Mission rang C: "Protéger le chargement de ryos"

Objectif:

Tu es charger d'escorter le chargement de ryo qui se rend de la banque centrale de Konoha à tout les bureau de change du village. Une forte possibilité que des brigand attaque le convoit se présente, mais nullement un ninja ne s'intéresserait a cette argent donc aucun risque d'en rencontrer.

Le soleil se couchait sur le pays du feu. Un vent doux soufflait sur le cheveux du jeune gennin, brouillant, ainsi, sa vue. D'un coups, une étoile fila dans la nuit, comme si un géant, quelque part dans se bas monde, s'amusait à envoyer des pierres de lumières dans tout le pays. Seishiro était couché sur le toit de la maison et il observait le ciel noir habité par plusieurs milliers de petites étoiles qui essayaient de rendre moins triste le monde avec leur faible lueur. On pouvait voir des nuages au loin approcher, porté par la douce bise. On aurait dit une troupe de guerriers errant sans but précis. L'enfant ferma les yeux. Ainsi, il arrivait plus facilement à percevoir les bruits du soir. Le vent fouette les feuilles sur leurs branches, les cigales qui chantaient et le vent. Le vent qui apportait les soupirs de la terre. Tout était si parfait que Seishiro se serait endormi sur le champ si sa petite cousine n'était pas arrivée. Elle s'adressa à lui avec son habituel petit timbre de voix élégant et innocent.

"Seishi, qu'est-ce que tu fait?"

Le ninja lui répondit sans même ouvrir les yeux. Il avait l'habitude qu'elle vienne lui tenir compagnie quand il était un peu seul.

"J'écoute les murmures du soir. Ceux qui font sourire, ceux qui font ressurgirent les bon souvenirs, ceux qui sont perpétuellement là, mais que personne ne remarque jamais."

La fillette tressaillit. Elle ne comprenait jamais rien quand son cousin parlait comme ça, malgré cela, elle était ravie de voir qu'il était toujours le même. Elle l'observa un moment avant d'ajouter.

"Maman prépare à manger, elle fait des nouilles avec de la viande. Elle a dit que tu devras descendre après."

Sur ce, la fillette s'en alla, laissant, alors, Seishiro seul. Dès qu'elle fut partie, l'enfant se leva avec grâce et jeta un dernier regard en direction des étoiles avant de se tourner vers la porte pour redescendre dans la maison. Mais voilà que, soudain, un petit bruit parmi toute la symphonie retentit dans son dos. Comme par réflexe, il fit un bond de côté, évitant, ainsi, un projectile qui vint se planter dans le bois de la porte. C'était un kunaï. Puis, comme si les événements s'enchaînaient les uns après les autres, une voix retentit, toujours dans le dos de l'enfant qui n'avait pas eu le temps de faire face.

"Je n'en attendait pas moins de l'un de mes plus brillants élèves!"

C'était une voix dure, une voix d'homme, dans laquelle on pouvait discerner une certaine fierté. C'était une voix que l'enfant connaissait bien. Il se retourna et découvrit le visage de celui qui lui avait, presque, tout appris. Le jeune Gennin eu du mal à dissimuler sa surprise et sa joie.

"Kendaïshi senseï!... Mais?! Que faites-vous ici si tard?"

Kendaïshi n'était pas dans son habituel habit avec la traditionnelle veste verte que tout bon ninja de grade supérieur portait, il était vêtu d'un simple kimono noir et blanc, reflétant les rayons lumineux de la pleine lune qui venait d'arriver. Hormis le kunai qu'il lui avait lancé, il n'était pas armé. Seishiro perçut une enveloppe orner sa ceinture. Il reconnut, dessus, marqué par un banal tampon, le signe de l'administration des missions. Son visage qui souriait déjâ, sembla s'éclaircir de plus en plus.

"Eh bien, je suis en mission. Tu te souviens du concours que je vous ai fait passé, il y a deux semaines de cela. Je vous avait dit que celui qui gagnerais le concours, pourra faire sa première mission de rang C seul."

