toutes les issues de la maison étaient bloquées. Raïto expliqua aux personnes ce qui se passait et leur dit que personnes ne pouvait sortir pour le moment. La mère de Raïto se leva elle aussi du canapé et s’adressa au petit monde

« Nous pouvons faire une partie de monopoly en attendant que la neige fonde. Qu’en dîtes-vous ? »

Sujet: Re: Je viens vous donner des nouvelles [Rp finit] Dim 28 Sep 2008 - 20:38

Tous acquiescèrent d’un signe de tête en avant et la mère de Raïto sortit d’un meuble le fameux jeu de monopoly. La mère de Raïto posa le jeu par terre et tous le mondes se mirent en rond par terre et commencèrent à y jouer. La partie dura très longtemps et Raïto était fauché comme les blés. Il était tard, il était un peu prêt l’heure de manger. La mère de Raïto arrêta de jouer et partit faire à manger pendant que les autres rangèrent le jeu et mirent la table. Environ trente minutes plus tard, la table été mise, la nourriture était posée dessus et tous le monde était assis à table en train de manger. En mangeant, ils parlèrent de choses et d’autres et Raïto montra finalement à son père que l’argent ne fait pas le bonheur car Raïto était heureux alors qu’il n’était pas riche. Lorsqu’ils eurent finit, ils se mirent tous d’accord pour aller se coucher par tous le monde avaient eut une journée éprouvante. Les quatre hommes allèrent dans une pièce à côté du salon, les parents de Raïto allèrent au fond du couloir et entrèrent dans une autre pièce et Raïto grimpa l’escalier qui était dans le salon marche par marche accompagné de Maï. Une fois en haut, un autre couloir se dressait devant eux. Raïto entra dans une pièce sur sa droite après avoir fait quelques pats toujours accompagnés par Maï. Raïto alluma la lumière pour éclairer la pièce qui était plongé dans le noir et à sa grande surprise, il vit qu’il venait d’arriver dans son ancienne chambre. Il était en train de marcher dans le palais sans savoir où il allait comme ci sa chambre l’avait appelé. Il fut surpris par autre chose également. Sa chambre n’avait pas bougé d’un poil. Tous ses anciens jouets avec lesquels il jouait étaient toujours là. Il entra dans la pièce et s’asseya sur son lit. Il était à présent tout petit pour lui et les draps étaient tout poussiéreux. Raïto, qui venait de s’asseoir sur le lit venait de faire envoler la poussière et…

~ Ha ha ha tchoumm. ~

C’est vrai que Raïto n’était plus habitué à ça. Il était allergique à la poussière et sa chambre en était remplit. Il se leva immédiatement de son lit d’un geste vif et écouta ce que Maï lui dit.

- Nous ne sommes plus des gamins. Nous pouvons dormir ensemble si tu veux car tu ne vas pas pouvoir dormir dans de telles conditions d’accord ? Et ne dis pas non. -

~ J’accepte volontiers. Merci beaucoup. Et puis en plus, j’avais oublié que j’étais allergique à la poussière car à présent, je suis un peu maniaque et ma maison est tout le temps propre. ~

Maï sortit de la pièce en première suivit par Raïto qui celui-ci ferma la porte de sa chambre derrière lui. Ils entrèrent dans la pièce qui était juste de l’autre côté du couloir et s’asseyèrent sur le lit. Maï baya et proposa à Raïto d’aller dormir maintenant. Raïto accepta sa proposition et tout les deux se levèrent du lit. Maï commença à se déshabiller devant Raïto et se retrouva en sous-vêtement. Raïto devint d’un coup tout rouge et se retourna. Maï qui vit la réaction de Raïto souria en ricanant de la situation embarrassante de Raïto se se plaça en face de lui. Raïto mit ses mains devant ses yeux pour ne pas la voir mais Maï lui les retira. Raïto devint encore plus rouge et se mit en caleçon pour faire comme Maï. Raïto trouvait Maï très belle depuis qu’il était tout petit mais il avait le plus grand respect pour elle et puis après tout, elle avait vingt-deux ans et Raïto en avait quatorze. Maï sortit un tee-shirt d’une armoire qui était à côté d’elle et l’enfila. Elle alla ensuite dans son lit et Raïto s’asseya sur une chaise. Maï regarda Raïto et tapa sur le lit pour lui faire comprendre de venir la rejoindre. Raïto fit ce qu’elle lui demandait et mit les couvertures par-dessus eux deux, laissant juste leur tête dépasser. Ils fermèrent tous d’eux les yeux et commencèrent à parler du passé quand ils étaient petit. Toutes les bêtises qu’ils avaient pus faire ensemble et autre et pendant qu’ils parlaient, ils s’endormirent et tombèrent dans le monde enchanté des rêves. Le lendemain, sur les coups de quatre heures du matin, Raïto se leva sans faire de bruits du lit et s’habilla avec le plus de discrétion possible. Il sortit de la chambre, marcha dans le couloir, descendit l’escalier et regarda le temps par la fenêtre. Le soleil ne s’était pas encore levé mais la neige ne bloquait plus le palais. Il ne pleuvait pas, ne neigeait pas et il n’y avait qu’une légère petite brise d’air calme et douce qui était présente. Raïto prit un parchemin de sa poche ainsi qu’un stylo et commença à écrire des choses dessus. Une fois finit, Raïto le lit à haute voix mais pas fort pour qu’il puisse voir si ce qu’il avait écrit voulait bien dire quelque chose.

~ Ce message est adressé à vous tous. Je vous promets que je viendrais prendre souvent de vos nouvelles et je vous donnerais également de mes nouvelles. La prochaine fois,je vous présenterais Shadow, mon tigre à dent de sabre. Je vous aime. Raïto. ~

Raïto posa le parchemin sur la table avec le stylo, enfila son manteau, son écharpe et ses gants, ouvrit la porte et sortit du palais de ses parents. Il commença à courir pour vite rentrer chez lui car il avait oublié Shadow. Le pauvre, il n’avait pas mangé depuis un jour car Raïto était chez ses parents et un jour entier pour un tigre sans mangé, c’est énorme. Voilà comment Raïto se réconcilia avec les personnes qu’il aimait mais surtout, il venait de réussir un de ses nindos, celui de prouver à son père que l’argent ne fait pas le bonheur.