A présent, le jeune Gennin souriait tellement, son visage paraissait tellement radieux qu'on aurait pu le comparer au soleil. Un soleil, dans la nuit noire, c'était bien rare, surtout venant du petit garçon. Cela procura une immense joie au fond du shinobi supérieur, mais, bien sûr, comme tout bon ninja, il ne laissa rien paraître. L'enfant récitait mentalement les paroles que Kendaïshi allait prononcer.

"Eh bien, se concours, c'est toi qui l'a gagné et ma mission était de te l'apporter. La voici. Tu commenceras demain matin, tôt, mais je te laisse lire les détails."

Tout en parlant, le senseï décrocha la lettre du corset de cuire et l'a remit entre les mains du jeune Gennin. Seishiro la fit tourner entre ses mains avec une tel délicatesse, comme s'il manipulait un bijou d'une grande valeur. Il la glissa dans sa poche avec mille et une précautions, faisant bien attention de ne pas la froisser. Il en était si fier. L'enfant dirigea, à nouveau, son regard d'un bleu éclatant en direction de son senseï, mais, il n'était plus là. La place qu'il occupait quelques secondes plus tôt était vide, comme pour dire "il ne s'est jamais rien passé ici, jamais..."
Quelques minutes plus tard, L'enfant ressortit soigneusement la missive de sa poche. Il était dans sa chambre. Il avait fait exprès de finir rapidement son repas pour pouvoir lire son premier ordre de mission de rang C. Habillement, il décrocha le sceau qui retenait la lettre. Ses mains tremblaient, mais il se forçait à les garder sur l'enveloppe, maintenant, ouverte. Sous sa peau, elle était lisse et fraîche, fraîche de la nuit. Le jeune garçon extirpa adroitement la lettre de l'enveloppe et il lu son contenu avec attention. Cela ne lui pris pas plus de quelques secondes, bien qu'il aie pris compte de chaque mot, chaque lettres, comme s'il apprenait à lire. L'enfant était excité, il n'arrivait pas à rester en place plus d'une minute. Mais une chose le tourmentait, il n'avait rien dit ni à ses cousins, ni à son oncle et sa tante. Il se sentait un peu coupable. De toute façon, il était sûr qu'ils s'en contre fichait totalement. Tout leur importait. Le Gennin fini par se convaincre que cela n'avait aucune importance. Tant bien que mal, il fini par réussir à se glisser sous les draps de son lit. Comme il l'avait deviné, il ne trouva pas le sommeil. Il était couché sur le dos, les bras croisé sous la tête, comme un support et regardait le plafond de sa chambre. Par endroit, le bois était cassé et quelques araignées grouillaient ça et là, mais Seishiro n'en avait que faire. Il resta ainsi, le regard rêveur. S'il avait annoncé la nouvelle à quelqu'un d'autre, cette personne aurait sûrement été aussi indifférente que s'il leur avait annoncé qu'il avait mangé une pomme. Mais pour lui, c'était une nouvelle étape de sa vie. Une nouvelle étape qui le détourne toujours une peu plus de la misère et de la peur de finir par se faire abandonner par tout le monde. De plus, il était parfaitement conscient qu'il était extrêmement jeune pour son âge de commencer à faire des missions de se rang. La plupart des autre venaient de recevoir leurs bandeau en signe de diplôme et, les plus doués, commençaient tout juste leur première missions de rang D. Seishiro n'était, définitivement, pas comme les autre et son senseï n'avait pas manqué de le remarqué. L'aisance avec laquelle l'enfant assimilait toutes sortes de techniques, sa soif d'apprendre toujours plus grande l'avait déjâ mis sur le voie. Tout cela devait être alimenté par quelque chose, par un pouvoir que seul le Gennin connait, un pouvoir caché, inexploité. Nonobstant cela, Seishiro tremblait de peur devant ce pouvoir terrifiant, ce pouvoir qui croissant à chaque minute. Comme de bien entendu, le Gennin ne laissait jamais paraître sa peur, uniquement quand il était seul, son masque de marbre tombait pour laisser place à la terreur d'une chose qu'il ne peut contrôler. Et pourtant, le pouvoir était bien là, ancré au fond de son esprit, de son âme...

L'horizon commençait à blanchir peu à peu sur le fond noir de la nuit, les dernières cigales se taisirent lentement et les premiers oiseaux du petit matin entamèrent leurs chants de réveil. C'était l'annoncement de l'aube qui était en train de se produire tout doucement. Le village se réveillait gentiment. Seishiro observait tout se petit monde qui s'éveillait depuis le toit où il se trouvait la veille, où il avait reçu l'ordre de mission. Non sans peine, le jeune Gennin s'était réveillé et préparé depuis quelques heures déjâ, le sabre de bois à son dos et l'ordre de mission soigneusement glissé dans le petit sac qu'il tenait ne bandoulière. Le sac était tellement petit et épousait parfaitement les formes de son dos qu'on aurait pu croire qu'ils ne faisaient plus qu'un avec l'enfant. A l'intérieur, excepté la lettre, il avait pu y ranger plusieurs armes, habits et autres divers choses. A porté de main, la petite poche qui était accrochée à sa jambe gauche lui certifiait une grande facilité pour affronté les pièges ou attaques rapides et, surtout, pour assurer la protection du chargement, sa principal mission. Il rajusta avec soin son bandeau. Il le sentait réchauffer, peu à peu, son fond. L'enfant afficha une mine satisfaite. L'aube, au loin, pointait ses premiers rayons. Il était fin prêt pour sa première mission de rang C...

Un peu plus loin, aux frontières de la forêt qui entoure le village ninja, un petit groupe d'homme arrive. Ils sont essoufflé et inquiet. Peut-être est-ce à cause du soleil, ou du fabuleux trésor qu'ils traînent derrière eux, ou encore de la peur de le voir disparaître. Dans tous les cas, ils n'auraient aucune chance face à un ennemis, quelqu'il soit. Même les chevaux qui sont pourtant l'unes des bêtes les plus tenaces et endurantes ont l'air de petites créatures, aussi inoffensifs que les insectes qui grouillent dans votre grenier et aussi épuisé que des paresseux venant de se nourrir. Ils hésitèrent, puis, à contre coeur, s'enfoncèrent dans la forêt dense et noir avec, à la tête, le chef du groupe. Ils s'engouffrèrent dans cette forêt qui pourrait devenir, à tout moment, le théâtre de leurs morts, ou, du moins, de la disparition du trésor.
Après les quelques premiers mètres, celui qui semblait être le "chef" du groupe aperçu, malgré le radical manque de lumière, un homme debout sur une branche. Son visage était caché par une cagoule beige, d'ailleurs, comme le reste de son corps. Seul la bouche apparaissait. Le meneur était encore trop loin pour distinguer parfaitement les traits de l'étrange homme, mais il devina une fine bouche qui ne laissait apparaître aucune émotion. Il était aussi neutre, impassible que s'il portait un masque... Mais il n'en portait point. Dans un premier temps, le chargement continua sa progression, mais, ils ne tardèrent pas à s'arrêter. L'étrangé regardait, à présent, dans leur direction. Le chef du groupe frémit en voyant le petit sourire que leur décochait le mystérieux homme à la cagoule. Une petite bise fit voler le tissu beige de l'homme, sans pour autant laisser apparaître autre chose de son corps. Une cagoule cachant tout le corps et un petit sourire qui lui paraissait plutôt sadique, le meneur en était, maintenant certain. Cet homme était sûrement l'uns de ses nombreux bandits dont les intentions résultaient dans le pillage et, pour certains, les meurtres, bien que celui-ci paraissait un peu étrange. Mais il n'essaya pas de comprendre, à la place, il se dirigea vers ses compagnons d'un pas rapide dans lequel on pouvait voir de la crainte, de la frayeur. Le chef sentit, peu à peu, le regard froid de l'homme au manteau beige se poser sur lui. Il frissonna, d'ailleurs, comme tous ses suppôts. Mais le meneur n'eut pas le temps de rejoindre ses compagnons, il y eut un choc qui se fit sentir au niveau de sa nuque. L'homme s'affala sur le sol boueux. C'est à ce moment-là que la lutte éclata. Des bandits arrivèrent de tous les côtés. Certains disposaient de sabres, mais la plupart avaient des gants dotés de barres de métal situé à la base des phalanges. Le petit groupe d'homme chargé de conduire l'argent à bon port comprit, trop tard, qu'ils étaient tombé dans une embuscade. Les bandits ne mirent pas plus de quelques secondes pour maîtriser les rebelles qui essayaient de défendre le fabuleux chargement de ryos. Seul l'homme à la cagoule n'avait pas bougé, toujours aussi impassible. Il se tenait à bonne distance de la scène. Les bandits semblaient l'ignorer.
Dans un premier temps, les hommes qui se faisaient piller crurent que l'étrange individu était le leader des brigands, jusqu'au moment où l'individu à la longue cape beige passa à l'action. Tout se passa extrêmement vite. L'homme, avec une incroyable habilité, envoya un projectile qui vint percer la surface solide de l'écorce d'un chêne. Tous, y compris les brigands, regardèrent le kunai se planter dans l'arbre, puis, instinctivement, ils regardèrent dans la direction de l'homme sur la branche. Mais il n'y était plus. Seul le manteau beige subsistait. Dans l'assemblée, un homme s'écroula. C'était l'un des truands. Certains des bandits étaient confus, désorientés ou, même, horrifié, mais les plus vieux et expérimenté du groupe de malfrats affichaient une mine contrarié, voir même, haineuse. Là, debout sur le corps inerte du voleur se tenait un enfant. Il portait un uniforme court et noir qui épousait parfaitement les formes du corps garçon. Il avait un sac à dos gris en bandoulière, un étui attaché à sa jambe et un sabre en bois à la main. Seishiro manifestait une mine satisfaite qui révélait, même, de l'amusement. D'un coup puissant et adroit, il retira le couteau de l'arbre et le rangea dans l'étui de cuir. Quelques-uns des hommes qui devaient conduire le chargement l'emmenèrent un peu plus loin, les autres plus courageux restèrent, se préparant à la bataille qui allait avoir lieux. Ils ne pouvaient se permettre de laisser un enfant se battre contre autant d'adulte en même temps...

Soudain, une voix sorti de nulle part et s'adressa aux brigands.

"Allez bandes d'incapables, vous n'allez tout de même pas vous laisser faire par un gosse. Tuez-le!"

La voix était grave, c'était, sans nul doute, celle d'un homme plutôt âgé. Il y avait une certaine violence dans son ton de voix. Obéissant, tous les brigands attaquèrent en même temps Seishiro, certains se jetèrent, même, sur lui. L'enfant réussi à contrer les premiers assauts de coups de poings métallisé avec habilité. Mais il ne réussissait pas à suivre le rythme effréné des coups qui arrivaient toujours plus vite et toujours plus fort. Son souffle se raccourcissait et les premières gouttes de transpiration se faisaient sentir peu à peu. Les coups ne cessaient d'augmenter, tandis que lui, n'arrivait plus à suivre. Les coups qu'ils devaient encaisser se faisaient, eux aussi, plus sentir. Le métal des gants de cuir qui venaient frapper la surface de ses vêtements lui procurant une douleur toujours croissante. Seishiro compris avec effroi qu'il n'était pas de taille, physiquement, face à autant de personnes armées. Mentalement, il du se résigner. Il ressortit le kunai de tout à l'heure. Avec une main, il manipulait avec dextérité l'arme pour parer les coups et autre, de l'autre, il appliqua un petit parchemin sur le kunai. Adroitement, il lança le couteau à proximité des hommes du chargement qui essayaient de le protéger tant bien que mal. Il n'eut plus qu'à relever le pouce, l'index et la majeur, signe basique des mudra pour disparaître et réapparaître à côté de son kunai. L'enfant se débarrassa rapidement des quelques bandits qui les attaquaient et vint s'adresser aux hommes du chargement. Tout n'était plus qu'une question de temps avant que les voleurs ne comprennent qu'il était là.

"Vite, il faut que nous partions d'ici. Ils sont beaucoup trop nombreux!"

L'homme qui se trouvait le plus prêt du gamin le regarda avec curiosité et mépris. Il n'avait pas l'air d'apprécier qu'un enfant tel que Seishiro lui donne des ordres. Il ouvrit la bouche, certainement pour protester, mais s'abstint on découvrant le bandeau frontale sous les quelques mèches sombres du gamin. Il avait l'air de comprendre son erreur et, très poliment, s'inclina, puis, s'empressa de rejoindre ses compagnons pour leur annoncer le plan. Un plan? Seishiro n'en avait pas vraiment. Les autres hommes partis au combat se hâtèrent de regagner le chargement avec les autres, repoussant les assaillants. Le jeune Gennin, lui, se précipita vers la cape de couleur claire, la réenfilla et partit dans la seule direction dans laquelle le chargement fuyait. Il reprit le même kunai enveloppé d'une étiquette avec les signes spéciaux et l'envoya aussi loin qu'il le put. Cela lui permettra de doubler le chargement qu'il avait laissé seul en quelques secondes. Mais une chose l'inquiétait tout de même. Il avait peur que les hommes qu'il devait protéger cèdent, abandonnent...
Pas plus de cinq seconde plus tard, Seishiro était en train de poser des pièges sur la route que devait normalement emprunter le chargement qui devait être suivit des bandits. L'enfant se surpris, tout à coup, à sortir un kunai. Le geste s'était fait, pratiquement, tout seul, comme par réflexe. Il compris, avec horreur, que les brigands avaient eu la même idée que lui. En moins de deux, il assena un coup de pied violent sur le crâne de l'homme. Il s'effondra lourdement sur le sol froid. Tout n'était plus qu'une question de temps. Il devait se hâter de désamorcer les pièges déjâ mit par le bandit. Certes, il aurait pu s'en servir contre les ennemis, mais on lui avait répété mainte et mainte fois qu'il ne fallait, jamais, au grand jamais, se servir de pièges ennemi. Cela pouvait être dangereux du fait que le piège pouvait se retourner contre soi-même. Après avoir désinstallé avec une vitesse affolante les quelques pièges, on entendait le bruit des sabots qui claquaient contre le sol. Seishiro se mit en position. De l'endroit où il était, il pouvait activer tous les pièges quand il le voulait tout en restant à l’abri des regards. Pendant un court instant, le jeune Gennin repensa à ce geste, à la vitesse à laquelle il avait réussi à parer le coup de l'ennemi. Il se demanda si cela avait un rapport avec ce mystérieux pouvoir qui demeurait au fond de lui. Mais, voilà que le chargement passait devant lui suivit de près par une cavalerie de bandits armés jusqu'aux dents. Il semblerait que tout avait été planifié. D'abord, un nombre incalculable de truands, des chevaux et des armes. Seishiro activa tous les pièges après le chargement. Le souffle de divers explosions se fit sentir, une immense corde de métal se tendit se qui fit trébucher plusieurs des cavaliers et, comme pour conclure le tout, une fosse aux proportions démesurées s'ouvrit. Elle avala tous les brigands, sans en laisser un seul...
Le jeune Gennin observait la scène, tout comme les hommes du chargement qui s'étaient arrêté un peu plus loin. Ils avaient l'air un peu confus, mais furent vite soulagé en voyant l'enfant sortir de sa cachette. Son habit noir était déchiré par endroits, mais, hormis les blessures artificielles, il allait bien. Etonnement, sa cape n'avait pas eu la moindre égratignure. Le jeune Gennin fut heureux, lui aussi, de constater que tous allaient bien, y compris le trésor. Il s'approcha d'un pas chancelant qui, toutefois, révélait une certaine assurance. Malgré cela, les hommes allèrent tout de même à sa rencontre, l'épargnant une trop grosse perte d'énergie. Le shinobi commença, alors, à parler d'une voix respectueuse qui tentait de masquer une certaine honte.

"Je me présente ; Seishiro, Gennin de Konoha, en mission. Celle de vous protéger, vous tous, et le chargement..."

Puis il se tut. L'enfant haletait encore, son souffle était court et les gouttes de transpirations dégringolaient sur son visage aux traits minces pour venir s'évanouir dans les plis de son habit noir. Il était exténué, cependant, ce n’était cela qui l'avait empêché de continuer. Ce qui l'avait empêché de continuer, c'était la peur que les hommes n'aient pas été satisfaits de sa protection. Il avait honte. L'enfant abaissa la tête en signe d'excusent. Sans un mot, l'un des hommes, s'avança vers le jeune Gennin. Il avait un visage sérieux et l'air de comprendre se qui se passait.

"Arrête de te tourmenter et relève la tête! Écoute, nous sommes en vie et la chargement est toujours là. Par quels moyens tu y es parvenu n'est pas l'important, l'important c'est se qu'il y a au final."

Le Gennin releva timidement la tête et trouva la visage de l'homme aux paroles si réconfortantes. Il était plutôt jeune avec des cheveux bruns claires, tirant presque sur le blond. Ses yeux exprimaient la même puretée que ceux de l'enfant. Une cicatrice droite, comme les lignes d'une règle traversait son visage aux traits durcits, comme si elle le coupait en deux. Cependant, son visage, lui, exprimait la même chose partout ; de la sympathie. Seishiro osa un légé sourir. L'homme à la cicatrice repris avec un ton plus joyeux, plus sympathique.

"Maintenant, termine ta mission ; escorte nous à Konoha...."

Quelques heures passèrent. Le jeune Gennin marchait d'un par certain en direction du palais de l'Hokage pour faire son rapport de mission. Le soleil lui tapait sur le visage, l'obligeant à fermer plisser les yeux. Ses blessures avaient été soignées et son teint pâle avait repris des couleurs. Il avait réussi à mener à bien le reste de sa mission. Rien de spécial, hormis l'attaque organisée des bandits ne s'était passé de tout le reste du voyage. Arrivé à Konoha, il avait, encore, escorté le chargement jusqu'à la banque central, puis à tous les bureaux de changes, en prenant la peine, au passage, de prévenir d'autres ninjas des bandits piégés dans le fossé en forêt. Ils ne tardèrent pas à les retrouver et, au passage, à attrapper celui qui semblait tout avoir organisé. C'était, semblait-il, un richissime commerçant qui espérait faire fortune en pillant des chargements avec sa bande qui devenait de plus en plus importante... Mais Seishiro n'essaya pas de comprendre tout cela. L'enfant était plongé dans une éspéce de béatitude, un peu comme un rêve éveillé. Il n'arrivait pas à croire que, à lui seul, il aie arréter tout une organisation, de petite envergure, certe, mais il les avait tout de même arrêté. Le Gennin avait mis un moment pour réaliser se qui lui était arrivé, ce qu'il avait accompli.
A présent, l'enfant était souriant. Son senseï marchait à ses côtés, aussi fier qu'un père voyant son enfant grandir. Ils progressaient tranquillement au milieu de la foulle. Bientôt, ils arriveraient à la réception pour donner le rapport. Hormis son simple et banal sourir, les traits de l'enfant n'exprimaient rien de particulier, comme à son habitude... Pourtant, au plus profond de lui-même, il était excité, à tel point que son estoma se contractait. Tout n'était plus qu'une question de minutes avant de terminer, officiellement, sa première mission de rang C et de ramener de l'argent pour son oncle et sa tante. Non, c'était bien plus que cela, c'était la fin d'une mission de rang supérieur...

/MISSION TERMINÉE\

Bon très bonne mission je te donne +5000 déjà pour la mission car tu as remplis les exigeance. et voici les bonus que tu obtiens

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Bonus
Note Synthaxe : 10/10
Gain : +32 000
C'est pratiquement impecable de ce côté là.

Note Orthographe : 10/10
Gain : + 16 000
Ici aussi très peu à redire pratiquement pas de faute.

Interêt de l'histoire : 10/10
Gain : + 24 000
Une des meilleur histoire que j'ai lu j'ai été litéralement captiver.

Mise en page : 8/10
Gain : + 800
Là tu devrais franchement penser à diviser tes paragraphe beaucoup trop long en plus petits paragraphe c,est très difficile de revenir à la ligne que tu lisais si ton attention n'est pas totalement concentrer sur le texte.
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Stats total +77 800